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Échangisme entre soeurs

Chapitre 9

Hétéro
En voyant le message de Claire s’afficher sur son portable, Marie se sentit menacée et comprit qu’elle devait agir vite si elle espérait remporter le pari conclu avec sa soeur.
Sachant que Claire devait encore coucher avec Aline pour obtenir le point final, Marie se devait de mettre sa fille au courant de ce qu’il se passait depuis le jour du dix-huitième anniversaire de Grégory.
Elle choisit une matinée de la fin du mois de novembre durant laquelle Aline et elle étaient seules à la maison, bénéficiant de l’absence des garçons partis en camp de ski avec leur père.
Pendant qu’elles prenaient leur petit-déjeuner, Marie décida qu’il était temps de tout raconter à sa fille.
— Il faut que je te dise quelque chose. C’est très important. — Je t’écoute. De quoi est-ce qu’il s’agit ?— C’est à propos de ce que nous avons fait Jessica, toi et moi. — Tu regrettes, c’est ça ?— Non, pas du tout. Bien au contraire. Mais il faut que tu saches pourquoi je t’ai entraînée dans un tel trip. Depuis l’anniversaire de Grégory, ta tante Claire et moi nous imposons des défis et la première à les relever peut donner un gage à l’autre. Notre premier concours consistait à coucher avec la famille de l’autre. Je devais donc coucher avec tes cousins et ton oncle et elle avec tes frères et ton père. J’ai perdu ce premier concours et j’ai donc subi un gage. Depuis, ma soeur et moi avons décidé de nous lancer un nouveau concours. Cette fois, il consiste à coucher avec la fille de l’autre et le patron de son propre époux. Je dois donc coucher avec Jessica et le patron de ton père et Claire avec toi et le patron de ton oncle.
Aline parut d’abord abasourdie d’entendre un tel discours puis, en y réfléchissant, elle se dit que ce que Marie venait de lui raconter ne la choquait pas plus que cela dans la mesure où elle avait elle-même pris plaisir à coucher avec sa cousine et sa propre mère.
— Si je comprends bien, Claire et toi avez couché avec certains hommes de notre famille pour un concours. Et eux, comment ils l’ont pris ?— Plutôt bien même si au début, Paul était un peu choqué. — Il y a de quoi, je pense... Coucher avec sa tante du jour au lendemain...— C’est vrai. Il n’en demeure pas moins qu’il me faut prendre ma revanche sur ta tante. Pour cela, il me faut absolument que tu sois prudente. Claire essaiera de t’attirer dans son lit. Si l’expérience te tente, fais-le mais attends que j’aie moi-même réussi à le faire le boss de ton père. — Pas de problème, Maman. Je t’aiderai à gagner cette manche. Est-ce que je peux faire quelque chose pour toi ?— Oui. Il faut que tu prennes discrètement une photo de moi en train de me faire baiser par le patron de ton père. Ensuite, si tu vas rencontrer Claire, préviens-moi avant de coucher avec elle. Comme ça, je pourrai lui jouer un bon tour.— Ça marche. Et pour le patron de Papa, tu comptes faire comment ?
Marie montra à sa fille une enveloppe ouverte estampillé du nom de l’entreprise qui employait son époux.

— Ce matin, en prenant le courrier, je me suis aperçue que j’ai ouvert une lettre adressée à ton père par erreur. Cette lettre lui dit qu’il a été promu. Comme il rêvait de cette promotion depuis des années, je me suis dit que je pourrais remercier son employeur en m’offrant à lui. — Bon plan !
Après avoir récapitulé les détails de leur stratagème, Aline et Marie décidèrent que le moment était venu d’appeler M.Gazette afin de le faire venir chez elles. La conversation ne fut pas très longue. Marie expliqua à M.Gazette l’objet de son appel en mentant quelque peu sur la paternité de l’idée de ce rendez-vous inopiné, la décernant à son mari. Elle finit par raccrocher, le sourire aux lèvres.
— Il est en chemin. Aline, je compte sur toi pour prendre une photo de ce moment. — Ne t’inquiète pas : j’ai compris.
La mère et la fille attendirent environ un quart d’heure avant que la sonnette ne retentisse. Marie alla ouvrir tandis qu’Aline montait se réfugier dans sa chambre.
— M.Gazette ! Merci à vous d’être venu ! Cela nous fait tellement plaisir !— Appelez-moi Albert.— Aucun problème, Albert. Vous pouvez m’appeler Marie. — Votre époux n’est pas là ?— Non, il a préféré sortir se promener un peu pour nous laisser un peu d’intimité. — Parfait. Qu’attendons-nous pour commencer ? Cela fait plusieurs mois que ma femme se refuse à moi et ça commence à bien faire.
Marie entraîna Albert dans le salon et sans plus de préliminaires, les deux amants se dévêtirent. En voyant le corps nu de Marie, M.Gazette eut une prodigieuse érection. Il ne manqua évidemment pas de le lui rappeler.
— Marie, venez vous occuper de ma grosse bite. Elle n’attend que vous.
Tandis que sa mère s’agenouillait devant son partenaire, Aline descendit discrètement les escaliers menant au couloir, étonnée que les choses puissent se passer aussi vite et aussi aisément. La jeune femme s’arrêta devant la porte du salon. Heureusement pour elle, celle-ci était ouverte et, Albert lui tournant le dos, seule Marie pouvait la voir photographier cette scène obscène avec son portable.
Une fois sa mission accomplie, Aline remonta tout aussi discrètement dans sa chambre et s’y enferma à double tour. Excitée par la verge que sa mère était en train de sucer, la jeune femme, après avoir retiré ses vêtements, s’allongea sur son lit et se masturba frénétiquement en laissant les grognements d’Albert et les gémissements de Marie guider ses idées perverses.
Dans le salon, un étage plus bas, Albert était désormais assis sur un fauteuil et Marie s’était empalée sur son sexe. Le chef d’entreprise prenait un malin plaisir à la lever et l’abaisser le long de sa colonne de chair en laissant de temps à autre une main baladeuse malaxer l’un de ses seins.
Rapidement lassé de cette position, Albert souleva Marie et lui intima l’ordre de s’appuyer contre un mur en se cambrant autant qu’elle le pouvait. Marie obtempéra et sentit rapidement la verge de M.Gazette s’enfoncer dans son étroit conduit rectal.
Satisfait de la sensation qu’il éprouvait à l’intérieur du fessier de Marie, Albert y prit vite ses aises en la limant puissamment jusqu’à sentir la jouissance le gagner. Après avoir éjaculé sur son postérieur, il se rhabilla prestement et quitta la maison.
— Je vous laisse vous nettoyer. Si vous ne voulez pas le faire vous-même, je suis sûr que votre mari se fera un plaisir de vous lécher le cul.
En voyant la voiture d’Albert s’éloigner depuis la fenêtre de sa chambre, Aline, toujours nue, descendit au salon rejoindre sa mère.
— Quel horrible type, ce Albert ! S’il croit que Papa va lécher son sperme, il se met le doigt dans l’oeil ! — Il est horrible, c’est sûr. Mais je devais le faire. — Je sais. Pour le sperme, j’ai une autre idée.
Aline frotta son fessier contre celui de sa mère, partageant ainsi un peu de la semence de M.Gazette.
— Et si nous prenions une bonne douche toutes les deux ?
Marie répondit par un sourire et les deux femmes se dirigèrent vers la salle de bains. Après une bonne trentaine de minutes d’une douche particulièrement érotique composée de caresses et de baisers, Aline retourna dans sa chambre et vit avec ravissement que sa cousine Jessica lui avait envoyé un message :
« Dîner demain soir à 20h avec mes parents et les Richard. Tu peux te joindre à nous ? »
Aline alla montra le message reçue à sa mère qui se contenta de lui répondre « Tiens-toi au plan.». La jeune femme répondit au message par l’affirmative et envoya à Marie la photo qu’elle avait prise auparavant.
Après avoir mangé, elle alla se coucher en attendant impatiemment le lendemain, se doutant bien que ce dîner était une idée de Claire pour l’attirer dans ses filets.
[ à suivre ]
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