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elle 20 ans, lui 70 ans...

Chapitre 7

Erotique
-    Eh bien petite coquine !
A peine sur le quai que je lui glissais cette petite boutade à l’oreille en glissant ma main sous sa jupe.
Elle était rouge comme une pivoine, elle m’avoua s’être amusée,  mais avoir eu aussi très peur.  Si elle ne lui avait pas donné une gifle quand il a posé ses mains sur ses seins, c’est uniquement parce qu’elle a vu que cela m’amusait et elle ne sait pas trop pourquoi elle l’a ensuite laissé glisser sa main entre ses cuisses.
Enfin, elle avoua qu’elle l’avait fait pour me faire plaisir et uniquement parce que je lui avais fait comprendre de le faire mais qu’elle avait un peu honte de ce qu’elle venait de faire.
-    Honte de me faire plaisir ?-    Non bien entendu.
Je comprenais ce qu’elle voulait dire. Elle n’a pas vraiment un tempérament d’allumeuse et ne cherchait en fait qu’à me faire plaisir, mais elle avait aussi un peu peur qu’on la prenne pour ce qu’elle n’est pas… normalement.
-    Je sais, tu pourrais être ma petite fille…-    Cela ne me gêne pas…-    Ah bon ?-    Non.
Elle voulait parler de notre écart d’âge, mais je me faisais à malin plaisir à la rendre plus pervers qu’elle ne l’était.
-    Ah bon, tu aimerais que je sois ton papy ?
Elle ria de cette idée… puis j’ajoutais :
-    Et cela t’a plu ?... ce que nous avons fait ?
-    Oh oui, beaucoup !-    Faire l’amour avec ton papy te plait ?
Elle me regarda un peu étonnée.
-    Heu, je ne voulais pas dire cela.
J’éclatais de rire…
-    Mais oui ma petite fille… tu aimes simplement faire plaisir à ton papy adoré.
Elle ne savait trop quoi répondre, puis voyant que j’avais pris un petit air moqueur, elle ne voulut pas être en reste.
-    Bin oui mon papy adoré, que ne ferais-je pour te faire plaisir…
Et elle éclata de rire.
-    OK, alors, à partir de maintenant, je suis ton papy…
J’avais dit cela d’un ton sérieux et elle se demandait  si c’était du lard ou du cochon…
-    Que veux-tu dire par là ?-    Que tu m’appelles papy, comme si j’étais ta petite fille.-    D’accord papy !
Dit-elle en prenant un ton enfantin et en mettant son doigt dans sa bouche en se dandinant un peu.
-    Non, je suis sérieux,  je veux qu’autour de nous, tout le monde croit que je suis vraiment ton papy.-    Bien papy.-    Finalement,c’est une bonne chose,
Se disait-elle…
-    Ainsi si je croise des copines de fac, elles penseront que je fais des courses avec mon papy…
L’écart d’âge ne la dérangeait pas, mais elle savait que cela pourrait être mal interprété.
Les premiers achats concernèrent la lingerie fine. En entrant tous les 2 dans le magasin, nous avons eu droit aux regards suspicieux des vendeuses. Elles se parlaient à voix basse en nous regardant et riant.
Était-elle dupe ? Ou ont-elles cru à notre petit jeu ?
En effet, Justine  m’appelait Papy, je lui donnais du « ma petite Justine » ou ma « petite fille adorée » quand nous parlions ensemble. Pour donner plus de relief  à notre jeu de rôle, j’avais fait celui qui veut attendre devant le magasin pendant qu’elle y faisait ses achats et Justine joua le rôle de la petite fille qui oblige son grand-père à venir avec elle.
Une vendeuse était venue conseiller Justine. Alors qu’elle lui demandait ce qu’elle cherchait exactement et si elle pouvait l’aider, Justine lui répondit en baissant un peu la voix qu’elle voudrait des sous-vêtements très sexy pour une occasion spéciale…  La vendeuse jeta un coup d’œil dans ma direction.
-    Ne vous inquiétez pas, si nous parlons bas il n’entendra rien.
La vendeuse grimaça un petit sourire qui montrait qu’elle ne comprenait pas trop ce que je faisais là.
-    J’aime bien emmener mon papy quand je fais des achats, car il veut toujours payer.
Ajouta Justine à la vendeuse en lui faisant un petit clin d’œil.
Je jouais non seulement le sourd, mais aussi celui qui est un peu mal à l’aise dans un magasin de lingerie féminine.
 Mal à l’aise, mais qui matait discrètement les différentes parures comme un vieux pervers qui s’excitait à la seule vue d’un peu de dentelle.
Je jouais à merveille mon rôle car les deux vendeuses se regardaient souvent et se faisaient des signes complices à mon égard.
Justine demandait des conseils en indiquant à la vendeuse qu’elle avait une toute petite poitrine.
-    85 A vous voyez, rien de bien gros…
La vendeuse lui conseillait des modèles et jetait de temps en temps un regard vers moi qui jouais le pervers un peu maladroit qui essaie de se rincer l’œil.
Alors qu’elle était partie dans l’arrière-boutique pour aller chercher un modèle qui, d’après elle irait à merveille à Justine, sa collègue s’approcha d’elle et lui parla à voix basse. Elles regardèrent toutes les 2 vers moi  en riant, puis notre vendeuse lui dit :
-    T’es folle -    Je parie que tu n’oserais pas…
Justine était de l’autre côté du magasin et regardait quelques modèles, moi, j’étais entre elle et elles et les vendeuses, me croyant sourd pensaient qu’en parlant à voix basse je ne les entendrais pas.
En fait, l’une d’elle pariait que l’autre n’oserait pas me montrer son soutien-gorge.
Il n’y avait que nous dans le magasin et quand la vendeuse est revenue avec quelques modèles non exposées, Elle les montra à Justine.
Celle-ci m’appela pour me faire choisir, je jouais bien entendu le timide mal à l’aise, surtout quand Justine plaçait le soutien-gorge devant sa poitrine pour voir l’effet que cela faisait.
La vendeuse alla finalement chercher un autre modèle, elle n’eut d’ailleurs pas à le chercher longtemps, car sa collègue s’empressa de lui apporter en rigolant.
-    Que pensez-vous de celui-ci ?
Justine le prit et le plaça devant sa petite poitrine. 
-    Attendait, c’est justement celui que je porte… je vais vous montrer, vous aurez un meilleur aperçu.
En disant cela elle dégrafa son corsage de 3  boutons pour le montrer à Justine. Elle se plaça de telle manière que je puisse deviner, mais pas complétement voir, sa poitrine.
Elle avait une poitrine plus imposante que celle de Justine, mais il faut avouer que cela n’est pas difficile.
Justine approcha sa main en demandant ;
-    Je peux ?
Elle écarta un peu plus le chemisier, défit 2 autres boutons afin de mieux voir. La vendeuse était un peu moins à l’aise, mais la laissa faire.
-    Oui, c’est pas mal du tout…
Dit-elle. Puis, en me faisant signe d’approcher elle ajouta ;
-    Qu’en penses-tu papy ?
Je m’approchais pour regarder, la vendeuse regarda affolée sa copine qui se retenait de rire. Cette dernière lui fit d’ailleurs un petit signe de dépit d’un air de dire « maintenant que tu as commencé, il faut aller au bout ».
-    Le maintien à l’air souple et ferme à la fois.
Dit Justine en effleurant la poitrine de la vendeuse.
-    Tu aimes bien papy ?-    Oui beaucoup…
Dis-je en avançant aussi ma main. La vendeuse eut un mouvement de recul.
-    Je peux ?...  je veux simplement vérifier le maintien
expliquais-je d’un air innocent.
Mes doigts se placèrent entre le tissu et le sein de la vendeuse et glissèrent le long du liseré satiné.
-     Je me fis toujours à l’avis de mon papy
Ajouta Justine en posant un bisou sur ma joue.
La vendeuse ne répondit rien, mais ne chercha pas, cette fois à éviter le contact. Elle était rouge comme une pivoine et aussi en colère de voir sa collègue rire sous cape.
-    Marie, tu pourrais aussi montrer le tien, cela aiderait certainement mademoiselle …
Finit-elle par dire à sa collègue.
-    C’est quel modèle ?
Demanda « innocemment » Justine.
-    Malheureusement, je suis en pull, je n’ai donc pas d’ouverture…-    Montrez-moi dans la cabine, si vous voulez, vous pourriez y enlever le pull.
La vendeuse ne voulant être en reste avec sa collègue accepta le deal. Elle se dirigea toutes les deux vers la cabine. J’étais resté avec l’autre vendeuse qui commençait à reboutonner son chemisier.
-    Si je peux me permettre, vous avez une belle poitrine.
Lui dis-je à l’oreille.
Elle me regarda un peu surprise. Ma main, se posa sur son sein droit et cette fois le prît en pleine main.
-    Je dois vous avouer que je préfère une poitrine comme la vôtre que comme celle de ma petite fille.
Elle était encore plus rouge que tout à l’heure et ne savait pas ce qu’elle devait faire, ni dire.
-    Papy, vient voir !
Elle fut finalement délivrée par l’appel de Justine. J’ai enlevé ma main de son sein et me suis dirigé vers la cabine. 
-    Et bien Marie, ne le répétez pas à votre collègue, mais vous avez une poitrine encore plus belle que la sienne.
Elle me regarda étonné de me voir si à l’aise finalement. D’autant plus que j’accompagnais mes paroles d’un pelotage de son sein droit. Elle fit un petit cri de surprise.
-    Désolé Mare, je ne vous ai pas demandé la permission. Je peux vous appeler Marie ?
Justine ria et puis se tourna vers moi.
-    Alors  lesquelles je prends ?
-    Mais prends les tous ma petite fille adorée.
-    Merci Papy
Me dit-elle en sautant à mon cou.  L’autre vendeuse qui était restée à l’écart, certainement par peur de me voir revenir vers sa poitrine, vit la jupe de Justine remonter par son mouvement bien plus que raison et su ainsi qu’elle n’avait pas de culotte.
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