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Elle a joué, elle a perdu.

Chapitre 2

Trash
J’ai compris. Je suis excitée ; je sens ma chatte et ma culotte devenir humides. Je suis contente à cet instant, mais le serai-je encore après ça ? Après les scénarios que j’ai moi-même écrits ? Je ne sais pas, mais j’ai compris ; alors je mets la scène en marche, et le jeu débute.
Il se relève pour être debout devant moi. Je semble si petite, comme, ça devant lui… Je me relève de façon à avoir le visage à hauteur de son pénis. Je défais le bouton, la fermeture Éclair et descends son jean et son caleçon que je laisse tomber à ses chevilles. Sa tige à peine dressée me fait avoir des frissons à sa vue : pas même complètement rigide, je la vois déjà énorme. Je pense à la suite des événements et un autre frisson parcourt mon corps pour s’arrêter au creux de mon ventre ; de l’envie, de la hâte. L’odeur n’aide en rien pour réduire ça ; une odeur sucrée. Je passe ma langue sur le bout de son gland : un goût de cannelle ; étonnant. Je le prends dans ma bouche en aspirant légèrement et le sens grandir, grossir et pousser dans ma gorge. Ses poils me chatouillent le nez : il n’a pas pris la peine de les raser, ni même de les tailler.
Une fois sa verge complètement érigée, je n’arrive plus à la prendre entièrement. Je fais de mon mieux pour en avoir le maximum, mais visiblement pas assez : comme dans mon récit, il me tire par les cheveux en me plaquant douloureusement contre le mur. Je suis maintenant accroupie et plus maîtresse de rien. Je laisse ma bouche grande ouverte pendant qu’il me la baise. Il va de plus en plus loin sans faire attention à mes plaintes silencieuses. Il me dit de me laisser faire, de baver, de tousser s’il le faut, mais j’ai du mal avec cette intrusion : quand il touche ma luette, j’ai l’impression d’étouffer et ne peux retenir un toussotement.
Il se retire pour aller encore plus profond ; je tousse de temps en temps. Une fois sa verge complètement dans ma gorge, il me bloque la tête. J’ai l’impression de mourir, je ne peux plus respirer. Je bave énormément. De plus l’air me manque. Je perds l’équilibre et me retrouve assise par terre, toujours avec la main de Romain dans mes cheveux, mais sa bite à l’air. Je pose mes mains au sol et tousse à la limite de vomir.
Je n’ai pas le temps de relever la tête que je me sens tirée par les cheveux : il me traîne par terre ; je hurle de surprise et de douleur. Il me conduit jusqu’à ce que je suppose être sa chambre, une petite pièce avec un lit deux places blanc avec ce qu’on pourrait appeler des barreaux, un petit bureau en bois avec un ordinateur ouvert dessus, une table de nuit sur laquelle est posée une lampe de chevet, une grande fenêtre avec des rideaux épais et une commode de la même couleur que son bureau. En soi une pièce assez simple, blanche et bleue, mais qui – je le sens – me réserve moult surprises.
Il me fait aller sur le lit.
— À quatre pattes, et tu attends en regardant le mur !
J’acquiesce d’un signe de tête et je l’entends ouvrir un tiroir, sûrement celui de la commode. Je tourne la tête discrètement car j’entendais encore du bruit et pensais qu’il fouillait encore, mais il m’a tendu un piège et fait juste du bruit avec sa main en me regardant. Nos regards se croisent ; il me sourit avec perversion et sadisme. Je retourne très vite la tête et ferme les yeux aussi fort que je peux, m’attendant à recevoir un coup. Mais rien. Je le sens monter sur le lit ; il est derrière moi. Il pose ses mains délicatement sur mes fesses. Il est tendre, il a des gestes presque amoureux. Il embrasse mes fesses, l’une après l’autre, et me demande de les écarter pour qu’il puisse voir mon trou. Je m’exécute. Je suis maintenant la tête posée sur le matelas, le cul bien ouvert et très cambré.
— Ce sera la position que je te demanderai le plus souvent, me dit-il doucement.
Je sens d’un coup une chaleur près de ma rondelle. Je n’ai pratiquement jamais fait d’anal, pour être honnête ; les seules fois où je l’ai fait, c’était après des soirées, enivrée par l’alcool. Je tremble légèrement. C’est un bout rond que je sens, pas un doigt, rien de mouillé. Il va me prendre sans m’ouvrir, sans me lubrifier. Ça ne fait pas partie du plan !
— La prochaine fois tu ne tomberas pas ! La prochaine fois tu ne me désobéiras pas !
Il pousse d’un coup. Je sens comme un déchirement et pousse un cri de douleur. Je lâche mon cul pour serrer le drap entre mes doigts tant la douleur est aiguë. Il s’arrête au fond de mon ventre. Je pleure. Il m’enfonce la tête contre le matelas, je ne peux plus respirer.
— Tu fermes ta gueule, salope! Je te rappelle que j’ai des voisins ; je ne veux pas les alerter parce que ma catin n’est pas capable de m’obéir. Et remets tes mains, j’en ai pas fini avec ton gros cul !

Je pleure toujours. La douleur de part pas ; j’ai même l’impression qu’elle prend possession de tout mon corps mais je suis ce qu’il me dit : je replace mes mains et écarte mes fesses le plus possible. Il sort toute sa longueur en moi, laissant juste son gland à l’intérieur.
— Souviens-toi : pas un bruit !
Il se replonge encore plus violemment que la première fois. La douleur me brûle, je me mords la lèvre pour ne pas hurler encore plus. Il fait des va-et-vient dans mon cul, rapides et brutaux ; j’ai la sensation de me faire écarteler et qu’il va de plus en plus profond. Je sens un liquide dans ma bouche : je saigne, mais je ne sens rien à ma lèvre à cause de la brûlure de mon anus. Il continue comme ça plusieurs très, trop longues minutes. Puis le vide. Il me prend par les cheveux et empale ma bouche sur sa bite jusqu’à ce que j’aie le front sur son ventre. Je le sens grossir, puis il gicle directement au fond de ma gorge en plusieurs jets chauds ; je n’ai d’autre choix que d’avaler. Il ressort sa bite et me fait comprendre que je dois la lui laver, alors je reprends son sexe en bouche sans qu’il diminue de taille. Ceci fait, il sort de la chambre et revient cinq minutes plus tard avec une bouteille d’eau. Moi, je me suis juste recroquevillée sur moi-même, le cul béant à cause des assauts de mon maître.
— Maître, je peux boire ? demandé-je d’un ton suppliant.— Non !
Je ne m’attendais pas du tout à cette réponse et reste hébétée devant ce refus sans appel.
— J’avais prévu quelque chose ; je n’ai pas pu le faire parce que tu as désobéi, mais j’en ai encore envie. Alors tu as cinq minutes pour me refaire bander pour que tu puisses encore profiter de mes coups de reins.
Je me relève difficilement ; ça me fait mal, mais je vais m’atteler à le sucer. Il me faut bien les cinq minutes pour arriver à le faire rebander comme un cheval. Il me tapote la tête en me disant :
— Bonne chienne. Maintenant, sur le lit, bras et jambes écartés.
Je m’exécute sans discuter. Il prend ce qu’il avait sorti de sa commode et je n’avais pas eu le temps de regarder tout à l’heure : des menottes. Il les place autour de mes poignets et me lie les jambes avec une corde, de façon à ce que mes cuisses soient complètement ouvertes, lui offrant une vue sur ma chatte poilue. Je n’avais pas pensé pas me retrouver dans cette position, alors je n’avais pas pris le temps de me la raser, mais ça n’a pas l’air de le déranger : il place sa bouche directement sur mon bouton et se rend compte que malgré la douleur je mouille comme une fontaine. Il me lèche la fente pour aspirer mon jus puis il me met trois doigts dans la chatte ; je gémis, entre plaisir et douleur. Il fait des va-et-vient rapidement pendant que sa langue se rapproche de mon anus. Je me courbe quand sa langue me touche à cet endroit-là : c’est très sensible. Il me plaque sur le lit avec sa main libre et me bloque, puis il retourne à son armoire et revient avec un plug, beaucoup trop gros à mon avis.
— Non, je ne v...— Ta gueule ! Pour la peine, tu dormiras avec et tu le garderas jusqu’à ce que je le remplace par ma bite.
Je me tais. Il revient sur le lit, crache sur l’objet métallique pour le lubrifier et me l’enfile dans le cul tandis qu’un grognement sort de ma gorge. Une fois le plug en place, il se couche sur moi de façon à avoir sa bite contre ma fente puis il me pénètre. Je n’arrive pas à déterminer la sensation qui m’envahit : douleur ou plaisir ? Ma vision commence à devenir floue ; est-ce que ça serait ça, un orgasme ? Est-ce que ça commence comme ça ? Je ne le saurai pas car il se retire. Je me sens vide, frustrée et déçue. Il se lève et s’assoit sur ma poitrine. Il se branle ; ses jets de sperme finissent sur mon visage, dans ma bouche et dans mes cheveux. Il descend du lit, détache mes jambes et mes bras, mais en laissant les menottes à mon poignet droit. Il me donne la bouteille d’eau ; je bois à grandes goulées jusqu’à plus soif. Il me tire sur le sol, me rattache au pied du lit et me dit :
— J’en ai fini avec toi pour ce soir ; c’est l’heure de dormir. Aujourd’hui, tu ne mérites aucun oreiller, couverture ou vêtement. Passe une bonne nuit et sois jolie demain. Tu auras pour ça droit à une douche, et tu me vireras la forêt que tu as entre les jambes. David, mon voisin, viendra te détacher et te ramener chez toi demain matin. Tu prendras de quoi te maquiller et tu t’occuperas de tes chats ; sans enlever le plug de ton cul de salope, bien sûr. Bonne nuit, ma chère Jade.
— Mais... je n’ai pas joui. Et j’ai votre sperme sur mon corps...— Tu as bien fait d’en parler, dit-il en riant ; je refuse que tu jouisses avant que je ne le décide. Donc tu ne te touches pas ! Et dis-toi que ma semence est un soin pour le visage.
Et il ferme la porte de la chambre en riant.
J’ai du mal à m’endormir : je suis fatiguée et j’ai froid, la douleur entre mes fesses ne diminue pas, et la frustration en rajoute une couche. Je finis par m’endormir après ce qui me paraît des heures.

A suivre..
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