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Einstein

Chapitre 6

Zoophilie
Le chemin de croix !

Se laisser tripoter dans un restaurant était comme un supplice pour la brune. Mais elle n’était plus en mesure de dire non, à qui que soit, voire même à quoi que ce soit. Le nommé Marc restait planté là avec un large sourire sur les lèvres alors qu’il masturbait tendrement la belle. Les cuisses sous le plaisir s’étaient désolidarisées et elle était très ouverte. À plusieurs reprises Maryse eut même l’impression que les tables proches pouvaient entendre ses petits gémissements qu’elle refrénait de son mieux. Puis Victor décidait que c’était l’heure. L’heure de rentrer, l’heure de passer aux choses sérieuses.
Si Marc continuait à la branler sous la table, lui réclamait l’addition. Il payait pour les trois repas et enfin se levait. Comme à regret, son ami dut bien sûr abandonner la chatte en pleurs qu’il fouillait allégrement. Tous trois debout, ils reprenaient le chemin de la sortie. Dans la tête brune, des milliers de choses se bousculaient. Elle envisageait même de les planter là, sur le parking. Mais fine mouche, Victor lui collait un copilote dans les pattes.
— Marc, tu veux bien faire le chemin avec Maryse ? Je vous suivrai moi avec ma voiture. On peut même faire une halte en route si vous voulez... vous connaissez la stèle à la sortie du petit bois ? Ça s’appelle « le malgré-nous », nous pourrions y passer quelques instants ? D’accord Maryse ?— ... ! Euh...— Bon et bien, c’est dit, finalement, je passe devant, comme ça vous n’aurez qu’à me suivre. Ce sera plus simple et pas de risque de se tromper de route.— Vous voulez que je conduise votre voiture Madame ?— ...
Maryse n’avait pas le temps de répondre qu’il avait déjà capté les clés dans sa main et qu’elle se retrouvait sur le siège passager. Les deux véhicules fonçaient dans la nuit. Elle connaissait bien cet endroit où les amoureux venaient souvent dans l’obscurité faire leurs petites affaires. Elle aussi en son temps avec son Alix... elle avait étrenné les lieux. Ils roulaient tranquillement et quand les feux arrière de la berline devant eux bifurquèrent sur la droite, elle savait exactement où la place démarrait. Les moteurs se turent et tous les trois descendirent des habitacles. Sur le bord du sentier se trouvaient des tables et des bancs pour les pique-niques dominicaux.
C’était là que les deux hommes l’emmenaient. À peine sur place que Victor lui roulait une pelle. Elle essayait vainement de ne pas répondre, mais la chair était faible. Alors que l’autre, Marc était dans son dos, déjà à la câliner sous sa jupe. Le plus âgé lui caressait les seins. Son corsage remonté ne cachait plus grand-chose du soutien-gorge qui finissait sa course sur le bois de la table. Sa culotte aussi glissait sans qu’elle fasse un geste pour la retenir. Elle était à point.
Prête à être prise par les deux mâles qui bandaient de concert, qui ne se pressaient cependant nullement pour la baiser. Non ! Pour l’heure, chacun se contentait d’un morceau d’aile ou de cuisse et elle gémissait sous la lune qui riait au milieu de ce ciel qu’elle éclairait. Couchée sur le plateau de la table qui lui raclait les cotes, elle laissait Victor s’occuper de cet entrecuisse dont sa bouche était friande. L’autre avait déballé sa marchandise et lui présentait aux lèvres une queue raide et chaude.
Que faire d’autre sinon astiquer d’abord un peu ce manche, juste avant de le happer entre deux lèvres rouges de gloss. Elle sentait que l’engin s’enfonçait entre ses mâchoires, les écartant sans coup férir, venant même frapper à la luette. Elle en perdait le souffle, mais Marc ne s’en souciait guère. Trop heureux de pouvoir limer cette gueule d’ange ; il se trémoussait doucement et elle en avait plein le gosier. Mais Victor lui non plus ne restait pas inactif.
Dans sa chatte il avait adjoint ses doigts à sa langue et maintenant il la remplissait tout en titillant son clitoris avec insistance. Bien entendu à ce petit jeu-là, elle n’en était qu’au début de son plaisir et son corps tout entier vibrait d’envie. Les plaintes de bonheur qui remplissaient la clairière devaient donner des idées aux animaux des alentours. Et le plus âgé des deux enfonçait toujours plus profondément ses phalanges en elle. De temps à autre, de son autre main toujours libre, il faisait aussi tourner le rosbud dans l’œillet de la belle et elle mouillait encore plus.
Ce manège durait depuis un long, très long moment quand dans la nuit des phares trouèrent le sombre calme des alentours. Une voiture passait, ralentissant comme pour s’arrêter et sans doute que les deux véhicules bien garés dissuadèrent les occupants. Ils remettaient les gaz et le ronron du moteur allait en s’amenuisant. Marc maintenant était monté sur la table et tirait sur lui la brune. Elle se laissait faire, docile, consciente qu’elle allait subir les assauts de deux mecs bien robustes.
Finalement installée de tout son long sur Marc, son derrière était le centre de toutes les convoitises et malaxé, ouvert, elle se sentait bien. Mais quand la main de Victor s’écrasait sur sa peau des fesses bien tendue, elle sut soudain que ces deux-là allaient la faire aussi un peu souffrir. C’était drôle tout de même cette sensation d’envie alors qu’elle avait mal au cul. Il tapait assez fortement et elle se devinait le postérieur rougi de belle manière. La fessée dura un long moment, moment incomparable de douleur mêlée à cette envie pernicieuse amenée par la séance de dressage.
Elle sentait aussi que finalement, ils lui tiraient les tétons sans ménagement et elle reçut une trempe mémorable. Des mots orduriers aussi fusaient des bouches mâles alors que les deux mecs l’asticotaient sans arrêt. Leurs ceintures aussi servaient de liens et sur ses yeux ils mettaient une sorte de foulard noué sur la nuque. Après cela, elle fut remise debout au milieu de la clairière et ses deux bourreaux riaient. Elle n’en voyait aucun, alors qu’eux s’armaient chacun d’une branche de sapin. Elle dut courir droit devant elle pendant que ses mollets étaient cinglés par ces badines de fortune.
Dans l’étroit chemin qui la conduisait, Dieu seul savait où, elle avançait à l’aveuglette. Ses pieds nus sur les rocailles lui faisaient mal et chaque pause qu’elle tentait de faire, voyait son dos, sa croupe, ses seins, parfois même sa chatte recevoir l’offrande d’un coup de baguette pas magique du tout. Et ils y mettaient du cœur à l’ouvrage, les deux salauds qui se payaient une tranche de bonheur plus ou moins SM. Elle finissait par se retrouver à quatre pattes, pareille à une chienne suivie par deux loups affamés. Et les coups étaient plus ciblés sur son cul qu’elle n’arrivait plus à protéger.
— oooOOooo —
Finalement, ils la prenaient là où elle se trouvait, la roulant dans la mousse d’un sous-bois juste humide et elle bramait comme une biche aux abois. L’un se plaçait sous elle, la soulevait pour la tringler sans ménagement alors que l’autre lui retirait de l’anus sa rosbud et lui mettait dans la bouche l’objet qui venait de séjourner un long moment dans son cul. Puis sans un mot il enfourchait cette cavalière singulière. Prise par devant et ramonée par derrière elle se sentait soudain envahie par cette jouissance qu’elle sentait monter en elle depuis un instant.
Ils changeaient de position, mais elle restait le centre d’intérêt de ces deux bites ramoneuses en diable. Elle but jusqu’à la lie une liqueur épaisse, distillée par les queues pleines de ces deux hommes qui limaient sa bouche, son ventre et son derrière. Elle devenait folle, se hissant au-dessus de la mêlée, réclamant même parfois qu’ils soient un peu plus violents, qu’ils lui claquent les fesses alors que deux queues s’agitaient en elle. Cette nouvelle manière de faire l’amour avait un charme dingue et elle savait qu’il lui serait difficile de s’en passer désormais.
Le retour chez elle se faisait dans le plus grand silence, Marc gardant ses pensées et elle ses images d’une orgie peu commune. Ses cuisses gardaient quelques séquelles de ces coups de baguette improvisés. Les traces de sperme qui avait coulé sur en-dehors de ses orifices, tant ils l’avaient remplie, avaient séché en longues trainées blanchâtres. Elle les invitait à entrer pour boire un verre. Et le chien semblait d’un regard désapprouver son indigne conduite. Il était venu flairer les deux hommes et sentir les jupons de sa maitresse. L’odeur de cul devait exciter le cabot.
Einstein bandait assis avec ses yeux marron qui suivaient chaque pas de sa compagne habituelle. Elle priait le Bon Dieu pour qu’il ne cherche pas devant eux deux à... mais aller expliquer à un animal comment il doit se comporter. Alors que son os était tout raide, c’était encore Marc qui avec un sourire avait repris la belle par le bras.
— Tu vois bien qu’il réclame sa part ton toutou. Allons viens par-là !
Elle avait tenté de résister, mais il la maintenait si fermement, aidé immédiatement en cela par son ami Victor. Cette fois le jupon lui fut remonté sur le haut du corps et elle se retrouvait plaquée contre la table de la cuisine. D’abord tout débutait par une autre fessée et celle-ci ramenait des pleurs à ses lèvres. Elle haletait. Puis le chien la couvrait alors que les deux hommes la maintenaient jambes ouvertes, cul bien libre. Elle comprenait vite que cette fois, il guiderait la bite du cabot en elle.
Le coït se précisait et Einstein ne renâclait pas. Elle avait sur le dos le poids de la bestiole qui était bien calée dans sa chatte. Ses pattes avant la serraient de près, la griffant aussi à l’occasion et les doigts qui menaient la queue de chien en elle en profitaient largement. Les yeux fermés, elle gloussait sans trop savoir comment cette partie de cul allait s’achever. L’animal labourait les reins de notre infortunée Maryse. Puis la tension retombait comme un soufflé qui redescend au sortir du four.
Mais Marc lui n’en avait pas assez. Il la prenait dans ses bras et lui roulait une pelle sur la table. Le chien était reparti vers l’extérieur, délaissant sa salope pour un temps. Repu, il n’insistait pas. Alors que le plus jeune des deux hommes caressait le front de la belle et que lentement son vit reprenait une forme plus tendue.
— Je t’adore toi. Tu es magnifique et plus soumise que la plupart des femmes que nous fréquentons Victor et moi. — ... ? Vous... vous faites cela souvent ?— Chaque fois que nous rencontrons une jolie salope... mais j’avoue que tu surclasses toutes les autres.— Mais... toutes les femmes acceptent de... de se soumettre à vous deux ?— Oh ! Non bien sûr. Nous sommes souvent éconduits, mais de temps en temps nous tombons sur une perle rare. Et si tu veux bien, je pourrais m’occuper de toi.— Vous occupez de moi ? C’est-à-dire ?— T’habiller, te préparer, t’offrir, te sortir, enfin je pourrais t’emmener dans sur des chemins dont tu ne pourrais pas imaginer la douceur ou... la douleur !— Vous voulez dire que vous me feriez mal exprès ? Pour votre plaisir ?— Non ! Pour surtout décupler le tien de plaisir. Tu vois ? Ferme les yeux ! Imagine... un cercle d’hommes qui l’un après l’autre vont te monter. Mais avant cela, tu devrais les sucer les exciter, tu serais la reine de la soirée. Une ronde, une sarabande ou tous te feraient ce qu’ils auraient envie de te faire.— Mais... c’est de la folie.— Tu crois que ce serait pire que de faire l’amour avec nous deux ? Bien sûr que non ! Tu es faite pour le cul, tu es une déesse et je suis certain que bien des mecs donneraient cher pour s’occuper de ce joli cul. D’autres te présenteraient aussi des chiens bien plus aguerris que ton Einstein et je sais bien, je l’ai compris, tu aimerais cela.— Vous n’êtes vraiment pas bien du tout vous !— Tu dis cela, mais je sais qu’au fond de toi... tu aimerais cela et que tu vas essayer. Tiens voilà mon téléphone. Demain, appelle-moi dans l’après-midi et je te prépare une rencontre dont tu me diras des nouvelles. Mais si tu appelles, c’est que tu acceptes les règles, enfin mes règles. Nous sommes bien d’accord ?— Euh... je n’en sais rien. Je ne crois pas que je vous appellerai.— On verra. Tu veux bien sucer Victor ? Maintenant je vais te prendre encore un peu... derrière ! Mais ne crains rien, je vais être tout doux. Tu sais la rosbud a bien élargi le passage et je suis sûr que tu peux jouir par là aussi. Allons, viens t’assoir là.
Il venait de se recoucher sur la table. Elle grimpa sur lui et les mains posées sur les cuisses de Marc elle se laissait glisser sur son dard. Victor lui appuyait sur le haut du crâne, de manière à ce qu’elle se trouve les lèvres au contact de sa queue. Elle suçait une fois de plus le bonhomme alors que dans son cul le remue-ménage reprenait de plus belle. Aucune douleur, juste la gêne du passage d’un truc conséquent, puis doucement la montée d’un plaisir inouï qui venait se substituer à ce léger dérangement dû à la queue qui la pistonnait.
Derrière ses paupières closes et dans son crâne résonnaient les mots de cet homme. Elle savait qu’elle était vaincue et que s’il insistait encore un peu, ce serait de suite qu’elle lui donnerait son accord, accord tacite pour ces tourments promis. Elle jouissait en hurlant alors que Victor lui se branlait sur son visage. La giclée de sperme coulait sur ses joues, sur ses lèvres et d’un doigt, il en ramassait le plus gros de la coulée. Ces phalanges maculées lui étaient maintenant amenées dans la bouche. Elle tétait presque goulument la liqueur sur le doigt.
Et quand Marc éjaculait en elle, qu’il ressortait son membre tout maculé de son postérieur, c’était avec le même bonheur qu’elle devait nettoyer la pine gluante du mâle. Ensuite, ils prenaient congé de la belle brune, qui sans demander son reste se précipitait sous la douche. L’eau lavait, mais les souvenirs et les images étaient là, comme ressurgissant de partout, inondant ses pensées. Elle avait aimé cette autre façon d’être finalement plus chienne qu’une chienne. Sur la table de la cuisine, là où son cul se posait il avait encore quelques minutes, un carton blanc et son numéro de téléphone la nargueraient au lever.
Mais pour le moment c’était l’heure de se coucher. Elle allait un instant se promener sur la pelouse, nue sous un déshabillé vaporeux. Là-haut, dans le ciel, la lune ronde était éclairée par un soleil qu’elle ne voyait pas, semblant lui faire comme un clin d’œil. Demain... demain une autre journée et qui savait où celle-ci allait la faire aller. Mais elle savait déjà que demain... elle l’appellerait avec un grand oui dans la voix. Un oui qui allait lui ouvrir des perspectives si différentes. Elle avait trouvé ces séances de cul avec les deux là tellement... trop bonnes.
Elle se couchait donc pour une nuit bien méritée avec au fond de la tête des rêves. Mais pas des rêves de femmes sages ! Non, c’était des forêts de bites masculines qui relevaient fièrement la caboche, c’était des champs de queues où des glands savoureux et lisses venaient en rangs serrés à la rencontre de sa bouche totalement béante. Elle pensait juste un instant avant de s’abimer dans le noir complet ; qu’elle était devenue une gentille petite salope, une cochonne qui aimait le sexe et elle se demandait avec angoisse où sa perversion s’arrêterait... si elle s’arrêtait un jour !
— oooOOooo —
À suivre...
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