Dans le bureau de Laurent, Marie jubilait. Grâce à son plan, elle avait une occasion inespérée de gagner le pari qu’elle avait fait avec Claire. Quelqu’un frappa à la porte du bureau et Marie s’empressa d’aller ouvrir. Sur le pas de la porte se tenait Axel, tout choqué et heureux à la fois de voir sa tante toute nue devant lui. — Où est ton frère ? J’espérais pouvoir me faire baiser par vos deux grosses queues.— Ma mère a voulu qu’il reste à la maison pour l’aider à faire le ménage. — Quel dommage ! Il y en aura plus pour toi. Marie adressa un clin d’oeil plus qu’explicite à son neveu qui, sans se gêner le moins du monde, commença à se déshabiller et, une fois nu, referma la porte du bureau derrière lui. En voyant l’érection triomphante d’Axel, Marie se lécha les lèvres avec gourmandise. — Mon flair ne m’a pas trompée. Tu as vraiment une queue gigantesque ! Je mouille rien qu’à l’idée du plaisir qu’elle va me donner. Marie s’agenouilla devant son neveu et prit son sexe en bouche en lui malaxant les bourses. Cette expérience étant nouvelle pour lui, Axel ne manqua pas d’exprimer son contentement. — Oui, Tata ! C’est tellement bon ! Tu suces vraiment bien ! Sans répondre, Marie poursuivit sa fellation durant quelques instants avant de s’arrêter pour s’assoir sur une chaise située face au bureau de Laurent. Elle écarta les jambes autant qu’elle le pouvait et fit signe à Axel de venir auprès d’elle. Son neveu obtempéra mais se figea à quelques centimètres d’elle, ne sachant pas ce qu’elle attendait de lui. Son père vint alors à sa rescousse. — Lèche-lui la chatte ! Elle adore ça ! Le jeune homme s’agenouilla devant sa tante et s’appliqua à lui prodiguer un cunnilingus qui la fit gémir d’extase. En voyant son fils lécher la moule de sa belle-soeur, Laurent eut l’idée de prendre lui-même la photo qui servirait de preuve à Claire. Après s’être assuré de la netteté du cliché et demandé le code de déverrouillage à Marie, il l’envoya à sa femme en ajoutant le texte « 2-2 » en guise de légende. Sans en faire davantage, Laurent éteignit l’écran du téléphone de Marie et garda les yeux fixés sur le spectacle que lui offraient son fils et sa belle-soeur. Sentant le sexe de sa tante suffisamment lubrifié par la quantité non-négligeable de cyprine qui s’en écoulait, Axel la souleva de terre pour la reposer sur le bureau de son père. Il lui releva les jambes à la verticale et s’enfonça d’une seule poussée dans la grotte d’amour de Marie.
Sous les encouragements de Laurent, Axel mettait tout son coeur dans le pilonnage de sa tante qui gémissait de plaisir à chaque coup de reins qu’il donnait. — C’est bien, mon enfant ! Continue à pilonner ta salope de tante ! Il n’y a que comme ça qu’elle aime être baisée !— Oui, mon neveu ! Baise-moi bien ! Oh oui ! Tu remplis bien la chatte de ta salope de tante ! Piqué au vif par ces conseils et provocations, Axel accéléra son mouvement jusqu’à ce qu’il sente la jouissance le gagner. Désirant explorer l’autre orifice de Marie, le jeune homme se retira de son ventre pour mieux replonger dans son arrière-train. — Bien joué, Axel ! Encule-la bien ! Il faut bien qu’elle sente ta bite lui bourrer le cul ! Excité par ces conseils paternels, Axel pilonna le sombre orifice de sa tante jusqu’à ne plus pouvoir contenir la sève qui montait rapidement de ses testicules jusqu’à son gland. — Je vais jouir ! Sans demander l’avis de son neveu, Marie fit sortir sa verge de son postérieur et la logea habilement dans le sillon de ses seins pour la prendre en branlette espagnole jusqu’à ce qu’elle libère sa caractéristique liqueur blanche. Apaisés, Axel et Marie se revêtirent. Soudainement pris d’un sursaut de conscience, le jeune homme pensa à son oncle. — Je viens de trahir mon oncle. Je n’ai pas réfléchi avec ma tête tout à l’heure. Qu’est-ce qu’il m’a pris ? Alors qu’il se prenait la tête dans les mains, Laurent vint lui expliquer en détail ce qu’il se passait entre Claire et Marie. Lorsque son père arriva à la fin de son récit, le jeune homme lui jeta un regard interloqué. — Un jeu ? Est-ce que Jean est réellement au courant qu’il s’agit de cela ?— Pour le moment, je ne sais pas mais, comme il sera la prochaine cible de ta mère, s’il n’est pas encore au courant, il le sera très vite. Axel hocha la tête en signe de compréhension. — Bon, il faut que je vous laisse. J’ai encore une queue à prendre et le temps joue contre moi. Ça a été un plaisir de vous avoir tous les deux à mes côtés aujourd’hui. À la prochaine. — À la prochaine. Après avoir embrassé son beau-frère et son neveu, Marie récupéra son téléphone et sortit du bureau. Arrivée devant sa voiture, elle alla consulter sa messagerie. Ce qu’elle redoutait plus que tout était déjà arrivé. Le temps avait déjà gagné. Elle avait reçu un message de Claire, accompagné d’une photo de Jean en train de la sodomiser. « 3-2. Ta grande soeur a encore gagné. Rejoins-moi chez moi demain à 14h demain pour recevoir ton gage. » Cette fois-ci, ce n’était plus la peine de jouer. Elle se maudit d’avoir été si impulsive. En y réfléchissant, elle se dit qu’elle aurait peut-être dû attendre d’avoir Laurent et ses fils en même temps avant d’envoyer son premier message à Claire. Grâce à son imprudence, sa soeur avait tout de suite compris ce qu’était la surprise promise par Laurent à ses fils et avait gardé l’un d’eux avec elle pour pouvoir le laisser à la maison et avoir le temps de coucher avec Jean. Ce fut avec amertume qu’elle reprit le volant pour rentrer chez elle en espérant que le gage que Claire lui donnerait le lendemain ne serait pas trop sévère pour elle. [ à suivre ]
