Ils avaient congé ; En me disant au revoir, il m’a demandé si on avait les cours cet après-midi-là. Ce n’était pas le cas, ils avaient congé... Mais je lui ai rappelé que s’il souhaitait, il pouvait toujours venir faire ses devoirs à l’école.Alors, il est revenu. Je l’avais attendu, c’est vrai. J’espérais vraiment qu’il revienne.Juste avant d’aller à l’étude, il est vite passé me dire bonjour. Juste sa tête, qui dépassait de la porte, et son sourire, comme toujours éblouissant. « Ça vous fait plaisir que je revienne ? » Oui. Vraiment. J’ai traîné juste pour ce moment, juste cette minute de bonheur.Sa loyauté, sa présence et sa bonne humeur, c’est devenu un besoin, une envie permanente. Encore une fois, je me rends compte à quel point c’est lui qui m’apporte de l’énergie, il me donne autant, ou plus peut-être que je ne lui donne moi-même.J’ai une seule envie, de le rendre heureux pour qu’il m’offre encore des instants magiques comme celui-ci.Je commence à avoir peur aussi de ce besoin.Bien sûr que c’est aussi son problème. Notre problème.
Pourquoi est-il aussi beau ? Il est trop jeune, je ne peux pas le trouver beau. Et surtout, c’est mon élève. Pourquoi est-ce qu’il me sourit ainsi ? J’ai envie de le faire sourire, encore et encore. Chaque sourire, c’est un cadeau.
De toute manière, c’est bientôt Noël, j’ai le droit à un cadeau. Ce soir, je me remémorerai son sourire, et je m’offrirai un autre cadeau. Je me sentirai encore plus coupable, mais qu’y puis-je ?Il est là, il m’envahit, je pense à lui, toujours. Sa jeunesse, sa spontanéité et son air canaille me font craquer. Cette insouciance qui peu à peu disparaît chez mon amoureux est encore pleinement présente chez lui. Il respire la joie de vivre, et me fait me sentir plus jeune encore que je ne le suis.Pourquoi cet élève plus âgé est-il arrivé dans ma classe, à moi la plus jeune enseignante du collège ? La moins expérimentée et la moins entraînée à résister à un élève aussi ravageur... C’en est presque une blague cruelle. Mes doigts déjà se promènent sur mon corps nu. J’imagine encore une fois le contact de ses doigts sur les miens lorsqu’il m’emprunte une gomme, un taille-crayon, mon cœur... Je me rappelle sa voix, déjà un peu rauque, et la douceur de ses cheveux lorsqu’ils me balaient l’épaule... Le fait-il exprès ?
Je ne sais plus, son parfum m’envahit. J’ai envie de l’embrasser. J’ai envie de lui donner toute la tendresse du monde, j’ai envie de lui faire découvrir des choses qui l’émerveilleront, j’ai envie de faire l’amour avec lui. J’effleure mes seins, mes doigts s’attardent sur la pointe de mes tétons qui déjà se dressent sous l’effet du froid et de l’excitation. Je l’imagine en train de découvrir mon corps. J’imagine sa bouche, douce et pleine, qui suivrait le bord de ma mâchoire, y laissant baisers et morsures. J’oublie déjà qu’il n’est pas expérimenté. Je rêve qu’il atteint ma poitrine, qu’il caresse tendrement. Il y pose sa tête. Alors, je me relève, le faisant rouler sur le côté. A présent, je le chevauche et c’est moi qui prends les commandes. J’ai envie de toucher son corps qui m’obsède depuis si longtemps. Je laisse mes doigts courir sur ses abdominaux parfaits, et tire d’un coup le jeans, qu’il portait de toute manière déjà très bas, et son boxer coloré. Sa virilité, dure et tendue, en jaillit. Est-ce possible, d’en avoir une si développée à son âge ? Qu’importe, je la prends en bouche. Je le suce de bas en haut. J’adore faire cela. Vu d’en dessous, cela permet d’observer toutes les réactions de son amant.Et lui, qui découvre tout, semble béat. Quelle sensation magnifique, de voir un homme entièrement sous votre pouvoir... Je décalotte son gland et le suce avec application. C’est la partie la plus douce d’une verge, et aussi la plus sensible. J’insiste sur le frein avec ma langue, puis remets tout le gland dans ma bouche. J’aspire.Encore, plus fort. Il gémit déjà, et je sens une tension qui monte dans tout son sexe. C’est trop tôt. Je ralentis le rythme et le reprends, tout doucement, entièrement dans ma bouche. J’essaie de l’avaler aussi loin que possible, puis le ressort.Il commence à onduler du bassin, et je le laisse me donner le rythme. J’adore lorsque Monsieur se laisse aller à me dominer. Je décide de lui faire plaisir et l’encourage en aspirant toute sa verge. Il se tend à nouveau, mais cette fois, c’est moi qui accélère le rythme. J’ai envie qu’il jouisse, j’ai envie de le goûter.Un peu gêné sans doute, il essaie de se retirer avant ; mais j’agrippe ses fesses pour l’empêcher de me priver de ma friandise. Il est peu salé, mais très amer. Il ne mange pas suffisamment de fruits...
Mes doigts, qui courent déjà sur mon clitoris depuis longtemps, me font jouir, très fort. Le retour à la réalité se fait en douceur. Quel orgasme ! Quel fantasme ...
