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Einstein

Chapitre 12

Zoophilie
Douche dorée !

La douche aussi savoureuse soit elle, n’avait pas apporté autre chose qu’un bien-être, une belle récréation à Victor. Pour Maryse, un court répit aussi dans cette soirée que la nuit recouvrait de sa noirceur de plus en plus profonde. Elle s’apprêtait du reste à passer sa nuisette quand l’homme l’avait interpellé.
— Vous ne voulez pas que nous sortions un peu ? Juste prendre un verre dans un endroit qui bouge, un lieu peuplé pour noyer nos pensées dans la foule ?
Instantanément elle notait ce « vous » revenu et réfléchissait à la meilleure réponse à lui donner. Devant sa moue dubitative, il croyait saisir qu’elle allait refuser ! Il crut donc de bon ton d’ajouter...
— Nous irions dans un endroit choisi par vous et vous seule. Aucune crainte que je ne vous enlève et vous mène à cette soirée... ils doivent m’attendre depuis un bon moment du reste. Je vais devoir les appeler pour les rassurer et m’excuser pour l’empêchement...— Bon... alors dans ce cas, d’accord ! Allons au village, et nous trouverons bien un bar ouvert. Je vous laisse seul, le temps de passer une jupe et un chemisier.— Je vais en profiter pour... téléphoner !— Si vous allez sur la terrasse, soyez gentil de faire rentrer Einstein, vous voulez bien ?— Oui ! À tout de suite... juste une chose, ça vous dérangerait de ne pas... mettre de sous-vêtements ?— ... !
La brune avait haussé les épaules sans répliquer. Il était sorti et le bruit des vantaux qui s’ouvraient en se refermaient, la renseignait sur le fait que son amant était à l’extérieur de la maison. Une courte hésitation avant de ceindre une jupe relativement courte sur ses fesses, et de boutonner une chemise du genre de celles portées par les cowgirls dans les westerns. Une autre incertitude alors qu’au bout de ses doigts fins se balançaient le soutien-gorge et la culotte en dentelle, pour finalement les remettre sur l’étagère.
— oooOOooo —
La voiture silencieusement filait sur l’asphalte éclairé par les phares. Le bar du Nord où ils avaient pris un pot était ce soir bondé. Nombre de paires d’yeux avaient suivi les courbes de Maryse. Mais Victor inspirait le respect et aucun de ces types qui devaient l’envier n’avait fait un geste. Seuls les regards chargés de désirs, lourds de regrets s’étaient faits pesants sur la croupe incendiaire de la femme. Si en plus ils avaient tous su... qu’elle était nue sous sa jupe ! Charmant, Victor en homme galant avait offert les verres.
Puis lentement, main dans la main, ils avaient un long moment flâné sur les quais de la Moselle, qui traversait sous la lune le centre de la ville. Sur le pont du petit canal servant aux kayakistes, il l’avait gentiment embrassée et elle avait trouvé cela plutôt flatteur. Mais il n’avait à aucun moment tenté de profiter de cette nudité qu’il avait recommandée. Puis après une bonne demi-heure de promenade, dans ces rues passantes, ils reprenaient le chemin de sa maison.
Il ne demandait rien, ne posait aucune question se contentant de profiter de la présence gracieuse de cette magnifique créature. Dans la voiture, c’était elle qui sans rien dire avait mis sa main sur la cuisse du chauffeur. Si ce contact lui avait fait de l’effet, rien dans son comportement ne l’avait laissé entrevoir. À mi-chemin entre Épinal et sa demeure, elle avait rompu le silence.

— Vous voulez que nous nous arrêtions quelques minutes ?— Vous en avez envie ? Il fait sombre par ici. Mais si vous le souhaitez !— À vrai dire... j’ai trop bu et j’aurais besoin de satisfaire... un besoin naturel.— Et moi qui croyais que... je suis désolé d’avoir eu cette pensée.— Remarquez que rien n’interdit de joindre l’utile à l’agréable...— J’aime votre façon de voir les choses... vous êtes belle à regarder et belle de l’intérieur aussi, une belle âme je vous assure. Vous avez senti comme les gars du troquet vous suivaient des yeux avec envie. Ils ont dû me jalouser...
Une pancarte dans les lumières de la voiture indiquait une aire de repos. Celle-ci en plein bois semblait totalement déserte et un peu à l’écart de la route principale. Victor s’engouffrait déjà sur la voie d’accès de ce parking. Il s’arrêtait sur un petit chemin perpendiculaire et le véhicule se trouvait d’un coup, moteur coupé, plongé dans la nuit complète. Tout autour des arbres et il sortit le premier pour lui ouvrir la portière. Loin de tout, ici elle songeait qu’elle ne se serait jamais aventurée là sans lui.
Elle fit quelques pas, sans se préoccuper de ce qu’il faisait et remontant sa jupe, en s’accroupissant sur le bord du sentier, elle débutait sa miction. Victor à deux mètres entendait cette cataracte qui troublait le calme de l’endroit. Imaginer qu’elle pissait là, sans vraiment prendre aucune précaution, il sentait sa verge qui... pavoisait de nouveau. Cette femme avait bien quelque chose d’extraordinaire. Alors au risque de se faire jeter, il avançait vers elle.
Toujours accroupie, elle ne l’avait pas vu arriver. Ce n’était que lorsque sa main lui caressait le minou qu’elle comprenait que Victor pouvait aussi être plus vicieux qu’elle ne le pensait. Finalement ce n’était pas si déplaisant et le savoir tripoter son berlingot alors qu’elle n’avait pas encore terminé d’uriner, lui renvoyait des ondes très spéciales. Elle ne se reconnaissait plus dans cette salope qui se laissait tripoter par un vieux mec alors qu’elle se satisfaisait de la sorte. Il tirait sur les anneaux qui ornaient ses grandes lèvres.
Elle aurait dû s’essuyer avec un kleenex et le jeter, mais la patte du vieux vicelard était toujours là à flirter avec sa fente. L’envie chez elle aussi était réapparue au grand galop.
— Je peux... je peux te lécher ?— ... ?— Oui, j’ai toujours eu envie d’essayer ce genre de... fantasme. Personne jamais ne n’avait laissé toucher lors de la sortie du jet... j’avoue que tu me fais bander.
Une fois de plus la voix se faisait plus douce, plus veloutée, et le tutoiement, d’instinct, revenait en force. Sans qu’elle rajuste sa jupe toujours entortillée sur ses hanches, il l’entrainait vers la voiture. Elle pensait qu’ils allaient refaire l’amour sur les coussins de cuir de la banquette arrière très spacieuse. Mais non, pas du tout. En deux temps trois mouvements, il l’avait soulevée sur le capot encore chaud de la grosse cylindrée. Il avait rapidement plongé sa tête dans ce compas vierge de coton.
Il bavait sur sa fente. Allant et venant comme un affamé, suçant autant que léchant les dernières gouttes de ce liquide qu’elle avait éjecté d’elle. Les mouvements de Victor n’étaient plus du tout ceux d’un homme bien élevé et il soulevait de temps en temps sa bouche pour marmonner des mots qu’elle ne voulait surtout pas comprendre.
— Tu ne veux pas m’en donner encore un peu ? Pisse juste une goutte ou deux ! S’il te plait. Je t’en supplie, juste pour je te savoure dans ce que tu as de plus précieux.
Il s’y prenait bien mal, mais arrivait toutefois à lui donner un semblant de désir. Et cette fois pourtant, elle n’était pas envoutée par la voix du bonhomme. Non ! C’était sans doute la situation, la demande plusieurs fois répétée de Victor qui lui barbouillait le ventre. Mais elle ne savait pas uriner à la commande.
— Tu ne veux pas m’en offrir un peu de ton champagne ?— Je ne sais pas faire cela et votre demande me coupe mes derniers effets ! Plus vous réclamerez et moins je saurai vous satisfaire...— Tu as raison. Mais tu me garderais la nuit et la miction du matin, me l’offrirais-tu ? Tu comprends, ça me rend... raide dingue.— Je... je ne sais pas si ce serait possible. Je n’ai pas... enfin jamais personne ne m’a... vous voyez, demandé ce genre de truc !— Je comprends, mais tu oserais ? Tu ne voudrais pas essayer ? Je te promets que jamais plus je ne te redemanderai ce genre de truc. Ça me rend... fou de t’avoir entendue pisser là tout près de moi, comme ça, sans te cacher et mes vieux démons se sont réveillés.
Sans se préoccuper de la réponse, il avait repris ses va-et-vient de la langue, s’enivrant littéralement à la source de ces quelques restes d’un liquide qu’elle jugeait peu noble. Il allait si loin en elle de la pointe salivée qu’elle tressaillait à chaque passage de la bête humide. Il grognait aussi et ça résonnait dans la tranquillité de la nuit tombée. Elle se laissait embarquer par ces manœuvres douces et intimes, fermant les yeux pour savourer la caresse. Un bruit bizarre la faisait soudain redescendre sur terre et en ouvrant juste une paupière... ce qu’elle entrevoyait lui fichait la trouille.
Autour d’eux, comme sortis de nulle part, au moins trois mecs se masturbaient en suivant la scène qu’elle et son compagnon offraient. Mais il était déjà trop tard pour se soustraire à ces vicieux qui se tripotaient la queue pendant qu’elle se faisait lécher la chatte. Malgré sa peur, elle ne disait rien, se contentant de haleter sous les passages de la baveuse. Victor lui avait aussi enfoncé deux doigts dans le minou et les bougeait comme s’il s’agissait de sa pine. Le plaisir trouble montait en Maryse et de se voir épier n’avait fait que renforcer sa réaction.
— oooOOooo —

Elle en voyait un s’approcher de Victor et lui parler à l’oreille. Il relevait la caboche une seconde et secouait celle-ci d’une façon positive. Alors l’autre disparaissait, comme happé par la nuit. Mais son lécheur lui reprenait son assaut lent sur la faille qui suintait de bonheur. Pourtant, il bougeait d’une drôle de manière depuis l’intervention du type. De chaque côté de la voiture, les deux branleurs solitaires aussi s’étaient un peu rapprochés. Elle ne pouvait, malgré le peu de visibilité, manquer de voir leurs queues tendues. Et quand en poussant comme un gémissement rauque Victor l’abandonnait de la bouche, l’un d’entre eux lui avait immédiatement pris la main.
Il avait plaqué la patte de Maryse sur son vit gonflé et sans vraiment se rendre compte de ce qu’elle faisait, elle reprenait le flambeau en astiquant sans retenue cette bite tendue. Le troisième larron avait bien senti aussi qu’elle ne renâclerait sans doute pas. Et il lui caressait la joue gentiment. Quand elle tourna la tête, le sexe de ce dernier gaillard se retrouvait à ras de ses lèvres. L’odeur de sexe s’imprégnait dans ses narines. Mais elle avançait toute seule le cou, pour gober un gland assez gros. Cette fois, c’était le comble. Léchée par son compagnon de la soirée, elle en branlait un autre tout en suçant le dernier.
Enfin le dernier... pas tout à fait, car comme son chauffeur venait de se reculer, elle entrevoyait que le manquant était à genoux sur le chemin, se livrant à la même occupation qu’elle, mais sur la queue de son complice. Cette image lui envoyait une décharge d’adrénaline et elle partait pour un orgasme sans précédent. Une fraction de seconde, son esprit lui criait que sa conduite devenait inqualifiable. Cri vite perdu dans les profondeurs de la nuit alors que le bi qui venait de s’occuper de la bite de Victor marchait vers elle maintenant
Elle savait que ce dernier allait la prendre là, sur le capot de la bagnole et pourtant aucun son, aucun mot de refus ne venait perturber les soupirs qui remplissaient les alentours. L’autre la limait déjà et de sa main qu’elle venait de libérer de la quéquette masturbée, elle venait s’enquérir de la présence d’un préservatif sur la gaule qui la pénétrait. Elle eut comme un gémissement de satisfaction de savoir que le type s’était protégé, elle se laissait partir dans les méandres d’une jouissance qui lui faisait perdre le fil des opérations.
— oooOOooo —
Souillée par les spermes de ces trois mecs inconnus, elle se précipitait de nouveau sous sa douche dès son arrivée à la maison. Einstein était sur ses talons ainsi que Victor et l’endroit avait beau être vaste, il était à peine assez grand pour les contenir les trois. Seul Victor était entré sous le jet en sa compagnie, le chien lui, restait méfiant vis-à-vis de l’eau. Elle ne laissait pourtant pas l’homme la tripoter comme il l’avait fait lors de leur passage précèdent. Cette fois, dès le séchage accompli, elle s’enroba dans un déshabillé vaporeux et aérien. Ils bavardèrent encore quelques minutes avant de filer dans le grand lit de Maryse
Sans rien demander, l’homme s’était donc invité et il s’était positionné contre elle, lui distillant une chaleur dont elle se serait bien passée. Elle s’endormait rapidement sans que Victor ait tenté de la toucher. Le cabot lui, fidèle à son habitude veillait ou pionçait, en travers de la porte. Les premiers rayons du soleil levant ramenaient la vie à l’extérieur et c’était une patte de l’homme près d’elle qui la sortait de son sommeil. Il lui caressait la chatte sans autre préoccupation. Cet éveil n’avait en soi, rien de désagréable. Mais l’endroit qui depuis quelque temps se trouvait visité souvent était endolori.
Il insistait pourtant et les sens féminins assoupis se remettaient en ordre de marche. Tout débutait par un simple frémissement, puis le durcissement de la pointe de ses seins. Et la chaleur diaphane qui se diffusait en elle la faisait se tortiller un peu sous les câlins ciblés. Victor rejetait alors le drap qui les couvrait. Elle était toujours aussi belle. Dans la semi-pénombre due aux volets toujours clos, les mains de l’homme lissaient les poils pubiens, les polissant comme s’il s’agissait d’un vrai trésor.
— Il y a si longtemps que plus aucune femme ne garde une petite touffe comme cela !— Hum ! Vous croyez ? — Oui ! de nos jours toutes les femmes se rasent le minou, et ça... ça, je vous jure que c’est bougrement érotique pour les vieux de ma génération. Un buisson comme le vôtre, c’est déjà... la moitié d’une érection en route.
Mentalement, elle constatait qu’il avait repris son vouvoiement. Chassez le naturel et il revenait au galop ! Elle ne faisait pas un mouvement, gardant les yeux clos, appréciant en silence les coquineries qu’il venait de reprendre. Il bougeait, mais elle s’en fichait. Il était à genoux près d’elle et sa figure s’approchait de ses lèvres. Non pas celle de sa bouche ou alors d’une autre bouche. Alors qu’il effleurait la peau de ses cuisses à peine écartées, elle pensait que la barbe naissante n’avait rien de doux. Les hommes oubliaient souvent ce genre de détail. Puis une phrase de la veille lui revenait en leitmotive, en toile de fond, derrière son front.
— Tu as raison. Mais tu me garderais la nuit et la miction du matin, me l’offrirais-tu ? Tu comprends, ça me rend... raide dingue.
Il lui avait bien demandé ce truc inouï hier dans la soirée ? Elle tentait de remettre de l’ordre dans son esprit, alors que les pattes du mâle lui ouvraient les jambes sans violence, mais avec tout de même une certaine insistance. La tête se collait à cette fente qu’il avait déjà léchée à plusieurs reprises et c’était toujours avec une sorte de réel plaisir qu’elle accueillait cette nouvelle visite. Il n’avait nulle impatience dans sa besogne et elle ressentait déjà les vaguelettes successives qui la ramenaient vers une jouissance de plus en plus proche.
Mais elle restait étendue, sans broncher, alors que l’homme lui s’activait au centre de la source. Il soufflait plus fort et ses doigts aussi venaient d’entrer dans une ronde qui n’avait d’autre but que de lui donner à elle un immense plaisir. Il y réussissait plutôt pas mal. Son ventre à elle était pris de soubresauts que rien n’aurait pu retenir. Et elle gémissait en se mordant la main. Alors elle le laissa s’étendre sur elle. La position du missionnaire avait du bon pour le matin au réveil. Il faisait le boulot et Maryse gardait le plaisir.
Il était en elle et Einstein se tenait sur le côté, attendant sans doute qu’on le laisse monter aussi sur le lit pour se joindre à la fête. Mais il n’y serait pas convié ce matin. Le visage de Victor se frottait à celui de la brune et la barbe crissait un peu en râpant la joue. Elle enfonçait sa tête dans le cou du gaillard, évitant les frôlements trop nerveux des poils sensés rendre virils les messieurs. Il ahanait sur elle, se démenant comme un beau diable, sans pour autant arriver à la faire grimper plus vite aux rideaux... mais bon ! C’était aussi sans doute sa faute à elle !
Elle ne faisait rien pour faire venir la jouissance. Non, c’était bon sans plus. Elle adorait être prise, bousculer, mais il s’avérait être lourd, et ce poids sur le ventre la compressait bien plus qu’elle ne l’aurait voulu, rendant moins bonne cette possession matinale. Et puis, elle avait aussi la vessie pleine et... là, ça devenait presque impossible à soutenir. Pourtant Victor y mettait tout son cœur et autre chose aussi. Il s’évertuait à la pistonner avec de larges déhanchés, mais il n’était pas maitre de la situation
— Attendez ! Attendez, s’il vous plait. Il faut que je me lève une minute...— Oh ma belle vous avez envie de... vous voulez bien que je vous accompagne ?
Une seconde d’hésitation et comme il s’était laissé rouler sur le côté, elle se remit sur ses pieds. Einstein pensant que c’était pour lui qu’elle avançait jappait joyeusement. Elle se dirigeait vers les toilettes alors que Victor lui la tirait vers la douche. Comment avait-elle eu l’idée folle de le laisser faire ? Il venait de se coucher sur réceptacle de l’eau et elle était au-dessus de lui, les jambes passées de part et d’autre de son corps.
— Baissez-vous ! Vous voulez bien ? Approchez votre chatte de mon visage !
Le chien était derrière elle et lui flairait le cul. Elle le repoussait de la paume de la main tendue. Alors comment pouvait-elle une fois de plus suivre les instructions de ce malade qui attendait son obole ? Incroyablement, inexplicablement, elle venait de s’accroupir et elle devait presque faire un effort pour que sortent les premières gouttes. Mais quand elles commencèrent, plus rien n’aurait pu stopper le geyser qui dévalait de ce ventre comprimé par l’envie
Victor avait les yeux fermés, elle le voyait bien, mais il gardait la bouche ouverte, et la rosée matinale coulait dans celle-ci alors que son sexe se dressait sans aucune aide extérieure, sans assistance. Il semblait savourer cette pluie qui lui dégoulinait partout sur le visage, longeant les joues, maculant les cheveux. Il râlait de plaisir et chose inouïe, un jet de sperme venait de jaillir de sa queue raide comme un piquet de parc !

À suivre...
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