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Einstein

Chapitre 3

Zoophilie
Laisser-aller et bonne fortune !

Le type du début, l’initiateur venait de l’interpeller. Surprise, elle s’arrêta un instant et l’autre insistait.
— Allons ! Laissez-vous tenter ? Vous avez gagné ? — Je n’ai pas perdu, c’est déjà cela...— La chance des débutantes ! Je vous l’avais dit. Moi j’ai beaucoup perdu, mais venez, j’ai gardé de quoi vous payer tout de même un verre. Une première, ça s’arrose.
Le gars avait sans doute dix ou douze ans de plus qu’elle. Mais ses tempes blanchies lui donnaient un air sympathique et Maryse se laissait tenter. Après tout, elle était venue pour... draguer un peu et celui-ci ou un autre, quelle importance ?
— Je m’appelle Victor et la jolie dame porte quel prénom ?— Maryse.— Alors Maryse, que voulez-vous boire ? — Une Vodka orange...— C’est parti !
Victor venait de faire un signe à une charmante femme toute de noir vêtue. Elle prit la commande et préparait les verres derrière son bar, un impénétrable sourire vissé sur les lèvres. Une serveuse très stylée et avenante, la jeune brune songea un instant à cela alors que les boissons venaient d’être déposées devant eux. Apparemment le gars avait pris quelque chose de plus... corsé. Sans doute un Whisky. Quand il leva son verre, elle fit pareil et ils trinquèrent.
— À votre chance ! — Merci.— Que faites-vous seule dans un endroit comme celui-ci ? Il n’y a donc pas de mari, pas un garçon qui vous attend quelque part ? Une belle femme comme vous ?— Non ! Juste... un chien.
Elle avait appuyé sur le mot chien comme pour se persuader que... mais il n’avait pas compris et heureusement, l’allusion qu’elle venait de faire.

— Au moins c’est fidèle un toutou !— Oui ! Et je suis séparée depuis... un moment.— Dire qu’il y a des mecs assez fous pour laisser partir une belle plante comme ça !
Il venait de marmonner ces mots entre ses dents, mais c’était suffisamment clair pour qu’elle comprenne. Elle rougit presque sous ce compliment déguisé.
— Vous vous sentez trop seule parfois et vous venez donc pour tuer le temps jouer au casino ?— C’est un peu cela, oui ! Mais bon, ce n’est pas la grande foule ici non plus. — Il suffit peut-être de la bonne personne parfois, pour que le ciel du jour s’éclaircisse, vous ne pensez pas ?— ...— Oui ! Une rencontre peut casser un peu la solitude et égayer la soirée ? Vous n’êtes pas d’accord ?— Je... je ne sais pas trop !— Vous seriez contre le fait de réunir nos deux solitudes pour un petit moment ?
Maryse ne répondait pas. Ce Victor la regardait avec des yeux fiévreux. Il avait dans le regard ce que tous les hommes du monde portent en eux dès qu’ils ont envie de cul. Elle avait souvent vu ces éclats dans les prunelles d’Alix. Mais c’était... avant, avant les scènes, avant ses maitresses aussi sans aucun doute. Elle songeait soudain que finalement cela s’avérait plus aisé qu’elle ne l’aurait cru. Et l’idée qu’elle allait sans doute se laisser séduire et faire l’amour avec cet inconnu faisait que son corps réagissait. Et il le faisait même au quart de tour.
Son ventre se nouait rien qu’à songer à... enfin, elle évitait de se réjouir trop rapidement et elle ne quittait plus des quinquets, le visage du type qui se trouvait à ses côtés.
— Vous ne parlez plus ? Je suis trop vieux pour vous ? Je peux comprendre ce genre de chose, vous savez. Mais à mon âge, les occasions sont si rares et vous êtes... si attirante. Oubliez donc ce que je viens de vous dire et puis voilà !— Ce n’est pas ça... c’est que vous m’avez surprise. Mais...— Oui ? Mais... puisqu’il y a un mais !— Chez vous ou chez moi ?— Je ne suis pas d’ici, et si vous voulez faire les kilomètres en voiture... je vous invite pour la nuit.— Non ! Je vous ai dit que j’avais un chien. Alors je ne peux pas le laisser seul toute une nuit. Mais si vous voulez, nous pouvons aller chez moi.— Bien volontiers ! Je règle les consommations et je vous suis.
Il avait sorti un billet de sa poche et la barmaid, toujours aussi souriante empochait la coupure et rendait la monnaie. Ils sortaient ensuite du casino, comme s’ils se connaissaient depuis toujours. On aurait dit deux amis, deux amoureux ou deux amants. Maryse pourtant ne se sentait pas très vaillante. Elle venait d’inviter un mec à l’accompagner chez elle et elle savait déjà que celui-ci allait la baiser. Et le risible de l’histoire, c’était qu’elle en ressentait déjà une sorte de sentiment jubilatoire, que ses tripes réagissaient en la faisant mouiller. Comme une cochonne ! C’était exactement le reflet de sa pensée alors qu’elle démarrait du parking.
— oooOOooo —
Tout le long du court trajet, elle contrôlait dans son rétroviseur que Victor suivait. Et naturellement qu’il ne la lâchait pas d’une semelle, l’occasion était trop belle. Plus elle se rapprochait de sa maison et plus elle se sentait nerveuse. Mais son désir était là, démesuré, et il faisait d’incroyables gargouillis dans son ventre. Devant sa porte d’entrée, elle attendait qu’il la rejoigne et c’est une fois de plus ensemble qu’ils se retrouvaient dans le hall. Einstein était déjà là à flairer le nouveau, l’inconnu. Il ne montrait aucun signe d’agressivité et le type lui flatta la tête.
— Bon, viens mon beau ! Tu vas aller un peu courir sur la pelouse
Dès la porte-fenêtre ouverte, l’animal filait comme un dératé, Maryse referma sur lui. Il serait mieux dehors après tout. Elle demandait ensuite à son visiteur de passer au salon et de prendre place sur le divan. Elle collait ses fesses sur l’assise d’un fauteuil.
— Vous voulez boire quelque chose ? J’ai du...— Non ! Je conduirai tout à l’heure, il faut bien rentrer. Mais c’est gentil à vous de proposer. Moi aussi je peux vous proposer...— Pardon ?— Oui ! Je suppose que vous et moi sommes deux adultes et que nous savons donc ce que nous voulons. Alors puis-je prendre les choses en mains ?— ...
Maryse avait haussé les épaules, comme si elle tombait des nues. Alors je type insista un peu.
— Puis-je préparer... et me servir de ceci ?
Il montrait de son index tendu le plaid de laine qui était sagement plié sur le coin droit du sofa.
— Ah ? Ben... oui, prenez-le, si vous avez froid.— Je n’ai pas froid, mais...
Victor venait de se relever et il prenait les quelques ramasse-poussières qui ornaient la longue table basse du salon. Abasourdie, la brune ne bougeait pas sur son siège. L’autre étendait le plaid sur le tablier de la table, tranquillement comme s’il était chez lui.
— Vous voulez bien vous mettre à l’aise ? Un petit massage, ça ne peut pas vous faire de mal.— Un massage, mais... vous savez faire ce genre de...— bien sûr ! Allons ! Retirez votre chemisier et votre jupe. Restez en petite culotte et en soutien-gorge, je vais dans ma voiture chercher des huiles essentielles. Vous permettez ?
Elle regardait l’homme qui calmement allait vers la porte pour se rendre à son véhicule. Il aurait été aisé de fermer la porte à clé dès sa sortie. Elle n’en fit rien. À son retour elle n’avait pas bronché.
— Vous préférez que ce soit moi que me charge de vous dévêtir ?
C’était dit avec une voix sans ton péremptoire et elle se levait aussi d’un coup. Ses doigts tremblaient alors qu’un à un les boutons de sa chemise entrebâillaient celle-ci. Puis sa jupe, bien pliée se retrouvait sur son fauteuil. Il la soulevait dans ses bras pour l’allonger, ventre contre le plateau de la table. Il avait avec lui, une petite mallette et de celle-là, il extrayait des flacons colorés. À genoux entre le divan et la table, un filet d’huile coulait déjà sur les épaules de Maryse. Elle n’en revenait pas ! Un inconnu trois heures plus tôt, chez elle allait la masser.
Les mains chaudes de gars avaient déjà pris possession de la peau du cou. Il relevait les cheveux pour frotter doucement la nuque ainsi dégagée. Puis il descendit vers le milieu du dos. Là, les doigts furent un peu bloqués par l’attache du soustingue et il évita de s’en approcher trop. Mais au bout des dix minutes de ces attouchements presque tendres, c’était elle qui avait retiré tout bêtement l’objet gênant.
— Quelle peau douce ! Vous êtes une très jolie femme !— Merci.
Il arrivait au-dessus des fesses et une fois de plus il ne tentait pas de soustraire la culotte assortie au cache seins. Et comme pour la première pièce, elle se soulevait un peu le bassin et glissait le triangle de quelques centimètres. Cet abandon fut pour lui comme une invitation. Entre ses pouces et ses index, il roulait la dentelle et elle se retrouvait de suite avec la jupe et le corsage. Elle avait envie qu’il continue, qu’il soit même plus entreprenant. Ils étaient allés tous les deux trop loin pour qu’elle renonce désormais.
Il étirait sa peau, malaxant, pétrissant comme du bon pain la pâte encore ferme de cette chair si agréable au toucher. Les doigts du magicien assouplissaient le cuir, et elle en appréciait la délicatesse. Maintenant, il remontait le long de sa cuisse, entourant cette jambe dans ses paumes pour ne s’arrêter qu’à la fourche formée par la réunion du tronc et des membres inférieurs. Puis non content de cela, il fit le chemin dans l’autre sens, suivant les mêmes desseins sur sa sœur jumelle. Mais il fallait bien qu’à un moment ou un autre, il arrivât à cet endroit qu’il évitait depuis le début de son parcours.
Lentement, il pressait, tripotait les fesses rebondies de Maryse. Elle retenait sa respiration sentant bien qu’il allait finir par toucher ce Graal promis à un bel avenir. Quand il écarta d’autorité les joues roses de son derrière, c’était pour faire glisser son majeur dans cette raie invisible d’ordinaire. Elle soupirait d’aise de sentir ce fouineur impénitent qui longeait le fossé. Mais comble de masochisme, le curieux stoppait net son avancée à la jointure des lèvres du sexe. Pour refaire un trajet vers le dos.
Elle gloussait littéralement et lorsqu’il laissait couler à nouveau un filet d’huile, visant seulement la cible froncée, elle eut comme un frémissement. Cette porte n’avait peut-être servi qu’une ou deux fois dans le cadre de manœuvres similaires. Mais elle paraissait dépitée de le voir d’un coup s’éloigner de la table du salon. De sa malle minuscule, elle le voyait ressortir un étrange objet. Long, brillant avec un étranglement à la base et surtout comme une pierre précieuse sertie à l’extrémité, celle qui se trouvait de l’autre côté de l’évidemment de l’engin.
De suite elle se crispait imaginant déjà la souffrance si d’aventure Victor lui plantait ce machin dans... mais lui la regardait en souriant.
— N’ayez aucune crainte, je serai doux, doux et je prendrai soin de vous. Mais vous comprenez bien qu’à mon âge, j’ai besoin d’artifice pour arriver à me donner aussi un maximum de plaisir.— Vous vous baladez toujours avec une valise pleine de ces objets ?— C’est aussi un peu mon métier de faire des ventes à domicile et ce sont mes prototypes de démonstration. Mais rassurez-vous, je pose toujours un préservatif sur ce genre de joujou.
Du reste il gardait entre les dents une pochette brillante qu’il ouvrait et devant elle, sur le plug, il entreprenait de faire coulisser la fine protection.
— En plus ils sont lubrifiés... donc ça ne peut qu’aider... ne vous crispez pas, ce ne ferait que vous faire souffrir inutilement. Ça devrait passer comme une lettre à la poste. Vous allez voir, les sensations sont... magiques.
En disant cela, il était revenu au niveau du cul de Maryse. Et elle eut comme un mouvement de recul alors que l’extrémité la plus faible venait de se poser sur son œillet. Il poussait gentiment, revenant en arrière alors que le truc n’était rentré que de quelques millimètres. Puis elle eut soudain le sentiment que le jouet venait de lui écarteler les fesses. Mais aucune douleur, juste pour le moment cette espèce de gêne bizarre. Victor poussait sans à coup et soudain elle sut que son derrière avait avalé la totalité du bijou.
L’homme semblait satisfait et elle s’apercevait qu’il était toujours en habit de sortie. À aucun instant, il ne s’était déshabillé. Il caressait le front de la jeune femme avec tendresse.
— Vous voulez bien vous mettre sur le dos, le côté face mérite aussi un peu d’attention !
Sans un mot, elle se tournait, le nez vers le plafond et il reprenait ses danses digitales. Un vrai bonheur. Ce massage durait depuis une éternité et Victor ne s’impatientait vraiment pas. Il profitait pleinement de la vue de ce corps offert, sous la lumière blême d’une minuscule lampe de chevet bien loin sur une sorte de guéridon. Quand il lui caressa la chatte, elle ronronnait depuis bien longtemps. Et ses doigts poisseux le renseignaient sur l’état de ce sexe qui secrétait sa mouille. Elle était prête pour la monte.
Mais il voulait encore faire durer le suspense et elle dut encore se plier à deux ou trois demandes de sa part. La première étant de se mettre sur le côté et il massait de nouveau les flancs, s’attardait sur les seins dont la consistance lui plaisait beaucoup. Elle râlait littéralement, attendant qu’il la prenne totalement. Elle ne ferait aucune difficulté pour se laisser grimper. Il avait su y faire et mon Dieu comme elle se languissait de cet assaut ! Un ronron se faisait de nouveau entendre alors que Victor se penchait au-dessus du bassin de Maryse.
Un objet lui arrachait des gémissements. Sur le clitoris il avait appliqué une sorte d’œuf qui au bruit devait vibrer de partout et transmettait des ondes à tout le corps de la jeune femme. Cette fois elle sentait que son orgasme jusque-là contenu allait exploser dans une myriade de sensations toutes plus intenses les unes que les autres. Les spasmes de son plaisir se diluaient en une multitude de couleurs, de nuances toutes plus improbables que les précédentes. Et elle partait dans son délire en s’accrochant à la chemise de son compagnon.
Mais lui s’il se dévêtait enfin, ne paraissait pourtant pas pressé de la prendre. Un magnifique slip blanc et noir à larges bandes verticales camouflait encore cette bite qui affolait Maryse.
— Venez ma belle ! Levez-vous s’il vous plait !— ...
Elle ne comprenait pas très bien la raison d’une telle demande, mais suivit le conseil de Victor. À son tour de se mettre à quatre pattes devant la table basse et il lui demandait également de mettre ses mains dans le dos. Pendant qu’elle plaçait ses bras dans la position demandée, il lui posait sur les yeux un masque, un tout pareil à ceux qu’elle passait la nuit pour être dans le noir intégral. Quand elle sentit le froid du métal qui encerclait ses poignets, elle comprit enfin que c’était des menottes qui venaient d’être fermées sur ceux-ci.
Ses bras étaient tirés vers l’avant et le cliquetis de fermeture lui indiquait qu’il venait de la rendre prisonnière des pattes de la table basse. Si la position n’était pas confortable, elle se trouvait à genoux et la moitié du ventre sur le plateau de la table. Il faisait alors tourner dans ses fesses l’objet qu’il avait laissé là depuis le début de ses câlineries. Elle le sentait qui se frottait à elle et la chose qui lissait les lèvres de sa chatte, si elle n’était pas monstrueuse, n’en demeurait pas moins une bite raisonnable.
Il s’enfonçait en elle, tout en trifouillant le plug et elle se sentait repartir pour un orgasme princier. Un vrai bonheur d’être enfin délivrée d’une attente éprouvante. Il la besognait un long moment, se ménageant des plages sans mouvement, mais toujours en tripotant ce qu’elle avait dans le cul. Elle se pâmait de bonheur alors qu’il naviguait en elle. Finalement cette reprise d’activités sexuelles était prometteuse. Son salon s’emplissait alors de ses cris de femme hystérique qui s’envoyait en l’air. Elle mouillait d’abondance et le clapotis de cette queue qui la pistonnait était un signe de son envie, un baromètre en quelque sorte de son désir.
— oooOOooo —
À suivre...
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