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elle & Elle ou la morsure des roses

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Je vais narrer une histoire de la vie de elle et de Elle qui se produisit un jour de tonnerre. Avant de débuter l’histoire je souhaite vous présenter ces deux merveilleuses créatures.
elle est une jeune femme de 27/28 ans. elle est une lesbienne et féministe affirmée et entière. elle n’aime que les femmes et le fait bien savoir. Jamais elle ne touchera un homme. Pourtant elle plait aux hommes, elle est même le fantasme masculin ultime. elle est blonde avec une longue crinière ondulante tout le long de son dos. elle a de magnifiques yeux bleus avec une regard perçant qui ferait s’agenouiller un eunuque homosexuel travaillant au service de la plus belle des reines d’Egypte, Cléopatre. Sa bouche est toujours légèrement entrouverte par des dents légèrement plus longues que la place qui leur est réservée, et cela donne l’impression qu’elle est toujours en attente, toujours réceptive au plaisir. Son petit menton arbore une trace digne de la famille Douglas (Kirk et Michael) et elle aurait facilement pu remplacer Sharon Stone dans Basic Instinct ou rendre agréable le statut d’esclave à Spartacus ce qui nous aurait fait manquer ce magnifique peplum. Le corps d’elle est la perfection faite femme. elle est d’une sensualité exacerbée. Dès que quiconque voit elle, la vestale fait tourner lui fait tourner la tête. elle a des hanches marquées qui feraient mourir d’envie un roi de la renaissance et assurerait un royaume millénaire. elle a une taille qui ferait pâlir d’envie la grande Sissi et mènerait au suicide tous les créateurs de corsages de l’époque victorienne. elle a deux obus au milieu du torse qui auraient pu faire pencher la balance du côté allemand en 1945. Churchill, Roosvelt et Staline lui auraient offert le globe de Chaplin si seulement elle avait osé le demander. Le teint laiteux qu’elle arbore ne fait que prononcer toutes ces magnifiques courbes. Malgré tout cela, elle n’aime pas son corps, elle n’aime pas le regard que tout le monde pose sur elle. elle n’accepte pas ce rôle de muse que la nature lui a si généreusement alloué. Il n’y que Elle qui a le droit de bénéficier de cette offrande. elle se cache aux autres.
Elle est tout l’opposé de elle. Elle est une vraie latine, une bomba latina. Leurs corps se ressemblent, mais leur style est totalement différent. Elle est brune, Elle a des yeux noisettes , Elle a un regard très coquin, lubrique, Elle a des lèvres pulpeuses, Elle pourrait mordre. Elle est fière de son corps et n’hésite pas à le montrer. Elle profite de ses avantages pour faire tourner la tête des hommes si faibles. Elle est consciente de son pouvoir. Elle est hétérosexuelle, quoique… Sa sexualité est épanouie et Elle peut profiter de son physique ainsi que de tous ses autres atouts humains pour attirer tous ceux qu’Elle veut.
Elle travaille dans le social et est au bas de l’échelle dire sociale. Elle partage le destin de ceux qui ont besoin d’Elle et leur amène du réconfort. elle est responsable d’une équipe de techniciens dans un secteur très masculin. elle subit beaucoup de pression et de fortes responsabilités de sa hiérarchie. elle doit se battre pour évoluer alors qu’Elle a toutes les prédispositions et tout le confort nécessaire pour bien assurer son activité. elle a subie une jeunesse difficile, elle ne se sentait pas aimée par sa famille et a tout quittée à 18 ans. Elle a de très bon contacts avec une famille aimante qui lui a donné tout ce qui est nécessaire pour un début dans la vie. elle a toujours dû se battre et franchir les paliers un à un pour atteindre le bonheur. Elle a investi son temps et son énergie à aider ceux qui ont besoin de soutien pour trouver le bonheur. Un jour Elle a rencontrée elle et l’a aidée. Elle a recueillie elle. elle est rapidement tombée amoureuse de Elle. elle se sent soumise. Après de longs mois et grâce à une aide externe elle a osé se révéler à Elle. Depuis Elle et elle sont en couple et amoureuses comme deux personnes tellement intelligentes et belles peuvent l’être. elle a également demandée à Elle d’être sa maitresse. Cela a créé un grand trouble dans l’esprit d’Elle. En effet Elle n’est de par sa nature pas encline à soumettre quelqu’un, mais Elle aime faire plaisir aux autres et plus particulièrement à elle. Alors Elle a acceptée de jouer ce rôle de manière ponctuelle pour elle. elle lui en est reconnaissante et fait tout ce qu’elle peut pour plaire à Elle et l’encourager à aller de plus en plus loin. Malheureusement Elle n’a pas beaucoup d’imagination et d’expérience dans l’art si brillamment décrit par messieurs le marquis de Sade et Leopold Sacher-Masoch. Elle est prête à apprendre et souhaite toujours faire plaisir à elle. C’est dans ce cadre que s’inscrit l’histoire que je vais vous narrer dans la suite.
Un soir de mars, le 17 pour être précis, après une dure journée de labeur elle rentre. elle ne le sait pas encore, mais Elle lui a préparé sa fête comme rarement elle l’a vécue. En entrant elle aperçoit pendue via un nœud coulissant digne des bourreaux de l’inquisition une rose rouge dont la fleur ressemblait à de la soie. Un fumet exquis traversait toute la maison et elle commençait à être troublée. elle décroche la rose et est toute troublée se questionnant sur ce qui allait se passer. elle avait à peine perçu que tous les volets étaient tirés mais avait bien remarquée que toutes les portes donnant sur l’entrée étaient fermées. C’est à ce moment que Elle apparut au pied de l’escalier. elle n’a pas perçue son arrivée et crut voir un fantôme. Elle était vêtue d’une longue robe blanche et pieds nus. Elle ordonna à elle d’aller prendre une douche. elle déposa sa mallette et monta l’escalier comme dans un songe. Les effluves de roses, la tenue de Elle, le ton de Elle, les portes fermées, la rose pendue, le nœud coulissant tout créa une ambiance particulière, mystique. elle fit couler l’eau, libéra sa peau laiteuse du joug de son infâme couverture. elle massa les zones marquées par des vêtements trop serrés pour en enlever les traces, se noue un chignon assez relâché et passa son magnifique corps sous l’eau brûlante. Ces brûlures lui rappelaient celles subies le dimanche précédent pour la punir de son léger surpoids, mais ceci n’est pas le propos de ce récit. C’est alors que Elle entra dans la salle de bains. Par réflexe elle se cacha, même si elle avait l’habitude de partager ces instants d’intimité avec Elle, elle reste pudique et garde ce réflexe qu’elle méprise elle-même. Elle ne s’en est pas aperçue. Elle se dévêt également et s’adresse à elle : « Epiles-toi bien de partout, fixe toi un chignon bien serré dans lequel tu mettras la rose et descends nue. Tu te mettras à genoux devant la porte du salon, les mains sur la nuque et sous aucun prétexte tu ne détourneras la tête et le regard de la porte. » Là-dessus Elle sortit de la salle de bains, toujours nue comme la nature l’a si bien faite. Elle alla dans sa chambre et se coucha en se préparant à ce qui allait suivre. Elle en profita pour se faire plaisir à l’aide de ses mains et de ses doigts qui bientôt flatteront et couvriront de plaisir le corps de elle. elle au contraire fut de plus en plus troublée. elle avait failli oublier cette rose qu’elle avait remontée dans la salle de bains entre ses dents et qu’elle avait précautionneusement placée sur le bords de l’évier. elle sentit son excitation monter et la cyprine couler le long de ses jambes. Que lui prépare Elle, ce n’est pas son genre de faire cela ? Sera-ce une vraie surprise ? Va-t-elle rencontrer d’autres personnes comme cela lui était déjà arrivé ? Des hommes vont-ils la toucher ? elle n’ose y croire. Des centaines de questions fusent dans sa tête, mais elle se ressaisit et parfait son épilation. Quand elle s’occupe de son triangle d’or elle refreine une grande envie de se caresser. elle est fière d’y être arrivée. Après avoir quittée cette douce étreinte aquatique, elle reste dans l’ambiance brumeuse et douce de la salle de bains pour fixer un chignon serré avec sa crinière magnifique et tellement rebelle. Elle y insère la rose dont elle constate bien que les ronces ont été laissées. Cela ne facilite pas la fixation, mais elle s’applique. elle quitte cette chaleur et descends, toujours nue son escalier froid. elle ne se sent pas très à l’aise, mais comme toujours à ces moments là son excitation monte en elle. Le froid extérieur contraste terriblement avec la chaleur qu’elle ressent dans son ventre. elle se met à genoux devant la porte et place ses mains sur sa nuque. elle y sent quelques mèches rebelles et se sent honteuse de ne pas avoir réussi son chignon parfaitement. elle ne veut pas décevoir Elle, mais elle n’ose plus bouger. elle essaie de voir par le trou de la serrure mais ne voit rien d’autre qu’une faible lumière. elle est à l’affût de tout murmure mais n’entend rien. Il n’y a personne à l’intérieur se rassure-t-elle, mais le doute subsiste. Elle reste dans sa chambre et profite de la torpeur qui a suivie une jouissance intense. Elle a entendue quand elle est descendue, mais connais également l’excitation de l’attente et laisse donc elle patienter. Elle se lève et met la tenue qu’elle avait soigneusement préparée, une guêpière satinée rouge sang avec de la dentelle noire au niveau des bretelles, de la taille et des lanières. Elle y ajoute un string rouge sang également et refermé par 3 lanières au niveau de la taille qui se réunissent pour mettre en valeur son satanique fessier. Elle ne met pas de bas et laisse les lanières volantes. Pour ne pas se blesser elle met également une paire de bottines, noires sans talons. Elle regrette de ne pas avoir achetée les cuissardes rouges lors de sa dernière visite d’un sex-shop avec elle. Elle se regarde dans le miroir et est satisfaite de sa tenue. Elle sort de la chambre et descend l’escalier en marquant bien ses pas. Au bas de l’escalier Elle ne va pas voir elle, mais ouvre la porte de la cuisine. elle ne comprend pas, mais obéit difficilement l’ordre de ne pas tourner la tête. elle ne sait pas ce qui a fait tant de bruit, ne connais pas ces pas si inhabituels à Elle. Y aurait-il malgré tout quelqu’un d’autre ? Un homme. elle est toujours aussi troublée et morte de peur. elle regrette de ne pas avoir été pisser, elle sent l’envie monter et à peur de ne pas savoir se retenir. elle a mal aux bras et aux genoux, que l’attente est longue. Elle grignote un sandwich, la soirée sera longue et dure pour la frêle musculature de Elle. Mais cette soirée fera tellement plaisir à elle. Elle ressort de la cuisine armée de deux bracelets de cuir solidarisés par un anneau. Elle se poste derrière elle. elle reconnait la respiration de Elle. elle ressent les lanière de la guêpière lui frôler les omoplates. Elle relève les bras de elle et les étends. elle sent la dureté qui avait envahie ses bras et se relâche. « Elle est seule » se dit elle soulagée. Elle fixe les bracelets aux poignets de elle et fait se relever elle. Elle fait comprendre tout en douceur et sans parole à elle de ne pas baisser les bras. elle comprend le message, elle est heureuse, la porte va s’ouvrir. Elle ouvre la porte.
Quelle image !!!!!
Le salon est illuminé de 13 bougies qui font plus d’un mètre de haut. Et tout le salon est recouvert de roses, des rouges, des blanches, des jaunes, des oranges... Une symphonie de couleurs agencées avec gout. Les reflets sont magnifiques, la chaleur des bougies envahit le corps de elle. Il ne reste qu’un passage menant au centre de la pièce. elle s’avance vers le centre où est disposé un petit coussin qui semble être un trône pour une fée. elle monte dessus et se tourne vers Elle, les mains bien tendus vers le plafond. Elle admire la corps de elle qui a du mal à tenir en équilibre sur ce petit coussin en velours. Elle fait signe à elle de se tourner de 90° vers les fenêtres. elle a peur que les rideaux soient ouverts, que quelqu’un puisse la voir mais elle s’aperçoit vite que les volets sont baissés et les rideaux tirés. Elle y voit toutefois le grand écran qui a été disposé à cet endroit. elle aperçoit alors également la caméra placée devant elle à gauche, puis celle à droite, puis leurs sœurs jumelles derrière elle. Elle en profite pour les allumer via une télécommande placée à l’entrée. Une lumière aveuglante en jaillit et 4 images s’affichent à l’écran devant elle. elle s’y voit sous 4 angles différents. elle n’aime pas ce corps qui lui a causé tellement de tourments mais elle ne bouge pas, essaie de conserver son équilibre. Elle s’approche alors, sans bruit et sans que elle ne la voie. elle voit apparaitre Elle dans l’image, Elle est armée … d’un escabeau et le pose par terre. Elle monte sur l’escabeau et saisit l’anneau fixé aux poignets de elle et fait s’étirer elle sur ses doigts de pieds. elle lève la tête et voit la chainette fixée dans le plafond du salon. Cette chaine n’y était pas ce matin. Elle attache les poignets de elle à la chainette et est satisfaite d’avoir parfaitement calculée la longueur. elle doit tenir sur ses pointes de pieds avec un équilibre très instable sur le support tout aussi instable. elle tend tous les muscles de ses jambes pour tenir. elle ressert également ses jambes, la soirée va être dure physiquement. Que se passera-t-il ? elle ne demande pas. Elle redescend de son escabeau et se recule. Elle est fière de sa mise en scène. Elle embrasse elle, sur ses assailles, dans sa nuque, sur ses omoplates, dans son coup, sur ses seins. Elle est déçue de ne pouvoir atteindre les lèvres entrouvertes de elle. elle est toujours aussi belle. Elle aime observer elle.
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