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Eclipse

Chapitre 5

SM / Fétichisme
5) Libre service.
Je me réveille, les idées encore embrumées. je passe ma main dans mes cheveux et, horreur, ils ne sont plus là. Il me faut quelques minutes pour remémorer la soirée et la tonte. Je file dans la salle de bain pour voir la tête que j’ai. Après le premier mouvement d’humeur, après tout, ça ne me va pas si mal, et il va bien falloir que je m’y fasse.
Je me prépare pour aller en cours, rasée et épilée, je mets moins de temps à me préparer.
La journée s’annonce difficile, mais heureusement, la fin de l’année approche et les vacances vont faire du bien. Arrivée sur le campus, les langues vont bon train, entre ceux qui me prennent pour une originale et ceux qui me prennent pour une perverse. Je m’amuse de ces rumeurs.
J’ai 2 heures de cours avec le sauvage qui m’a tondue. Je lui en veux et pendant la première partie de son cours, je me tiens sagement, puis peu à peu, mes jambes s’écartent à nouveau pour lui offrir la vue sur mon sexe épilé. Si au début de son cours, il me regardait d’un air hautain, je vois bien que je le trouble. J’aurai ma revanche.
Le sms tombe pendant le cours : «  tiens toi prête pour ce soir, je passe te prendre à la sortie des cours, prends tes boules de geisha avec toi, tu en auras besoin». hum, ça veut dire qu’il va falloir que je rentre à midi pour me préparer, ce que je fais. Un corsage blanc en crêpe, et une mini jupe strech moulant mon fessier font l’affaire. Je me repoudre le nez, petit raccord de maquillage, et je repars pour les cours de l’après-midi. J’y arrive exténuée.
L’après-midi se déroule lentement. J’ai encore sur mon corps les traces de ma soirée passée et dont certains sont encore cuisants mais j’aime cette sensation.
Je m’apprête à monter dans la voiture, quand je note que la place avant est déjà prise. voici ma nouvelle élève, elle va s’occuper de toi.Je la détaille, ce qui de dos est difficile. Elle est blonde, fine, semble timide et me regarde discrètement via le miroir de courtoisie.
La grosse voiture emprunte une route qui m’est inconnue. La route est pleine d’ornières et les boules de geisha font rapidement sentir leur présence. J’ai envie de me caresser mais je n’ose pas. Je plaque ma main sur mon sexe,il est brûlant, je sens que mon liquide commence lentement à s’échapper de mon vagin.Nous roulons ainsi en silence jusqu’à l’entrée d’une usine désaffectée.
L’endroit paraît sordide, il reste des machines outils, les vitres aux fenêtres sont cassées, et l’ambiance est froide.Nous descendons de voiture, et je peux enfin observer la nouvelle recrue de mon maître. Ses cheveux blonds sont lâchés et encadrent son visage ovale et fin à la peau laiteuse ou sont logés des yeux bleux clairs. Elle me regarde et baisse rapidement sa tête.
va l’installer sur l’établi !
Elle me prend la main pour me conduirenon pas comme ça, regarde, comme ça !il m’attrape par mon collier et tire sans ménagement.Il me lâche, et la petite main empoigne mon collier. Je ne pensais pas que cette silhouette si frêle ait cette puissance et me fait avancer d’un coup sec.
Stop ! Avant de l’installer, arrache lui ses vêtements !
Elle se plante devant moi, l’air navrée, je mets mes mains derrière mon dos en signe de soumission, elle empoigne mon corsage, et tire d’un coup sec. Mon corsage cède libérant ma poitrine. Son regard me croise, je baisse la tête. Elle a beau sembler être plus jeune que moi, je dois me soumettre.Sa main glisse dans la ceinture de ma jupe, en profite pour caresser mes lèvres. Son regard est plus assuré. Le bouton de ma jupe cède rapidement.
Retire lui ses boules de geisha !
La main fine, passe entre mes cuisses, fouille un instant mon intimité, et tire doucement pour faire sortir les boules lentement, ce qui provoque un spasme de jouissance et m’arrache un cri.Elle tient maintenant mon jouet comme un trophée, le lèche et me regarde avec un air sauvage. Reprend possession de mon collier pour me conduire sur l’établi.
Une fois installée sur le dos, ma jupe et mon corsage déchirés, la honte me gagne. Me faire diriger par une fille plus jeune que moi, je n’avais pas envisagé ça dans mes phantasmes. Mais voilà, nous sommes dans la réalité.
tu vas la faire jouir, mais elle va devoir se retenir le plus possible. A chaque fois qu’elle émettra un bruit, tu la puniras comme bon te semble, mais une vraie punition.
La séance commence. Les boules de geisha m’ont déjà mise dans un état second. Me faire jouir ne va pas être compliqué vu que je suis allumée et chaude comme la braise.
Sa main se dirige à nouveau vers mon intimité. Je comprends vite à ses caresses qu’elle n’est pas novice. Sa main douce et fine parcours mon intimité et me masturbe doucement. Tout d’un coup, ses ongles se plantent sur mon clitoris, la douleur est vive et déclenche un orgasme venu du plus profond de moi et que je ne peux repousser. Ma gorge n’a pas le temps de réprimer le cri qui vient du cœur.
En guise de punition, elle me pince avec ses ongles la pointe de mes seins, la douleur m’oblige à me concentrer toute entière pour ne pas crier, mais je me mords la lèvre .
Je suis toujours allongée sur le dos, jambes écartées, ma jeune maîtresse plantée devant moi, mon maître dans son dos, qui à l’air d’apprécier la séance. Sa main agrippe mon collier, et m’intime l’ordre de me redresser, et de me mettre debout. Je suis débarrassée de mes vêtements maintenant en lambeaux.
Mon maître, lui glisse quelques mots à son oreille que je n’entends pas et qui la font rire. Elle saisit un feutre, m’ordonne de me pencher en avant, et inscrit quelque chose sur mes fesses. Mon maître rit de plus belle »libre service » tu as raison, on va la mettre en libre service. Je le vois s’éloigner, se servir de son téléphone, revenir.
tu vas rester là, j’ai appelé une bande de copains, tu va t’occuper d’eux.
Ils montent en voiture, et je vois la voiture démarrer. Je reste nue au milieu de ce hangar, je m’accroupis pour essayer de réfléchir.
Le temps s’écoule sans que rien ne se passe, je commence à angoisser, lorsque j’entends le bruit de moteur de grosses motos qui s’approche. Instinctivement, je me mets en position fœtale.Les motos entrent dans le hangar, et un balai s’organise autour de moi. Je reste recroquevillée. Un des motards remarque l’inscription qu’il y a sur le haut de mes fesses, arrête sa moto et invite ses copains à en faire autant. Maintenant c’est une bande de motards, tatoués, barbus, à l’aspect pas toujours des plus rassurant que m’entoure.
EH, c’est un beau cadeau qu’il t’a fait là ton copain !
L’un d’eux me redresse pour qu’ils puissent admirer leur cadeau. Je suis quand même impressionnée devant eux, tatoués, des chaines en guise de collier etc ça ne me dit rien qui vaille et j’ai la trouille. Je suis au centre d’un cercle qui s’est formé naturellement autour de moi. Eh la jolie, crie l’un des membres, on va te faire ta fête, j’espère que tu es bonne !Attends un peu, on va jouer un peu avec
L’un des motards a une cravache dans la main et commence à me tapoter avec, puis de plus en plus fort. J ’essaye d’esquiver les coups, mais je suis vite replacée au centre du cercle. Je suis ballottée de l un à l’autre ce qui les amuse et les fait rire. Celui qui paraît être le leader de la bande, fait arrêter tout le monde. tout le monde va y avoir droit, mais patience.Il tient dans sa main un rouleau de cellophane, il me met les bras dans le dos, les enveloppes de cellophane, puis fait quelques tours au niveau de mes hanches, ce qui a pour conséquence que je suis immobilisée des bras et ne peux rien en faire. Il me dirige vers une moto, me place en travers de celle-ci, m’écarte les jambes, je me laisse guider passivement, ce qui me vaut un :
hmmm tu es une bonne petite salope, on me l’avait bien dit, on va bien s’amuser avec toi je le sens.Une fois installée selon ses désirs, je vois tout le monde se mettre en file indienne devant moi. Et le défilé commence. Pendant que j’en suce un, un autre passe derrière et s’occupe de mon arrière train.
Mes fesses doivent commencer à être bien rouge, et mes joues également au vu des claques prises. J’ai la chatte en feu a force d’être limée
J’en vois un qui me regarde avec un grand sourire, il sort les mains de derrière son dos pour me montrer un phallus gonflable. Je sens le liquide dont il m’asperge abondamment l’anus , puis il me le met en place délicatement après m’avoir ouverte avec ses doigts.
Puis il commence à gonfler, gonfler. J’ai l’impression que mon cul va exploser et je crie de peur et de douleur, ça ne s’arrête pas. Toute ma concentration est maintenant sur mon anus prêt à exploser.
Je dois faire attention aussi à celui que je suce. Celui ci se dégage et le suivant que je vois tiens des câbles dans ses mains, ce qui me rend hystérique. Je fais non de la tête, je crie, mais ça le rend encore plus hilare. Il vient à côté de moi, et me fait entendre les grésillements électriques. La peur me fait me pisser dessus, ce qui me vaut une bonne décharge électrique au niveau des hanches.
Entre le cul gonflé à bloc, les décharges électriques que je prends et les mecs dont j’ai avalé le sperme ou pris sur la figure ou dans la chatte, je suis épuisée, mais au passage, j’ai joui un certain nombre de fois toujours de façon intense. Le Plug est dégonflé, mais j’ai l’impression qu’il est toujours en moi. On me défait le cellophane.
Les motards repartent sauf le leader. Veut il encore profiter de moi ? Il sort une combinaison en cuir et me la tend. Je le regarde surprise, je vais te ramener mais je ne peux pas te prendre nue sur la moto.Je ne me fais pas prier pour enfiler la combinaison et monter sur la moto. Les vibrations de la moto provoquent des ondes de plaisir dans tout mon corps. Je jouis tout mon saoul. Une fois rentrée à mon appartement, je me prends une bonne douche et me couche pour une bonne nuit de sommeil.
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