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Einstein

Chapitre 4

Zoophilie
Fin de disette et soumission !

Dans la pièce occupée par les deux amants, Victor ne bronchait plus. Il n’avait pas pour autant délivré sa partenaire. Elle reprenait son souffle doucement. Toujours en appui, les seins sur la table, elle respirait doucement alors qu’une odeur de cul envahissait le salon. Lui était encore tendu, réservant son éjaculation pour une autre prise de Maryse. Il lui cajolait les fesses et elle remuait la croupe comme piquée par des guêpes. Il savait parfaitement qu’à son âge il serait très compliqué de bander deux fois dans la même soirée surtout après s’être vidé les couilles.
— J’aimerais un verre d’eau s’il vous plait, ou alors libérez mes bras pour que j’aille me servir.— Vous avez des verres dans votre cuisine ? Dites-moi simplement où ils se trouvent.— Dans le placard juste au-dessus de l’évier, vous ne pouvez pas vous tromper.— Je vais vous chercher cela...
Elle l’entendait qui fouillait dans le placard et l’eau du robinet qui coulait lui apprenait qu’il allait revenir. Elle avait aussi son bandeau sur les yeux et ne pouvait rien voir de ce qu’il faisait de toute façon. Elle perçut aussi le bruit de la porte-fenêtre et immédiatement les pas de Einstein qui s’étaient précipités vers le salon. Il tournait autour d’elle et sa présence l’indisposait vraiment. Pourvu qu’il ne montre rien de ses envies, elle aurait l’air de quoi ?
Mais c’était mal connaitre les animaux. Le chien sans malice venait de planter son museau contre ses fesses et elle tressaillait. Sous son masque elle se sentait devenir rouge de honte. Victor devait bien imaginer que s’il faisait cela, ce cabot n’en était pas son coup d’essai.
— Einstein ! Arrête ! Bon sang, tu vas finir oui ?— Il a l’air d’apprécier votre odeur, enfin la nôtre à tous les deux sans doute. Vous n’avez jamais songé à...— A quoi ? — À en faire votre amant ! C’est bien plus fidèle que les hommes les chiens et c’est facilement disponible, une fois dressé.— Vous êtes fou ? Quel drôle d’idée ! — À le voir s’exciter contre vous, on pourrait croire qu’il a envie de vous. Et de plus, vous ne pouvez pas le voir, mais si vous saviez comme il bande en ce moment.— Remettez-le dans la pelouse s’il vous plait. — Vous n’aimeriez pas que je vous apprenne et à lui aussi par la même occasion ? Vous me faites confiance ?— Ma position et après ce qui vient de se passer entre nous, comment pouvez-vous me poser cette question ?— C’est vrai ! Alors, laissez-moi faire ! Si ça ne vous convient pas, nous arrêterons de suite. Mais au moins aurez-vous essayé une fois.— Essayer quoi ? Qu’est-ce que vous voulez faire ? Pas avec le chien, non, s’il vous plait... pas cela.
— Vient là mon beau. Attends. C’est cela, recule un peu et... — Mais enlevez-moi mes liens et ce bandeau qui m’aveugle ! Je veux savoir ce que vous faites.— Pour le bandeau d’accord, pour les menottes, pas tout de suite. Je suis certain que vous allez jouir comme une folle. Il en a une bien plus grosse que la mienne. De quoi en faire un complexe d’infériorité.
D’une main il arrachait le masque et Maryse le voyait qui tenait le sexe de son chien par la base. La grosse bite violacée de la bestiole était tournée vers ses fesses. Il faisait lentement reculer le clebs et il l’encourageait à monter sur le dos de la brune.
— Allons viens ici ! Vas-y, je vais te guider, vas-y mon beau. — Mais non ne faites pas cela. Pas le chien ! Nonnnn !
Mais perdu dans son délire, Victor avait déjà dirigé la pine vers la chatte de sa maitresse. Et la bestiole poussait du ventre, excité par son envie. À cet instant elle devenait sa femelle et la langue sortie, il tentait vainement de la monter. Seul, il n’y serait sans doute pas parvenu, mais c’était sans compter sur l’aide extérieure de l’homme qui serrait la base de son pénis. Il menait littéralement la queue dans l’orifice de Maryse. Elle poussait comme un cri rauque alors que la chose incroyablement dure la pénétrait.
Les grands coups sans trop de coordination du toutou envoyaient son sexe dans celui de la brune. Et cette pine se trouvait être bien plus conséquente que celle de l’homme qu’elle avait ramené chez elle. Alors qu’il tenait toujours la base du sgègue du clébard, de son autre main il faisait tourner dans l’anus de Maryse la rosbud qui y était encore fichée. Einstein la sautait depuis un long moment et elle hurlait comme une louve.
Mais quand Victor lâcha la bite qu’il tenait, l’animal se trouva éjecté immédiatement de la chatte. Il tentait une seconde saillie, mais sans aide il n’y parvenait plus. Alors il se couchait sur la moquette à deux pas de sa maitresse, toujours menottée à sa table. Derrière elle, Victor arrachait brutalement de son trou du cul le jouet et immédiatement le remplaçait par son propre sexe. Cette fois encore il la ramonait de belle manière. Elle serrait les dents, se laissant enculer sans trop de dommage.
Tout en forçant les reins de la jeune femme, il lui maintenait la croupe de ses deux mains bien à plat. Sentit-elle son désir ? Ressentit-elle son éjaculation alors qu’il restait bien profondément ancré en elle ? Dans un « han » de plaisir, il s’épanchait enfin dans ce fondement qui le recevait. Il restait ensuite immobile, le temps que sa bite désenfle toute seule et sorte doucement, toute molle de cet arrière-train ravagé. Ni elle ni lui ne parlaient. Il se redressait et à l’aide de la clé, la libérait de ses entraves.
Elle ne bronchait plus, avachie sur la table de salon. Einstein fit le tour de celle-ci et vint d’un coup à grands coups de langue, nettoyer les sécrétions qui coulaient le long des cuisses de Maryse. Elle ne faisait pas un seul geste pour le refouler, muette, passive, presque contrariée par ce qui venait de se passer. Quand enfin elle sortait de sa torpeur, Victor était rhabillé et la regardait avec calme et un large sourire sur les lèvres. Il s’approchait d’elle et essayait de l’embrasser, mais elle détournait le visage.
Alors il lui déposait un baiser dans le cou et lui caressait la joue.
— Vous avez été merveilleuse. J’ai adoré ce que nous avons fait. Nous reverrons-nous ? — Je pense que non. C’était juste une envie passagère...— Je vous laisse tout de même ma carte et mon téléphone, on ne sait jamais... si un soir...— Je ne pense pas que je vous appellerai.— Sait-on jamais ?
Il quittait ensuite le salon et elle entendait quelques instants plus tard, la voiture qui s’éloignait. Ce n’était qu’à cet instant qu’elle apercevait, sur le fauteuil, la valisette contenant tous les jouets du Monsieur. Elle songeait d’un coup que finalement, elle serait bien obligée de le revoir au moins une fois. Curieusement ça ne lui déplaisait pas plus que cela. Elle avait bien joui, et comprenait que désormais, elle pourrait elle aussi se servir de Einstein. Elle savait désormais comment s’y prendre avec lui.
— oooOOooo —
Durant quelques semaines, la soirée « Casino » resta inscrite dans la mémoire de Maryse, marquée comme d’une pierre blanche ayant rompu la monotonie de sa vie. Mais les bons souvenirs étaient aussi prompts que les mauvais à s’estomper. Victor n’avait pas tenté de la recontacter et de son côté, elle n’avait pas non plus levé le petit doigt pour le relancer. Alors quand un samedi soir la sonnette de l’entrée se mit à tintinnabuler, elle avait déjà oublié cet épisode pourtant agréable de son existence. En ouvrant la porte, elle se trouvait nez à nez avec un jeune homme inconnu.
— Oui ? — Bonjour Madame ! Je viens de la part de Victor !— De Victor ?— Vous savez, il m’a dit avoir oublié chez vous une petite valise et comme je passais dans votre secteur, il aurait souhaité que je la récupère. — Bien ! Vous pouvez attendre juste une seconde ?— Oui bien sûr !
Maryse surprise avait laissé la porte entrouverte et l’homme, relativement jeune, se tordait le cou pour entrapercevoir l’intérieur de la maison. Soudain devant lui, Einstein arrivait avec son air peu engageant. L’autre levait juste la tête, faisait un mouvement du bras et l’animal se figeait.
— Houlà ! Tout doux mon beau. Tout doux ! Assis ! Allons ! Écoute ma voix ! Assis !
La brune qui revenait de son salon, le coffret à Bijoux à la main, voyait alors que Einstein se figeait au son de la voix de ce type. Elle le suivait un instant des yeux alors que son compagnon se mettait d’instinct dans la position demandée par l’inconnu.
— N’ayez pas peur, il ne mord pas.— Oh ! Je n’ai pas peur, j’adore les chiens et j’en possède un moi-même. C’est mon travail, vous savez.— Vous travaillez avec des chiens ?— Oui ! Je suis « maitre-chien » ! Je les éduque et les rends très obéissants. Le vôtre me semble... un sujet intéressant.— Je n’ai pas vraiment besoin qu’il soit dressé. Il me convient bien comme il est. Donc c’est Victor qui vous envoie récupérer sa mallette ?— En quelques sortes... oui.— La voici donc. Vous voulez prendre un café ?— Non merci. Il m’a aussi dit de...
En discutant gentiment, il venait d’ouvrir le fourre-tout et en sortait du fatras qu’il contenait, le rosbud orné d’une pierre rouge.
— Il m’a dit de vous laisser ceci... en souvenir d’une bonne soirée.
Maryse s’était soudain sentie rougir de la tête aux pieds. Elle aurait aimé être une petite souris pour s’enfiler dans un trou. Ils avaient tous les deux du parler d’elle, de ce qu’ils avaient fait et elle s’en trouvait du coup, plutôt gênée. Les hommes étaient donc tous fabriqués dans les mêmes moules ? Pas un seul pour relever les autres ? Celui qui lui faisait face avait vingt-cinq, vingt-six ans et il gardait au coin des lèvres un sourire narquois. Elle se sentait vexée. En y regardant de plus près, ce gamin était beau. Trop sans doute.
Le face à face durait depuis une bonne minute et dans la main de la brune le cadeau empoisonné de Victor semblait la bruler. Le type qui restait simplement dans l’entrée suivait des yeux cette forme allongée qu’elle serrait dans les doigts et elle imaginait aisément les pensées salaces du sale gosse. Einstein lui aussi suivait des quinquets les moindres mouvements entre ces deux-là qui se jaugeaient. La voix de l’homme le faisait tressaillir. Une voix faite pour commander, pour être obéie également.
— Viens mon beau, viens !
Sous le regard de Maryse, l’autre venait de pousser le chien vers la pelouse et la porte-fenêtre entrouverte. Elle ne savait pas pourquoi, mais pas un son ne sortait de sa gorge alors que son cerveau lui disait qu’il ne fallait pas le laisser faire cela. Elle voyait bien que son ami à quatre pattes lui non plus ne réagissait plus qu’aux injonctions doucereuses et verbales de ce minot. Dès qu’il eut franchi la porte, le type referma le battant sur lui, les séparant de Einstein.
— Bien, maintenant, je veux bien de votre café. Si vous n’y voyez pas d’objection bien entendu.— ...
Tétanisée, comme prise sous le charme de la même voix ; elle fit lentement demi-tour et se dirigeait vers la cafetière. L’arôme du café qui coulait peu de temps après embaumait la cuisine. Elle s’apercevait soudain que sa main n’avait pas lâché le bijou qu’elle serrait.
— Il est beau n’est-ce pas ? — Beau ?— Oui le bijou ! Il doit vous aller comme un gant. Comme j’aurais aimé être à la place de Victor. Dites... vous ne voudriez pas me montrer ?— Vous montrer ? Mais vous montrer quoi ?— Et bien ! L’effet que cela fait... sur vous !— Vous êtes fou ? Vous croyez quoi ? Que je suis une pute de service ? Que vous pouvez tout me demander sans même que je vous connaisse ?— Oh ! Mais je peux tout vous demander et je vous le demande. Déshabillez-vous maintenant ! Le petit jeu peut commencer. Allons, remontez-moi cette jupe, que j’admire les jambes que je devine sous ce tissu.— Mais... vous... vous n’êtes pas bien...— Allons, je suis certain que vous en crevez d’envie, un petit jeune pour une belle plante comme vous... un petit coup de bite en passant, à votre âge, ça ne se refuse pas.
Ce salaud avait des mots qui marquaient au fer rouge l’esprit de Maryse. Il la considérait déjà comme une vieille, mais pire encore ; comme une vieille qu’il voulait se taper. Elle était près de sa table de cuisine et cherchait encore les mots pour répondre sèchement. Mais il avait avancé et la serrait désormais contre l’évier. Elle sentait confusément qu’elle perdait pied et qu’il allait arriver à la toucher. Son corps tout entier hurlait oui, alors que sa tête refusait cette éventualité. Quand il lui prenait la main, elle savait que c’était perdu.
Elle tentait de se retourner, mais c’était justement ce qu’il espérait. Et alors que son ventre était pris en tenaille entre le corps du type et l’arrête de l’évier, elle sentait qu’il remontait sa jupe sur ses fesses. Et son chien qui était dehors, comment se défendre ? Sa culotte glissait sur ses cuisses, dévalait ses mollets et atterrissait sur ses chevilles, alors qu’une main déjà entrouvrait son derrière. La seconde main de l’homme avait rejoint celle de Maryse qui tenait le joujou. Et lentement, il venait de s’en emparer.
Elle savait déjà ce que le garçon voulait faire et si son cerveau refusait cette idée, son ventre lui n’était pas aussi clair dans ses désirs. Elle mouillait abondamment avant même que la chose ne vienne caresser sa chatte. Il savait y faire ce saligaud et il frottait longuement l’objet sur sa fente avant de le faire pénétrer un peu, sans brutalité. Elle se sentait monter une envie folle de le gifler, mais tout autant de s’abandonner. Alors le rosbud qui glissait en elle la faisait tressaillir et soupirer. Elle sentait que ses muscles se détendaient, que sa chair avait perdu la partie. Il l’enfonça en elle le plus qu’il pouvait, pour mieux le ressortir. Et cette fois alors que d’une main il lui courbait le dos, elle savait que le cadeau allait trouver un autre chemin.
Comme la première fois, il venait de se ficher lentement en elle, trouvant sa cible avec détermination. Le gaillard la lâchait enfin pour se frotter à elle et elle s’apercevait qu’il avait déballé sans qu’elle sache comment, sa marchandise. Une bite de bonne taille cognait sur la partie du bijou qui émergeait de son postérieur. Il se déhanchait en la maintenant délicatement contre lui. Puis d’un geste plutôt souple, il la retourna contre lui. Elle sentait sa bouche masculine qui venait à la rencontre de la sienne. Détournant les lèvres, elle se trouvait embrassée dans le cou pour ce goujat.
Il l’attrapait ensuite sous les aisselles et la soulevait comme un fétu de paille. Ses fesses se retrouvèrent sur le plan de travail contigu à la pierre à eau. Et il venait d’écarter la fourche pour y planter son mufle. Elle se sentait envahie par une langue fouineuse qui commençait à aller et venir sur sa chatte. Celle-ci ne cachait plus rien de son humidité. Alors vaincue, elle se dit qu’après tout, autant en profiter. Quand il se redressa au bout de longues minutes, elle était prête pour la saillie. Il la mit en position ; le buste poussé vers l’arrière, le bassin débordant légèrement du plan de travail, il ne lui restait plus qu’à l’enfiler tranquillement.
Le premier coup de reins lui coupa le souffle. La queue raide qui venait de la pénétrer était douce, mais longue et elle s’accrochait aux tifs du jeune homme. Cette fois, elle était belle et bien baisée sans trop qu’elle l’ait voulu. Il la limait à son rythme, s’occupant surtout de son propre plaisir, mais restait tout de même attentif à ce qu’elle n’ait pas mal. La position n’était pas des plus aisée. Et le coït qui durait depuis un long moment semblait s’éterniser. Mais il la prit à bras le corps et sans sortir de son sexe, il la souleva sur sa pine.
Ensuite, c’est elle les jambes accrochées dans son dos et les mains sur sa nuque qui se laissait porter par cet énergumène qui la baisait presque tendrement. Il était fort le bougre, et quand au cours d’un mouvement saccadé elle se trouvait désarçonnée, il en profita pour la faire mettre à genoux. Non pas pour la prendre en levrette, mais bien pour qu’elle lui taille une pipe.
— C’est bien ma belle, vas-y ! Suce-moi ! Oui j’adore voir ta bouche qui me taille une pipe. Il avait raison Victor ! Tu es une belle cochonne et tu sais y faire. Oh ! Oui, continue ! Je voudrais te jouir dans la bouche, t’engluer de mon sperme. J’ai envie de te donner une fessée, de te prendre par-derrière, tu es... tu es une belle salope. Et tu as un cul d’enfer.— ... ! ... !
La bouche occupée, Maryse si elle entendait les vociférations du minot, ne pouvait en rien répliquer. Elle subissait la fougue de ce jeune garçon, mais elle participait également à cette folie et son ventre n’en pouvait plus, réclamant une autre visite. Elle attirait toute seule le gaillard sur son ventre alors qu’elle s’allongeait sur le carrelage de la cuisine. Bien entendu, l’autre ne demandait pas mieux. Il la savait vaincue, devenue sa chose pour le temps d’un coït, pour le temps d’une partie de cul. Et quand il arrachait le rosbud pour y planter son vit, elle n’avait eu aucune réaction de refus.
Sautée, enculée, elle avait trouvé cela plutôt bien. Alors quand il se releva, elle en fit autant. Son air vainqueur, son sourire narquois s’effaçait soudain sous l’impact d’une gifle qu’elle venait de lui assener avec une sourde violence. La seconde qui suivit eut le même retentissement et enflamma sa joue. Mais il n’avait plus un mot à dire. Elle, d’une rage froide avait les yeux comme des éclairs. Il se gardait bien de faire le moindre geste.
— oooOOooo —
À suivre...
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