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Einstein

Chapitre 9

Zoophilie
La fin du rêve ?
La soirée après n’avait plus été qu’un long défilé d’hommes qui l’avaient prise, reprise et pour finir, le voile de ses yeux enfin retiré, elle avait vu une ligne de types à poils venus se branler tour à tour sur elle. Maculée de sperme de la tête aux pieds, certains avaient pris un malin plaisir à laisser jouer leurs doigts dans cette marée gluante. Marc l’avait ensuite emmené dans une autre pièce, et elle avait pu profiter de la douche. Elle avait les muscles endoloris, mal partout et pourtant, elle avait un sourire. L’air heureux de la femme qui venait de faire plaisir à son mâle. Marc l’embrassait à petits bisous sur le front alors qu’elle se rhabillait et tous deux prenaient le chemin du retour.
Dans la voiture, il était plus loquace qu’à l’aller. Lui aussi se sentait rassuré. Tout s’était déroulé selon ses plans et cette Maryse... hum, un vrai bijou, une bombe.
— Tu as été formidable et j’ai vraiment apprécié— Merci ! Mais j’avoue que je n’avais jamais joui de la sorte, avec une telle force.— Et qu’est-ce que tu as la plus préféré dans cette soirée ?— Vraiment ? J’avoue que les coups sur les fesses... mais lorsque vous m’avez... enfin quelqu’un m’a posé des trucs pour aspirer... j’ai cru devenir folle. Et pas seulement de douleur. C’était... comment dire cela... hors du commun.— Donc tu constates bien que j’avais raison, non ?— Raison pour quoi ? — Que tu es faite pour ce genre de sexe, que tu vas aimer ces soirées où tu n’es plus qu’une femme que l’on se prête.— Peut-être ! Mais je crois que je ne renouvellerai pas l’expérience. — Ah bon ! Tu veux abandonner cette source de plaisir si... différent ?— Oui ! La peur de devenir accro, la peur tout court que ce genre de petite sauterie dérape. J’ai apprécié de connaitre cela, mais c’est fini ! Je préfère les amours plus calmes. Vivre avec la peur au ventre donne peut-être des sensations, mais j’aime aussi les divertissements plus... simples.— ... ! J’ai du mal de croire que tu veuilles te contenter de l’amour à la « papa-maman ». Je suis certain que le cul plus corsé va te manquer si...— C’est à moi de décider aussi, alors n’insistez pas ! Je décide toute seule. Être une esclave sexuelle a été et doit rester une expérience enrichissante sans jamais devenir une habitude néfaste.
Marc s’était raidi sur le volant. Mais il n’était pas homme à passer outre les exigences de cette compagne qui lui plaisait vraiment. Il songeait sans doute que son pouvoir de persuasion la ferait changer d’avis. C’était bien mal connaitre la brune qui ne disait, à ses côtés plus un mot. Il arrêtait la voiture devant la porte de la dame et la suivait à l’intérieur. Elle n’avait pas refusé qu’il entre chez elle, un bon point pour l’envie qu’il avait encore, enfouie au fond de son ventre. Du reste quand il l’enlaçait pour l’embrasser, elle ne reculait pas.
Il refaisait les gestes immuables de cet amour qu’elle attendait. Son corps de femme pourtant très rudement mit à l’épreuve une bonne partie de la nuit, ne se contentait pas de cela. Il réclamait de nouveau une étreinte, un peu plus traditionnelle cependant. Alors elle le laissa faire et ils refirent le monde dans un corps à corps où Marc jetait ses dernières cartouches. Peut-être gardait-il l’espoir de la faire revenir sur sa décision. Maryse se donnait à lui en pensant que ce serait sans doute la dernière fois... avec lui.
Quand l’angélus sonna sept heures au clocher du village, il repartait sans avoir obtenu un quelconque changement dans l’attitude de la jolie brune. Il était raccompagné par la femme nue avec qui il venait de s’envoyer en l’air, mais aussi par son berger allemand qui la suivait partout. Einstein et elle ne quittaient pas des yeux les feux de la voiture qui s’éloignait définitivement de leur nid. La jeune femme frissonnait sous la brise matinale et s’empressa de rentrer, bien à l’abri de la maison.
Sur ses talons, son chien qui devait sentir cette fragrance de sexe qu’elle portait depuis la veille au soir. Malgré la douche chez ses tortionnaires, elle n’avait sans doute pas réussi à effacer les odeurs et son toutou s’en rendait compte. Mais lui ne montrait aucune jalousie ni impatience. Il se contentait de remuer la queue et de tourner autour d’elle. Maryse voyait bien que l’érection de son animal était énorme. Pourtant Einstein, ne faisait rien pour la couvrir. Elle lui flatta le haut du crâne et lui parla gentiment.
— Non ! Mon beau, pas maintenant ! Je suis fatiguée, ils m’ont crevé. C’est l’heure d’aller faire dodo mon beau !
Bien entendu, le cabot ne comprenait rien de ces mots, encore que... la brune n’en était pas certaine. Elle s’endormait, non sans avoir une fois encore pris une douche méritée. La porte de sa chambre non close avait permis à Einstein de la suivre. Avec délectation, elle s’était enfin glissée dans ses draps frais et parfumés subtilement à la lavande. Dans un semi-brouillard, elle avait vaguement perçu les grognements de son chien. En ouvrant les yeux, il ne se trouvait pas près d’elle.
— Einstein ? Qu’est-ce qui se passe mon beau ? Il y a quelqu’un ?
Elle jetait un peignoir sur son corps nu et filait vers la porte d’entrée. Le chien avait cependant une attitude étrange. Il n’était pas virulent comme il devrait l’être avec un ou une étrangère. Non, il aboyait, mais on aurait que ses cris étaient joyeux. La personne derrière la porte qui s’évertuait à sonner devait être connue de lui. Cependant, Maryse mettait la chaine d’entrebâillement, prudence restant mère de sureté.
Quand elle ouvrit légèrement la porte, une surprise de taille l’attendait.
— Alix ? Mais qu’est ce que tu fais là ? Qu’est-ce que tu veux ? Quelle heure est-il ?— Ben tu en as une mine de papier mâché ! Tu as fait la bringue toute la nuit ou quoi ? Alors on ne laisse plus rentre les vieux amis ?— Qu’est-ce que tu veux ? Pourquoi es-tu revenu ?— Je passais par là et je me suis dit... tiens, si je faisais un petit coucou à ma vieille copine Maryse. Et puis tu as encore quelques affaires à moi, il me semble !— Tout est en cartons dans le garage. Tu peux récupérer tout.— Tu comptes me laisser devant la porte ? je ne vais pas te manger, tu sais !— Ah ! oui, oui entre !
Il avait fait deux pas dans l’entrée et Einstein se frottait contre lui. D’une main, il flattait le dos de l’animal.
— Bon sang ce que tu as grandi toi. Tu es un vrai chien maintenant. Maman t’a bien soigné ?— Écoute Alix, je vais te donner tes affaires et merci pour la visite. Il n’est pas souhaitable que tu restes ici. — Mais c’est mon chien... j’ai donc un droit de visite.— Tu n’as plus rien du tout, tu n’es jamais revenu le récupérer, il a ses habitudes ici et c’est désormais sa maison !— Tu n’as donc pas changé... toujours aussi... vindicative.— Toi toujours aussi nul ! Ça équilibre, tu ne crois pas ? Tu n’as jamais rien su faire de tes dix doigts et tu reviens ici en conquérant, alors prends tes machins qui trainent au garage et file. Tu n’es plus le bienvenu chez moi.— Tu m’as donc remplacé bien vite, je trouve !— Quoi ? Mais il me semble que tu n’avais pas attendu d’être parti pour me faire cocue et dans mon propre lit qui plus est ! Tu me sembles bien mal placé pour me donner de leçons. Allons chercher les quatre bidules qui t’appartiennent et ouste. — Je reviendrai chercher Einstein, dans quelques jours j’aurai un appartement et il m’appartient toujours.— Nous verrons cela ! Pour le moment, reprends tes hardes et débarrasse le plancher.
La récupération des quelques babioles et fringues d’Alix n’avait pas pris plus de dix minutes. Il avait tout entassé dans une vieille guimbarde au volant de laquelle, une blondasse attendait. Une toute pareille à celle que Maryse avait débusquée dans sa chambre à coucher. Quel culot ! Vraiment elle n’avait aucun regret. Le berger allemand avait suivi et continuait à frétiller de la queue. Lui, se fichait pas mal de ces heurts entre ces adultes idiots.
La matinée, enfin, ce qu’il en restait, prenait une tournure désagréable. La femme et l’animal, seuls maintenant se tenaient proches l’un de l’autre. Maryse parlait plus calmement et doucement à Einstein.
— Ne t’inquiète pas mon beau ! Personne ne t’enlèvera à moi. C’est ta maison ici, tu y es chez toi. Nous ne sommes pas près de le revoir ce coco-là !
Elle passait et repassait ses paumes sur le pelage de la bête. Lui avait seulement avancé son museau sur ses genoux. Le peignoir passé pour ouvrir ne cachait pas grand-chose de son bas ventre, et sa position assise, même les jambes serrées, laissait passer le souffle du cabot. Quand il avança un peu plus sa trogne sur les deux cuisses, d’un coup de langue, il venait de réveiller les bas instincts de la brune. Elle ne parlait plus, mais ses yeux venaient de s’allumer d’une lueur salace. Malgré toutes les fredaines de la nuit dernière, son ventre se rappelait à son bon souvenir.
Maryse avait soudain faim. Mais cet appétit n’avait rien à voir avec la bouffe, non ! Elle avait une envie irrépressible de faire l’amour. Comme si le fait d’avoir revu Alix lui avait fait retrouver des sensations insensées. Elle se levait et retournait dans sa chambre. Le chien bien entendu lui emboitait le pas. Il sautait sur le lit dès qu’elle s’y couchait. Étendu entre les jambes ouvertes de la belle, il ne bronchait pas, attendant sans doute un signal de la femelle qui empestait le sexe.
Alors sans un mot elle commençait à se masturber sous les yeux ronds du cabot. Au moment où ses deux mains écartaient ses grandes lèvres humides, la bestiole tentait une première approche. Sa langue venait alors frôler le festin promis. N’y tenant plus la brune tira sur la tête canine, l’attirant plus précisément entre son compas béant. Tout heureux et comprenant qu’enfin, il allait savourer le fruit exquis de sa belle, Einstein entreprit ce que bien des hommes auraient espéré.
Elle gémissait bruyamment sous le flot de sensations que lui renvoyait cet attouchement hors norme. Son ventre se creusait et la langue agile qui caressait ses parties les plus intimes revenait sans cesse, lui tirant un plaisir ineffable. L’amant à quatre pattes bougeait pour se frotter contre elle et il trouvait une position où son sexe en érection se mouvait contre la poitrine de la brune. Dans un élan incontrôlé, elle saisit le traquenard de ses petites mains. La masturbation de l’animal n’avait rien d’aisé tant il bougeait sans cesse.
Son instinct à lui le poussait à trouver la bonne posture pour la couvrir. Alors lorsqu’elle se mit à quatre pattes, il était comme enragé. Un instant elle le repoussait, non pas pour lui interdire l’accès ! Non simplement pour que les membres avant de l’amant ne lui lacèrent pas les flancs, elle lui passait alors, une paire de chaussettes. C’était soudain nettement plus confortable pour ses cotes. Et enfin en levrette, d’une main glissée sous elle, elle guidait l’engin là où... puis les coups de reins d’Einstein faisaient le reste.
Cette possession durait déjà depuis... elle n’aurait su déterminer le temps passé à s’envoyer en l’air avec son chien. Quand elle avait joui, il s’était remis à la lécher. Et ses spasmes avaient continué, forts, violents. Mais ensuite sa mauvaise conscience reprenait le dessus. Ce n’était pas normal, pas bien de baiser avec son chien. L’instant d’après, elle riait de cette bêtise et puis, zut ! Elle n’aurait qu’une vie, alors autant profiter des bonnes choses que celle-ci offrait.
Son toutou avait et ce qu’il voulait et contrairement aux hommes, il ne réclamait rien de plus. Pas de câlins prolongés, pas de remise sur le grill pour un second round. Non, il était déjà retourné devant la porte. Maryse se rendait bien compte qu’elle devenait un peu dépendante aussi de cette nouvelle forme de sexualité très controversée. Puis en faisant un point sans concession, elle devait bien reconnaitre que la soumission aussi lui manquerait si elle ne la pratiquait plus du tout.
Sa chatte et ses seins en garderaient la marque tant qu’elle ne déciderait pas de s’en défaire. Et ce n’était pas vraiment à l’ordre du jour. Les rapports entre les hommes et les femmes finalement avaient quelque chose de compliqué, de vicieux sans doute. Puis avec un sourire sur ses lèvres, un leitmotiv remontait sous son crane de brune. La normalité des uns ne prévalait pas toujours pour les autres. La seule chose qui devait rester en ligne de mire de sa raison, c’est que tout devrait toujours être librement consenti.
Des liaisons entre adultes pourraient toujours déboucher sur des plaisirs inavouables pour peu que tous y adhèrent et que personne n’outrepasse ses droits. Alors elle se levait pour aller ouvrir la porte-fenêtre afin que Einstein sorte sur la pelouse. Elle n’avait plus aucun doute, elle se laisserait encore faire pour si un jour, un homme la traitait avec respect. Et la soumission et le respect de l’autre n’avaient finalement rien de contradictoire. De cela elle en aurait juré !
— oooOOooo —
Après ses ablutions, elle repassait une jupe ultra courte, puis fardée elle sortait de nouveau pour le casino. Après tout, ce haut lieu de l’argent facilement perdu était aussi un nid de vieux beaux qui gagnaient à être connus. Et puis elle avait toujours cette vingtaine d’euros de bénéfice qu’elle pourrait toujours dilapider. Le portier qui lui demandait ses papiers d’identité louchait sur les longues gambettes qu’elle montrait sans vergogne. Il avait failli s’étrangler à plusieurs reprises, devant ces deux fuseaux à la limite de l’appel au viol.
Maryse s’installait ensuite devant une machine toute semblable à celle qui lui avait permis de jouer sans trop de dégâts. Munie de son gobelet de rondelles métalliques, elle débutait une partie qui rapidement tournait à l’avantage du robot. Alors elle en changea tous les quarts d’heure. Mais cette fois la chance n’opérait plus. Elle arrivait aux quelques dernières pièces au fond du gobelet, quand une main féminine l’empêchait de glisser dans la fente son enjeu.
— Attendez ! Je n’ai pas de conseil à vous donner, mais... vous devriez essayer ce bandit qui est là !— Ah ? Quelle différence avec celui-ci ?— Le mien a mangé tous mes avoirs et ceux des quatre joueurs avant moi ! Donc mathématiquement, il devrait recracher une partie de ces vols organisés... pour les gogos, qui croient encore que la chance existe. — Vous me jugez donc mongole ? Ou gogo comme vous dites ?— Non ! Je veux juste vous faire peut-être profiter de mon expérience de toute manière que risquez-vous ? Les dix jetons qui vous restent... alors... autant dire rien.— Bon ! Si vous le dites, après tout, je n’ai misé qu’une centaine d’euros et je n’ai pas encore tout perdu.
L’autre femme souriait. Elle avait des yeux magnifiques et ses cheveux courts coupés à la garçonne étaient d’un roux flamboyant. Elle avait un air mutin et ses prunelles d’une couleur inédite pour Maryse, reflétaient de la malice. Le violet de ses pupilles surprenante pigmentation ne lâchait pas non plus la paire de jambes dénudées de la brune. Mais si Maryse s’en était rendu compte, elle ne pouvait en aucun cas rallonger le tissu. Alors l’autre pouvait admirer ses flutes longilignes et bien galbées.
Mais elle n’était pas en reste et sa poitrine devait bien être de deux tailles supérieures à celle de la joueuse. Les quelques jetons qui lui restaient coulaient dans l’appareil avec un bruit sonnant le glas de celles-ci. Mais la rousse suivait aussi l’évolution des rouleaux et sans l’air d’y toucher elle prit la main de la brune. Pas pour autre chose que pour la faire appuyer sur le bouton « stop » qui figeait instantanément les rouleaux en lignes. Et là ! Oh ! Miracle, comme un sapin de noël, tout s’allumait avec une musique.
Des trompettes annonçaient la victoire. Et comme pour la fois précédente, le ventre se mettait à cracher ses rondelles. Mais les chiffres aussi sur le bandeau supérieur s’affolaient et des tas de joueurs quittaient leur place pour entourer les deux donzelles. Quand le montant s’arrêta de tourner, somme indiquée était... sidérante. Cent vingt-cinq mille euros était le chiffre total.
— Et bien vous voyez ! Vous avez rudement bien fait de m’écouter. Passez à la caisse, vous avez droit a tapis rouge et au champagne, c’est la règle pour les gros gains.— Vous m’accompagnez ? C’est bien grâce à vous si...— Oui ! Bien volontiers ! Pour un verre de champagne, je ferais même le chemin à genoux.— De toute façon je crois que j’ai d’un coup les moyens de vous en offrir une bouteille complète non ?— Nous sommes d’accord ! Allons-y ! Les vautours attendent déjà cette place, regardez-les s’exciter.

— oooOOooo —
À suivre...
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