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L'éducation d'Alexandra

Chapitre 1

Inceste
      Je m’appelle Alexandra mais tout le monde m’appelle Alex. J’ai 25 ans, petite brune de 1,67 m pour 53 kg. Malgré ma petite taille, j’ai un corps plutôt agréable et les hommes apprécient ma belle poitrine (80 C) qui reste ferme malgré son volume. Mon histoire commence à l’âge de treize ans au moment où papa décède dans un terrible accident de la route. Je me retrouve alors seule avec maman qui avait trente-quatre ans à l’époque. Anéantie par la perte de son mari, maman mit beaucoup de temps avant de retrouver le gout de vivre. Sa peine me touchait et je multipliais les efforts pour lui être agréable. Elle n’aurait pu rêver fille plus obéissant et attentionnée à son égard. Cinq ans ont passé avant que maman ne reprenne vraiment sa vie en main. Sur les conseils de Karine, sa meilleure amie divorcée depuis un an, maman a commencé à envisager de sortir pour se changer les idées. Un vendredi soir, à mon grand soulagement, je la vis se préparer pour sortir. Du haut de mes 18 ans, je m’inquiétais de voir ma mère se renfermer sur son passé. Elle me dit qu’elle allait passer une soirée avec Karine et que pour que je ne reste pas seule j’allais passer la nuit avec Manon la fille de Karine. J’étais aussi heureuse d’apprendre que maman allait sortir que de rejoindre Manon chez elle. Si Karine est la meilleure amie de maman, sa fille âgée d’un an de plus que moi est la mienne. C’est donc avec joie que je préparais quelques affaires pour me rendre chez Manon. C’est lors de cette première nuit que j’ai vécu mes premiers émois sexuels, j’étais tellement dévouée à maman que je n’avais jamais pensé que je pouvais avoir une vie sexuelle. Le petit appartement de Karine ne comportait que deux chambres et je passais donc ma première nuit avec Manon. Après une sage soirée devant un bon film, nous partîmes nous coucher. Après avoir enfilé mon pyjama dans la salle de bain, je rejoignais Manon dans son lit. En soulevant la couette, je m’aperçu que mon amie était complètement nue. Gênée, je ne faisais aucun commentaire et je me glissais sous la couette près de Manon. Une fois la lumière éteinte, je la sentis se rapprocher de moi et poser son bras sur mon ventre. Je n’osais pas bouger et cela donna du courage à mon amie. Je sentis sa main glisser sous mon haut de pyjama et remonter vers mes seins qui étaient déjà bien développés à cette époque. Le contact de ses doigts sur la peau tendre de mes seins me fit doucement soupirer alors que je sentais une chaleur jusque là inconnue monter dans mon ventre. Puis tout alla très vite, Manon approcha ses lèvres des miennes et me donna un baiser. Je m’abandonnais à la caresse de ses doigts sur mes seins et j’ouvris les lèvres pour laisser sa langue pénétrer ma bouche. Nos langues se mêlèrent et je poussais un gémissement quand je sentis ses doigts pincer doucement mes tétons. Je me retrouvai très vite nue et Manon entreprit de me caresser la chatte en s’attardant sur mon clito. Avec le feu qui brulait dans mon ventre, je me mis très vite à jouir en étouffant mes gémissements dans la bouche de Manon. Elle ne me laissa que peu de répit avant de plonger son visage entre mes cuisses pour me manger la chatte. C’est depuis ce jour que je m’épile le minou après que Manon m’ait expliqué que c’était bien plus agréable de lécher une petite chatte bien lisse.     Après cette belle soirée, maman se mit à sortir de plus en plus souvent toujours avec Karine. Je passais donc de nombreuses soirées avec Manon pour notre plus grand plaisir. Dès que nos mères disparaissaient, nous nous retrouvions dans sa chambre pour nous adonner à nos jeux sexuels. Manon m’apprit très vite à bien lécher sa petite chatte et nous passions le plus clair de nos nuits dans des 69 torrides. Puis, un jour, maman me demanda si ça me dérangeait de passer tout un weekend chez Manon. J’acceptais avec plaisir et, depuis ce jour, maman disparaissait un weekend sur deux. Lorsque j’eus 19 ans, notre vie changea. Un vendredi soir, maman me présenta Olivier qui allait passer le weekend avec nous. Après l’avoir questionnée, maman m’avoua qu’elle sortait avec Olivier depuis trois mois ce dont je me doutais suite à ses absences répétée. Olivier était charmant, il avait trois ans de plus que maman et avait ce sex-appeal qu’on les hommes de la quarantaine. Je ne mis pas longtemps à bien m’entendre avec lui et je donnais mon approbation lorsque maman me demanda si elle pouvait se marier avec lui à la veille de mes seize ans. Il n’y avait qu’un ombre au tableau, Olivier avait une fille d’un ans mon aînée qu’il avait eu de son premier mariage. Lorsque Julie était à la maison, maman n’avait d’yeux que pour elle et je me sentais comme éclipsée de sa vie. Je me consolais en me disant que je pouvais bien prêter maman le temps d’un weekend car elle me revenait encore plus radieuse quand Julie rentrait chez sa mère. Je voyais donc moins souvent Manon mais nous passions de nombreux mercredi après-midi à « réviser » ensemble.      Après le mariage, Olivier s’étant installé à la maison, Julie passait un weekend sur deux chez nous. J’avais appris à la connaitre et nos relations étaient cordiales. Cependant, me sentant toujours un peu exclue lorsqu’elle était là, je les abandonnais très vite après le dîner les laissant à leurs conversations dans le salon. Je montais donc dans ma chambre située à l’étage où je lisais avant de me glisser sous ma couette pour me caresser en pensant à Manon. Un soir où j’étais monté vers 21H prétextant une grosse fatigue, je lus jusqu’au moment où j’eus envie d’aller aux toilettes. Les toilettes se trouvaient en haut de l’escalier en pierre et je m’y dirigeais discrètement lorsque j’entendis mon prénom résonner juste en dessous. Je m’approchais furtivement du haut de l’escalier et ce que je vis me coupas le souffle. Du haut de l’escalier, j’avais une vue plongeante sur le canapé et je fus subjugué par ce que j’y vis. Maman, assise entre Olivier et sa fille, caressait la queue de son mari alors que la main de Julie s’agitait entre ses cuisses bien écartées. Cependant, le plus intéressant c’est ce qu’ils disaient. Je m’assis sur la première marche pour écouter leur conversation.       - Ne me dis pas que tu n’en as pas envie ! disait Olivier.       - Si, mais je la trouve encore trop jeune pour ça ! répondit maman.    - Tu sais Julie avait le même âge la première fois ! rétorqua Olivier en posant sa main sur celle de maman pour qu’elle ralentisse son mouvement de branle sur sa queue.       - C’est vrai et tu n’as pas hésité à nous rejoindre lorsque tu m’as surprise en train de le sucer dans la salle de bain ! enchérît Julie.       - J’aurais du partir en courant mais, au contraire, je suis restée à vous regarder en me caressant. Te voir nue avec deux doigts dans la chatte en train de sucer ton père m’a terriblement excitée. Dit maman en poussant un soupir.      - Après le départ de ma mère avec son nouveau mec, je trouvais papa tellement malheureux que j’ai très vite eu envie de lui faire du bien. J’ai profité d’un soir où il est rentré passablement ivre d’une soirée avec ses potes pour l’aider à se mettre au lit. Je l’ai aidé à se déshabiller alors qu’il était allongé sur son lit. Quand j’ai retiré son boxer, il a eu un sursaut qui ne m’empêcha pas de poser ma main sur sa queue. Il a grogné quelques mots de refus mais sa queue enflait déjà dans ma main et je le pris très vite en bouche. Le lendemain, il avait des remords mais je l’ai très vite rassuré en prenant sa queue en bouche avant de lui donner ma petite chatte à lécher. Dit Julie en agitant de plus en plus vite ses doigts dans la chatte de maman.     - Ton père m’a raconté tout ça plus tard et j’ai beaucoup mieux compris pourquoi il me parlait de lécher une petite chatte pendant qu’il me prenait. Quand il me parlait de lécher une chatte, je mouillais beaucoup et mes orgasmes étaient décuplés. A force de m’en parler, il a fait naitre une grosse envie en moi et lorsque je vous ai surpris je ne t’ai pas vu comme sa fille mais comme la petite chatte que j’avais tant envie de lécher.En les écoutant, ma main avait disparu dans mon pantalon de pyjama et mes doigts caressaient ma petite chatte trempée de mouille. Je n’avais jamais vu la queue d’un homme et mes yeux ne quittaient pas la main de maman qui s’agitait sur celle d’Olivier.       - Et maintenant j’aimerais bien te voir lécher le petit minou d’Alex ! lança Olivier.       - Je ne sais pas ! dit mollement maman.       - Je suis sur que tu as envie de son petit abricot ! dit Julie en ouvrant la robe de maman pour lui caresser les seins.       - Oui… non c’est ma fille…      - Oublie que c’est ta fille, je suis sûre que tu aimerais la lécher pendant que papa te défonce la chatte ! annonça Julie en pinçant un des tétons de maman.       - Et je suis sûr que tu aimerais lui montrer comment on suce une belle queue ! rajoute Olivier.      - Hmmmm !! vous me rendez folle !! Oui je veux voir ses lèvres sur ta queue !! Oui j’ai envie de lécher sa petite chatte !! c’est ma fille mais vous me donnez trop envie !! Je ne sais seulement pas comment faire pour qu’Alex en ait envie aussi.      - Vous êtes si proche et elle t’est tellement dévouée que tu trouveras un moyen, ma chérie ! lui répondit Olivier.      - Vous devriez faire en sorte qu’elle vous surprenne en pleine action et vous verrez bien ce qui se passera ! rétorqua Julie.     - Je ne sais pas. On verra bien ! dit maman, résignée. J’ai trop envie de vous mes amours, on devrait passer dans la chambre pour nous faire du bien !!     - Alex dort depuis longtemps !! dit Julie en se laissant glisser du canapé pour glisser sa tête entre les cuisses de maman.     - Elle pourrait se … mais maman n’a pas le temps de finir sa phrase qu’Olivier a attiré son visage vers sa queue pour qu’elle le suce.Elle semblait tellement excitée qu’elle ne se fit pas prier pour prendre le mandrin d’Olivier en bouche. N’ayant pas d’élément de comparaison je trouvais tout de même la queue d’Olivier assez imposante. J’appris plus tard que mon beau-père était plutôt bien membré avec une queue qui approchait 20 cm avec un diamètre de 4 bons centimètres. J’étais fascinée par la bouche de maman qui montait et descendait sur ce pieux en l’engloutissant presque totalement. J’avais enfoncé deux doigts dans ma chatte et je devais me mordre les lèvres pour ne pas gémir de plaisir. Cette conversation m’avait rendu folle et j’avais très envie de sentir la bouche expérimentée de maman sur ma chatte mais j’avais encore plus envie de découvrir la queue de mon beau-père. Ils changèrent de position : Julie s’allongea sur le canapé pour offrir sa petite chatte épilée à maman, maman s’était mise à genoux devant le canapé pour lui lécher la chatte et Olivier se plaça derrière maman pour enfoncer sa queue dans son petit puits d’amour. Je les observais quelques minutes et, n’y tenant plus, je me réfugiais sous ma couette pour me masturber en pensant à eux et me faire jouir.      Le lendemain matin, je les retrouvais tous trois au petit déjeuner. Je ne portais qu’un peignoir et je l’avais laissé suffisamment échancré pour que l’on devine ma poitrine dans mes mouvements. Je les embrassais à tour de rôle et je m’installais entre maman et Julie pour prendre mon petit déjeuner. Julie posa une main sur ma cuisse et me dit :
     - Je vais devoir partir juste après le déjeuner. Tu pourras ainsi profiter de papa et de ta mère. Mon peignoir s’était ouvert en m’essayant et sa main remontait lentement sur ma cuisse.     - Si maman est d’accord, j’avais projeté d’aller voir Manon cet après-midi. Ils pourraient rester ainsi en amoureux !! Je laissais volontairement la main de Julie remonter sur ma cuisse pour qu’elle comprenne que je n’étais pas une sainte nitouche.     - Tu ne nous déranges pas, ma chérie ! Si tu le souhaites vraiment, tu peux aller voir Manon car il est vrai qu’il y a longtemps que vous ne vous êtes pas vues, intervint maman en faisant les gros yeux à Julie.     - Merci maman ! Je vais aller prendre une douche, dis-je en repoussant gentiment la main de Julie avant de me lever.Le départ de Julie était une aubaine. J’avais très vite réfléchi pour donner une occasion à maman et Olivier de me laisser les surprendre. Je ne souhaitais pas que les envies de maman disparaissent et j’avais bien l’intention de lui offrir ce qu’elle souhaitait ainsi qu’à son mari. J’avais très envie de sentir la langue de maman sur ma petite chatte mais je souhaitais aussi voir et toucher la queue de mon beau-père. Je venais tout juste de finir de me sécher après la douche qu’on frappa à la porte. C’était maman qui souhaitait entrer, j’étais nue et je l’autorisais à entrer tout en prenant soin de me mettre face à la porte. Maman entra et marqua un temps d’arrêt en me voyant nue face à elle. Son regard ne quittait pas ma petite chatte fraichement épilée et je dus rompre le silence.     - Qu’y a-t-il maman ? Il y a un problème ?    - Non… non pas du tout ma chérie ! bredouilla-t-elle. Je suis juste venue prendre des serviettes car il n’y en a plus dans notre salle de bain du bas. Elle avait repris de la contenance et me regardait dans les yeux.     - J’allais sortir de toute façon ! dis-je en enfilant mon peignoir.     - A quelle heure penses-tu rentrer ce soir ? me demanda-t-elle pour effacer son trouble.      - Je ne rentrerai surement pas avant 18H, comme ça vous aurez un petit moment pour vous ! dis-je sur un ton espiègle.      - Tu es gentille, ma chérie ! me dit-elle en s’approchant de moi.      - Toi aussi maman ! dis-je en posant une main sur sa hanche avant de poser un doux baiser juste à la commissure de ses lèvres.Sans en dire plus, je sortis de la salle de bain pour rejoindre ma chambre. Toujours en peignoir, j’étais en train de paresser sur mon lit lorsqu’on frappa à ma porte. C’était Julie qui souhaitait passer un peu de temps avec moi avant son départ. Depuis la veille au soir, je ne la jugeais plus comme une rivale et je la priais de venir s’asseoir près de moi sur le lit. Sachant ce qu’elle pensait des envies de son père et de maman, je me lançais :     - Il faut que je te dise, j’ai entendu votre conversation hier soir !     - De quelle conversation me parles-tu ? me dit-elle en posant une main sur ma cuisse.     - Cette conversation que vous avez eue à mon sujet sur le canapé pendant que vous pensiez que je dormais.    - Ah !! et qu’en penses-tu ? Rétorqua-t-elle en faisant franchement remonter sa main sur ma cuisse et en approchant son visage très près du mien.     - Je… j’en pense… que vous m’avez…     - Excitée ? me demanda-t-elle en approchant ses lèvres des miennes.      - Ouiiii… dis-je dans un souffle avant qu’elle pose ses lèvres sur les miennes.      - Tu en as envie ? me demanda-t-elle après avoir interrompu son baiser et avoir glissé ses doigts sur ma chatte.      - Hummm…ouiiii….      - Tu as prévenu Manon que tu allais chez elle ?      - Non pas encore…      - Tu veux que je t’aide ? me demanda-t-elle en massant mon clitoris d’un doigt.      - Ouiii     - Après déjeuner, tu vas faire comme si tu partais chez Manon et tu te cacheras dans le jardin. Je vais les chauffer avant de partir et quand je quitterais la maison tu seras sûre qu’ils auront très envie de faire l’amour. Tu n’auras qu’à entrer discrètement pour pouvoir les surprendre ! affirma-t-elle avant de poser ses lèvres sur ma bouche et d’y introduire sa langue.      - Hummm ,hummm !! je gémissais dans sa bouche en sentant l’excitation monter.      - Il va falloir que je te laisse ! Ça va paraître suspect si je passe trop de temps avec toi ! me dis-t-elle en se levant pour quitter ma chambre. Je me préparais pour le déjeuner. La saison était chaude et j’optais pour un mini short et un débardeur qui mettait bien en valeur ma poitrine. Je ne prenais aucuns sous-vêtements car j’aime me sentir libre sous mes vêtements. De petites baskets complétaient ma tenue « sportive ». je descendis dans la cuisine où le déjeuner était déjà servi. Pressée de passer à la suite, j’abrégeais le repas et demandais à maman si je pouvais partir chez Manon. Après avoir embrassé tout le monde, je quittais la maison et je me cachais discrètement derrière le cabanon de jardin. De là, je pourrai voir Julie partir et passer à la suite du plan. J’ai du attendre près d’une heure avant de voir enfin Julie quitter la maison. Je me laissais encore un quart d’heure avant d’oser faire les premiers pas vers la maison. J’avais récupéré la clef de la porte de derrière et je me glissais comme un cambrioleur dans ma propre maison. Je me faufilais dans la cuisine…personne en vue ! A pas de loup, j’avançais vers le salon. Derrière le dossier du canapé, j’entendis des voix :     - Ma petite salope de fille t’a encore bien excitée, ma chérie !!    - Pendant que tu prenais ton digestif sur le canapé, elle est venue me caresser la chatte dans la cuisine. Elle m’a fait asseoir sur la table et m’a mis deux doigts tout en m’embrassant !!     - Finalement, Alex a bien fait d’aller voir son amie !! lui lança Olivier. Suces-moi ma chérie, j’en ai trop envie. Je contournais discrètement le bout du canapé et je découvris Olivier allongé nu et fermant les yeux. Maman, nue aussi, me tournait le dos et le mouvement de sa tête me laissait à penser qu’elle suçait la queue de son homme. Je m’approchais doucement et, malgré ma peur, je posais une main sur les fesses de maman. Dans un sursaut, elle se retourna vers moi. Je ne lui laissais pas le temps de réagir et je posais ma bouche sur la sienne tout en plaçant mes doigts entre ses cuisses. De mon autre main, j’attrapais son cou et de ma langue je forçais le barrage de ses lèvres. Lorsque l’un de mes doigts atteint sa vulve, elle se détendit un peu et me rendit mon baiser. Dans un sursaut de lucidité, elle se recula et me dit :     - Non, ma chérie… ce n’est pas bien… on n’a pas le droit… tu es ma fille !!     - Et avec Julie, c’est autorisé ? répondis-je en fixant Olivier.     - Non… ce … ce…     - Je vous ai entendu et vu hier soir, maman. Moi aussi j’ai envie de m’amuser avec vous. Il n’y a rien de mal ! Je sais de quoi tu as envie et je suis d’accord de te l’offrir. Je t’aime maman !      - Ma chérie, si elle est d’accord ! Pourquoi te retenir ? intervint Olivier.      - Oh, ma chérie !! me dit maman en m’attirant à elle pour m’embrasser à pleine bouche.Mess doigts glissèrent sur les lèvres humides de la vulve de maman pour atteindre son clito. Comme moi, maman était épilée et mes doigts trouvaient facilement son petit bouton que je me mis à caresser lentement. Ce contact la fit gémir. Elle passa une main sous mon débardeur pour me caresser un sein. Nous étions toutes les deux à genoux devant le canapé et Olivier se leva pour nous rejoindre. Il se plaça derrière moi et entreprit de me retirer mon débardeur. Je dus retirer ma main un court instant de la vulve de maman pour lui permettre de faire passer mon vêtement au dessus de mes épaules. Dès que mes seins furent à l’air, je renvoyais très vite ma main à l’assaut de la chatte de maman mais, cette fois, mes doigts s’arrêtèrent entre ses lèvres humides et j’introduisais deux doigts dans son vagin. Elle interrompit notre baiser pour pousser un profond râle de plaisir. Je n’aurais jamais cru que maman était une telle assoiffée de sexe et j’étais heureuse qu’elle m’en fasse profiter. En la questionnant quelques temps plus tard, elle m’apprit que son abstinence de plus de cinq ans l’avait transformée et que la rencontre d’Olivier avait fait l’effet d’une bombe dans son corps. Elle avait tellement envie de sexe qu’elle ne fut pas longue à satisfaire les fantasme de son amant. A chaque nouvelle demande d’Olivier, elle se laissait faire et entrait très volontiers dans ses fantasmes. C’est comme ça qu’elle en était arrivée à faire l’amour avec Julie et moi. Toujours derrière moi, Olivier avait ouvert mon mini short et glissé une main entre mes cuisses que j’avais écartées pour lui laisser l’accès à mon petit minou. Maman avait baissé son visage vers mes seins et titillait mes tétons de la pointe de sa langue. Ne portant rien sous mon short, les doigts de mon beau-père avaient facilement trouvé mon petit bouton qu’il caressait lentement. Il s’était collé à moi et je sentais sa bite bien dressée contre mes fesses. Je lançais ma main libre entre nos deux corps et je prenais la grosse queue bien chaude entre mes doigts pour le branler lentement. Les doigts d’Olivier faisaient des merveilles sur mon petit clito et je me mis très vite à gémir. Après quelques minutes de ce traitement, Olivier se mis debout face à nous sa queue tendue vers le visage de maman.     - Montres lui comment on suce une bonne queue, ma chérie !!Sans dire un mot, maman donna quelques coups de langue sur le gland avant de lécher la hampe sur toute sa longueur. J’approchais mon visage tout en continuant à doigter maman. Maman écarta son visage et de sa main posée sur ma nuque, elle approcha ma bouche de la queue de son mari. Je compris que c’était à mon tour et, imitant maman, je donnais quelques coups de langue sur le gland avant de lécher la hampe sur toute sa longueur. Je ne devais pas me débrouiller si mal à en juger par les gémissements de mon beau-père. Maman reprit la main et posa ses lèvres sur le gland. Elle ouvrit la bouche pour faire coulisser ses lèvres sur la queue de son homme. Sa bouche montait et descendait sur la colonne de chair et à chaque descente la queue de mon beau-père pénétrait plus profondément dans la bouche de maman. Mon visage tout près de celui de maman, j’observais sa façon de faire une bonne pipe jusqu’au moment où elle m’invita à prendre sa place. Timidement, j’approchais mes lèvres de la belle bite de mon beau-père et je la prenais en bouche. Suivant les indications que me donnait maman, je m’appliquais à aspirer le gland avant de faire coulisser mes lèvres le long de la colonne de chaire. Malgré tous mes efforts, je n’arrivais pas à prendre plus de la moitié de cette belle queue dans ma bouche. Sur les mois qui suivirent, maman m’apprit à forcer le passage de ma gorge pour engloutir la quasi totalité de la bite de mon beau-père. Olivier, tout près de jouir en me regardant sucer sa queue, me demanda de m’allonger sur le canapé. Il finit de me retirer mon short, écarta mes cuisses et demanda à maman de s’occuper de moi. Obéissante, elle approchât son visage de ma petite chatte toute lisse et posa sa langue sur les grandes lèvres toutes humides de mon sexe. Elle était à quatre pattes devant le canapé et Olivier passa derrière elle pour lui caresser la chatte. Maman se mis à gémir et sa langue redoubla d’ardeur sur ma petite chatte. Alternativement, elle titillait mon clitoris de la pointe de sa langue avant de redescendre lécher mes lèvres en feu et même introduire sa langue dans mon petit puits d’amour. Olivier se plaça derrière maman et pénétra sa chatte d’un seul coup lui arrachant un râle de bonheur. Il se mit à la limer et j’entendais son bassin claquer contre les fesses de maman. Elle était très excitée de sentir la queue de son homme en elle et de pouvoir enfin lécher ma petite chatte. Maman me souleva une jambe et la pointe de sa langue vint se poser sur ma petite rosette. Cette caresse jusque là inconnue pour moi me fit l’effet d’une bombe, c’était doux et délicieux et je me mis à gémir très fort. Ma main descendit vers ma chatte et s’agitât frénétiquement sur mon clitoris. Encouragée par mes gémissements, maman glissa un doigt dans ma chatte et me léchât plus précisément la rosette qui se mit à palpiter sous les caresses de sa langue. Sous l’effet de mes doigts sur mon clito, de la langue et du doigt dans ma chatte de maman, je me mis très vite à jouir comme je n’avais jamais joui. Maman partit à son tour dans un violent orgasme alors qu’Olivier crachait sa semence tout au fond de sa chatte. Maman s’effondra sur moi et se mis à caresser amoureusement mon corps. Plus tard dans l’après-midi, maman ne parlais plus. Il semblait qu’elle avait certain remords. Après le dîner, Olivier pris les choses en main et nous entraînât dans la chambre parentale. Il retira les vêtements de maman et lui demanda de me dévêtir. Gênée, elle s’approcha de moi et je pris moi-même ses mains pour les poser sur le bas de mon débardeur. Je levais mes bras pour lui signifier qu’elle pouvait me le retirer, ce qu’elle fit avec des mouvements hésitant. Je reprenais ses mains pour les poser sur mon short puis je me mis à lui caresser un sein. Elle défit les trois boutons et fit glisser le vêtement le long de mes cuisses. Olivier nous entraîna vers le lit où nous avons passé une bonne partie de la nuit à nous caresser tous les trois. Le lendemain matin, les inhibitions de maman avaient disparu et elle m’embrassa tendrement en guise de bonjour.      Les mois qui suivirent se passèrent en parfait harmonie. J’étais autoriser à rejoindre maman et mon beau-père dans leur chambre une fois par semaine et désormais j’attendais avec impatience l’arrivée de Julie un weekend sur deux. Lorsqu’elle était là, il n’y avait pas de limite. Nous prenions ensemble du plaisir avec maman ou avec son père. Il n’était pas rare de nous voir sucer ensemble Olivier avant qu’il ne prenne maman ou de retrouver maman assise sur la table de la cuisine, cuisses largement écartées, en train de se faire dévorer la chatte par Julie. Ce que je préférais par-dessus tout c’est quand nous nous retrouvions tous les quatre dans la chambre parentale, Julie me léchant la chatte alors que son père la prenait en levrette et maman écartant les cuisses au dessus de mon visage pour que je lui mange la chatte. Il y eu du nouveau pour moi le jour où je fêtais mes 20 ans. J’avais fait plusieurs tentatives auprès de maman pour qu’elle autorise Olivier à me pénétrer mais je me heurtais toujours au même refus prétextant que j’étais encore trop jeune. Apres le diner d’anniversaire, je me retirais rapidement dans ma chambre en boudant car, pour la première fois de m’a vie, maman ne m’avais pas offert de cadeau. Une demi-heure plus tard, elle venait frapper à ma porte et entrait sans même attendre mon autorisation. Elle portait un kimono en satin et était perché sur de hauts escarpins rouges.     - Alex, ma chérie. Je crois que j’ai oublié de te remettre mon cadeau ! me dit-elle en me tendant un de ces sacs qui habituellement contiennent des vêtements.     - Oh maman, tu m’as fait peur !! Je pensais que tu m’avais oubliée !!     - Comment pourrais-je t’oublier ma chérie !! Tiens, prends et essaies ce que je t’offre.J’ouvre le sac et j’y découvre une magnifique guêpière en dentelle noire et rouge ainsi qu’une paire de bas en soie noire et une paire d’escarpins à hauts talons rouges. Devant mon regard interrogateur, maman me dit :     - Ce soir est spécial et je souhaite que tu sois sexy pour cette occasion ! me dit-elle avec un grand sourire.     - Une soirée spéciale ?     - Oui et tu devrais te dépêcher à enfiler tout ça si tu veux avoir une surprise ! me dit-elle énigmatique.Je retirais immédiatement mon pyjama mais devant ma maladresse, maman m’aida à enfiler ma guêpière. Elle me fit ensuite assoir sur le lit et m’aida à enfiler mes bas. En les accrochant sur les jarretières de la guêpière sa main s’égara entre mes cuisses pour venir frôler les lèvres déjà humides de ma chatte.     - Dites donc, jeune fille ! Seriez-vous déjà excité ? me dit-elle sur un ton faussement réprobateur.     - Je n’y peux rien, madame ! C’est vos mains sur mon corps qui me font cet effet ! lui répondis-je en baissant les yeux comme une petite fille qui vient d’être prise en faute.     - Maintenant, tu vas devoir me suivre mais avant il faut que tu chausses tes escarpins et que je retire ça ! me dit-elle en retirant son kimono.     - Mais ? Tu portes exactement la même chose que moi, maman ! lui dis-je avec étonnement.     - De cette façon, il se pourrait qu’Olivier nous confonde ! me dit-elle avec un clin d’œil avant de m’entrainer vers le rez-de-chaussée. Maman me conduit vers sa chambre où Olivier nous attendait juste derrière la porte. Il passa ses bras autour de nos tailles et nous embrassa tendrement à tour de rôle avant de nous entrainer vers le lit. Il me fit asseoir au bord du lit et me demanda de m’allonger. Il avait disposé des coussins sur lesquels je pouvais appuyer mon dos et ma tête. Pendant qu’Olivier se déshabillait, maman se mit à genoux devant moi, elle me fit poser les pieds sur le bord du lit. Je me retrouvais dans une position très obscène, les cuisses largement ouverte et la chatte exposée à tous les regards, même au mien vue la position surélevée de ma tête. Maman approcha son visage de ma chatte et entreprit de me lécher avec douceur. Mon beau-père monta sur le lit se mit à genou près de moi et me tendit sa queue déjà bien tendue. Je tendis une main, saisis sa queue pour la rapprocher de mes lèvres. Depuis quelques temps, j’avais pris l’habitude de le prendre en bouche et j’arrivais presque à l’avaler complètement ce qui déclenchait chez lui des gémissements de bonheur. Maman me donnait de délicieux coups de langue sur le clitoris et elle avait introduit un doigt dans ma chatte ce qui me fit gémir à mon tour. Je sentis alors un deuxième doigt entrer dans mon vagin. C’est la première fois que maman me mettait plus d’un doigt dans la chatte et cet évènement me fit mouiller comme une folle. Elle profita de cet afflux de mouille pour introduire un troisième doigt et elle commença de lents vas et viens dans ma chatte. Ce nouveau traitement me fit lâcher la queue de mon beau-père et je me mis à gémir très fort. Olivier se déplaça et vint se placer près de maman. Tout en continuant de me pistonner la chatte avec ses doigts, elle le prit en bouche et le suça lentement mais très profondément. Je voyais sa salive se mélanger à la mienne sur la belle queue de mon beau-père. Après quelques minutes, maman retira ses doigts de ma chatte, stoppa sa fellation et invita Olivier à s’approcher de moi. D’une main, elle saisit sa queue et en dirigea le gland vers l’entrée de ma petite chatte. C’était donc ça sa surprise ! Elle allait offrir ma virginité à son mari. C’était le plus beau cadeau d’anniversaire de ma vie !! De deux doigts elle écarta mes grandes lèvres et dirigea le gland vers ma petite chatte ouverte. Olivier poussa lentement et je vis son gland disparaitre dans mes chaires. Il était gros mais maman m’avait tellement bien préparée que je ne sentis presque rien. Olivier poursuivait sa lente progression et je sentais les muscles de mon vagin se distendre. Je voyais le membre de mon beau-père disparaitre lentement dans ma vulve. J’étais à la fois et excitée et apeurée. Je n’aurais jamais pensé qu’un tel membre pourrait entrer dans ma vulve. Soudain, il y eu comme un blocage. Mon vagin semblait vouloir repousser la queue d’olivier. Maman, qui savait ce qui se passait, s’allongea près de moi et se mit à m’embrasser à pleine bouche. Olivier poussa d’un seul coup m’arrachant un cri de douleur étouffé par le baiser de maman. Olivier ne bougeait plus et la douleur commençait lentement à s’estomper. Ma petite chatte était remplie et j’avais l’impression d’être écartelée. Au bout de quelques minutes, il se remit à bouger lentement en moi dans de léger vas et vient. Mon beau-père avait déjà défloré sa propre fille et le bougre savait s’y prendre. Je regardais la queue de mon beau-père coulisser dans ma petite chatte alors que maman me léchait un sein tout en caressant mon clitoris. Le fait de voir cette queue coulisser librement dans ma chatte me détendit et la douleur fit lentement place au plaisir. Je me mis à gémir et je me surpris à demander à Olivier d’accélérer le mouvement. Il commençât par faire de plus amples aller-retour tout en douceur. Je sentais sa queue prendre possession de ma petite chatte et masser délicieusement les parois de mon vagin. Je gémissais de plus en plus fort et je tortillais du bassin pour l’inciter à me prendre plus fort. Il dut comprendre le message car il me saisit les chevilles pour placer mes mollets sur ses épaules avant de me limer plus vigoureusement. Maman retira les coussins placés dans mon dos et se mis à cheval au dessus de mon visage pour m’offrir sa chatte à lécher. Je m’appliquais à lui lécher le clitoris tout en gémissant sous les coups de queue de mon beau-père. C’était bien mieux que tout ce que j’avais pu imaginer en me caressant seule sous ma couette. Je sentis les muscles de mon vagins se resserrer sur la queue d’Olivier et je me mis à jouir comme jamais. Je venais de vivre mon premier orgasme alors que je sentais le jus de mon beau-père se déverser par longues saccades dans ma petite chatte. Je comprenais mieux pourquoi maman avait insisté pour que je prenne la pilule deux mois auparavant. J’étais aux anges, je venais de prendre ma première queue dans la chatte et c’est maman qui me l’avait offert !! Après avoir repris mes esprits, je me déplaçais sur le lit pour offrir ma chatte, encore ouverte par le passage de la queue de mon beau-père, à maman. De sa langue elle nettoya le mélange de mouille et de sperme qui coulait de ma chatte alors que je prenais la queue d’Olivier en bouche pour le remettre en forme. Sa bite regonfla rapidement et il se plaça derrière maman pour la prendre avec vigueur. Maman glissa trois doigts dans ma chatte en me léchant le clito. Elle gémissait très fort en se faisant défoncer la chatte et rapidement nous nous mîmes à jouir ensemble.    Après cette belle soirée d’anniversaire, maman avait instauré une règle. Olivier n’avait le droit de me toucher qu’en sa présence et de me prendre que lorsqu’elle le souhaitait. Heureusement pour moi, maman aimait voir son mari me labourer la chatte et j’y avais droit quasiment à chaque fois que je les rejoignais dans leur chambre, une fois par semaine. Un soir, il se passa une chose que je n’avais jamais imaginée dans mes plus grands délires en me masturbant sous ma couette. Olivier était sorti avec des potes et nous nous retrouvions seules avec maman. Après le diner, nous regardâmes ensemble un bon film et nous nous embrassâmes tendrement avant d’aller nous coucher dans nos chambres respectives. Au bout d’une demi-heure, n’arrivant pas à fermer l’œil, je rejoignais maman dans sa chambre. Après lui avoir demandé son autorisation, je me glissais près d’elle sous la couette après avoir retiré mon pyjama. Maman avais compris mes intentions et me pris dans ses bras pour m’embrasser langoureusement alors que sa main glissait sur mon ventre pour rejoindre mon entrecuisses. Nous nous embrassions en nous caressant mutuellement et très vite nous nous retrouvâmes en travers du lit dans un 69 que je n’avais pas l’habitude de pratiquer avec maman car dans nos ébats l’une de nos chatte était toujours occupée par la queue d’Olivier. Maman était au dessus de moi et soudain elle leva la tête tout en gardant deux doigts plongés dans ma chatte. Olivier venait d’entrer dans la chambre et sans dire un mot, il contourna le lit et se déshabilla. Sa surprise passée, maman replongea sa tête entre mes cuisses et se remit à me lécher le clito avec enthousiasme. Elle savait qu’elle allait y avoir droit !! Olivier s’approcha, écarta les fesses de maman et se mit à lécher son anus arrachant un doux gémissement à maman. Afin de me mettre à contribution, mon beau-père me prit les mains et les posa sur les fesses de maman pour que je lui écarte à sa place. J’étais aux premières loges et je voyais très nettement la langue d’Olivier lécher le petit trou de maman. Dans le même temps, les doigts de maman quittèrent ma chatte et commencèrent à caresser doucement ma petite rosette. Les doigts de maman remontaient régulièrement vers ma chatte pour y puiser de la mouille et mon petit trou fini par être bien lubrifié. Olivier interrompit sa caresse buccale pour attraper un tube dans la table de nuit. Je le vis s’enduire la queue d’un gel avant de répéter l’opération entre les fesses de maman toujours bien écartées par mes mains. Je le vis placer son gland sur la petite rosette, attraper les hanches de maman et d’une lente poussée s’introduire dans son cul. Au fur et à mesure que le gros dard entrait dans son cul, maman introduisait un doigt dans ma rosette à la même vitesse. Je ressentis une légère douleur mais la vue du sexe qui entrait dans le cul de maman m’excitait beaucoup, je me détendis et mon anus se dilatât pour laisser entrer le doigt inquisiteur. La queue de mon beau-père était entrée entièrement et le doigt de maman se mit à bouger dans mon cul au même rythme que la bite de son mari dans son cul. Maman me mit un doigt dans la chatte et branla mes deux orifices au même rythme que son mari la prenait par son petit trou. En gémissant, je me remis à lui lécher le clitoris et maman ne tarda pas à jouir. Après quelques coups de bites, Olivier se retira du cul de maman et plaça sa queue sur mes lèvres. Sans réfléchir, j’ouvris la bouche et je me mis à lui pomper le gland. Il ne tarda pas à vider sa semence par grands jets dans ma bouche. Son éjaculation était tellement dense que son sperme coula à la commissure de mes lèvres avant que je puisse en avaler la plus grande partie. Maman s’était retournée et elle vint lécher le sperme qui coulait sur mes joues avant de m’embrasser à pleine bouche. Elle savait que je n’avais pas jouis et ne voulait pas me laisser dans cet état. Elle pris la queue de son mari en bouche et Olivier reprit très vite de la vigueur. Maman me demanda de me mettre à quatre pattes sur le lit et elle dirigeât elle même la queue de son mari vers l’entrée de ma chatte. Il me pénétra avec une délicieuse lenteur alors que maman, à genoux près de nous, plaça un doigt sur ma rosette tout en me caressant les seins. Son doigt entra très facilement et je le senti très vite jouer avec la queue d’Olivier au travers de ma paroi vaginale. Excitée comme jamais par cette nouvelle expérience, je partis très vite dans un orgasme que je n’avais encore jamais connu. Anéantie par cette belle partie de baise, je terminais la nuit avec la main de maman posée sur ma chatte et la main de mon beau-père posée sur mes seins.      Après quelques jours, je manifestais à maman mon envie de me faire enculer. Je l’avais vu jouir avec une telle intensité que je ne pensais plus qu’à ça. Elle me fit comprendre qu’il n’était pas si facile de prendre une telle queue dans le cul et qu’il fallait s’y préparer. A travers ses mots, je compris qu’elle n’y était pas opposée mais qu’il allait me falloir attendre. Le lendemain soir, elle me rendit visite dans ma chambre. Elle portait un petit sac et le posa sur mon lit. Elle en sortit quatre god et deux tubes de lubrifiant. Les tailles des god étaient progressives, le premier était un peu plus gros qu’un doigt et le dernier avait approximativement la taille de la queue d’Olivier.     - Avant Olivier, je n’avais jamais pratiqué la sodomie. Lorsqu’il en a manifesté l’envie, je lui ai avoué que je ne l’avais jamais fait. Il n’a pas insisté et le lendemain il m’offert ce que je t’offre ce soir en me disant qu’il ne le ferait que lorsque je serais prête. C’était bien avant que je te le présente et j’avais tellement envie de lui faire plaisir que j’ai passé de longue soirée à me goder pendant que tu dormais. Je commençais par introduire le gros god dans ma chatte en pensant à lui et je me caressais le cul en aillant pris soin d’y mettre du lubrifiant.    - Il va falloir que tu me montres, maman ! dis-je en retirant ma nuisette (j’avais abandonné le pyjama depuis quelques temps : bien plus pratique pour se caresser !).Je m’allongeais sur le lit cuisses grandes ouvertes. Maman pris le gros god en bouche tout en me caressant la chatte. Je me mis très vite à mouiller et maman présenta le god entre les lèvres de ma chatte et l’introduisit lentement m’arrachant un profond gémissement comme à chaque fois que mon beau-père me pénétrait. Elle fit de lents vas et vient et posa une noisette de lubrifiant sur le majeur de ma main droite avant de le placer sur ma rosette. Je me mis à caresser lentement mon petit trou, maman avait laissé sa main sur la mienne et m’incitait à m’introduire lentement le doigt dans l’anus. J’en avais tellement envie que mon doigt ne tarda pas à entrer. Sa main sur la mienne, maman entrepris d’imprimer un mouvement de va e vient de mon doigt dans mon petit trou du cul. Elle retira sa main au moment où je me mis à gémir en me doigtant le cul. Elle m’embrassa tendrement et sortit de ma chambre me laissant à la découverte de mon corps.     Je m’entrainais quasiment tous les soirs pour dilater mon petit trou et j’y prenais beaucoup de plaisir. Le plus gros god toujours enfoncé dans ma chatte, j’étais arrivée à me faire jouir en prenant successivement les trois autres dans mon cul. Un soir où je me sentais terriblement excitée, je m’enduisis l’anus de gel et je me mis à quatre pattes sur mon lit. Je me mis à sucer le plus gros god en me caressant la chatte et lorsqu’il fut suffisamment enduit de salive, je le présentais derrière mon cul surélevé dans une position de chienne en chaleur. Je posais mes épaules sur le matelas et de ma main libre, j’écartais mes fesses. Je présentais le gland à l’entrée de mon petit trou et je me mis à pousser lentement pour le faire entrer dans mon fondement. Le god était gros mais mon petit trou s’ouvrit pour lui laisser le passage. Toutes les soirées à me goder le cul étaient en train de payer et je pu me pénétrer de ce gros god sans trop de douleur. Lorsqu’il fut bien au fond je ne fis plus aucuns mouvements, le temps de m’habituer à ce calibre jamais atteint. J’haletais et mon envie était trop forte. Je me mis à appliquer de lents mouvements que ma main se mit très vite à accélérer. Je déplaçai ma main libre entre mes cuisses et je m’introduisis deux doigts dans la chatte en accélérant encore les mouvements du god dans mon cul. Je pris un orgasme magistral et je m’effondrais sur mon lit, mon god toujours planté dans le cul.     J’avais informé maman de mes progrès et lorsque nous nous retrouvions dans sa chambre avec Olivier, elle ne manquait pas de vérifier avec se doigts que mon petit trou était prêt à recevoir une bonne queue. Les semaines passèrent jusqu’à la veille de mes 21 ans. En rentrant de mes cours, je retrouvais maman sur le canapé seulement vêtu de la tenue qu’elle portait le soir de mes 20 ans. Elle se leva, m’embrassa tendrement et me demanda d’aller enfiler cette même tenue qu’elle m’avait offert un an plus tôt. Sans réfléchir, je montais dans ma chambre et, après une rapide douche, j’enfilais ma guêpière en dentelle rouge et noire, mes bas et mes escarpins rouges. Avec maman, je ne me posais plus de questions car je savais que ses désirs allaient forcément me donner du plaisir. Toute excitée, je la rejoignais dans le salon. Elle passa ses bras autour de ma taille et m’embrassa avant de m’entrainer vers sa chambre. Je ne fus pas surprise de retrouver mon beau-père derrière la porte et comme un an auparavant il passa ses bras autour de nos tailles et il nous embrassa à tour de rôle. A la différence de mon dix-septième anniversaire, il nous attendait nu et sa queue était déjà bien tendue. Maman se mit à genoux devant lui et me tira par le bras pour que je l’imite.     - Est-ce que tu veux que tes petites jumelles te sucent ? lui demanda maman en me regardant dans les yeux.     - Hummm, ce sera un plaisir !! dit-il en posant une main sur chacune de nos têtes pour attirer nos bouches vers sa queue.De ma langue, je me mis à lécher son gland alors que maman faisait aller sa langue tout le long de sa hampe. Olivier semblait très pressé car il appuya sur ma tête pour que je le prenne en bouche. Comme j’en avais pris l’habitude, je le suçais et ma bouche descendais de plus en plus jusqu’à avoir la totalité de sa queue au fond de ma gorge. Maman approcha son visage, me signifiant de lui laisser un petit morceau de ce beau sucre d’orge. A son tour, elle se mit à sucer son mari et très vite la queue d’olivier disparut dans la bouche de maman. Je m’étais relevé et je donnais ma bouche à mon beau-père dans un baiser langoureux alors que maman lui suçait encore la bite. Il la fit se relever et lui laissa l’initiative pour la suite. Maman m’entraina vers le lit et me demanda de m’allonger en travers du lit. Elle ouvrit largement mes cuisses et se mit à me lécher la chatte alors qu’Olivier nous regardait en se caressant la queue. Maman souleva plus haut mes cuisses et se mit à me lécher la rosette. Je compris très vite qu’elle n’allait pas tarder à m’offrir mon cadeau d’anniversaire et que j’allais bientôt prendre la queue d’Olivier dans mon cul. Rapidement, elle me demanda de me retourner er de me mettre à quatre patte sur le lit. Contre toute attente, elle sortit le gros god qu’elle m’avait offert et le présentât à l’entrée de ma vulve. Elle me l’introduit lentement tout en me caressant les seins. J’étais tellement mouillée que le god entra sans difficulté dans ma chatte. Mon beau-père en profita pour enduire mon anus de gel et je me mis à gémir en imaginant ce qui allait se passer. Je fermais les yeux et je le voyais dans ma tête en train de s’enduire la queue de gel jusqu’au moment où je sentis ses main écarter mes fesses. Nous y étions et lorsque je sentis son gland se poser sur ma rosette je reculais vivement mon bassin et je le sentis entrer en moi. Contrairement à ce qui s’était passé un an plus tôt, je savais où j’allais et je m’étais déjà enfoncé à de multiple reprise l’équivalent de la queue de mon beau-père dans le cul. Il me pénétra lentement et je me mis à gémir en lui demandant de me défoncer le cul. Il comprit que mon corps acceptait la pénétration et m’agrippa les hanches pour me limer avec vigueur. Cette queue chaude dans mon cul me changeait de mes expériences solitaires sous la couette et je projetais mes fesses à la rencontre de cette queue qui me remplissait le cul. Maman faisait aller et venir le god dans ma chatte et le contact des ces deux queues qui se frottaient à travers ma paroi vaginale me rendit folle et je partis dans un violent orgasme. Je m’effondrais sur le lit, morte de jouissance. Dans un demi sommeil, je vis maman se mettre en position de levrette près de moi et demander à Olivier de lui prendre le cul. Elle m’embrassa et je sombrai dans un profond sommeil. Le lendemain matin, je me retrouvais nue sous la couette de mon lit.      J’avais passé mon bac à 18 ans avec succès en obtenant une mention « très bien » et j’avais suivi pendant trois ans mes études d’infirmière dans la grande ville près de chez nous. Souhaitant plus, je décidais de suivre une spécialisation d’infirmière en chirurgie. La seule ombre au tableau c’est que j’étais reçu dans une école à plus de cent cinquante kilomètres de la maison, à Paris. Je dus trouver un logement et me résigner à ne plus être à la maison tous les jours. Une fois le logement trouvé, il me restait un mois pour profiter de maman et de son mari. Ils étaient autant que moi affecté de mon départ et je passais quasiment toutes les nuits dans leur lit. Nous ne faisions pas forcément l’amour mais nous avions un réel besoin de nous retrouver ensemble. Vers la fin des vacances d’été, je demandais à maman si je pouvais aller passer un weekend avec Manon. Karine était partie en vacances avec son nouveau mec et avait laissé la maison à sa fille. J’avais très envie de me retrouver avec elle et de lui faire l’amour avant de partir loin pour mes études. Maman me donna l’autorisation sans problème et, quatre jours plus tard, je partais avec mon sac passer un weekend chez ma meilleure amie à trois rues de la maison. Manon m’accueillit à bras ouvert et nous nous retrouvâmes très vite dans sa chambre pour nous adonner à notre passe temps favori : nous dévorer la chatte. En fin d’après-midi, Manon m’annonça que son petit ami allait venir. Je savais qu’elle avait un mec mais j’avais espérer que nous passerions le weekend ensemble avant mon départ. Je lui déclarai que j’allais les laisser en amoureux et je pris mon sac pour rentrer à la maison sans tenir compte de ses protestations et sans me retourner. Dans ma colère, je ne pris pas la peine de prévenir maman et je prenais la route pour rentre à la maison. Dix minutes plus tard j’étais devant chez moi et je constatais qu’une voiture que je ne connaissais pas était garée devant le garage. La porte d’entrée était fermée, je passais donc par la porte de derrière car c’était la seule porte dont je possédais la clef. J’entrais dans la cuisine et bizarrement je n’entendis pas un bruit. La présence de cette voiture inconnue à l’extérieur m’intriguait et je m’avançais dans la maison sans faire de bruit. Lorsque je fus dans le salon, je perçus des paroles qui semblaient provenir de la chambre de maman. Je m’avançais à pas feutrés dans le couloir qui conduisait à sa chambre. La porte de sa chambre était entrouverte et je commençais à distinguer ce qui se disait.     - Tu aimes ça ma salope ! c’était la voix d’Olivier.     - Ouiii… c’est bon !!! répondit maman.     - Tu aimes nos queues, petite chienne ? dit une voix que je ne connaissais pas.     - Ouiii… défoncez moi mes amours !! cria maman     - Ca te plait d’être ma petite pute hein !! salope !! lança Olivier.     - Ouiii… j’aime être ta pute…et j’aime vos queues !!     - Tu en voudrais plus ? demanda Olivier dans un râle.     - C’est la première fois hummm et j’adore !!! Je m’étais arrêtée dans le couloir et en les entendant ma main avait glissée sous ma robe légère et je me caressais le clitoris tout en progressant vers la porte de la chambre. J’arrivais à la porte et je pus voir la scène dans le miroir placé face au lit. Maman avait une grosse bite plantée dans la chatte alors que mon beau-père lui défonçait le cul. Il semblait que maman avait cédé au dernier fantasme de mon beau-père et elle y prenait manifestement beaucoup de plaisir. Le dialogue se poursuivit :      - Tu aimerais une queue dans ta bouche ? là ! maintenant ? dit l’autre homme.     - Je ne sais pas, c’est déjà très bon comme ça !! répondit maman.     - Je suis sûr que tu aimerais une troisième queue ma petite salope !! rétorqua Olivier.     - Hummm… oui… ta petite pute en a envie !!!     - Tu es prête à tout pour moi !! dit Olivier en accélérant ses mouvements de queue entre les fesses de maman.Je n’en revenais pas ! Maman était prête à se donner à trois hommes pour satisfaire son mari et ces révélations me faisaient mouiller comme une folle. Je ne mis pas longtemps à retirer ma robe et à introduire deux doigts dans ma chatte en regardant la scène dans le miroir. Maman criait son bonheur et je ne pus résister plus longtemps. Je poussais doucement la porte de la chambre, olivier se retourna et après un mouvement de stupeur, il me fit signe d’approcher. Je me dirigeai vers le lit et je tendis mes lèvres à mon beau-père. Il m’embrassa avec fougue tout en glissant une main sur mes fesses pour rejoindre mon entrecuisse. Le contact de ses doigts sur ma chatte me fit gémir, ce qui fit se retourner maman.     - Hummm, Alex, ma chérie !! il y a longtemps que tu es là ?     - Non, je viens d’arriver ! lui mentis-je.Je lus comme un soulagement sur son visage et je m’empressai de l’embrasser. Olivier avait déjà glissé deux doigts dans ma chatte mais j’avais d’autres envies. J’interrompis mon baiser et pour la première fois de ma vie je saisis maman par les cheveux et je présentai deux doigts devant ses lèvres. Comme je m’y attendais, elle ouvrit la bouche et se mit à me sucer les doigts. Après la conversation que je venais de surprendre, je constatais que maman était devenue une chienne en chaleur qui avait envie de queues. Cette situation m’excitait beaucoup et j’avais envie de lui donner ce qu’elle désirait. Je retirais mes doigts de sa bouche et je compris à son regard qu’elle n’en avait pas envie. Je me libérais des doigts de mon beau-père plongés dans ma chatte et je me rendis dans le dressing attenant à la chambre. Je savais que maman y cachait un god-ceinture car je l’avais vu s’en servir avec Julie un jour où elles me croyaient absente de la maison. Pour l’avoir cherché en l’absence de maman, je ne mis pas longtemps à mettre la main dessus. Je m’empressais de le mettre en place sur moi et retournais rapidement vers la chambre. Maman gémissait très fort sous l’action des deux queues qui lui labouraient les orifices. Je vins discrètement me glisser près de maman et lui saisissant les cheveux je lui présentais mon god devant les lèvres. Elle me regarda droit dans les yeux, ferma ses paupières et ouvrit la bouche pour prendre la queue que je lui offrais dans la bouche. Elle se mit à sucer le chibre avec ardeur et à se déhancher sur les queues des deux hommes.     - Ça te plait ! Tu aimes les queues salope !! lui lança l’homme qui lui prenait la chatte.     - Hummm !!! ouiiii !! lâchât maman avant de reprendre mon sexe artificiel en bouche.     - Fais-toi du bien, maman ! dis-je en lui caressant les cheveux.Elle partit dans un orgasme phénoménal. C’est à ce moment là que je compris que tout ce que pouvait lui demander Olivier la rendait folle et qu’elle en retirait une profonde jouissance. Ils étaient à peine ensemble qu’il avait réussi à la convaincre de lécher la petite chatte de sa fille Julie. Elle en avait retiré tellement de plaisir qu’il réussit à la persuader de faire l’amour avec moi (pour mon plus grand plaisir). Et maintenant je voyais maman se donner à trois queues, même si l’une d’elle était artificielle. Elle avait repris gout à la vie et ça me rendait heureuse. Sur ces pensées, je quittais la chambre sans rien dire et je rejoignais la mienne toujours affublée du god-ceinture. Je le retirais avant de me glisser sous la couette mais j’avais une terrible envie de me faire du bien. Je me remis debout et j’ouvris le tiroir de ma commode d’où je sortis ma collection de god. Je me glissais à nouveau sous la couette en plaçant le god-ceinture près de ma tête. Ma petite chatte était toute trempée suite à ma visite dans la chambre de maman et je n’eus aucun mal à y introduire le god de taille moyenne que m’avait offert maman. Quand il fut bien lubrifié de ma mouille, je n’eus aucun problème à me l’introduire dans le cul et je me saisis du plus gros god pour me l’enfiler dans la chatte. De ma main droite je faisais aller et venir les deux god dans mes orifices et ma main gauche se saisit du god-ceinture pour l’amener à ma bouche. Comme maman, j’avais mes trois queues et je me mis à jouir seule sous ma couette.      La rentrée vint très vite et je du m’éloigner à regret de maman et d’Olivier. Sur mes premiers mois de spécialisation je revenais à la maison fréquemment et je faisais toujours en sorte que ce soit le weekend où Julie était présente. Nous passions toujours des weekends torrides qui étaient toujours trop court à mon gout. Puis mes études me prirent de plus en plus de temps et je ne rentrais que très rarement à la maison. J’avais toujours ma place mais je constatais au file du temps qu’Olivier avait réussi à convertir maman à d’autres fantasmes. Elle était épanouie et c’est tout ce qui m’importait. Je ne retournais à la maison que sur les périodes de vacances mais je compris très vite que la belle aventure avec maman et son mari était de l’histoire ancienne.      J’ai terminé mes études et aujourd’hui je postule pour un poste dans un grand hôpital parisien après avoir fait mes premières armes dans une clinique de banlieue. Les premiers entretiens m’ont beaucoup plu et je pense que je ne vais pas tarder à vivre de nouvelles aventures. (lire « Stéphanie, chirurgienne et salope » rubrique « avec plusieurs hommes »)
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