Depuis notre enfance, nous nous disputons sans arrêt avec ma sœur aînée. Même maintenant que j’ai 16 ans (elle en a 17) nous continuons de plus belle. Trop selon nos parents. Pourtant un événement imprévu vient tout changer. Elle a une copine qui me semble plus que jolie: en réalité elle est du genre sexy. Trop sexy: quand je l’ai vue la première fois il a fallut que je me branle. Cet après-midi elles discutent sur je ne sais quel sujet. Pour être tranquilles elles vont dans la chambre de ma sœur. Pour être tranquilles, elles le sont. Je n’entends pas de bruit dans la chambre. Je me demande se qui se passe: d’habitude elles sont plutôt bavardes. Curieux je vais coller mon oreille contre la porte: j’entends des soupirs retenus. Je me demande ce qui se passe, j’ouvre la porte! Ce que je vois me fait bander: elles sont couchées, nues, se caressent entre les jambes. Les yeux fermés dans un autre monde, Elles gémissent. Je regarde surtout les mains posées sur le con de l’autre et les mouvements de va et vient: Pas possible, ma sœur aime les filles !!!Je referme la porte: je bande comme un âne, je vais chez moi et sort ma bite bien dure pour me branler. Ma main fait des va et vient sur ma colonne. Je ne tarde pas à jouir. Je me rebraille. Une heures après elles sortent enfin de la chambre: elles se tiennent par la taille. Quand la copine part je prends ma sœur à part, je l’emmène dans sa chambre où le lit est encore défait.— Si tu ne fais pas ce que je veux, je dis tout à notre père.— Ah bon, qu’est que tu lui dira ?— Que je t’ai vue quand tu t’amusais avec ta copine toute nue. — Tu ne pourras rien dire, personne ne te croira.— Je le dirai quand même, grande gigue.— Ça va, tu as gagné, qu’est ce que tu veux ?— Pas grand-chose, coucher avec toi.— Tu n’y pense pas: tu es mon frère.— Et alors, nous baiserons et en jouirons tous les deux ensemble.Je la bouscule un peu sur le lit: elle tombe la jupes bien remontée sur ses cuisses, presque à la limite de son joli cul. Je n’hésite pas: je caresse ses fesses. Elle ne se débat plus, elle me laisse faire. Je lui enlève sa culotte, elle ne réagit pas d’un poil. Je la tourne sur le dos: elle me sourit, ce que je lui fait doit lui plaire. Je me mets juste à coté d’elle, je pose mes lèvres sur les siennes. Ma langue va dans sa bouche qui s’ouvre. Nos langues s’entendent bien pour ce premier baiser. Je suis assez ignorant des façons de donner du plaisir à une fille. Elle me fait lever, se lève à son tour: elle m’oblige à me mettre nu. Elle en fait autant. Je regarde ce corps dont je n’ai vue qu’une infime partie quand elle était avec sa copine. Elle se recouche sur le dos, me tend les bras. Je reviens l’embrasser. Je prend un sein dans main, le serre trop fort: elle me demande de la caresser légèrement, ce que je fait. Cette fois ça lui convient. — Embrasse moi le bout du sein en suçant— Comme si j’étais un nourrisson ?— Encore mieux. Je fais comme elle demande, je sens son sein durcir entre mes lèvres. J’ai envie de la baiser maintenant. Elle me retient:— Branles moi d’abord, ne sois pas pressé comme ça, tu l’auras ta baise.— Alors guide moi dans ton con.Elle prend ma main et me la mets entre ses cuisses ouvertes. Je sens que cet endroit est humide. Elle me guide là où elle sait que je pourrais bien lui donner du plaisir. Je suis sur son clitoris, mes doigts suivent ses mouvement, elle ne me guide plus je continue seul à la branler. Je ne savait pas comment la faire jouir maintenant je le sais. Elle me demande de ne pas arrêter, qu’elle jouit. C’est vrai que je sens ses contractions. Cette fois j’ai trop envie, je veux baiser ma sœur. Elle ne le veut pas encore: elle se tourne, m’enjambe, met son con sur ma bouche, prends ma queue dans sa bouche. Je suppose qu’elle veut que ma langue remplace mes doigts. Je suis bloqué par sa bouche. Je ne pensais jamais qu’elle puisse me donner autant de plaisait avec sa langue et sa bouche: c’est bien meilleur que quand je me branle. Elle arrête pour me demander de la lécher. Nous prenons notre plaisir ensemble. Je jouis dans sa bouche. Elle garde mon sperme, le passe d’une joue à l’autre avant de l’avaler lentement. Elle revient sur moi, m’embrasse. Sa langue garde le goût de ma semence. Je débande un peu: ce n’est pas grave:— Tu vas me baiser maintenant.— D’accord, mais je ne bande plus.— T’’en fait pas je vais te faire bander. — Je veux bien, mais comment ?— Regarde moi: je vais me branler devant toi.Elle écarte ses cuisses, pose trois doigts sur le bouton. Elle se caresse lentement au début put finir à toute allure juste avant de jouir. Elle a raison: ma bite est à nouveau bien droite.— Tu vois je ne l’avais bien dit: tu bandes bien.— Je veux baiser avec toi, ma sœur chérie.— Bien sur mon chou, mets moi la au con, j’ai envie de te sentir en moi.Je viens sur elle, elle avait encore les jambes bien ouvertes. Je me pose, elle prend ma bite, la dirige vers l’entrée de sa caverne.— Baises moi.Je ne me le fais pas répéter. C’est ma première fois, ma sœur va me dépuceler. Je rentre dans son con: c’est chaud. Elle commence les vas et vient. Je la suis en accentuant encore plus les mouvements. Je sens que son con se crispe à chaque fois qu’elle me dit quel jouit.Je ne peux plus retenir mon orgasme: je décharge dans son con. C’est salement bon de jouir dans le sexe de sa sœur. Nous nous séparons sur un dernier baiser.Avant que je parte elle me dit à ce soir, dans ta chambre, en recommencera encore.Chic, je baiserai encore ma sœur. Je crois que maintenant nous ne nous disputerons plus.
