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Einstein

Chapitre 5

Zoophilie
Jeux pour adultes !

Maryse avait prestement fait rentrer son chien. Elle n’était pas certaine que l’autre là, dont elle ne savait même pas le prénom allait prendre bien la beigne reçue. Cette claque n’était là que pour lui rappeler la plus élémentaire des politesses. Il n’aurait pas dû se servir, même si elle en crevait d’envie, c’était visible comme un nez au milieu de la figure.
Mais le jeune homme se contentait de rajuster sa tenue, de reprendre la valisette de Victor et il disparaissait de sa vie aussi vite qu’il venait de la traverser. Pas un mot d’excuse, pas un mot tout court ne serait-ce que pour remercier. Encore un à qui tout était dû, à qui la politesse écorchait sans doute les lèvres. Elle était de nouveau seule, et cette fois sans doute plus que jamais. Mais devant elle, sur la moquette, Einstein le mufle entre les pattes avant, lové en chien de fusil, suivait de ses yeux ronds tous les mouvements de sa maitresse.
Alors elle le laissa là, et dans la salle de bain, elle faisait disparaitre toutes les traces de ses étreintes qui l’avaient pourtant ravie. Puis séché et ayant passé une liquette propre, elle revint vers l’animal et son salon. Là, elle entreprenait de faire du feu dans la cheminée, une flambée, juste pour entendre le bois craquer sous les flammes. Douce chanson, joli spectacle et elle pouvait se perdre dans l’infini de ses fantômes rougeoyants qui crépitaient dans l’âtre. Assise sur son canapé, elle avait les deux jambes largement entrouvertes et sans faire exprès, elle fit un mouvement de la main.
Einstein interprétait immédiatement celui-là, comme une invitation à venir. En un bond sa tête était sur les genoux de Maryse et déjà sa langue léchouillait les cuisses découvertes de sa maitresse.
— Arrête ! Voyons, qu’est-ce que tu fais encore ?
Mais il n’écoutait plus ou ne voulait surtout pas savoir ce que cette voix racontait. Il avait un peu plus avancé son cou et ses babines laissaient entrevoir une langue longue et râpeuse qui parcourait les centimètres de peau nue dans cette fourche très offerte. Alors sans trop savoir pourquoi elle avançait juste un peu le bassin. Sa chatte se trouvait de la sorte plus en avant et le chien reprenait de plus belle ses léchouilles. Il axait ses caresses linguales sur la fente qui au grand galop bavait un peu plus que la normale. Lentement, ses sens reprenaient le dessus.
Mais cette fois, elle voulait prendre les affaires en main. Elle se coulait donc sur le tapis, entre table basse et divan. Puis de sa main, elle venait à la recherche du pénis du chien. Quand elle eut enfin trouvé le manche de l’animal, elle le serrait à la base et la trique rougeaude s’étirait bien au-delà de ses doigts. La chose aussi bavait alors que Einstein lui gémissait doucement. Mais il ne cherchait pas à se dérober.
Alors elle baissait la tête, amenant cette tige à ses lèvres alors que lui revenait de la truffe sur la fente dont ses cuisses écartées laissaient le libre accès. Elle léchait tout d’abord la longueur de ce mat violacé, les yeux clos et elle enfournait l’ensemble de la bite du cabot dans son gosier. Elle le suçait comme s’il s’agissait d’une bite de mec et le délice qu’elle en retirait allait de pair avec son excitation. La fellation dura un bout de temps. Ensuite, elle se releva, se mit à genoux et poussa sans lui lâcher la queue, le chien sur le côté.
Quand elle l’enjambait, c’était pour mieux venir s’assoir sur cette chose que sa main cramponnait et gardait bien raide dans sa paume. Tout doucement la bite entrait en elle. Et dans un soupir de soulagement, elle la laissait glisser jusqu’à ce qu’elle touche le fond de son vagin. Ensuite tout tranquillement, elle se fit monter et descendre sur la pine d’Einstein. Il ne bougeait pas, semblant apprécier cette manière de le monter.
Elle soupirait et le cabot en écho jappait comme des mercis de satisfaction. Le petit manège dura jusqu’à ce que se cristallise en elle, un premier orgasme. Celui-ci devenait de plus en plus impossible à réprimer et elle lâcha le dard animal. Le cabot en profitait prestement pour se redresser et de ses pattes avant, pesait de tout son poids sur les épaules de Maryse. Il la poussait, pressé de la prendre en levrette et cette fois, elle sentait que le vit canin touchait la bonne porte.
Il entrait en elle de nouveau et ses coups de reins furieux lui donnaient l’impression qu’un homme vigoureux lui labourait le ventre. Frénétiquement, il se laissait guider par son instinct et si à plusieurs reprises, sa pine fut éjectée, c’était toujours pour retrouver son chemin sans trop perdre de temps. Mais à force de gesticuler et de se faire virer pour mieux réinvestir la place, la queue d’Einstein se faufilait par l’entrée des artistes.
C’est ainsi que, non contente d’avoir été dans la soirée sodomisée par un gamin malpoli, son clebs aussi l’enculait et la sensation en était toute différente. La pine canine avait un bon diamètre, mais en plus elle était d’une longueur étrange. Et cette fois, à force de remuer, il la remplissait avec la langue pendante sur le côté alors que notre brune psalmodiait des mots incompréhensibles. La monte entre elle et son chevalier-servant se terminait par une jouissance qui la laissait pantelante et sans force.
Longtemps après qu’il soit sorti d’elle, elle ressentait encore les affres des orgasmes qui se succédaient aux bords de ses lèvres. Elle se relevait enfin et embrassait son amant à quatre pattes sur le haut du crâne. Mais lui ne voulait que filer courir dans la pelouse et elle s’exécutait bien vite en lui ouvrant la porte-fenêtre. Ensuite, une nouvelle douche et elle redevenait la jolie bourgeoise sage que tout le monde connaissait. Personne ne se serait douté que sous la chemise de nuit, une salope sommeillait !
— oooOOooo —
C’était le téléphone qui venait de réveiller la brune ce samedi matin. La voix dans l’appareil ne rappelait rien à la jeune femme et elle s’apprêtait à raccrocher vertement au nez de cet intrus qui se permettait de la déranger dans son reste de sommeil.
— Allo ! Maryse, merci pour ma valise.— Votre valise ?— Oui, vous ne m’avez pas reconnu, c’est Victor. Je serai de passage dans votre joli pays mercredi soir. Vous voulez diner avec moi ?—... !
Un long moment, elle se demandait si elle n’allait pas l’envoyer paitre. Mais quelque chose la retenait. Elle restait scotchée, sans mot ni pour le balancer ni pour convenir d’un rendez-vous. Mais l’autre prenait de l’assurance.
— J’aimerais vous revoir. J’ai un excellent souvenir de vous et mon Dieu... je crois que mon jeune ami José également !— Il s’appelait José le jeune homme que vous avez envoyé...— Ah ? Il ne s’est pas présenté ? Un goujat ? Je n’y crois pas ! Alors pour ce mercredi soir ? On se retrouve... « chez Gustave », vous savez ce restaurant au milieu de votre village... je compte sur vous ?— Je... je ne sais pas... je ne sais pas si je serai libre.— Oh ! Allons laissez-vous tenter, j’ai une nouvelle collection de bijoux... ils sont tous plus merveilleux les uns que les autres et la lingerie nouvelle... c’est un enchantement.— Bon je vais voir si je peux me libérer...— Et puis vous savez ce qui serait bien... c’est que vous veniez au rendez-vous avec... le bijou que je vous ai offert...
Elle ne répondait plus. Il venait tout bonnement de lui demander de se mettre dans les fesses le rosbud pour aller à un rendez-vous. Elle mesurait combien les hommes pouvaient parfois être imprévisibles. Il lui disait à mots couverts qu’il voulait la baiser et le pire de cette affaire c’était qu’elle était, dans sa tête, presque charmée de cette attention. Elle raccrochait avec une sorte de sourire sur les lèvres comme si l’affaire était entendue. Elle irait surement au restaurant comme il le lui demandait !
Les trois jours qui la séparaient de ce diner passaient sans encombre. Einstein tournait depuis le matin comme s’il avait perçu que sa femelle était chaude, prête pour une nouvelle saillie. En rentrant du boulot, elle le vit qui arborait une trique d’enfer. Elle le rabrouait gentiment et se préparait pour sa sortie. Une longue douche durant laquelle elle frictionnait toutes les parties de son corps, s’attardant sur celles plus susceptibles d’être mises à contribution, de « servir ».
Dans sa tête elle avait passé le cap et savait déjà que l’homme allait la monter. Elle en gardait un souvenir suave et son ventre savait bien lui rappeler son appétit. Elle prit un soin tout particulier pour choisir ses sous-vêtements. Ni trop bourgeoise et pas trop pute non plus. Un juste équilibre entre les deux et elle fouillait dans sa table de nuit., à la recherche d’un tube de vaseline. Quand elle fut sur le point de prendre la route, elle en récupérait une noisette sur le bout de son index. Baissant sa culotte, elle joua du doigt sur sa rosette.
Quand elle jugea que c’était prêt, elle enduisait le bout plus pointu du joujou et lentement elle le poussait à l’intérieur d’elle avec une sorte de grimace. Un long soupir de soulagement accompagnait la chose qui s’introduisait en elle pour être stoppée par le renflement enrichi de la pierre précieuse. La jupe toujours relevée, culotte à mi-cuisse, elle se penchait en avant devant sa psyché et admirait l’effet que pouvait rendre ce truc fiché en elle. Ça lui écartait un peu les deux fesses, alors elle remontait le triangle de dentelle, puis rabattait le lé de tissu qui masquait l’ensemble.
Elle était prête à se rendre « chez Gustave ». Le restaurant n’était pas très éloigné de chez elle. Mais conduire avec un objet fiché dans l’anus n’avait rien de génial. Chaque changement de vitesse, chaque bosse de la route tirait en elle des sensations plutôt étranges. Un moment elle craignait que l’engin ne continue sa montée en elle et elle devint rouge de confusion. Pourtant elle était seule dans la voiture et elle se traitait de dingue d’avoir aussi facilement cédée aux demandes de ce... voyageur sexuellement dérangé.
— oooOOooo —
La salle n’était pas bondée. Deux ou trois couples, dineurs attardés après une sortie promenade ou amoureux de la bonne cuisine de terroir, ces gens ne s’occupaient pas de l’entrée de cette belle femme qui embrassait d’un regard les tables. Elle apercevait celui qui semblait attendre et elle faisait deux pas dans sa direction. Elle faillit rebrousser chemin alors qu’au milieu de la salle, elle voyait une seconde caboche au côté de celui qui l’attendait. Un ami ? Un copain ? Il aurait pu lui dire que ce n’était pas un rendez-vous galant ! Sans gêne tout de même ce mec...
Elle en était là de ses pensées et déjà Victor s’était levé. Il lui faisait un signe de la main, alors que le type face à lui aussi s’était redressé. Il était grand, sans doute plus jeune aussi que son ami. Elle avait désormais les jambes un peu coupées par la vision de ce second gaillard. Victor l’invitait à prendre place et la seule assiette libre se trouvait près du nouveau.
— Ah ! Marc, je te présente Maryse ! Maryse, Marc un ami que je croise de temps en temps lors de mes tournées. J’espère que ça présence ne vous importune pas ! Il se joint à nous pour un diner de fête, parce que c’en est une de diner en votre compagnie.—... ! Si c’est votre ami... — Il l’est je vous l’assure. Et un ami très cher... vous êtes encore plus belle que dans mes souvenirs. Tu sais Marc, cette femme est un bijou à elle toute seule.— Je n’en doute pas. Victor a bon gout en matière de femme, et j’avoue que vous avez un charme fou !— Vous me mettez mal à l’aise vous deux, avec vos mots gentils.— Vous savez bien que nous avons raison, n’est-ce pas Marc ?
Victor s’adressait à ce Marc comme s’il était entendu que la suite de la soirée était déjà programmée. Ils prenaient l’apéritif maison et puis dinaient sans trop d’autres appréciations qui lui mettaient le rouge au front. Assise sur un siège long fait d’une sorte de cuir, à chaque mouvement, elle sentait la pression du rosbud qui jouait son rôle en elle. Elle savait bien que ses lèvres vaginales suintaient de cette rosée que l’objet en elle lui procurait. Au dessert, Marc était enjoué, et semblait excité, buvant les paroles de la brune.
Son pote Victor lui vantait de nouveau les charmes de la belle et elle minaudait en se tortillant sans trop le montrer. Mais comme un pavé dans la mare, elle l’entendait soudain qui lui posait une question qui la pétrifiait.
— Ma chère Maryse, avez-vous suivi mon conseil et portez-vous mon bijou ? Ah ! Oui Marc, je ne t’ai pas dit... j’ai offert lors de ma première rencontre avec Madame un bijou très... intime et elle avait l’instruction de le porter ce soir.—... !— Vous aimez donc ce genre de joujoux ? Je pense qu’ils embellissent les femmes et que celles qui les portent sont déjà un peu... soumises.— Répondez Maryse, portez-vous mon... enfin l’avez-vous sur vous ?—... !
Horriblement gênée, elle avait piqué un fard. Sans aucun doute les deux-là avaient le sourire et elle faisait les frais de ce facétieux type. Victor la poussait lentement dans ses derniers retranchements. Elle n’arrivait plus à articuler un mot, rouge comme une pivoine.
— Vous avez donc perdu votre langue ma chère amie ? Vous permettrez donc que mon jeune ami s’assure de la présence de mon cadeau ? Oh ! Comme cela, juste du bout des doigts... soyez chic, je crois que depuis un certain temps, il n’a pas eu l’occasion de croiser la route d’une aussi belle femme.— Mais... vous... vous êtes dingues ma parole.— Sans doute, mais jamais folie n’avait eu un aussi joli point de départ Maryse. Alors ? Marc peut... sentir si vous avez respecté la clause du contrat ? De toute façon, nous allons vous faire l’amour tous les deux. Inutile de jouer à la sainte nitouche, je sais bien que vous devez déjà mouiller votre culotte. Alors, vas-y Marc qu’attends tu pour vérifier si Maryse porte bien mon jouet ?
L’autre n’avait pas bronché, les yeux plongés dans ceux de la brune. Elle semblait le supplier, lui hurler muettement de ne pas faire cela. Et les deux hommes se délectaient déjà de ces regards apeurés. Alors quand il fit passer sa main sur le genou, remontant celle-ci entre les deux cuisses qu’elle s’obstinait à garder serrées, elle tressaillait. Cette visiteuse montait sans s’arrêter et un moment plus tard, elle se frottait d’abord à la dentelle qui couvait le sexe de la brune.
Lentement, sans crier gare, les doigts enfin descendaient le long de la fourche, à la recherche de la petite proéminence qui obturait l’anus.
— Oui Victor, Madame est équipée. La chose est bien là ! Et je t’assure qu’elle mouille abondamment. Sa culotte est archi trempée. Je peux la caresser un peu ?— Pourquoi me le demandes-tu ? C’est à notre jolie cochonne de donner son accord ? Vous êtes consciente que nous allons aller chez vous et que nous vous baiserons tous les deux... peut-être même ensemble ?—... ! ... ?
De nouveau, un soupir qu’elle ne pouvait réprimer et l’autre avait un majeur qui écartait ses lèvres. Elle tentait de rester droite, de ne pas se dandiner trop, de ne pas montrer aux autres dineurs qu’elle était tripotée, là à deux pas d’eux. Mais Marc donnait déjà des mouvements circulaires à ses phalanges et elle se sentait rougir de honte. Coincée sur sa banquette, pas une seule seconde elle n’avait eu l’idée de dire « non ». La navigation de ce majeur en elle la rendait folle. Elle restait relativement bien tranquille sur son siège alors que son ventre lui, réclamait quelque chose de plus... musclé.
— oooOOooo —
À suivre...
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