Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 81 J'aime
  • 8 Commentaires

elle 20 ans, lui 70 ans...

Chapitre 18

Erotique
Justine savait maintenant...
Elle n’avait nullement été choquée par ses révélations et encore moins jalouse. Elle était plutôt amusée et me taquina même souvent.Son jeu favori était de me demander de décrire ma petite fille, elle ne disait pas son prénom, mais l’appelait «ta petite fille » et insistait sur le fait que j’étais son « grand-père »… Cela était à ses yeux un jeu et non un jugement de valeur ou une manière de me donner mauvaise conscience, je dirais même que cela l’excitait. Il me fallait décrire sa poitrine, son sexe et sa manière de faire l’amour. Quand je lui disais que je n’avais pas vu tout en détail, elle me proposait de prêter à nouveau l’appartement pour que je puisse mieux voir, elle me proposait même de mettre d’autres caméras.
Bien entendu je refusais... Je refusais, mais j’en avais fichtrement envie.
Justine était toujours aussi amoureuse et docile avec moi, elle faisait tout ce que je lui demandais et y prenait énormément de plaisir. La révélation que je lui avais faite n’avait rien changé chez elle, ou plutôt, si, elle se montrait encore plus soumise ; Soumise et assoiffée de sexe.
L’autre jour, elle avait laissé tomber un verre d’eau sur le sol de l’appartement. Pour la taquiner, je l’ai disputé.
— Nettoie tout cela maintenant.
Elle a voulu prendre la serpillère pour éponger l’eau.
— Tu n’en as pas besoin, il n’y en a pas tant que cela et cela te permettra de te désaltérer.
Elle me regarda un peu surprise.
— Lèche !
Sans rien dire, elle s’est mise à quatre pattes et commença à boire le liquide sur le plancher.
Je m’étais installé dans le canapé pour la regarder faire, quand tout fut nettoyé, elle s’approcha de moi. Elle était à « quatre patte » et s’avançait la langue pendante et haletante comme une chienne. Elle est venue poser sa tête sur mon entrejambe comme un canidé apprivoisé l’aurait fait pour recevoir une caresse. Ce que d’ailleurs j’ai fait.
— Belle petite chienne !
Un petit sourire se dessina sur mes lèvres, à proximité de ma main, il y avait un paquet de biscuit, j’en ai pris un et je l’ai tendu vers elle. Elle a approché sa bouche et en a croqué un bout puis a recommencé jusqu’à avoir tout mangé. Elle jouait à la perfection son rôle de petite chienne.
Je l’ai ensuite attirée vers moi, je l’ai déshabillée en l’embrassant, puis, je me suis mis à mon tour nu et nous avons fait l’amour. Ce fut simple, sans folie ni fioriture excessive, un simple missionnaire bien agréable. Après, alors qu’elle avait la tête sur mon épaule elle me demanda :
— Tu penses toujours à elle ?— De temps en temps.
Plus souvent qu’il est raisonnable de le faire, avais-je envie d’ajouter.
— En faisant l’amour avec moi ?— Oui, cela m’arrive.— Et là, tu pensais à elle ?— Non, j’étais avec toi, aussi bien physiquement qu’en pensée.
Cela était bien entendu la vérité. Il m’arrive de pensée à une autre femme que la femme avec qui je suis, mais ce n’est que rarement et par bride uniquement.
— Tu aimerais lui faire l’amour.— C’est impossible.— Oui, mais si elle n’était pas ta petite fille par exemple,— Oui j’aimerais beaucoup, mais….— Tu as peur de la choquer en essayant ? qu’elle raconte tout à ta famille.— Non ce n’est pas vraiment cela, car si je le faisais, ce serait avec son consentement et je saurais progresser assez discrètement pour qu’elle ne s’aperçoive pas vraiment de mes intentions avant de ne pouvoir les refuser…— Prétentieux.— Non, je ne pense pas être un apollon, mais je pense avoir quelques qualités qui peuvent plaire à une jeune femme, non ?— Je ne peux pas te dire le contraire.
Sa main se posa sur mon sexe et elle remarqua que cette discussion lui avait redonné un peu d’ardeur. Un petit sourire se dessina sur son visage et elle glissa jusqu’à mon entrejambe.
— Tu voudrais que je t’aide ?
Dit-elle avant d’engloutir mon sexe.
Je profitais de cette fellation en silence, sans répondre à sa question. En fait, je ne savais pas trop ce que je voulais, ou plutôt, si je le savais, mais cela n’était pas raisonnable.
— Moi aussi j’ai un truc à t’avouer…
Dit-elle en léchant mon gland comme s’il était une glace.
— Quoi ?— Depuis que j’ai eu cette relation lesbienne…
Commença-t-elle et s’interrompant aussitôt pour prendre mon sexe en bouche.
— Tu n’aimes plus les hommes et tu préfères les femmes ?— Non
Marmonna-t-elle la bouche pleine.
— Ce n’est pas bien de parler la bouche pleine.
Plaisantais-je.
— Simplement, j’aimerais revivre cela de temps en temps… je veux dire avec une autre femme.
Elle reprit mon sexe, fit quelques allers-retours rapides pour libérer une nouvelle fois mon sexe et continuer sa confession.
— Et depuis que tu m’as parlé de ton envie incestueuse, j’ai regardé ta « petite-fille » différemment et je me suis dit que j’aimerais bien jouer avec elle aussi.
Elle ne me laissa pas le temps de répondre, goba mon sexe ; sa bouche et ses mains furent si efficaces qu’elles réussirent à me faire jouir. Sa bouche, ses mains ? Ou sa révélation ?Je ne sais pas vraiment qu’elle fut l’évènement déclencheur, peut-être un peu des trois, mais je m’étais lâché dans sa bouche sans vraiment la prévenir. Contrairement à son habitude, elle n’avala pas mon sperme, mais le garda dans son palais, elle se faufila contre mon corps pour arriver à hauteur de mes lèvres. Là elle m’embrassa à pleine bouche, mélangeant ainsi mon sperme à ma salive.C’est la première fois que je goûtais ma semence, étrange sensation, pas réellement désagréable, simplement étrange.
— Tu aimes ?
Après avoir dégluti pour avaler ce qu’elle venait de m’offrir, j’ai posé un petit baiser sur ces lèvres en lui répondant.
— Je ne sais pas vraiment… je ne m’y attendais pas… cela surprend.— Tu aimerais que je te donne ce style de becqueté de temps en temps ?— Pourquoi pas...
A califourchon sur moi, elle glissa ensuite jusqu’à venir s’asseoir sur ma tête, son sexe au niveau de ma bouche. Je commençais à taquiner ses lèvres intimes avec ma langue.
— Humm trop bon…
Dit-elle.
— Je n’ai pas envie d’arrêter ta fouille, mais il le faut…
Ajouta-t-elle ensuite en prenant un air amusé et faussement attristé.
— Pourquoi, rien ne t’oblige.— Si, j’ai envie de pipi…
J’éclatais de rire, comprenant très bien ce qu’elle voulait.
— Coquine, allez, vas-y libère-toi ici.
J’ouvrais ensuite ma bouche, prêt à recevoir sa miction.
Diffuse en direct !
Regarder son live