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Einstein

Chapitre 7

Zoophilie
Les bijoux !

La journée de travail trop longue n’en finissait plus. L’esprit de la brune n’était pas vraiment au bureau et lorsqu’à la pause déjeuner elle avait eu Marc au téléphone... il l’avait fait frissonner. Tout d’abord, il passerait la prendre chez elle vers dix-neuf heures. Recommandations d’usage, il avait dit : pas de sous-vêtements et que si elle venait, c’était qu’elle acceptait l’idée d’être sans doute humiliée, bafouée et pire encore. Elle avait bien saisi que cette fois, celui-là allait la mener dans la cour des grandes. Fini les petits jeux au hasard d’une rencontre, cette fois c’était du sérieux, du corsé. Il lui avait promis des montagnes de jouissance, mais en compensation de petits désagréments dont elle tentait de deviner la teneur.
Alors, dès son retour la douche, et mise en valeur de ses attributs de femmes lui avaient volé le peu de temps avant l’arrivée de Marc. Et le bougre était à l’heure. Il entrait chez elle, propriétaire de la maitresse des lieux, sans gêne et avec un aplomb qui devait la faire rougir, s’assurait qu’elle avait respecté au moins la tenue vestimentaire. Une jupe noire, relativement courte, un chemisier blanc et rien dessous. Il semblait satisfait de voir qu’elle était conforme à ses demandes.
— Bien je vois que tu es un bon petit soldat. Maintenant, dis-toi qu’il faut parfois souffrir pour être belle. Enfin... plus belle encore. Ce soir nous allons simplement nous promener et je veux apporter quelques modifications à ton corps.— Des modifications ? Vous entendez quoi par là ?— Qui t’a demandé de parler ? Tu ne t’adresses plus jamais à moi sans y avoir été invitée. C’est bien compris ça ? C’est la première règle de base. Si tu n’obéis pas, tu seras châtiée et crois-moi, tu vas savoir ce que soumission veut-dire.— ... ?— Mais tu vas voir, ce n’est pas si terrible d’être au petit soin de tout le monde. Allez en route !
Ils étaient dans la voiture de Marc. Une grosse berline puissante et il abusait de la vitesse. Mais cette fois les lieux qui défilaient tout autour du véhicule n’étaient pas présents dans la mémoire de la jeune femme. Sur son siège, elle se tenait bien droite, sans un mot, visage fermé. Ils roulaient depuis au moins deux heures quand enfin, il mettait ses clignotants puis s’arrêtait dans un garage couvert. Il lui demandait de descendre. Ses jambes avaient un tremblement significatif de sa peur grandissante.
— Viens, nous allons entrer !
Il lui avait attrapé la main et marchait à ses côtés, comme s’il était son amoureux. Une première porte les amenait dans un hall éclairé puis quelques marches et derrière l’huis clos, une sorte de salon. Dans celui-ci un siège bizarre mangeait tout l’espace d’un mur tapissé de rouge. Un tissu que Maryse jugeait comme étant du velours, mais elle n’en était pas certaine. Un homme en blouse blanche et porteur de lunettes rondes avançait vers Marc.
— Alors c’est la jeune dame dont vous m’avez parlé ? Si vous voulez bien lui demander de s’installer... elle est au courant ?— Non ! Mais elle ne refusera pas je vous l’assure. Comme les autres fois, c’est là que se passe ?— Oui ! Vous commencez à avoir l’habitude. Alors je vous laisse quelques minutes, le temps de préparer mes appareils...— Faites, faites ! Vient Maryse !
Il la poussait légèrement dans le dos, l’exhortant ainsi à avancer vers l’étrange croix formée par un siège et son dossier. L’assise en cuir ressemblait à celle d’un tracteur, au moins dans la forme. Mais sur celui-là était greffé un objet qui ne devait pas se trouver sur un engin agricole. Une sorte de queue raide faite de la même matière que le siège présageait déjà de son usage. Maryse voyait aussi le dossier. Une simple planche de bois pas très large et à hauteur des épaules comme des accoudoirs sur lesquels les bras des patientes devaient venir se poser.

— Bon ! Tu vas te déshabiller et t’assoir ici !
Il lui montrait bien la chaise très spéciale. Elle défaisait donc la ceinture de sa jupe et ouvrait son chemisier. Ses deux seins jaillissaient de leur gangue de coton, simplement lumineux au milieu de cette poitrine et ils ne tombaient pas. Elle prenait place sur le siège et bien entendu la bite qui en faisait partie venait s’incruster, non pas dans sa chatte, mais... dans son anus. L’homme à lunette voyant qu’elle faisait une grimace tendait à Marc un tube de gel intime.
— Si vous voulez qu’elle soit confortable...— Non, à la dure... elle est là pour souffrir un peu aussi.
Alors que la brune s’asseyait et que l’objet proéminent s’enfonçait en elle Marc lui, venait de passer autour du cou de la jeune femme une sangle de cuir qui l’empêchait de tourner la tête. Puis l’homme et Marc serraient également les bras sur les sortes de repose-bras. L’angle du dossier du siège était contraignant et elle avait la poitrine qui se trouvait bien en lumière. Le type en blouse blanche venait de se saisir d’une sorte d’aiguille au bout de laquelle il vissait un petit cylindre jaune terminé par une boucle. Puis il approchait de la table.
— Serrez les dents ! Ça risque d’être un peu douloureux.
D’une main il tenait son aiguille et de l’autre comme un morceau de bouchon. Il approchait lentement les objets du téton le plus proche. Elle comprenait soudain qu’il allait lui percer le bout pour y loger cette tige en or ou en métal doré. Elle se contractait alors que le gars maintenait la pointe du nichon contre son morceau de liège. Elle sentait d’un coup, une énorme douleur, et l’autre continuait d’appuyer sur le sein. L’aiguillon traversait la chair et il ne s’arrêtait qu’après que l’anneau doré soit contre le téton. Elle avait le sein percé. Le gaillard tenait l’anneau et de son autre main désolidarisait tranquillement tige et aiguille.
Il revissait ensuite un autre anneau du côté où il n’y en avait pas. Maryse avait les tempes vrillées par cette douleur lancinante qui ne se calmait pas. Mais entre les larmes qui effleuraient désormais ses yeux, elle voyait que le gars recommençait son manège. Pas de doute, son second sein allait connaitre le même sort. Quelques minutes plus tard, c’était chose faite et les pointes gonflées de ses nibards étaient ornées de deux bijoux. Mais quelle douleur pour que ce con pose ces tiges ? Il revenait avec une noisette d’un produit au bout des doigts.
Il portait des gants de latex et dès qu’il passait ses doigts sur les deux blessures, les douleurs s’estompaient, comme par enchantement.
— N’ayez crainte cet onguent va vous calmer les douleurs. Je vous en remettrai un petit flacon, vous pourrez l’utiliser jusqu’à la totale cicatrisation de vos... enfin vous verrez dans un jour ou deux, vous serez belle et ce ne sera plus du tout enflé. Je vais finir avec les bijoux par la pose de la chaine... à moins que votre maitre ne veuille lui-même s’en charger ?— Oui, donnez-la-moi ! Voilà Maryse, une chaine va relier les deux tiges qui ornent tes nichons. Interdiction de la retirer sans mon accord ! Je me suis fait bien comprendre ? — Oui...— Oui qui ? Tu vas devoir apprendre ma belle ! Oui qui ?— Oui... maitre ! — Voilà... tu as tout compris. Bon Jules, on s’occupe du bas aussi ?— Vous croyez ? D’habitude, je ne fais jamais les deux le même jour... pour que mes clientes ne souffrent pas trop.— C’est moi qui décide... alors on pose aussi le bas !
Maryse sur son siège tremblait. Elle entendait bien sûr ce que demandait Marc et elle comprenait qu’elle allait encore subir quelque chose, mais cette fois c’était au niveau de sa chatte que ça allait se passer. Elle se mordait les lèvres d’appréhension. Le mec en blouse avait rajusté ses lunettes sur son nez.
— Je peux la préparer un peu avant ?— Bien sûr ! Vous avez, non... nous avons tout notre temps.
Alors l’homme revenait vers elle, avec à la main une sorte de bâillon boule.
— Ouvrez la bouche, madame. Je vais vous passer ceci, ça vous évitera de vous blesser les dents. Vous n’aurez qu’à serrer fort et crier si vous en avez envie. Je vous affirme que je serai le plus délicat et doux possible. Mais cet endroit est très douillet, je vous l’accorde. Alors... c’est bien, respirez un bon coup et... hop là !
En un tour de main adroit, elle se retrouvait la boule dans la bouche et l’homme nouait sur sa nuque les deux lanières. Elle pouvait bien mordre autant qu’elle voulait, pas de risque qu’elle se casse une dent en les entrechoquant entre elles. Il reprenait son cérémonial. D’abord son dossier s’inclinait légèrement et son siège aussi basculait un peu. Elle sentait l’objet dans son cul qui lui tirait un peu sur l’œillet. Les doigts de l’officiant longeaient sa chatte, en écartant les grandes lèvres. Il faisait quelques passages le long de sa fente. Puis un doigt roulait sur le clitoris, aidé par un autre ensuite.
Il venait de décapuchonner le pic et le roulait entre son majeur et son index.
— C’est bien ! Vous bandez un peu et les sensations seront moins pénibles si vous êtes excitée. Alors je vais vous faire venir un peu sur mes doigts. Là ! C’est parfait, je vois que vous êtes déjà bien... chaude. Vous mouillez beaucoup ? Sans doute ! Vous coulez déjà sur le drap et c’est tant mieux... Marc ! Vous voulez bien la masturber encore un peu... je dois préparer mes clips !— D’accord. C’est bien ma belle. Tu es bonne, bien ouverte et dans quelques minutes, tu vas être ferrée. C’est vrai qu’en bonne petite salope, la situation te fait mouiller... ben ma cochonne, c’est déjà tout trempé... tu aimes ça... hein ? Tant mieux parce que nous n’en sommes qu’au tout début de nos jeux... tu t’en doutes !
Elle respirait fort. Sa tête toujours coincée par la sangle qui lui maintenait le cou, elle n’avait que ses yeux pour répondre. Elle les faisait tourner dans leur orbite, montrant sa peur, elle puait la transpiration aussi. Et toute l’officine semblait sentir cette odeur de... cul qu’elle dégageait bien involontairement. Les lèvres étirées, le clito mis à contribution et elle savait que ce n’était que pour mieux la faire souffrir et pourtant, son salaud de corps réclamait cela. Quand le mec à lunette tirait sur une partie charnue de la première lèvre, elle se crispait de partout. Mais rien ne pouvait empêcher ce qui arrivait. L’horrible douleur lui montait partout et réveillait celle pourtant endormie des seins.
Il bricolait sur la seconde partie de sa chatte et le manège recommençait, plus incisif encore, plus douloureux sans doute. Elle n’était plus qu’un long cri, un gémissement monstrueux alors que les doigts de Marc caressaient son bouton avec plus de fougue. Et le latex qui passait sur les endroits meurtris calmaient d’un coup, comme pour la poitrine la sensation de souffrance. Il ne lui restait plus que cette voluptueuse montée d’une sorte de plaisir sournois. Oscillant entre orgasme et folie elle se tordait sous les dernières caresses de cet amant si spécial.
Sa chatte était munie de petites chaines qui pendaient sur ses cuisses. Assez longues, elles descendraient bien bas lorsqu’elle serait en position debout. Et elle se laissait gentiment masturber par Marc qui insistait lourdement. Le type qui pour le moment avait fini son boulot attendait patiemment près du couple.
— Vous voulez... Jules, vous voulez la tringler ?— Si c’est un effet de votre bonté, j’avoue que j’aimerais bien... l’essayer.— Servez-vous alors ! C’est le prix d’un bon travail. Elle vous plait ? Moi je trouve magnifiques ces bijoux intimes. Tu vois ma belle, ils sont sertis et pour les retirer, il faudrait une pince coupante... alors ils doivent rester là où je les ai fait mettre ? Bien saisi, cela ?— Oui, oui maitre ! — Bien, c’est parfait. Le Monsieur va te baiser et tu vas pouvoir finir de jouir... tu verras la douleur sert aussi à amplifier le plaisir. Bon je te détache et tu obéis à cet homme.— ... !
— oooOOooo —
L’homme nu comme un ver n’avait rien d’excitant. Marc assis sur un tabouret suivait l’évolution des choses et ne parlait pas. Elle avait dû sucer une nouille qui bandait plutôt « mou ». Puis il avait essayé à plusieurs reprises de la prendre, mais son engin flaccide avait refusé obstinément d’entrer en elle. Par contre il lui avait léché la chatte avec une langue gourmande et elle avait apprécié cette manière délicate de la caresser intimement. Elle s’était laissée faire, et le résultat n’avait pas été à la hauteur des espérances des uns et des autres.
Marc avait suivi avec intérêt la non-venue de ce plaisir auquel elle aspirait avidement. Alors il sortit son sexe et le lui tendait pour une fellation. Sans hésitation, devant le nul, rouge de confusion, mais la bite désespérément molle, elle se mettait à téter celle bien plus raide de son nouvel ami. La chaine qui ballotait dans le couloir formé par ses deux seins avait quelque chose de surréaliste. Quand il la couchait enfin alors que dans son derrière la fausse queue était toujours plantée, elle écartait les jambes, prête pour une vraie saillie.
Alors son chevalier servant, lui posant les talons sur ses propres épaules se mettait à lui labourer le ventre. À chacune de ses ruades, il sentait cette épine dure qui montait dans ses entrailles et elle hurlait comme une louve. Sa tête libre se balançait de gauche à droite dans un bercement sans fin. Lui sentait que son érection ne serait pas éternelle et il ressortait d’elle pour lui éjaculer sur le nombril. Le type à lunette se crut intelligent en passant sa main dans le sperme qui maculait le ventre de la belle femme. Mais Marc refusait qu’il lui donne à gouter sur sa main son propre nectar et le gaillard en était pour ses frais.
Ils prenaient ensuite congé de ce mec qui s’était rhabillé en même temps qu’eux. Dans la voiture pas un seul mot ne serait échangé entre les deux là. Mais il restait encore le moment du retour et de l’arrivée à la maison. Marc accompagnait Maryse sous la douche et comme s’il était son amant depuis des lustres, il se lui roulait des pelles qu’elle jugeait... agréables. Finalement après leurs ablutions il lui refaisait l’amour avec toute la tendresse du monde, sous les regards inquiets du chien de la maison.
Einstein essayait de s’approcher, mais repus tous les deux après ces corps à corps épiques, ils le repoussaient. L’animal devrait encore attendre pour calmer la trique qui lui claquait sur le ventre. Il bandait, mais c’est en s’auto léchant qu’il se calmait, seul, de la langue. Les deux tourtereaux enlacés souriaient de le voir se sucer avec presque appétit. Maryse avait dans les yeux de petites étoiles et Marc lui... pensait sans doute déjà à une future sortie. Celle-ci ne tarderait pas à s’annoncer, mais la brune était prête et plus consentante que jamais...
— oooOOooo —
À suivre...
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