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Einstein

Chapitre 2

Zoophilie
Sortie et renouveau !

Après cette partie de cul insensée, Maryse se jura que cela ne se reproduirait jamais. Elle jouait toujours avec son chien, mais plus aucun signe de connivence amoureuse ou de geste équivoque avec Einstein. Il ne manifestait du reste aucune fébrilité, ne cherchait pas à l’approcher plus que pour des jeux sans ambiguïté ou leurs promenades. La brune prenait presque soin de ne pas se montrer nue devant lui, comme s’il avait su ce que cela signifiait. Elle avait repris ses habitudes. Caresses furtives au lit dans le noir, jouissance sous la douche après des massages savants et qui pour un temps calmaient ses appétits sexuels.
Un soir cependant, en rentrant du travail, elle trouva Einstein très agité. Il avait une érection monstrueuse. Dès son arrivée, il tournait après elle, la flairant, la sentant, comme s’il devinait qu’elle avait aussi un creux au ventre. Alors pourquoi fit-elle la bêtise de le caresser sur le dos ? Lui s’imaginait de suite qu’elle était prête. Alors il se redressa et ses deux pattes avant appuyées sur le dos de Maryse. Il la poussait en avant. Pour ne pas chuter sur le carrelage de la cuisine elle s’agrippait à la table de chêne qui se trouvait là.
Elle sentit l’animal qui passait son museau sous sa jupe. Sur sa culotte, la langue râpeuse avançait déjà et le souffle du chien était au cœur de son sexe pourtant couvert. De nouveau il s’appuyait sur ses épaules et sa force était effrayante. Mais incroyablement au lieu de le repousser vivement, Maryse ne faisait pas un geste pour refouler l’assaillant. Non ! Elle s’aperçut que son ventre était en feu. Des spasmes d’avant plaisir montaient en elle de partout pour tous la rendre frémissante.
— Attends ! Einstein, attends mon beau.
Bien entendu le cabot n’avait cure de ses mots bien inutiles. Il insistait lourdement et l’engin qui la frôlait maintenant avait des proportions que bien des hommes auraient enviées. Il se frottait littéralement sur elle et sur sa jupe, au travers du tissu, elle ressentait cette rigidité effarante. C’est elle, pour qu’il n’abime pas sa jolie tenue, qui en releva l’ourlet. Dans la position où elle se trouvait, pas moyen de se faufiler à droite ou à gauche. Son ventre coincé sur le plateau de la table, elle comprenait qu’il arrivait à coller sa pine sur sa culotte.
Là encore, sans doute dans un souci de garder intacts ses vêtements, elle repoussa sur le côté le triangle chiffonné qui lui couvrait les fesses. Alors dans la raie de ses fesses, la chose tendue que le ventre de l’animal poussait vers l’avant s’incrusta entre ses des globes. L’angle n’était guère propice cependant à une véritable pénétration. C’était plutôt des effleurements irréguliers, comme des coups de boutoir donnés par Einstein. Il aurait suffi qu’elle fléchisse un peu sur les genoux pour...
Mais elle se refusait encore à envisager que son chien puisse devenir son amant. Elle avait fait la bêtise de lui faire une fois une fellation, elle n’avait pas vraiment l’intention d’aller plus loin avec lui. Durant de longues minutes, il se frotta à son derrière. À plusieurs reprises, il fut sur le point d’entrer, mais d’un habile coup de cul sur la gauche ou la droite, Maryse parvint à éviter la pénétration. Elle était trempée et sa propre mouille lui coulait le long de l’intérieur des cuisses. Le sperme du cabot lui coulait sur les fesses et dans la raie de son cul.
Finalement au bout de ce qui aurait pu paraitre une éternité, il se laissa glisser et finit son travail contre son mollet. Elle par contre, avait la chatte trempée. Elle sentait bien qu’un simple geste, un passage de ses doigts et elle jouirait comme une folle. Quand Einstein regagna gentiment la fenêtre pour filer vers la pelouse, elle regretta presque de ne pas l’avoir laissé faire. Elle se mordait les doigts de ne pas avoir su guider, canaliser cette chose en elle. Elle se fit jouir en gémissant, et ce ne fut pas bien long. Elle restait prostrée, avachie sur le tablier de sa table.
— oooOOooo —
Dans la caboche de la jeune femme, sous la tignasse brune des tas d’interrogations se bousculaient. La perversité de ce genre d’amusement, ces tabous qui remontaient à la surface avaient de quoi lui saper le moral. Comment expliquer que finalement elle irait bien plus loin avec ce compagnon attentif, mais elle ne connaissait pas les risques d’une telle entreprise. Alors sur internet, elle regardait des sites traitant de ce sujet scabreux. Einstein à ses pieds, lui, semblait vivre d’une manière plutôt harmonieuse cette vie de chien choyé. Ses grands yeux marron se levaient avec un voile de douceur, vers celle qui lui rendait une affection toute particulière.
Mais pour Maryse, braver les interdits s’avérait délicat. Autant avec un homme, elle se serait laissée aller à des choses plutôt hors norme, autant avec son toutou, elle devenait réticente. Peur d’un tas de préjugés, d’une cascade d’idées préconçues, peur de ce que pourraient dire les autres ? Mais en elle restait une envie latente de faire l’amour, d’être caressée, de sentir la douceur d’attouchements spécifiques. Ceux d’une langue, ceux d’un souffle, ceux d’un plaisir à partager. Et sans doute que ces seules pensées lui donnaient un parfum particulier.
Einstein devait bien se rendre compte olfactivement que ses hormones la démangeaient. Il passait le plus clair de son temps avec sa tige hors du fourreau. Elle se refusait de faire les premiers gestes, ceux qui la conduiraient inéluctablement vers un accouplement avec lui. Mais l’animal restait doux, presque prévenant. Il ne tentait plus de la grimper, comme s’il savait que cela arriverait et qu’elle lui donnerait du bon temps. Mais en prenait-il lui du plaisir ? Elle n’en était pas aussi certaine. Il la voyait comment ? Comme une femelle qu’il pouvait recouvrir de temps en temps ? Comme une maitresse qui le gâtait ?
Cependant, alors que les jours suivaient les nuits, que les semaines formaient des mois, elle avait toujours la sensation que son appétit pour le sexe avec son chien restait là, niché au fond d’elle, tapi comme une bête endormie. Elle tentait de se rassurer en songeant que lorsqu’elle aurait refait l’amour avec un homme, tout redeviendrait normal. Normal... le mot déjà sonnait dans sa caboche, pareil à un couperet. C’était donc anormal de faire cela avec son chien ? Qui avait décrété cela ? Qui avait décidé de ce genre de chose.
Surement pas un chien qui serait allé se vanter d’avoir sauté sa maitresse ! Non ! Encore un mec qui sans doute jaloux de s’être vu opposé un refus avait voulu jouer au plus fin. Mon Dieu les pensées les plus confuses abondaient sous la nappe brune des cheveux de Maryse. Elle se torturait l’esprit alors que son ventre lui, bien plus prosaïque attendait simplement dans d’ignobles spasmes une visite prometteuse. À force de dire non, c’était bien entendu le oui qui émergeait de ces combats auxquels corps et âme se livraient.
Elle se réveillait au beau milieu de ses nuits avec des sueurs froides de voir défiler derrière ses paupières des pines de toutes sortes, des sexes de toute nature. Mais celle qui prévalait et revenait sans arrêt comme un leitmotiv, avait la forme bien étrange et la rougeur de la bite de son chien. Einstein substitut d’un mâle absent, Einstein qui était à portée de mains, à portée de lèvres, prêt à l’emploi et qui n’irait pas chercher une autre compagne, une autre amie, pour peu qu’elle ne lui ouvre pas la porte.
Alors à trop y songer, elle finissait par devenir hystérique. Ses longs doigts revenaient à l’assaut de cette chatte désespérément vide, à ces seins qui d’un simple effleurement voyaient leurs tétons enfler et durcir. Combien de fois ses paumes se frottaient contre cet entrecuisse bouillant, procurant plus de chaleur encore à ce site qui réclamait un peu d’attention ! Les envies naissaient directement d’autres envies, comme si le plaisir solitaire appelait encore plus de jouissance. Souvent le matin, elle se levait, les yeux remplis de cette fièvre nocturne mal assouvie.
À son bureau, ses collègues la voyaient ruinée, détruite, et mettaient cet état sur le compte de son abandon, de sa solitude. Ils étaient tous loin d’imaginer que tout cela partait d’une bagarre épique, que son unique champ de bataille se trouvait avoir quatre pattes et un museau. Puis cette petite chose exquise qui lui aiguisait l’appétit, bien sûr, ce sexe que Einstein lui montrait de temps en temps. Les bonnes résolutions de la journée volaient en éclat lors de ses retours au bercail. Il attendait, fidèle au poste ; toujours égal à lui-même.
Les délires licencieux de notre Maryse se transformaient en obsession. Pourtant en y réfléchissant bien, le dilemme était des plus simpliste. Faire ou non l’amour avec... son chien. Alors naviguant sur la toile à la recherche de témoignages, de récits vécus ou rêvés par des gens inconnus, la jeune femme ne faisait qu’enfoncer le clou un peu plus profondément. L’animal avait moins d’états d’âme. Ceux-ci se résumaient à la simple équation suivante : recevoir des effluves suffisamment imprégnés de sensualité et un processus réflexe se déroulait sous les yeux de Maryse.
Il se mettait à avoir les yeux fixes, la regardant comme les dévotes regardaient une Sainte Vierge ou une croix. Puis un petit bout rouge, pointe élancée et fine montrait son nez. Ensuite en fonction de son excitation, il se levait revenant au-devant de la seule femelle disponible bien sûr ! Parfois il attendait sagement, mais à d’autres il faisait ce qu’aucun homme ne pourrait jamais réaliser, ou alors très peu, il s’auto léchait le sexe. Ceci avait le don de faire monter la température chez la jeune femme.
Elle résistait encore alors qu’à l’extérieur, un nouvel hiver était venu recouvrir de sa neige et de sa glace les environs immédiats de sa maison. Le supplice de la tentation devenait tellement... violent qu’elle prenait plus de douches qu’à l’accoutumée, comme pour se guérir de cette maladie que devenait son envie pour Einstein. Mais malgré la pluie domestique tiède coulant sur elle, ses idées ne s’en trouvaient nullement rafraichies, et pire sans doute, son ventre lui, la torturait comme jamais. Pour conjurer ces pensées qu’elle jugeait salaces, elle décidait donc de se trouver un amant « normal ».
— oooOOooo —
Difficile aussi de trouver, de rencontrer un homme, alors pour en plus en faire son amant, ça devenait un vrai challenge. Où rencontrer dans un premier temps, puis draguer ensuite sans trop avoir l’air de le faire ? La jolie brune vêtue plutôt élégamment se disait que le mieux serait sans doute de se laisser porter par son instinct. Seulement voilà... celui-ci ne lui disait rien, ne l’aiguillait pas du tout et elle se décida pour une sortie au casino. Pas celui des courses, mais bien le lieu où les bandits manchots faisaient un heureux de temps en temps, alors que des centaines d’autres pauvres types pleuraient.
Pour s’y rendre, rien de plus facile. Il en existait un pas loin de chez elle, et si elle n’avait jamais franchi les portes de cet endroit, elle connaissait son emplacement tout de même. Donc un samedi après-midi, maquillée et parfumée, elle décida que le moment était venu. Elle se rendit donc à ce fameux lieu de perdition et se trouva agréablement surprise de voir que finalement rien n’était comme elle se l’imaginait. D’abord, malgré son âge sa pièce d’identité lui fut demandée et puis munie d’un gobelet de jetons métalliques, elle pouvait déambuler dans une salle où des tas de femmes et d’hommes de tous âges s’acharnaient à faite tourner des rouleaux sur des machines bizarres.
Néophyte totale, elle s’arrêta vers un homme qui bataillait ferme avec les boutons poussoirs de l’instrument qui avalait à un rythme effréné sa pile de jetons. Elle observait le bonhomme qui ne détournait pas ses yeux des symboles qui tournaient pour venir, sous la pression d’un doigt, les stopper en ligne. Le type avait les quinquets fixes, presque vitreux et alors que seulement quelques pièces demeuraient devant lui, il n’alimenta plus la machine.
— Je vous laisse la place Madame ! Vous aurez peut-être la main plus heureuse que moi.— Je ne veux pas vous chasser, je regarde juste comment il faut faire...— Ah ! Nouvelle ? C’est donc la première fois ? Alors je vous encourage à jouer, souvent la chance sourit aux débutants. Moi je vais y laisser ma chemise si j’insiste trop longtemps. Elle est capricieuse parfois.— Capricieuse ? — Oui... la chance. Elle va, elle vient, instable au possible. Mais allez-y, je vous en prie !
Il s’était effacé et Maryse ne put s’empêcher de se dire que ce gaillard-là ferait bien l’affaire pour un soir. Mais... comment aborder un pareil sujet sans le montrer ? L’autre restait planté là, à quelques pas d’elle. Comme elle introduisait quelques pièces dans la fente de l’appareil, le gars, d’une voix agréable lui expliquait ce qu’il fallait faire. Finalement il la draguait, du moins le pensait-elle et c’était mieux ainsi. Elle voyait maintenant les cylindres colorés qui défilaient à toute vitesse et elle fit comme l’autre lui indiquait. Les signes s’arrêtèrent à la première sollicitation de son index.
Au bout de quelques tours, la moitié des jetons de son gobelet avaient déjà sombré dans les entrailles du monstre qui les mangeait en musique. Elle se fichait pas mal de ces quelques euros qui apparemment partaient au rythme du roulement de cerises et autres fruits tournants. Puis comme un sapin de Noël, la drôle de machine se mit à vibrer et une partie des piécettes avalées furent recrachées. La brune les remit tranquillement dans son gobelet. Elle quittait aussitôt la place pour en choisir une autre. Le principe était identique, mais les images affichées par les cylindres se trouvaient simplement autres.
Là au bout de quelques minutes le ventre d’acier lui renvoya une autre rasade de rondelles de métal. Après une heure passée dans cette salle, elle décidait que ça suffisait. Elle ramena son gobelet un peu plus rempli qu’à l’arrivée. Il s’avérait qu’elle avait gagné une vingtaine d’euros durant le laps de temps passé dans le casino. Elle s’apprêtait à quitter les lieux lorsque son initiateur la rattrapa.
— Attendez ! Ne partez pas comme ça. Vous avez gagné ? Je vous offre un verre ?
— oooOOooo —
À suivre...
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