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Ma drole de famille

Chapitre 25

Zoophilie
Julie devient blême, j’ai peur qu’elle ne perde conscience, mais il n’en est rien.
–Alors les filles, en forme à ce que j’ai pu voir.–Tu es là depuis longtemps ?-Je suis arrivé juste au moment où vous alliez voir Léonard. Je dois dire que de vous voir à poil toutes les deux m’a laissé un peu perplexe, je vous ai donc suivi en douce, même Hector m’a laissé tranquille, il se léchait la bite dans un coin. Je dois dire que j’ai adoré suivre ces deux superbes culs qui marchaient devant moi. J’ai passé tout mon temps à côté du box de Léonard à apprécier le spectacle.–Tu es resté à nous regarder comme ça ?–Oui, et tu es même passée à un mètre de moi sans me voir. Mais je dois dire que le spectacle de deux femmes se faisant baiser et enculer par un âne, ça dépasse l’entendement.–Ecoute Jacques, je suis majeure et vaccinée, et je fais ce qui me plait.–Là n’est pas la question, mais voir sa sœur et sa fille se faire culbuter par un âne, avoue que ce n’est pas banal. Ceci dit, tu as raison, vous êtes majeures et vous pouvez faire ce qui vous plait.–Julie, tu bois quelque chose ?–Un grand whisky sec s’il te plait.
Elle prend sa jupe pour l’enfiler quand Jacques intervient.
–Tu peux rester comme ça chérie, Laure aussi d’ailleurs. Je dois dire que tu es magnifique ma fille, j’aime bien ton pubis glabre, c’est Laure qui t’en a donné l’idée ?–Oui, mais rester comme ça, nue devant mon père, ça me fait bizarre.–Qu’à cela ne tienne.
Jacques se lève et en une minute il est nu et assis dans son fauteuil. Je remarque que sa bite est un peu tendue.
–Viens t’assoir en face de moi.
Je sers les alcools, grand whisky pour Julie et énorme whisky pour moi. Nous buvons deux ou trois minutes en silence. Jacques nous regarde.
–Qu’avez-vous éprouvé à vous faire besogner par un âne ?
–Avoir une si grosse queue dans la vulve ou l’anus est quelque chose d’incomparable, surtout si tu aimes les grosses bites comme moi.–Mais ça ne t’a pas déchiré de te faire sodomiser par une telle bite, j’avoue que je n’en suis pas revenu. Quand il s’est enfoncé en toi, j’ai cru que tu allais hurler de douleur, au contraire, j’ai eu l’impression que tu étais heureuse et sereine.–C’est exactement ça, heureuse et sereine, je savais que je pouvais le faire, je me suis mis des godes bien plus gros dans le cul.–Tu aime te faire sodomiser ?–J’adore.–J’avoue que je n’ai jamais essayé, mais je ne désespère pas d’y parvenir un jour. Au fait, tu as eu Laurent ?–Oui, mais il y a un énorme problème me concernant.–A bon, lequel ?–J’ai eu une discussion à ce propos avec Laure et ce qu’elle m’a appris est assez renversant.–Allez, au fait.–Laure est ma mère.–Quoi ?–Tu plaisante ?–Lucienne n’était pas ma mère, c’était ma grand-mère, ma mère, c’est Laure et mon père Henri. Je suis la sœur ainée de Michel, Aline et Paule. Tu n’es pas mon frère, et tu n’es pas ma nièce.
Je les regarde, ils ont l’air abasourdis. Julie boit une grande rasade de whisky, Jacques me regarde.
–D’un côté, je perds deux frères et une sœur, d’un autre je récupère un frère, deux sœurs et surtout un père et une mère.–C’est vrai que vu sous cet angle, c’est tout bénef.–Donc, ce n’est pas ton frère qui t’a dépucelé ?–Non, comme tu n’as pas eu de relations incestueuses avec ta tante, nous sommes complètement étrangères.–Comment ça, vous avez eu une relation amoureuse toutes les deux ?–Tu ne t’en doutais pas ?–Pas du tout.–J’espère que ça ne te choque pas ?–Non, mais c’est quand même un peu choquant.–Papa, tu croyais avoir fait l’amour avec ta sœur, l’avoir même dépucelé, et tu es choqué par le fait que j’ai fait l’amour avec ma tante. Tu ne trouves pas ta réaction un peu disproportionnée ? –Tu as raison. Bon, j’étais venu te chercher, je ne supporte pas quand on se fâche.–Non, je vais rester cette nuit ici, je te promets que je rentre à la maison demain vers midi, je ne travaille pas le matin et je compte faire la grasse matinée.–Ok, moi, je vais rentrer, je me lève très tôt demain matin.
Il se lève, nous embrasse et sort de la pièce. Nous restons toutes les deux quand le téléphone sonne. C’est Laure, je veux dire maman, je ne m’y suis pas encore faite.
–Chérie, tu peux aller chercher Charlotte, elle est en panne de voiture et je crois que le garagiste qui s’en occupe veut la truander. Je suis coincée à la maison, tu peux m’aider ?–Bien sûr, donne-moi l’adresse et j’y vais tout de suite.Elle me donne l’adresse. J’enfile ma jupe et mon corsage, Julie enfile sa jupe et son tee-shirt, mais je lui confisque son string.–Nous allons chercher Charlotte, tu la connais ?–Non.–Tu verras, elle vaut le détour, je dois simplement te prévenir qu’elle est sourde et muette.–Ok, j’ai fréquenté des sourds muets, et je pratique un peu la langue des signes, j’arrive à me faire comprendre.–Super, j’étais un peu inquiète.
Dix minutes plus tard, nous sommes à l’adresse. Charlotte est là avec un homme. Il m’explique ce qui se passe et me dit que la voiture sera prête dans deux jours. Je ne vois rien d’anormal dans ce qu’il me dit. J’embarque Charlotte et nous allons chez moi. Nous traversons le parc, Hector vient vers nous en sautillant, mais je lui fais comprendre qu’il doit rester tranquille. Nous installons Charlotte dans le salon. Julie m’accompagne dans la cuisine.
–Elle est superbe, je ne sais pas ce qui se passe, mais elle m’attire, j’ai envie de faire des choses avec elle.–Je ne pense pas qu’elle s’offusque si tu lui fais comprendre que tu as envie d’elle, je peux te dire qu’elle sait parfaitement faire jouir une femme.–Et comment tu sais ça toi ?–Tout bonnement parce qu’elle m’a fait jouir comme une folle.–Ou ça ?–Chez ma mère.–Elle la connait ?–Depuis plusieurs années.–Bon, je vais commencer par me mettre à l’aise, il fait une chaleur à crever dans ce patelin.–On est dans le sud, il y fait chaud.
Nous retournons au salon, Julie va vers Charlotte et lui fait des signes. Charlotte acquiesce en souriant et Julie fait passer son tee-shirt par-dessus sa tête, sa jupe suit très vite. Elle est nue devant elle. Charlotte la regarde en souriant, elle a l’air de bien apprécier ce qui se passe.
–Cela ne la dérange pas qu’on soit à poil, mais j’espérais qu’elle en fasse autant.
J’imite Julie et vient m’assoir à côté de Charlotte. Elle se lève et fait signe à Julie de venir vers elle. Elle lui explique quelque chose en langage des signes, Julie s’approche d’elle et lui déboutonne son corsage. Charlotte se retrouve torse nu. Julie se penche sur chacun de ses seins pour les embrasser et les titiller.
–Superbes, pas tout à fait naturels, mais superbes.
Les mains de Julie se posent sur la ceinture de la jupe, la dégrafe, fait glisser le zip et la jupe se retrouve par terre. Je vois à la tête de Julie qu’elle a un problème, le string de Charlotte est vraiment beaucoup trop gonflé, même avec un pubis super rebondi, on n’arrive pas à ce volume. Julie me regarde.
–Surprise, fais descendre son string.
Julie se saisi de la ceinture du string et le fait glisser le long de ses jambes. D’un seul coup, un sexe d’homme se redresse devant les yeux ébahis de Julie. Elle regarde Charlotte qui est au bord de la crise de fou rire. Julie s’agenouille devant elle et lui gobe la bite. Elle commence une fellation tout en lui enlevant son string. Charlotte pose ses mains sur la tête de Julie, s’en saisi et la fait remonter. Quand elle est redressée, Charlotte la serre contre elle et fait un léger mouvement du bas ventre. Julie écarte les jambes ce qui permet au sexe de Charlotte de venir se loger dans sa vulve. Je vois le bas ventre de Charlotte s’animer, Julie reste inerte, la bouche ouverte, elle regarde vers le haut, je vois qu’elle se concentre sur cette bite qui la laboure. Charlotte la besogne pendant cinq bonnes minutes, je les regarde en me caressant les seins et le sexe devant elles pour les exciter un peu plus. D’un seul coup, Charlotte donne des coups plus violents. Julie se crispe.
–Elle joui en moi, je viens, je vais jouir, oui, oh lala, oui, je jouis, je jouis.
Elle s’agrippe à Charlotte qui lui donne de grands coups de rein.
–HHHHHHAAAAAA
Au bout d’un petit moment, elles se calment et s’assoient sur le divan.
–Tu aurais pu me prévenir ?–Et ou aurait été la surprise ?–C’est vrai que pour une surprise, ça a été une surprise, je comprends mieux mon attirance pour cette fille. Je crois que nous allons devenir très amies. Tu lui as expliqué pour Hector et Léonard ?–Non, je ne la connais que depuis cet après-midi, mais je suis sûre qu’elle ne serait pas contre une belle bite de chien ou d’âne dans le fion.–Je ne sais pas comment lui en parler, je ne suis pas très experte en langue des signes.–Il n’y a qu’à lui faire une démo.–Ok, je lui dis qu’on sort dans le parc.
Julie prévient Charlotte, je récupère ma graisse anale et tout le monde sort dans le parc. Hector vient vers nous en frétillant. Je vais m’assoir sur un transat, les fesses au bord du siège, les jambes grandes ouvertes. Hector comprend mon attente et vient poser sa truffe sur ma vulve. Sa langue s’active sur mon clitoris. Charlotte me regarde très intéressée par ce qu’elle voit. Mais elle, elle ne peut pas se faire lécher la vulve, je décide donc de me mettre à quatre pattes.
–Chérie, prépare-moi.
Julie se saisi de la graisse et me badigeonne l’anus et le sillon. Hector est de plus en plus impatient et dès que Julie s’écarte, il me grimpe dessus et donne un grand coup de rein, malheureusement, il s’enfonce dans ma vulve, ce n’est pas ce que je veux. Julie s’en rend compte, réussi à s’emparer de sa bite pour la guider vers mon anus. Cette fois ci, il ne rate pas sa cible et me perfore le fion sur toute la longueur de sa bite, je suis au bord de l’orgasme, me faire enculer par mon chien devant une transsexuelle, me met dans un état second, je sens qu’Hector se vide en moi, il ne va pas tarder à me planter sa boule dans le fion. Je l’attends avec impatience, j’aime quand je suis sa chienne. D’un seul coup, mon sphincter se dilate et se referme sur sa boule. Hector se retourne et nous sommes tous les deux soudés par sa bite. Charlotte se masturbe en nous regardant, mais Julie ne veut rien perdre et se jette sur sa bite. Je suis à quatre pattes, Julie est devant moi, à genou, à faire une fellation à Charlotte qui me regarde en se caressant les seins. Je vois le plaisir monter dans les yeux de Charlotte, son regard se trouble, elle va jouir. Ça ne tarde pas, et Julie a beaucoup de mal à endiguer le flot de sperme qui coule dans sa bouche. Elle y arrive et finit par venir vers moi pour m’embrasser et partager avec moi le dernier jet de sperme de Charlotte. Je sens la boule d’Hector se dégonfler et sortir, me libérant mon anus. Une langue vient le lécher, c’est Charlotte qui s’est jeté dessus pour gouter au sperme d’Hector. Ça a l’air de lui plaire, car elle insiste jusqu’à ce que mon anus se ferme complètement. Elle regarde Julie et lui fait des signes. La « conversation » dure une petite minute.
–Elle aimerait bien se faire prendre par Hector, mais il faut qu’elle fasse une toilette intime.–Tu sait où est notre salle de bain ?–Oui.–Accompagne la, moi, j’ai besoin de me reposer un peu, la journée commence à être longue.
Julie prend Charlotte par la main et l’entraine vers la maison. Moi, je m’allonge sur le dos sur un transat, les jambes pendantes de chaque côté. J’ai envie d’aérer ma vulve. Seulement, Hector ne l’entend pas de la sorte, il grimpe sur le transat, s’allonge entre mes jambes et s’occupe de ma vulve et de mon clitoris. Sa langue me parcoure inlassablement le trajet du périnée au clitoris à une cadence invariable. Je me laisse aller et je joui au moins trois fois avant que Julie et Charlotte ne réapparaissent. Il faut dire qu’elles ont mis du temps, je présume qu’il ne s’agissait pas que d’une toilette intime. Charlotte vient vers Hector qui est toujours sur le transat. Elle le pousse un peu pour qu’il se couche sur le côté. Il se laisse faire. Ce chien est d’une gentillesse extrême avec les personnes qui m’entourent, mais ne vous avisez pas d’entrer dans le parc si vous lui êtes inconnu. Hector se retrouve sur le côté, les jambes ouvertes. Charlotte se penche et lui gobe le bout de sa bite qui dépasse de son fourreau. Il se laisse faire et sa bite s’allonge doucement. Quand elle est complètement sortie de sa gaine, Charlotte le fait descendre du transat et se met à quatre pattes. Julie lui a enduit le fion de graisse. Hector sait ce que ça veut dire, il a l’habitude de l’odeur de cette graisse. Il monte sur le dos de Charlotte et donne un grand coup de rein. Il ne la rate pas et s’enfonce d’un seul coup jusqu’aux couilles. J’entends Charlotte pousser un grognement, mais son visage est serein. Je vois son visage se concentrer sur son plaisir, elle savoure cette bite qui la perfore. Hector la pistonne à un rythme infernal, je vois qu’elle bande ferme. Je me glisse sous son ventre et lui gobe la bite. Julie est à côté de moi, je vois qu’elle est déçue de ne pas m’avoir précédé. Ma langue lui titille le gland, j’attends qu’elle se vide dans ma bouche, ce qui ne tarde pas, je sens un puissant jet me remplir la bouche. Je regarde Julie, m’écarte pour qu’elle prenne ma place. Elle s’empare de sa bite et reçoit un nouveau jet de sperme qu’elle avale en me regardant droit dans les yeux avec un plaisir évident. Un nouveau grognement m’indique qu’Hector a introduit sa boule dans le fion de Charlotte. Je la regarde, son visage reflète la sérénité, le bonheur, elle profite au maximum de cette magnifique bite qui la laboure. Je vois du sperme couler le long de ses cuisses, Julie s’occupe de la nettoyer avec sa langue ce que charlotte à l’air d’apprécier énormément. Hector finit par la libérer, et Julie s’occupe de son fion pendant qu’il est encore un peu ouvert. Charlotte se redresse, son sexe est dressé comme un totem et pointe orgueilleusement vers le ciel. Cette fille récupère à une vitesse folle. Je viens vers elle, m’agenouille et lui embouche la verge. Elle pose ses mains sur la tête pour me guider. Je sens cette verge vibrer sous ma langue et mes lèvres. J’entends sa respiration s’accélérer, je sens ses mains se crisper sur mes cheveux, j’attends un peu, mais la délivrance arrive, elle se vide en de longs jets de sperme dans ma bouche. Julie est à côté de moi, mais je n’ai pas me temps de lui libérer la bite. Je garde un maximum de sperme pour le partager avec elle, mais Charlotte me tire vers le haut et pose ses lèvres sur les miennes. Nous échangeons un baiser ce qui fait que je lui cède une bonne partie de ma récolte qu’elle avale avec délice. Nous nous séparons, Charlotte explique à Julie son comportement par signes.
–Elle s’excuse de ne pas t’avoir laissé partager son sperme avec moi, mais elle adore le boire et c’est sa technique pour assouvir son envie. Elle m’a dit que la prochaine fois, ce sera moi.
Il est bientôt vingt-trois heures, je suis épuisée, je ne pense qu’à aller me coucher. Les filles sont d’accord et nous allons toutes dans ma chambre. Le lit est très grand et nous pouvons très bien tenir à trois sans être hyper serrées. Je suis à peine allongée dans mon lit que je m’endors profondément, laissant les filles entre elles. …/…
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