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Elle me fait cocu avec un vieux

Chapitre 4

Voyeur / Exhibition
Elle me fait cocu avec un vieux.
Chapitre 4: Victoire ou défaite.

Nous nous retrouvions dans notre lit. Valérie me tournait le dos tout en dormant mais moi, je n’arrêtais pas de la fixer des yeux, je n’arrêtais pas de revoir la scène dans ma tête, elle tournait, elle tournait au point de m’empêcher de trouver le sommeil. J’avais une furieuse envie de sexe avec elle. Pour lui faire comprendre que c’est moi le meilleur, que c’est toujours moi le patron. Je la regardais, elle, de dos, dans sa nuisette-short rose tout simplement craquante. Une femme trop craquante qui, hélas, suçait-il y a à peine une heure la queue d’un autre homme.
Adieu sommeil paisible. Surtout que ma femme semblait bien agitée tout en restant silencieuse. Était-elle endormie? Avait-elle des remords ? La réponse ne tarda pas: « Mathieu ? Mathieu ? » répéta-t-elle d’une voix basse. Peut-être voulait-elle en parler mais, pour une raison quelconque, je ne répondis pas. Même je fermais les yeux, cherchant à feindre le sommeil car je n’avais franchement pas encore les moyens d’en parler. Finalement, la voir masturber et sucer un autre homme est une trahison qui fait mal.
Les yeux fermés, je pouvais ressentir ses mouvements. Lentement, elle se retourna vers moi en prenant garde à ne pas me réveiller. « Mathieu ? » répéta-t-elle encore. Désolé, Mathieu dort chérie. Elle ne bougeait plus. Me fixait sûrement du regard. Apparemment, elle s’assurait que je dormais d’un profond sommeil. Elle dut en être convaincue car ensuite, elle se leva le plus discrètement possible tout en prenant grand soins à ne surtout pas me réveiller. C’était louche ! Très louche! Généralement, si elle devait par exemple aller aux toilettes, elle était involontairement moins soucieuse de mon sommeil et à présent, c’est à pas feutrés qu’elle quittait la chambre aussi discrètement que possible. Avec ce qu’il s’était passé, j’avais des gros doutes. Du coin de l’œil je regardais l’heure: presque minuit. Elle sait qu’Alain l’a observé hier, cherche t elle à le rejoindre? C’en était trop ! Ma curiosité couplé à mon instinct me dictaient d’en avoir le cœur net: Je décidais de la suivre.
Debout, en mode Splinter cell, je suivais ma femme à travers la maison de nos hôtes. J’écoutais, en plus des battements de mon cœur, les bruits de ses pas discrets, je vérifiais dans la pénombre au coin de chaque couloir qu’elle ne se retournait pas. J’avais vraiment pensé qu’Alain serait planté juste derrière la porte comme la nuit dernière mais non, rien, presque décevant. Je continuais ma filature et, en approchant de l’escalier, j’entendis au loin le son de ce qui devrait être la télévision.
Lentement, marche après marche, Valérie descendit les escaliers et prit la direction du salon d’où le son provenait. Juste avant l’entrée une petite ouverture située dans le mur et garnie de bibelots me donna la parfaite occasion de jeter un coup d’œil.
Alain se trouvait bien là: A l’aise, avec pour seul vêtement un vieux slip, il était affalé sur le canapé et regardait paisiblement la télévision. Pour lui, regarder la télé tard le soir dans cette tenue était une habitude mais Valérie semblait tout aussi surprise que moi de le voir quasi nu. Elle se rapprocha, et malgré sa discrétion et le son de la télé, Alain remarqua enfin, complètement surpris, la présence de ma femme tapit dans l’ombre.
— Valérie! Que fais-tu ici? Je ne t’ai pas entendu approcher, tu as besoin de quelque chose? Jolie nuisette au fait.
— hem… Merci je… vous regardez la télé? Il est pourtant bien tard.
— Tu veux quelque chose en particulier?
— Ho non non, je ne… je vais vous laisser.
— Tu peux regarder la télé avec moi si tu le souhaite, dit-il en lui faisant signe de la main. Viens donc t’asseoir à côté de moi. Quoi? C’est ma tenue qui te gêne? Ho allons aucune raison, on se connaît maintenant.
— D’accord, lui répondit-elle après quelques instants d’hésitation. Puisque je n’arrive pas à m’endormir… Mais cinq minutes alors.
Valérie voulut avoir l’air sûre d’elle mais en fait, alors qu’elle s’approchait d’Alain, ses jambes semblaient trembloter. Valérie dut sûrement comprendre que la suite ne risquait pas de rester à ce niveau et c’est sous le regard intense d’Alain qu’elle s’installa maladroitement sur le canapé juste à sa droite. Cette scène était déjà annonciatrice: Lui en slip et elle en nuisette, l’un à côté de l’autre en pleine nuit et regardant la télé. Beaucoup de gens trouveraient déjà cela indécent.
Il ne fallut pas attendre longtemps avant que la première tentative n’arrive: Alain, sûr de lui, tout en continuant de regarder l’écran, déplaça sa main avec assurance sur la cuisse de Valérie et la caressa délicatement de tout son long. Elle fut surprise mais feignit l’indifférence tout en épiant du coin de l’œil cette main baladeuse. Quant à lui, il se montrait des plus audacieux: Il déplaça sa main à force de caresses dans l’entre jambe et se mit à caresser la vulve à travers le tissu du short. Elle semblait étrangement nerveuse alors qu’il lui avait déjà fait pire. Restant silencieux, feignant de regarder l’écran, Alain tripotait le minou de ma femme sans aucune résistance venant d’elle.
— Le film ne vous plaît pas? Demanda-t-elle provocante. Vous n’avez pas l’air de vous y intéresser beaucoup.
— Bien sûr que si, mais je comprends qu’il n’est pas à ton goût. Attends, je connais une chaîne où il y aura un film qui va sûrement te plaire.
Alain attrapa la télécommande et changea de chaîne. L’image d’un couple très expressif succéda à la scène de guérilla urbaine et Valérie en fut déconcertée. A l’écran, le couple complètement nu s’envoyait en l’air dans des prises de vue très, très rapprochées.
— Voilà, à mon avis c’est plus ton genre, lui dit-il à son tour sur le ton de la provocation.
Valérie ne semblait vraiment plus où se mettre. Elle était tendue et véritablement surprise de ce nouveau programme. Chez nous, nous n’avions plus visionné de porno depuis des années et à présent, elle en regardait un avec ce vieux pervers. Les yeux fixés sur l’écran et les cris de plaisirs des deux acteurs au jeu peu convaincant changeaient radicalement l’ambiance.
— Elle à l’air de bien sucer cette fille. Tout comme toi d’ailleurs. Tu as déjà tourné pour un porno, Valérie?
— Non non.
— Vraiment? C’est pourtant une chose à faire au moins une fois dans sa vie.
— …
— En fait… on regarde ce film mais… tu ne voudrais pas me prouver à quel point tu suces mieux que cette nana? C’est pour ça que tu es descendue non?
Valérie, tout comme moi, fût choquée par la question directe d’Alain. Elle se tétanisa et jouait des mains en signe de nervosité. J’étais certain qu’Alain avait tapé juste et qu’elle était venue avec certains espoirs en tête, mais Valérie ne voulait sans doute pas passer encore plus pour une soumise. Peut-être même qu’elle allait le rembarrer, ce qu’elle aurait fait à coup sûr pour moi si je lui avait fait une telle demande.
— Vous croyez que vous m’obnubilez? Lui répondit-elle en se détendant au fond du canapé. Je suis descendu car j’avais soif et je voulais boire de l’eau. En passant j’ai entendu le son de la télé, je pensais que vous n’étiez pas là et que vous aviez oublié de l’éteindre.
— Ha? Bien… comme tu veux.
Sans tenir compte des protestations de ma femme, Alain posa sa main sur celle de Valérie, l’agrippa délicatement et vint la guider vers son entrejambe. Toujours sans réaction de Valérie, il la posa sur son slip qui moulait la bête. Ce bouc s’octroyait tout en regardant la télé, de douce caresses avec la propre main de ma femme sans qu’elle n’opposât de résistance. Ne se contentant pas de cela, Alain dirigea la main de Valérie vers son pubis, puis la guida habilement du bout des doigts de ma femme sous l’élastique de ce vieux slip. A présent, Valérie branlait d’elle-même la base de la verge par de tendres mouvements de poignets.
— Maintenant que nous en sommes là, dit-il en constatant l’absence mouvement de retrait de ma femme, si tu en profitais pour finir ce que tu avais si bien commencé tout à l’heure dans la cuisine.
Alain voulait vraiment passer à l’étape supérieure, mais Valérie s’irrita de cet homme décidément trop macho pour elle. Elle retira sa main du sexe d’Alain et se leva précipitamment. Dictée comme elle était par sa fierté, elle ne voulait certainement pas n’être considérée que comme un vide couille et se dirigeait sur l’instant vers les escaliers. Alain, voyant les choses lui échapper, se leva à son tour et la retint en attrapant Valérie par le poignet. Rapidement, il l’agrippa ensuite par les hanches et vint la plaquer contre lui. Prise au piège le dos contre le torse d’Alain, elle ne me semblait pas vouloir franchement résister, tout au contraire même. Tout en lui caressant le ventre, Alain esquissait une petite danse de droite à gauche qu’elle accompagna en calquant le rythme de son cavalier. Elle aimait cela, ça se lisait sur son visage langoureux.
— Tu es une dure à cuire, princesse, mais je finirais bien par te manger à toutes les sauces. Tu descends ici comme une espionne dans le noir complet et en petite tenue, tu m’as branlé, sucé, et j’ai éjaculé sur toi. Et vu comment tu t’y es prise, tu as adoré. Tu joue la rebelle mais plus la peine de faire semblant ou de te faire croire que tu ne sois pas là pour ça, alors maintenant, viens entre mes jambes et suce moi comme tu sais si bien le faire. Allez ma belle! Il nous reste si peu de temps pour nous prendre du bon temps ensemble. Ne gâche pas l’occasion, tu t’en voudras.
— Vous n’êtes qu’un vieux pervers qui ne pense qu’à sa bite.
En entendant ces mots, Alain poussa encore plus son entrejambe sur le fessier de Valérie. Elle devait très bien sentir la chair de ce sexe encore mou couvert par le slip lui caresser le galbe de ses fesses. Et en plus de ce geste très annonciateur, Alain remontait ses mains vers la poitrine de Valérie et les massas généreusement de ses grandes mains pour le plus grand plaisir de sa captive. La nuisette-shorty de Valérie ne semblait pas le gêner le moins du monde.
— Je plaide coupable ma belle mais ne t’en fais pas, je pense aussi à toi. Les dames d’abord!
Sur ces mots, abandonnant le doux corps de Valérie, Alain la précipita virilement sur le divan. Elle fut étalée de tout son long et le fixait d’un regard rempli d’envie. Lui, tout sourire, se mit à genoux sur le divan entre les jambes de sa conquête. Attrapant les cuisses de Valérie, il la positionna de ses puissantes mains face à lui. Complètement surprise par la réaction d’Alain, Valérie n’eut pas le temps de réagir alors qu’il lui écartait déjà les cuisses et rapprochait son corps dangereusement d’elle. En peu de temps, Alain se retrouva au-dessus d’elle et le visage presque collé au sien. Dans cette position, Alain en imposait à Valérie qui ne s’attendait certainement pas à cela.
— Alors quoi? Vous allez me…
— Te prendre? Bien-sûr que oui ma belle! Mais j’ai dit: les dames d’abord.
Il lui déposa de doux baisers sur son cou qu’elle répondit par des soupirs. Tout en descendant plus bas, il attarda sa langue sur le tétons durcis de Valérie qui pointaient au travers de sa nuisette. Elle appréciait. Toujours en la regardant dans les yeux, il déplaça sa tête encore plus bas, entre les cuisses déjà bien écartée de Valérie qui restait couchée. Il y déposa un délicat baiser sur la vulve couverte par le short rose. Elle ne quittait pas Alain des yeux alors que les mains de Valérie jouaient avec le bord du tissu de sa nuisette en signe de nervosité. Elle en avait déjà fait beaucoup trop pour cet homme, plus qu’une femme mariée ne devrait évidement faire. Mais elle dut certainement se dire qu’elle en avait justement trop fait pour en rester là.
— Tu sais ma belle, je n’ai pas encore vu cette partie-là.
Valérie n’arrivait pas à articuler le moindre mot tant elle semblait perdue dans ses tourments. Des deux mains, Alain tira le short et y aperçut le duvet de ses poils pubiens. Continuant, il découvrit ensuite et avec délectation le jardin secret de ma femme. La vulve rose maintenant dénudée et les lèvres suintantes de bonheur furent totalement visibles à ses yeux et il prit tout le temps d’admirer le trésor de Valérie.
Délicatement, il se pencha sur le pubis mis à nu et y déposa à nouveau un baiser sous les yeux de ma femme qui ne réagissait absolument pas. Le baiser se prolongeait, mais surtout, il descendait, de plus en plus vers les lèvres vaginales. De là où j’étais planqué et touchant ma bite, j’avais du mal à voir la scène, mais c’était pourtant très clair : Valérie écartait à présent les cuisses d’elle même pendant qu’Alain s’engouffrait de plus en plus entre celles-ci. Elle qui résistait par fierté, la voilà qu’elle posait ses mains sur la tête d’Alain pour l’inciter à continuer. Je l’imaginais sans peine : la langue de ce vieux bouc parcourant et léchant la vulve de ma femme avec sa langue humide et se délectant de sa délicieuse cyprine. Pendant qu’il lui pratiquait un cunnilingus du tonnerre, je la voyais prendre son pied. Sa langue semblant être pour elle le déclencheur d’un plaisir intense, son torse se bombait, ondulait sous les coups de langue expérimentés d’Alain, et ses tétons, pointant à travers du tissu de sa nuisette, accentué par la faible lumière, prouvaient son bonheur.
La scène se déroulait devant moi et je voyais mal à cause de leur position, mais les petits commentaires de ma femme accompagnés des vibrations de son corps m’excitaient au plus haut point : les « Vas-y c’est bon » les « Continue » ou encore le terrible « Fourre-la au plus profond » me donnait un mal fou à rester caché dans la pénombre. J’enrageais, je jalousais terriblement la place d’Alain et je réservais à ma femme pour les jours qui viennent de torrides parties de jambes en l’air, salope.
Valérie gémissait de plus belle alors qu’Alain lui léchait le clito depuis un bon moment et je la sentais pas loin de jouir. C’est le moment où il s’était mis à la doigter en même temps qui déclencha l’orgasme de ma femme. Elle se cambra tout en se cramponnant à la tête de son amant et poussa un beau râle de bonheur. La voir ainsi prendre son pied était incroyable.
Calmement, elle reprit son souffle avec un petit tire. Sa poitrine aux tétons durcis se gonflait et se dégonflait au rythme de sa respiration alors qu’elle se remettait encore de son orgasme. Alain, content de son œuvre, se retira des cuisses de Valérie en souriant et se réinstalla confortablement tel un pacha.
— Voilà: Les dames d’abord. Ta mouille est délicieuse Valérie, j’en ai encore le goût sur la langue. Bien, à présent c’est à mon tour ma belle. Hop hop.
C’est d’un ton toujours charmeur mais bien plus autoritaire qu’Alain venait de donner cet ordre. Pour lui, plus la peine de demi-mots ou de sous-entendus et, sans plus tarder, Valérie se leva du canapé, remonta son short de manière plus décente et se positionna face à lui. Elle le regardait en silence et le sourire au lèvres quand, sans attendre, toujours assis sur le canapé, Alain leva ses jambes et fît glisser son slip pour s’en débarrasser. Maintenant complètement nu et tenant sa bite molle dans sa main, il soutenait Valérie de son regard afin de la faire plier.
Et c’est sans hésitation qu’elle plia et se mit à genoux entre les jambes d’Alain. Repoussant d’un geste de la tête les mèches de cheveux qui lui chatouillaient le visage, abandonnant toute morale, se libérant de ses dernières entraves, elle attrapa le sexe toujours mou et le branla doucement. Il avait suffi de quelques mouvements de poignet pour la raidir et elle y déposa ensuite quelques petits baisers sur le gland avant de l’engloutir sans hésitation dans sa délicieuse bouche. Elle le suçait , lui taillait, là, à genoux, sans retenue une pipe alors que monsieur gémissait de plaisir, assis sur le canapé. Je voyais la tête de ma Valérie dans un rythme langoureux, s’engouffrant la verge vigoureuse d’Alain, sa langue parcourant de tout son long cette bite. Elle qui avait quelques réticences, elle pompait maintenant ce dard avec le désir d’une salope, délaissant parfois le sexe pour lui sucer et mordiller les couilles. Je la voyais se donner des moments de répits, lui permettant de repousser derrière ses oreilles des mèches rebelles ballottées par le mouvement, puis retournait de nouveau engloutir le sexe d’Alain au plus profond de sa gorge.
Valérie ne le regardait pas, peut-être trop honteuse de se soumettre à lui, alors qu’elle lui pratiquait sa savoureuse fellation. Alain quant à lui, qui regardait attentivement ma femme occupée à lui faire cette gâterie, agrippa sa belle chevelure noire d’une main et entreprit d’accompagner son mouvement tel un maître.
— C’est bien! Continue ma fille, j’adore te voir à genoux entre mes jambes.
Valérie ralentit son mouvement. Elle, d’ordinaire si fière, le regarda droit dans les yeux, certainement piquée au vif en entendant ainsi cette allusion à sa soumission. Mais Alain, toujours avec son grand sourire, pressa la tête de Valérie afin de la soumettre et l’obliger à reprendre le rythme. Elle était repartie de plus belle pour une vigoureuse pipe aux succions agréablement audibles.
Le mouvement devenait de plus en plus rythmé et le plaisir que ressentait Alain en était décuplé, je le sais que trop bien, moi, que les pipes de Valérie sont délicieuses, et il le prouvait en posant à présent les deux mains sur la tête de ma femme se trouvant entre ses jambes, l’accompagnant dans son mouvement et poussant des râles de plaisir.
— Enfin putain! Je vais éjaculer dans ta bouche! Prépare-toi à tout recevoir!
Aussitôt dit, aussitôt fait ! Alain se déchargea dans la gorge de ma femme qui serrait le plus possible des lèvres autour du gland pour garder un maximum de foutre. Peine perdue, elle en recracha une partie en hoquetant, ayant failli s’étouffer avec. En se retirant, je voyais le sperme couler de sa bouche pour retomber sur la verge de ce vieillard. Le pire, c’est qu’elle semblait se régaler, c’est comme si je redécouvrais ma femme.
— Tu es géniale Valérie. Vraiment. Dès que je t’ai vue, je n’avais qu’une chose en tête: te cracher mon jus dans ta bouche. Il a fallu que je m’y reprenne à trois fois mais on y est arrivé.
— Charmant… Tu as eu ce que tu voulais, te voilà satisfait à présent.
— Pas tout à fait, mais nous allons y remédier dans un instant.
— Tu es vieux, il faut te ménager.
— Ne t’inquiète pas de ma santé ma belle, ce soir, tu y passes.
— C’est complètement dingue, dit-elle en se plaquant les mains sur son visage, je…
— Tu le savais en venant me voir et c’est exactement ce que tu cherchais.
— …Avec tout ce qu’il s’est passé entre vous et moi, c’était inévitable je suppose… Mais ne pensez pas que vous pourrez me rendre visite chaque week-end pour me sauter, je vous fais cette faveur mais après ce séjour, nous ne nous rencontrerons plus.Bien, ce n’est pas une demande en mariage de toute façon…
Alain se pencha vers elle et l’embrassa langoureusement d’un baiser passionné. Surprise, elle le lui rendit ensuite amoureusement.
— … En tout cas, content que tu ais enfin accepté le fait que nous allons baiser, mais je peux t’assurer que tu crieras mon nom et que tu me diras à quel point tu m’aimes.
— Ho vraiment? Quel vantard!
— Il est temps de le prouver! Montre-moi tes talents!
Pendant la conversation, Alain se branlait doucement afin de rebander plus vite. Sa queue devenait, avec une certaine difficulté, de nouveau opérationnelle et pointait doucement vers le haut. Cette bite était une monstruosité et je le détestais pour cela. Bien-sûr, ma femme se rendit compte à son tour de la pleine puissance retrouvée d’Alain et elle le regarda dans les yeux en rigolant.
— Soit. Vous avez intérêt à être un bon coup.
Valérie se leva du divan et se positionna face à lui. Rapidement et sous les yeux ravis d’Alain, elle agrippa sa nuisette rose par le bas et l’enleva en tendant les bras vers le haut. Ses magnifiques seins nus rebondissaient alors qu’elle jetait à terre son vêtement devenu obsolète et entreprit ensuite de baisser complètement sont short jusqu’aux chevilles. L’envoyant valser d’un geste du pied, Valérie venait de se retrouver ainsi totalement nue face à Alain en moins de dix secondes. Il contemplait ma femme qui affichait fièrement son corps svelte en posant les mains sur ses hanches. Pour se mettre dans l’ambiance, et surtout lui, elle entreprit d’elle-même de se caresser. Elle se palpait ses petits seins, les massait dans une gestuelle langoureuse et se titillait les tétons durcis pour le seul plaisir d’Alain.
Ma plus grande crainte devenait réalité : Un genou après l’autre, elle vint rapidement se positionner au-dessus de lui et de son sexe durci. De sa main, elle positionna correctement le gland à l’entrée de ses lèvres vaginales bien humides et, fin prête à le recevoir, elle l’enlaça autour du cou.
C’est avec une langoureuse lenteur que les lèvres suintantes de cyprine de Valérie s’écartèrent et que je vis ma femme s’empaler sur le vit puissamment monté d’Alain. Lentement, elle se faisait pénétrer par ce mâle dominateur. Chaque centimètre de plus en elle la rendait euphorique. Elle se laissait aller, se mordillait les lèvres de plaisir en sentant ce sexe se frayer un chemin en elle, en sentant cette masse la remplir si intensément et qu’elle cherchait visiblement à presser de son bassin. Elle le voulait, elle le voulait vraiment tout entier en elle car elle n’avait avec moi, pas l’habitude d’aussi gros calibre et voulait en profiter un maximum.
Enfin la vulve atteignit la garde. Le sexe d’Alain venait de totalement disparaître dans le ventre de ma femme et elle soupira en sentant cette épaisse masse de chair confortablement installée en elle. Ils restèrent un instant immobiles, Alain, bien au fond d’elle et savourant sa victoire, laissa tout le temps à Valérie pour profiter du coït tant attendu.
— Alors comment tu te sens?
— C’est énorme! Je la sens tellement bien! je te sens totalement en moi, dans mon ventre. J’adore, c’est trop bon!Alors c’est parti.
c’était parti en effet ! Alain donna un premier coup de rein. Puis un deuxième. Il commença à donner des petits coups qui emportèrent Valérie, transportée par la chair humaine lui transperçant le ventre. Elle gémissait de bonheur! Valérie se détendit et commença visiblement à s’habituer à son traitement alors qu’Alain entreprit d’accélérer le mouvement. J’entendais très clairement ma femme gémir en continu et de manière très audible, il augmentait le rythme, encore, toujours en la tenant par les hanches, je voyais depuis ma cachette les doigts de Valérie se crisper, s’agripper avec force à son amant. Elle l’avait griffé, j’en étais sûr!
Ses seins perlant de sueur ballottaient de haut en bas et Alain ne résista pas à l’envie d’attraper l’un deux qu’il s’empressa de malaxer avec fermeté. Elle bascula la tête en arrière de plaisir alors qu’elle le chevauchait à une vitesse folle, il malaxait son sein au même rythme que son corps. Titillant entre ses doigts le bout de son téton définitivement durci par l’extase.
Le rythme s’intensifiait pour elle alors qu’il continuait de lui ramoner le moindre centimètre de l’intérieur de son vagin. Valérie montrait des signes de fatigue, elle s’écroula sur lui dans un gémissant sans se soucier le moindre instant de réveiller la maison. Elle plaqua sa poitrine sur le torse d’Alain qui lui passa les bras dans le dos pour la maintenir fermement contre lui. Il donnait sans fléchir ses puissants coups produisant ce terrible son que procure le claquement des chairs Des gouttes de sueur perlaient le long de leurs corps, même dans la pénombre je pouvais les voir transpirer dans cette intense dépense d’énergie.
— T’aimes ça Valérie? Tu aimes sentir un homme te remplir de cette manière?
— O… oui…oui…
— Vas-y! dis-moi que tu l’aimes ma queue!
— J’aime ta queue! J’adore ta queue! Elle est tellement incroyable!
— Embrasse-moi!
Valérie s’exécuta dans la seconde. Profitant d’une baisse de rythme, elle plaqua ses mains sur les joues d’Alain, puis colla langoureusement ses lèvres contre les siennes. Habilement, il lui ouvrit les lèvres et y introduisit sa langue. Leurs langues s’entremêlèrent fougueusement entre eux et c’était à présent un putain de baiser langoureux et sensuelle qu’ils s’échangèrent.
— Dis moi que tu m’aimes!— Je t’aime Alain! Je t’aime! Toi et ta putain de queue!
Le manège sur lequel Valérie chevauchait avec bonheur dura un long moment, du moins il me parut une éternité, alors qu’Alain alternait les rythmes. Parfois, il ralentissait en douceur pour repartir de plus belle dans une folle cavalcade, mais arriva fatalement le moment où elle se mit à gémir de plus en plus fort, complètement transportée par l’extase de l’union.
— Ho Alain! Alain! — Je viens! Putain!— Moi aussi!
Je les voyais se serrer l’un contre l’autre au moment où ma femme se mit à avoir un orgasme phénoménal tandis qu’Alain éjacula en elle au même moment, explosant dans des râles de satisfaction assourdissants. Le rythme venait très clairement de baisser, elle haletait en tentant de reprendre son souffle et s’affala sur lui, complètement essoufflée par l’intense dépense d’énergie. Tout ruisselants de sueur qui la rendait trop excitante, ils n’arrivaient même plus à se tenir l’un l’autre tellement ils avaient sués.
— Je te l’avais bien dit que tu crierais mon nom.
— Moui, vous n’étiez pas mal, dit-elle calmement en reprenant son souffle. Franchement en vous voyant me draguer ainsi, je ne voulais que jouer avec vous. Une branlette, une petite pipe et puis bye bye histoire de bien vous faire rager. Mais ça fait tellement longtemps qu’un homme ne m’avait pas draguée ainsi, et vous vous êtes montré très convainquant…
Après quelques instants durant lesquels ils restèrent immobiles toujours unis, Valérie tenta de se lever pour se dégager du pieu qui l’avait embroché alors même que le sperme coulait de son vagin. Pleine ! Elle était pleine ! Elle parvint à s’extirper non sans mal du sexe d’Alain qui ramollissait et Valérie s’écroula instantanément sur le divan. Passant les mains dans ses cheveux, toujours en cherchant à reprendre son souffle elle ne revenait pas de cet incroyable extase. Valérie porta une main à son entre-jambe bien élargie et lâcha un «putain» face à la douleur ressentie de leur union. Ce monstre avait fini sont œuvre.
Je suis resté un bon moment à les regarder ainsi alors qu’ils ne bougeaient plus, mais encore plus tard dans la soirée, ils avaient remis ça. Alain l’avait cette fois-ci prise en missionnaire sur le tapis du salon et Valérie lui était totalement soumise. J’étais scotché à cette scène intense qui se déroulait devant mes yeux. Après cela, tous les deux avaient atteint leur limites et étaient à présent épuisés, alors je suis remonté dans la chambre les jambes tremblotantes, devant me retenir pour ne pas tomber face à une telle défaite. Ensuite, je me suis couché mais, bien évidement, pas moyen de dormir. La nouvelle soumise d’Alain me rejoignit peu de temps après dans la chambre : elle avait au moins remis sa nuisette-short rose et, le plus discrètement possible, s’engouffra dans les draps pour s’endormir aussitôt de fatigue.
Le lendemain, Alain baisa ma femme par deux fois. Du moins c’est mon avis, car a deux reprises dans la journée, tous deux s’étaient éclipsés un bon moment grâce à de vagues prétextes nous laissant en plan Florence et moi alors que nous nous plaignions de leur lenteur à revenir. Je mourrais d’envie d’aller les espionner mais hélas, je ne pouvais tout simplement pas laisser Florence seule.
J’étais vaincu mais il y eu un bonheur dans mon malheur. Depuis notre retour de vacances, je peux vous assurer que les semaines qui ont suivi ont était extrêmement chauds. Alors qu’elle n’a jamais parlé ou même insinué quoi que ce soit de ce qu’elle avait fait avec Alain, nous faisions l’amour comme jamais, comme des dingues, même parfois dans des lieux où nous n’aurions jamais osé. A mon agréable surprise, Valérie était tout autant en chaleur que moi, qui souhaitais la reconquérir. Elle était maintenant bien plus réceptive à de nouvelles expériences pour mon plus grand bonheur.
Mais bon. Finalement ma femme m’avait trompé pour la première fois et maintenant qu’elle avait connut les plaisirs de l’adultère, elle risquait peut-être de récidiver et, à ma grande honte, je ne savais pas si je devais l’y empêcher ou pas.
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