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Elle chante

Chapitre 1

Divers
Elle chante un peu voilée souple comme le ventC’est une mélodie sans paroles hors du tempsElle chante les yeux fermés en fléchissant le couPlongée dans un pays très éloigné de vous
Alors les mots qu’elle improviseSont faits de violence et de couleursSa voix qui était fluide d’abord se brise et se renforceComme les blessures de l’âme dans la profondeur de l’écorce
Mais d’où lui vient cette infinie douceurCette sensualité mélangée de pudeurSes belles mains quand elles se poseSur une épaule ou sur mon brasTout se métamorphoseOn oublie la mort on s’en va
Elle chante la terre rouge la sèche la stérileElle chante les hommes proscrits les sans terre dans les villesLes jeunes filles en noir et tous les enfants dans les ruesLes longues années sans pluie et ceux qu’on n’a jamais revus
Elle a ce don cette lumière pour chanter des mots à sa terreLe rêve qui la berce devient un grande vent ravageurEt puis innocemment parle d’amour et de chaleur

Mais d’où lui vient cette infinie douceurCette sensualité mélangée de pudeurSes belles mains quand elles se posentSur une épaule ou sur mon brasTout se métamorphoseOn oublie la mort on s’en va
Elle chante des mots qu’elle improviseVenus de loin des profondeursSa voix qui était fluide d’abord se brise et se renforceElle est la vie la mort la fragilité et la forceElle est la vie la mort la fragilité et la force
Elle chante un peu voilée souple comme le ventC’est une mélodie sans paroles hors du tempsElle chante les yeux fermés en fléchissant le couPlongée dans un pays très éloigné de vous
Alors les mots qu’elle improviseSont faits de violence et de couleursSa voix qui était fluide d’abord se brise et se renforceComme les blessures de l’âme dans la profondeur de l’écorce
Mais d’où lui vient cette infinie douceurCette sensualité mélangée de pudeurSes belles mains quand elles se poseSur une épaule ou sur mon brasTout se métamorphoseOn oublie la mort on s’en va
Elle chante la terre rouge la sèche la stérileElle chante les hommes proscrits les sans terre dans les villesLes jeunes filles en noir et tous les enfants dans les ruesLes longues années sans pluie et ceux qu’on n’a jamais revus
Elle a ce don cette lumière pour chanter des mots à sa terreLe rêve qui la berce devient un grande vent ravageurEt puis innocemment parle d’amour et de chaleur
Mais d’où lui vient cette infinie douceurCette sensualité mélangée de pudeurSes belles mains quand elles se posentSur une épaule ou sur mon brasTout se métamorphoseOn oublie la mort on s’en va
Elle chante des mots qu’elle improviseVenus de loin des profondeursSa voix qui était fluide d’abord se brise et se renforceElle est la vie la mort la fragilité et la forceElle est la vie la mort la fragilité et la force
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