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L'éducation de David

Chapitre 2

Gay
Le lendemain, lorsque j’ouvris les eux, Édouard n’était plus à côté de moi. Je regardai le réveil posé à côté de mon lit : 10 heures.
Je me sentais honteux de la manière dont j’avais laissé ce garçon prendre le contrôle sur moi. Sans résistance, j’avais obéi à tous ses ordres. J’avais léché ses pieds, léché mon propre sperme, et j’avais été incapable de contrôler ou de dissimuler l’excitation que la situation provoquait chez moi.
Ce qui me paraissait incroyable, c’était que tout ça n’avait aucune importance : avant tout, il me manquait. Trouver mon studio vide avait balayé mes doutes et mes inhibitions, j’aurais tout recommencé sans hésiter pour avoir la chance de le voir endormi à côté de moi.
Résigné, je passai un pantalon de jogging et un t-shirt, et commençai à ranger le studio. Le lit replié, je me fis un café et en attendant qu’il fût prêt j’allai à la fenêtre contempler la rue.
C’était un dimanche calme et triste d’automne. La grisaille parisienne avait repris ses droits, et une fine pluie tombait lentement sur les quelques passants qui pressaient le pas. Quittant la fenêtre, je m’allongeai sur le canapé, bercé par le bruit de la cafetière et les murmures de la rue. Soudain, j’entendis le bruit d’une clé dans la porte, puis quelqu’un rentrer. J’eus à peine le temps de me redresser pour apercevoir Édouard, un sachet à la main.
    - Salut toi ! Bien dormi ? J’espère que tu as préparé le petit dej, je ramène les croissants !    - Oui ! Mais je ne sais pas si j’en ai fait assez, je... je pensais que tu étais parti !
Il esquissa un sourire, et s’approcha de moi.
    - Je n’allais pas te laisser comme ça alors qu’on commençait juste à s’amuser !
Il attrapa mon visage avec sa main et s’approcha encore plus de moi.
  - La première tasse est pour moi. Sers-moi, et après t’ira te laver. Et interdiction de te branler !
Amusé, effrayé, mais surtout excité, j’obéis avec empressement, lui servit une tasse, puis je filai sous la douche. Cinq minutes plus tard je ressortais, vêtu d’un caleçon. Édouard était assis en train de regarder la télé, un croissant dans la main, une cigarette dans l’autre. Je m’approchai pour m’asseoir à côté de lui, mais d’un geste ferme, il me fit comprendre que je devais m’installer par terre, à ses pieds. J’obéis sans un mot. Je me retrouvais donc assis en tailleur, le dos posé sur le canapé, la tête contre son genou. Quelques minutes s’écoulèrent, puis, je demandai, hésitant :
    - Édouard ?    - Mmmm ?
    - Est-ce que... Tu aimes les garçons aussi, alors ?    - Disons que je m’en fous. Mecs, filles... Peu importe, du moment que j’y trouve mon compte.    - Et tu trouves ton compte avec moi ? Je veux dire... Est-ce qu’on est... un couple ?    - C’est ce que tu veux ? Être avec moi ?    - Oui.
Il écrasa son mégot dans le fond de sa tasse, et se tourna vers moi.
    - Ecoute-moi bien David. D’abord, dit-il en souriant, je n’aimerai personne autant que moi. Je crois que tu l’as remarqué !    - Oui!    - Et ça me va très bien comme ça ! J’ai envie de m’amuser, je sais que je suis beau gosse, j’ai envie d’en profiter. Je ne veux pas me poser, vivre quelque chose de sérieux. D’accord ?    - Mais... Hier, tu as dit... Qu’on allait s’amuser tous les deux...    - Exactement. S’amuser. Rien de plus. Tu n’en as pas envie ?    - Je ne sais pas... Je pensais...    - Si tu ne veux pas t’amuser, pas de soucis. Je vais rentrer chez moi.    - Attends! S’il te plaît, ne pars pas !
Très tendrement, il me prit le visage dans ses mains, et il se mit presque à murmurer.
    - Si tu as envie d’une histoire d’amour, ce ne sera pas avec moi. Si tu attends d’être en couple avec la bonne personne, pour que tu puisses découvrir le plaisir, je respecte ça. On peut rester amis. Mais je ne peux pas t’offrir plus que ça.
Il commença à mettre ses chaussures, son blouson, pendant que je restais presque prostré sur le sol. Je ne savais plus quoi faire. Allais-je le laisser partir comme ça ? Au fond de moi je sentais que j’aimais Édouard, et que je ne pourrais pas me contenter de son amitié. D’un autre côté, pourquoi aurais-je perdu mon temps avec lui, il avait été honnête et m’avait fait comprendre qu’il n’y avait rien à espérer. La chose la plus raisonnable aurait été de le laisser partir, et de passer à autre chose. Avec le temps, j’aurais rencontré un autre mec, j’aurais oublié les sentiments violents qui m’assaillaient depuis que je l’avais rencontré, et j’aurais été heureux de côtoyer Édouard qui, tout en manifestant sans complexe son narcissisme, savait, comme je venais de le voir, se montrer respectueux et capable d’être un véritable ami.
Il avait fini de s’habiller. Il se tenait debout au milieu de la pièce, attendant, une réponse, une réaction de ma part.
Je me levai, me dirigeai vers lui. Sans réfléchir je l’entourai de mes bras et l’embrassa comme si je ne devais jamais le revoir. Il me rendit mon baiser. Après un moment qui me parut long comme une vie entière, je m’arrachai à sa bouche.
    - Je veux m’amuser. Mais je ne sais pas comment faire. Alors apprends-moi s’il te plaît.    - David... Il faut que tu comprennes... Je ne cherche que mon plaisir, je n’ai rien à faire de celui des autres. S’amuser pour moi ça veut dire prendre mon pied, pas chercher à te faire prendre le tien. Je n’ai pas envie de t’apprendre autre chose que les manières de me faire plaisir, à moi.
L’espace de quelques secondes, j’hésitai. Il reprenait le masque (mais en était-ce un?) du garçon sûr de lui, suffisant, égoïste et autoritaire, que je connaissais bien. Comment pourrais-je jamais espérer être heureux avec lui ? Pourtant, malgré moi, l’excitation avait repris le pas sur la raison, et je découvris alors, pour la première fois, que j’allais accepter d’être soumis à lui, et que j’aimais ça. Et alors que cette évidence m’apparut, ce fut d’une voix plus assurée que je ne l’aurais pensé que je lui répondit, en le regardant dans les yeux :
    - Alors apprends-moi à te satisfaire.    - Tu es sûr ?    - Oui.    - Tu ne seras là que pour mon plaisir ?    - Oui.    - Tu es prêt à faire tout ce que je te dirai ?    - Oui.    - Tu es prêt à n’être qu’un objet pour moi ? Une manière d’arriver à la jouissance, rien de plus ?    - Oui.    - Je te préviens : je suis très pervers, et si je vois que je peux aller loin avec toi, je n’hésiterai pas.    - Je suis à ton service.    - Bien. A genoux, alors.
Instantanément je me mis à genoux. Tout en retirant son blouson, qu’il jeta dans un coin de la pièce, il me dit.
    - Enfin, on va pouvoir s’amuser tous les deux ! Ouvre la bouche.
Je m’exécutais. Il cracha alors dans ma bouche, et m’ordonna d’avaler sa salive, ce que je fis. Puis il revint s’asseoir sur le canapé. Il claqua dans ses doigts, et instinctivement je me dirigeai vers lui à quatre pattes. Il sourit.
    - Bien. Je vois que tu as compris où était ta place avec moi. Enlève moi les pompes et lèche-moi les pieds.
Avec empressement j’ôtai ses chaussures, et recommençai à passer ma langue le long de ses pieds. Je passai partout, alternant les passages le long de la plante avec la succion de chaque orteil, m’appliquant à vénérer chaque parcelle de peau de ce dieu vivant. N’osant le regarder, j’eus cependant la joie d’entendre de petits soupirs de contentement. Et je vis du coin de l’œil qu’il commençait à se caresser à travers son pantalon.
    - Tu as déjà sucé une queue ?    - Non, répondis-je, paralysé à l’idée de ne pas savoir m’y prendre correctement.
Il ouvrit sa braguette, enleva son pantalon et son boxer. Il était en t-shirt, la bite dressée et bien dure, qu’il caressait d’une main pendant que l’autre attrapait une cigarette. Je compris que l’étape suivante arrivait. En silence j’approchai de son sexe. Il était à quelques centimètres de ma bouche. Timidement je commençai à prendre le gland rougeoyant entre mes lèvres, et à le presser doucement.
    - Bien. Caresse-le avec ta langue, joue avec, mais laisse bien tes lèvres sur ma bite.
J’obéis. Ma langue passa de haut en bas, de droite à gauche, puis inversement, pendant que progressivement j’enfournai sa queue de plus en plus loin dans ma gorge. Au bout d’un moment je sentis ses poils blonds contre mon nez, et je respirai son odeur à plein poumons.
Ce fut comme une décharge d’adrénaline. Je ne me contrôlais plus, j’avais le sexe du garçon le plus beau du monde dans la bouche, et je n’aurais pas pu rêver mieux comme première expérience. Avec rapidité, je descendais de haut en bas en pressant fermement mes lèvres contre la peau fine, tout en m’aidant avec ma langue. Je ne sais pas combien de temps je suis resté à sucer son membre, mais je ne sentais ni fatigue ni lassitude, et je continuais à dévorer sa queue, laissant toujours plus de salive couler le long de ses couilles.
Soudain je sentis ses deux mains derrière ma tête. Sans un mot, il commença à m’asséner de solides coups de reins et je me laissai faire. Mes mains cherchaient ses cuisses, son ventre, son torse, pendant qu’il me baisait la bouche avec une ardeur incroyable, forçant toujours plus violemment ma gorge qui laissait passer sans difficulté sa bite. Je m’aperçut que je bandais comme jamais, ma queue dressée dans mon jogging dont le contact me procurait encore plus de plaisir. J’étais à deux doigts de jouir, sans m’avoir caressé.
Il m’enfonça alors tout son membre en entier, mes lèvres venant s’écraser à la base de sa queue, pendant que des trainées de salive se formaient des deux côtés de ma bouche. Il appuya encore plus fort, je n’arrivais presque plus à respirer, pourtant je ne reculais pas. Je savourais la délicieuse sensation d’être totalement à sa merci. Je sentis alors sa bite se gonfler, et j’entendis le râle qu’il laissa échapper lorsque des coulées de sperme se répandirent au fond de ma gorge. Sans hésiter, j’avalais tout. C’était la seconde fois que je goûtais du sperme, et le sien avait un goût incomparable au mien. Un nectar, avec lequel je me régalais. Et je sentis alors un tremblement me secouer et quelques secondes plus tard, à mon tour, je répandais mon jus dans mon pantalon.
Il relâcha son étreinte, j’avais le visage rouge, à moitié couvert de salive, et je reprenais difficilement mon souffle. J’essuyais d’un revers de la main mes joues et mon menton. Il m’attrapa soudain par les cheveux.
    - Nettoie.
Je m’exécutai, je fis disparaître les dernières traces de sperme et je lapai de mon mieux les trace de salive que j’avais répandu sur sa bite, entre ses cuisses et sur ses couilles.
Il se leva, et se rhabilla. J’étais toujours sur le sol, et j’osais enfin le regarder. Une légère couche de sueur luisait sur son front, et je remarquai que lui aussi paraissait exténué.
    - Eh ben ! Pour ta première pipe, c’était pas mal, pas mal du tout... Je sens qu’on va bien s’amuser toi et moi, dit-il avec un sourire.
Saisissant son manteau, avant de partir, il me lança, avec une pointe d’autorité dans la voix.
    - On se voit demain à la fac. Tu finiras l’exposé. Ah, et aussi... Ne mets pas de sous-vêtements.
Je l’entendis claquer la porte, et je mis quelques secondes avant de me lever à mon tour pour aller prendre une douche. Et malgré l’absence totale de considération pour moi, et la manière assez dure dont il me traitait, en enlevant mon jogging, je constatai que je bandais à nouveau.
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