Depuis le retour de sa fille, Marie avait l’idée d’utiliser celle-ci dans le but d’attirer sa nièce Jessica dans ses filets. Décidant de profiter de la température exceptionnellement élevée de cette matinée du mois de novembre, la mère de famille se rendit sur la terrasse de sa maison et se dévêtit entièrement afin de s’adonner à un bronzage intégral. Ce matin-là, Jean était parti avec ses deux fils à Crans-Montana afin de faire une journée ski entre hommes, laissant Aline et Marie seules à la maison. Savourant les rayons du soleil qui réchauffaient sa peau, Marie ne tarda pas à s’assoupir. Elle fut réveillée environ une heure plus tard par la voix de sa fille qui l’appelait. — Maman ?— Je suis sur la terrasse, ma chérie. À cette réponse, la jeune femme alla retrouver sa mère au lieu indiqué et fut surprise de la trouver dans le plus simple appareil. — Il ne fait pas un peu froid pour ça, Maman ?— Non, c’est la température idéale pour bronzer nue. Si tu le souhaites, tu peux te joindre à moi même si je pense que tu n’en as pas réellement besoin. — Oh, tu sais, même si le soleil d’Afrique m’a bien fait bronzer, j’ai encore quelques marques de bronzage à corriger. J’ai juste peur que quelqu’un nous voie. — Ne t’en fais pas pour ça, ma chérie. J’ai aménagé la terrasse de façon à ce que nous puissions prendre le soleil tranquillement. — Dans ce cas, pourquoi pas. Ça me fera une nouvelle expérience. Aline retira ses vêtements et alla prendre place aux côtés de sa mère. Le corps de la jeune femme avait été bien doré par la chaleur qui avait régné dans le pays qu’elle avait visité mais présentait tout de même des marques de bronzage au niveau de la poitrine et du bas-ventre, signe selon lequel Aline n’y avait pas pratiqué le bronzage intégral. — Hum. C’est vrai que ça fait du bien. Je devrais peut-être inviter Jessica pour qu’elle puisse en profiter. — C’est une excellente idée, ma chérie. Aline se releva pour aller chercher son téléphone et composa le numéro de sa cousine. Après quelques minutes de conversation, la jeune femme retourna aux côtés de Marie.
— Elle arrive dans dix minutes. — Parfait. Marie était aux anges : elle n’avait même pas eu besoin de convaincre Aline de faire venir Jessica chez elle. Il ne lui restait plus qu’à séduire sa nièce pour obtenir ses faveurs sexuelles. Pour ce faire, la mère de famille avait un plan. Dix minutes plus tard, la sonnette retentit dans la maison et Aline s’empressa d’aller ouvrir. Au son des voix qu’elle entendait, Marie put en déduire que la visiteuse n’était nulle autre que Jessica. Les deux cousines arrivèrent sur la terrasse et Jessica se déshabilla pour se retrouver nue à l’instar d’Aline et Marie. — Eh bien, on dirait que tu as bien pris le soleil, toi aussi, Jessica. — Oui, mais mieux vaut corriger les petites imperfections liées à cela. N’est-ce pas, Aline ? Aline acquiesça d’un hochement de tête. — Heureusement que vous êtes aussi perfectionnistes, les filles. Comme ça, je peux voir par moi-même à quel point vous êtes magnifiques. Vous me donnez vraiment envie.— Arrête, Maman. Tu n’es pas encore totalement si laide à voir.— Disons que j’essaie de me conserver au mieux mais je ne peux plus avoir vos merveilles de poitrines. Elles sont si fières et si fermes tandis que la mienne est flasque et tombante. — Mais non, Tata. Même si avec l’âge, tes seins ne sont plus autant fermes qu’avant, ce n’est pas grave puisqu’ils sont bien plus gros que les nôtres. Jean doit sûrement se faire un plaisir de mettre da bite entre tes seins pour que tu lui fasses une branlette espagnole. Et puis, Aline et moi avons toujours rêvé d’avoir une grosse poitrine comme la tienne. À cet aveu de la part de sa nièce, Marie sourit. Cette petite complainte sur les petits défauts de son corps occasionnés par l’âge n’était qu’une petite ruse pour amener Jessica à aborder, même implicitement, le sujet du sexe. À son âge, elle était toujours très belle et elle le savait. — Ah, ça, pour prendre du plaisir, il en prenait avec mes seins. Il s’amusait même à les téter. Mais maintenant, ils ne sont plus si attrayants. — L’important, Tata, ce n’est pas leur aspect mais la façon que tu as de t’en servir et leur consistance. Si tu n’as pas confiance, laisse une autre les toucher pour te donner son avis. Sur ces mots, Jessica se leva de sa chaise longue et, sans que Marie ne puisse esquisser le moindre geste, posa ses mains sur les seins de sa tante pour les malaxer. — Qu’est-ce tu racontes, Tata ? Tes seins sont juste parfaits ! Je peux les prendre à pleine main sans problème. C’est plutôt toi qui me fais envie. Eh, Aline, tu veux tester ?— Pourquoi pas. Aline se leva à son tour pour rejoindre sa cousine et deux paires de mains se mirent à caresser la poitrine de Marie. — Tu as raison, Jessica. Les seins de ma mère sont trop bien faits. Les deux cousines continuèrent de malaxer la poitrine de Marie pendant quelques douces minutes avant de remplacer leurs mains par leurs bouches pour téter et embrasser chacune un sein de leur mère et tante. — Oh oui, les filles ! J’adore ! Vous me faites tellement plaisir ! Aline et Jessica remontèrent lentement avec leur lèvres de la poitrine de Marie jusqu’à sa bouche tout en embrassant chaque centimètre de son corps. Arrivées à hauteur de ses lèvres, Jessica fut la première à l’embrasser goulûment sur la bouche, aussitôt imitée par Aline. Bien échauffée par les caresses et les baisers qu’elle avait prodigués à sa tante, Jessica en désirait à présent une juste rétribution. La jeune femme aida Marie à se lever de sa chaise longue et la fit allonger sur la table de la terrasse. Jessica monta à son tour sur la table et se positionna à quatre pattes juste au-dessus de sa tante et elle pencha lentement son visage vers le sexe de Marie dont elle mordilla avidement le clitoris. — Hum ! C’est bon, ça, ma nièce ! Oh oui ! Marie releva légèrement ses épaules de manière à pouvoir poser ses mains sur le fessier de Jessica et introduisit la pointe de sa langue dans la raie de son postérieur en le léchant avec frénésie. — Prends une photo, Aline. Excitée par le spectacle que lui offraient sa mère et sa cousine, la jeune femme obtempéra et, après s’être assurée de la qualité du cliché, alla se positionner devant Jessica pour échanger avec elle un baiser long et sulfureux. Tout en s’embrassant, les deux cousines n’oublièrent pas de contenter le clitoris de Marie en le caressant avec douceur. Sur l’impulsion de sa mère, Aline interrompit le baiser qu’elle échangeait avec sa cousine et les trois femmes descendirent de la table. Marie s’agenouilla au sol, Jessica et Aline debout à ses côtés. Elle commença par faire pénétrer une langue inquisitrice dans le calice de sa fille qui gémit d’extase. — Oh oui, Maman ! C’est tellement bon ! Oh ! Pressée de subir le même traitement, Jessica fit pivoter le visage de sa tante vers son sexe et Marie ne refusa pas de lécher cette deuxième grotte d’amour qui se présentait à elle. Marie passa ainsi d’une chatte à l’autre jusqu’à ce que les deux filles aient joui et avala leurs jus d’amour. Désireuses de lui rendre la pareille, Jessica et Aline s’agenouillèrent de part et d’autre d’elle et se mirent à lui lécher le sexe et le fessier jusqu’à ce qu’elle libère son nectar. Les deux cousines s’embrassèrent pour se partager la cyprine de Marie. — C’était vraiment super de baiser comme ça, toutes les trois. On devrait remettre ça un de ces jours. Bon, si on allait prendre une glace avant de continuer notre bronzage ? Aline et Jessica se dirigèrent vers la cuisine et Marie profita de l’absence des deux cousines pour envoyer la photo prise par Aline à Claire en y ajoutant le texte « 1-0 » en légende. Il ne lui restait plus qu’à se faire le patron de son mari et, pour cela, elle avait un plan infaillible qui lui permettrait de prendre sa revanche sur sa soeur. [ à suivre ]
