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Elodie

Chapitre 2

Zoophilie
...
Piro remuait de tout son corps. Il semblait excité ou tout simplement content. Mon excitation monta fortement après cette léchouille à la limite de l’entre cuisse. Je calmais Piro. Je pris sa tête, il lécha mon visage, ça me fis mouiller. Je voulais baiser avec mon chien. Je me levais, j’essayais de le calmer. Je lui ordonnais de s’asseoir, il pleura puis soupira. Je pensais me changer. Je voulais être sa salope pour ce soir. Je voulais être chienne.
Je me maquillais vite fait, insistant sur le maquillage. Je mis un rouge de pétasse. Je mis un serre tête rouge brillant. Je voulais m’enfiler une guêpière. Mauvaise idée je me dis. Je ne mis rien du tout, je mis juste des escarpins blanc et des bas résille blanc. J’enfilais un mini faux cuir noir... comme si je l’avais déjà fait, comme si cela me semblais être un reflex naturel. Les vidéos m’inspiraient. Je montais les manches puis je rentrais dans le salon.
— Ca va Piro? disdis-je d’une voix forte. Il voulu me faire la fête. Je le calmais. Je touchais son ventre. Ca y est ça m’excite. Il fallait que je lui parle. - J’ai envi de jouir Piro. Je m’installais sur le canapé, assise, affalée. J’écartais les jambes largement. Je callais mes talons sur la table basse, qui dis mieux. Je veux qu’on me baise intensément, je veux une bite en moi. Piro semblait être plus attentif et curieux. Allez c’est parti, je suis prête cette fois. - Viens Piro, viens voir maman. Il s’approcha, cette fois ci il hésite un peu. Il voulu me lécher le visage, je me pris au jeu. Puis je le calmais, plus bas Piro s’il te plaît. Je penchais la tête en arrière, pourvu qu’il comprenne.
Enfin... enfin cela se passa. Je sentis son museau renifler ma vulve. Son souffle chaud me donna des frissons. Il hésita à "lécher". Comme si il n’avait pas le droit. Je l’encourageais. Il insistait plus vers mon vagin qu’ailleurs. D’un air malin: j’étais heureuse. C’est alors que je sentis passé sur ma chatte un grand coup de langue, chaud, si râpeux et humide, partant de très bas à côté de mon anus vers mon clitoris. Je me suis agrippée au canapé, cela me fis jouir directement. Ca me faisait trop mouiller, c’était tellement intense que je n’arrivais pas à me masturber en même temps. Je pris mes deux seins en main, j’encourageais encore Piro. Je mouillais et celui-ci semblait aimer ça. Plus je mouillais plus il léchait. Pas compliqué je sais ce qui me reste à faire...
Je fermais les yeux et jouis, je poussais des petits cris, puis des gros, - vas y Piro lèche ma vulve c’est trop bon, tu me fais jouir, il insista encore plus, c’était magnifique. Sa langue appuyé sur ma vulve souple et gonflée, les lèvres de celle-ci se baladaient toutes collantes à chaque coup de langue majestueux. J’ouvris les yeux il me léchait les yeux fermés! il doit vraiment aimer. Le plus incroyable c’est que plus ça durait plus je mouillais beaucoup. J’essayais de récupérer ma mouille qui coulait vers mon anus pour la présenter à Piro. Encore mieux, je ramenais ma mouille vers mon vagin pour toujours sentir le museau et les coups de langues de Piro. Je mouillais encore plus, j’arrêtais pas de jouir. J’eus clairement un orgasme quand après cette succession de lèche intense, après quelques minutes sa langue rentra en moi... stop Piro... j’en tremblais, je repoussais son museau, il insistait trop. Je mis ma main odorante de mouille vers son museau puis vers ma vulve pour qu’il puisse lécher que l’extérieur de ma chatte, il voulait vraiment lécher à l’intérieur ça devenait dur de tenir jusqu’à ce que je pousse des râles puis un énorme cri. Stop... pitié...Piro... mon dieu que c’était bon, je ne pensais pas qu’il allait autant me lécher, mais quel pied. Je me levais tremblante. Je venais de jouir avec mon chien. Où plutôt il avait réussi à me faire jouir avec ses grands coups de langue...
Pendant cette expérience, j’avais oublié les autres possibilités. Toutes les possibilités que Piro pouvais m’offrir à ce moment là. Je pensais m’arrêter à cela. Mais je voulais lui faire plaisir à mon tour. Du moins c’est ce que je me disais, j’en voulais plus. Je ne tenais pas trop en place après tout cela, j’avais besoin d’être assise ou allongé. Je voulais laissé reposer mon corps et mon intimité collante. Piro était content, il remuait beaucoup la queue. Je le calme, le flatte. J’arrive à prendre le contrôlé, quand il semble s’exciter. Je touche son ventre en caressant son cou avec l’autre main, j’ai envi de sucer, lécher, pomper l’engin de mon chien Piro. Je n’ai jamais pratiqué cela et je me demande comment m’y prendre. Comme ma curiosité est assez importante, je le fais coucher. Quel brave chien. Son fourreau est bien apparent, je trouve ça beau et excitant. Mon coeur se remit à battre, j’ose pas trop mais je me lance. Piro semble être apaisé.
Accroupie je dirige ma main vers son fourreau.
...
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