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Einstein

Chapitre 8

Zoophilie
Les plaisirs différents !

Maryse aimait son travail, mais elle adorait tout autant les fins de semaine et les week-ends qui les suivaient. Mais ce vendredi soir, alors qu’elle préparait son repas, quand le téléphone l’avait rattrapé, le numéro qui s’affichait lui donnait des frissons. Marc... que pouvait-il bien vouloir d’autre qu’une sortie ce soir ou demain ? Elle avait le cœur battant en décrochant.
— Bonsoir Maryse— Bonsoir Marc !— Tu as déjà oublié nos conventions ? Allons ! On la refait. Bonsoir Maryse !— Bonsoir... maitre !— Bien alors ! Petite tenue et j’arrive dans une heure. Tu dois être prête. Tes bijoux ne t’ont pas fait trop souffrir ?— Non ! Non Maitre ! Je serai prête... je vous attends.— Voilà ce que j’aime chez toi... alors nous allons sortir ! — Comme il vous plaira Maitre... — D’accord, dans une heure et même punition que l’autre soir...— Vous voulez dire Maitre, pas de sous-vêtements ? — Tu comprends vite... allez à tout à l’heure !
Le bip de fin d’appel lui martelait qu’elle faisait une fois encore une énorme bêtise. Mais elle se savait accro de ce type. Peut-être même plus de ce qu’elle attendait de lui physiquement. Elle se sentait soumise jusqu’au fond de son âme, sans vraiment savoir comment c’était arrivé. Son ventre depuis qu’il avait appelé lançait des SOS. Elle n’était vraiment plus elle-même. Alors un rapide coup de brosse, elle retirait rapidement les accessoires non désirés par le monsieur et se sentait plus nue que si elle l’avait été totalement.
Il lui faudrait encore un temps d’adaptation pour que son cerveau s’apprivoise et qu’elle se sente bien sans culotte ni soutien-gorge. Une heure après, il était là. Vêtu simplement d’un Jean clair et d’un sweat léger. Elle pouvait voir sous la laine du pull ses muscles rouler et il arborait son éternel sourire. Elle ne posait aucune question en montant dans sa voiture. Ils prenaient la route, destination inconnue et ça lui était parfaitement égal. Il lui arrivait de sentir, posé sur elle les regards lourds de Marc, mais l’atmosphère n’était pas vraiment détendue.
Elle suivait des yeux le long tapis gris qui se déroulait devant le capo de la berline. Les arbres des bords de route ressemblaient à des fantômes sur lesquels la lumière des phares venait mourir le temps qu’ils disparaissent, englués dans le noir de la nuit. Puis une longue bâtisse aux contours rouges montrait enfin ses murs. Elle savait que là allait s’arrêter leur voyage. Il la faisait descendre sans un seul mot. Dirigée vers un endroit éclairé, elle entrapercevait le long du sentier qui menait à la demeure, une file impressionnante de voitures.
Quelques marches suivies d’un perron et ils entraient dans un salon où des tas de gens sirotaient une boisson orangée. Dès leur arrivée, un verre leur fut servi. Du punch qui puait le rhum à plein nez, mais pas mauvais du tout. Elle se noyait dans une masse grouillante de jeunes femmes et d’hommes, tous aussi peu vêtus qu’elle. Puis dans cette foule, un visage familier pour ne pas dire connu faisait son apparition. Victor ! Mais un Victor habillé d’un costume sombre et drapé dans une sorte de cape noire liée au cou.
Comme un maitre de cérémonie, il étendait la main esquissant un geste de salut alors qu’elle se trouvait encore bien loin de lui. Par instinct, comme pour se raccrocher à ce personnage connu, elle allait vers lui. Dans la salle l’entrée de ce Victor avait fait taire les bruits et Maryse s’apercevait alors que les gens s’écartaient pour qu’elle puisse avancer.
— Bonjour à tous !
Une clameur ressemblant à un salut venait de surgir de toutes les bouches autour et dans la salle. Apparemment c’était bien Victor qui présidait à la soirée. La brune n’était plus qu’à trois pas de lui.
— Mes amis... je vous présente Maryse.
Elle se trouvait soudain, sous les feux des projecteurs, comme si une main invisible dirigeait sur sa frêle silhouette toutes les lumières de l’endroit. Elle aurait voulu reculer, mais derrière elle, les rangs s’étaient resserrés. Plus de place pour une dérobade.
— C’est une merveilleuse pouliche et elle vient pour son premier dressage. Ce soir elle sera initiée aux joies du fouet et de la cravache. Mais on ne l’abimera pas. Elle sera seulement punie pour les fautes qu’elle a surement commises, dont on ne lui demandera aucune confession, mais seulement l’expiation. Alors les amis... si vous voulez bien nous la préparer...
Marc se retrouvait de nouveau à ses côtés. Il lui prenait la main alors qu’un autre homme, dont elle n’avait jamais vu le visage, lui aussi costumé et capé, mais en rouge lui, avait saisi son second poignet. Elle était embarquée dans une salle attenante. Celle-ci était vide, à l’exception d’une barre qui pendait au milieu du plafond. Une barre soutenue par des chaines. Maryse était placée sous cette étrange machine. Marc lui soulevait la main et enfermait son poignet dans une sorte de menotte soudée à cette tringle. De l’autre bord, le second type faisait de même avec son autre bras.
Un instant elle restait immobile, bête, seule au milieu de la salle et les gens commençaient à s’agglutiner devant elle. Alors Victor approchait. D’un geste simple, il dégrafait sa jupe qui chutait sur ses chevilles. Puis il prenait un à un les boutons pour ouvrir le chemisier. Quand cela fut fait, comme les manches ne passaient plus à cause de la ligature des mains, il arrachait tout bonnement le tissu des manches. Maryse était nue, les bras tendus vers le plafond, prisonnière à la merci de la meute qui riait devant elle.
Une femme plus proche que les autres venait se frotter à elle. Elle lui aspirait un téton au bout duquel brillait le bijou en or et la main qui passait entre les jambes de la brune prenait plaisir à tirailler doucement sur les deux chainettes qui s’y trouvaient. La jeune femme eut comme un sursaut. Mais l’autre s’était laissé tomber à genoux et sa bouche vorace s’incrustait sur la chatte, comme pour lui faire une minette. Le but vraisemblable n’était pourtant pas celui-là. Le visage se détourna de la cible prévue.
Maryse pressentait que les mains de la femme s’affairaient sur ses chevilles. Le frais de quelque chose qui les entourait se faisait alors sentir. Elle comprenait que l’autre lui rattachait chacun de ses pieds à ses fers et d’une poussée elle obligeait la brune à écarter les jambes. Quand l’autre se relevait, ses membres inférieurs pareils à ses bras se trouvaient fixés au sol par des chaines. La femme simulait à nouveau des mouvements lascifs d’amour, comme si elle allait lui rouler un pâlot. Mais c’était pour mieux lui mettre sur les yeux un bandeau.
— oooOOooo —
Le noir avait quelque chose d’angoissant. Les voix autour d’elle s’étaient tues, mais les respirations faisaient toutes, écho à la sienne. Un long soupir fusait devant elle, sans qu’elle puisse identifier si c’était celui d’une fille ou d’un garçon. Puis quelque chose se promenait sur ses épaules. Ce truc glissait sur sa peau nue, navigant du cou jusque le long de sa colonne vertébrale. Elle tentait un court instant de cabrer plus son dos. Mais sa position ne lui laissait guère de latitude à se mouvoir. Ses bras lui faisaient déjà mal, l’extension étirait ses muscles.
Ce qui suivait ses courbes arrivait au niveau de ses fesses et se coulait entre elles. Maryse transpirait. Le machin glissait le long d’une cuisse, à l’intérieur de celle-là puis, arrivé aux chevilles changeait de jambes pour remonter très doucement. Le contact n’était ni désagréable ni bon du reste. La chose un long moment se cala dans la fourche avançant même d’avant en arrière et pas un bruit ne lui parvenait plus de cette assistance qui devait suivre le spectacle. Quand donc l’objet quitterait-il le contact avec sa peau ?
Elle n’aurait pas su le dire. Mais elle aurait pu jurer se souvenir toute sa vie du retour de ce promeneur. Soudain sur ses fesses un large coup venait de s’abattre, lui tirant une douleur vive. Elle criait déjà, elle criait encore alors qu’un second coup venait de croiser le premier. Puis un murmure s’amplifiait dans la salle.
— Un... deux... trois...
Chaque coup qui atterrissait sur le cul de la brune était ponctué d’un chiffre dicté par des dizaines de voix anonymes. Quand le chiffre dix fut atteint, les coups cessaient enfin, mais elle avait le derrière endolori. Elle sentait aussi que des mains, vraisemblablement gantées, tiraient sur les anneaux qui ornaient ses seins. En fait, elle comprenait vite que c’était la chaine qui les reliait que les doigts tractaient. Lorsque cette main animait un objet sur les nichons, Maryse savait que le supplice allait reprendre. Mais cette fois c’était sa poitrine qui allait déguster. Elle en avait la conviction.
Tout recommençait par un agréable chatouillis. Plusieurs filaments gesticulaient ensemble sur le haut du corps de la brune. Elle songeait qu’il s’agissait sans doute de lanières de cuir. Pour l’heure c’était encore très doux, mais un sentiment violent de peur s’emparait d’elle. Les larmes tirées par les coups sur son cul n’avaient pas encore eu le temps de sécher quand le premier impact lui en arrachait de nouvelles. Sans qu’elle sache vraiment où cela allait arriver, elle dut subir une volée de coups que les autres comptaient une fois de plus.
— Un... deux...
Ils n’étaient pas très appuyés, juste suffisamment cinglants pour lui piquer le cuir. Et comme ils n’étaient jamais dirigés aux mêmes endroits, elle avait beau se tortiller, pas moyen d’en éviter un seul. Le bandeau devait être fait pour qu’elle ne sache jamais où cela allait tomber. Plusieurs d’entre eux avaient percuté la plage entre le sexe et le nombril. Mais d’autres, terriblement plus précis étaient venus cogner sur la fente et l’entrejambe. Ceux-là avaient pour but de lui faire plus mal. Elle avait hurlé de longues minutes avant que le chiffre vingt ne stoppe cette avalanche de collisions.
— Eh bien, mes amis... vous voyez que nous avons là une femme qui aime cela. Regardez comme son chat est bien humide après notre petit traitement. Une vraie soumise qui mouille d’être fouettée, n’est-ce pas une véritable bénédiction ? Nous avons de la chance de la compter parmi nous.
Ses mains si elles n’avaient pas été détachées n’étaient plus tirées vers le haut. Les muscles ainsi soulagés ne lui faisaient guère moins mal, mais au moins la position devenait elle plus confortable. Des tas de pattes qu’elles n’entrevoyaient même pas venaient à la rencontre de sa motte. Histoire vraiment de s’assurer qu’elle avait bien mouillé et elle devait se rendre à l’évidence, Victor avait raison. Elle aimait cela !
Elle n’opposait aucune résistance alors que des bras solides la soulevaient. Portée vers ce qui ressemblait dans son cerveau à un autel où elle allait être sacrifiée, elle sentait des vagues qui déferlaient partout dans ses tripes. Elle savait bien qu’elle mouillait de plus belle, cochonne qui maintenant allait sans doute subir les assauts des mâles présents. Mais elle était de nouveau entravée, bras et jambes largement décollées de son corps. Cette fois son dos était soutenu sur une sorte de table et ses muscles la faisaient beaucoup moins souffrir. Quand une bouche en ventouse vint se coller à son sexe, d’instinct elle sut que ce n’était pas celle d’un homme.
D’abord parce que la peau était trop douce, que rien ne lui égratignait les chairs fragiles du pourtour de sa chatte ! Et puis la langue qui s’incrustait en elle, léchant avec douceur, était trop... trop attentive à chercher les moindres replis ; les moindres anfractuosités de cet abricot offert. Lentement des mains venaient de s’associer à ce visage qui se plantait dans la fourche, comme pour y séjourner longtemps. Elle sentit aussi que quelque chose, quelqu’un venait d’enjamber son propre corps.
Alors quand un ventre se frottait sur sa propre face, elle sut que la femme s’était positionnée en soixante-neuf. Elle qui n’avait jamais, au grand jamais connu d’autre sexe féminin que le sien allait rencontrer pour la première fois un endroit si semblable chez cette autre. Son assaillante se vautrait littéralement sur sa figure, louvoyant du bassin, prenant le temps de faire voyager son entrecuisse sur la totalité de la face de Maryse.
Quand l’autre qui insistait lourdement recommençait à s’occuper de sa fente, elle osait enfin sortir de sa réserve et elle pointa sa langue sur ce qui restait à sa hauteur. Le premier contact était étrange. Mais le plus difficile restait de se dire que ce qu’elle faisait devait être regardé par des dizaines d’yeux. Pourtant cette idée subitement lui parut faire pencher la balance vers une envie inouïe. Son ventre émettait des bruits bizarres. Elle avait des soubresauts de partout et elle montait sa tête pour garder la chatte de l’autre sous sa langue.
Elle entendait les soupirs que la furie qui la chevauchait laissait fuser. Et les siens devaient bien être aussi puissants sans qu’elle ne cherche plus à les contenir. Mais son supplice n’était pas encore terminé et alors que la harpie qui lui bouffait le sexe persistait, elle sentait que lentement quelque chose lui était introduit dans l’anus. Elle ruait, hurlait, gesticulait, et en oubliait de léchouiller l’autre qui persistait à frotter sa motte sur son museau.
Ce qui la pénétrait avançait inexorablement, sans aucune douleur, mais allait bien profondément. Quand le truc ne bougeait plus en elle, elle eut comme l’impression que celui-ci se mettait à grossir, à serrer son boyau, très loin en elle. Elle saisissait soudain que la chose en question devait être gonflée de l’extérieur de son cul. Et ça semblait ne jamais vouloir s’arrêter. Elle devait avoir le ventre enflé tant la pression interne devenait intolérable. Cette fois, ça n’avait plus rien d’agréable. La baudruche se dégonflait d’un coup. Et Maryse se reprenait à respirer mieux.
Le manège se renouvelait une fois, deux fois toujours avec cette même gêne puis sur ses seins également des tubes venaient encercler les tétons et l’aspiration de ceux-là lui arrachait des cris de douleur. Dans son anus, ce qu’elle entrevoyait comme un ballonnet gonflable ne se rétractait plus et ses pointes de nichons aussi restaient comprimées dans ce qu’elle pensait être un tuyau d’aspirateur. Le même traitement maintenant débutait sur son clitoris et cette fois elle devenait comme folle. Son corps tout entier se tendait comme un arc, la pression sur ces points les plus sensibles allait crescendo.
Le supplice durait une éternité durant laquelle elle n’avait pas cessé un seul instant de geindre. Alors ces mains qui la frôlaient de partout, qui palpaient chaque centimètre de son épiderme, ne la soulageaient en rien. Mais le plus atroce se révélait être quand un à un les points de succion furent levés. La douleur qui en résultait lui donnait l’impression que tout était enflé, démesuré, grandi, que jamais les endroits affectés ne retrouveraient un semblant de calme
La main de Marc, celle qui lui caressait le front, cette paluche là, elle l’aurait reconnue entre mille. Alors quand de sa voix douce, il lui murmurait des mots gentils à l’oreille, elle aurait voulu oublier toutes ces souffrances, mais malgré tout, elle ne parvenait plus à réaliser le bien et le mal. Chacun de ses gestes, censés la soulager n’avait rien de bon. Même quand il lui prit les lèvres, elle eut un mal de chien à répondre à son baiser.
Quand enfin d’autres mains la frictionnaient et qu’après leur passage, elle ne sentait plus rien, elle songea que l’onguent miracle du type à lunettes des piercings... avait encore fait des merveilles. Elle se disait d’un coup qu’il devait bien être aussi là, quelque part dans cette assistante qui lui tripotait tous les endroits du corps. Maintenant plus aucune douleur, juste un état second, comme si le fait d’avoir souffert l’avait amené vers une plénitude et une forme de plaisir incroyablement détaché de tout. Son esprit était bien, flottant au-dessus de la mêlée, et les autres pouvaient tout lui faire, ça lui était égal.
— oooOOooo —
À suivre...
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