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Elodie chérie

Chapitre 2

Inceste
Elodie 2
Après la toilette nous allons nous coucher nus sous le drap. Je suis sur le dos et elle pose sa tête au creux de mon épaule. Je lui caresse les cheveux avec douceur et me sens prêt à m’endormir quand je sens sa main sur mes testicules qu’elle presse fortement. « Oh non ma chérie, je suis fatigué ! J’ai une dure journée demain ! »« D’accord mon papou, je te laisse tranquille, mais ce n’est que partie remise ! »Je m’endors rapidement et fais des rêves délicieux.
Le lendemain, au réveil un café fumant est près du lit mais surtout je suis totalement découvert et Elodie est entre mes jambes à me caresser mon pénis érigé. Elle se penche et absorbe mon gland pour me sucer.
« Non, s’il te plaît ma chérie, je suis pressé ce matin, je dois aller au travail »« Tu rentreras vite ce soir mon petit papou chéri ? ». Elle est mielleuse à souhait en disant cela!
Toute la journée, je n’arrive pas à me concentrer sur mon travail, je suis distrait par des sentiments qui sont contradictoires. Je suis coupable d’inceste et j’éprouve du dégoût de moi-même et d’un autre coté, je rêve de ce corps magnifique, jeune et plein de vitalité avec lequel j’ai merveilleusement fait l’amour la veille, même si c’est ma fille. Je fini tôt pour rentrer le plus rapidement possible car je sais qu’elle ne travaille pas cet après midi.Quand j’arrive, elle est dans la cuisine, perchée sur des talons hauts et vêtue d’une robe courte moulante. Je remarque qu’elle n’a aucun dessous et que le tissu épouse ses formes comme une seconde peau.Je m’approche pour lui déposer une bise furtive sur la joue et elle me déclare :« C’est comme ça que tu me dis bonjour ? »« Ben ... Ecoute Elodie, hier soir j’ai commis une bêtise que je regrette, je me sens coupable vis-à-vis de toi ! »« Mais non papa, il n’y a pas de raisons, moi j’ai beaucoup aimé »
Elle m’a enlacé le cou et s’est collée à moi. Timidement, je lui enserre la taille et quand elle me tend ses lèvres, je ne peux résister à son invitation. Nos bouches se collent et nos langues s’activent passionnément. Son pubis ondule sur mon bas-ventre et j’ai du mal à contenir mon érection. Je glisse ma main sur sa fesse pour la caresser avec douceur. Ma main descend sur sa cuisse ferme et je la remonte pour retrousser le bas de sa robe. J’ai maintenant le contact de sa peau sous mes doigts que je glisse dans son sillon. J’abandonne le baiser pour me mettre à genou devant son pubis découvert. Je bise son mont de vénus et aventure ma langue vers sa vulve. Elle se recule, prend appui sur le meuble et pose une jambe sur mon épaule. Je titille son clitoris du bout de ma langue dardée et elle se met à frissonner. Je m’avance un peu pour mieux accéder à sa vulve que je lèche avec passion. Ma position ne me permet pas d’explorer son vagin mais je sens sa main appuyer sur ma tête pour aller plus profondément.Sa cyprine m’inonde de la bouche jusqu’au menton et je me régale de la boire. Après de longues minutes de léchage, je trouve la situation inconfortable et décide de me redresser. J’ai trop envie d’elle et ouvre mon pantalon pour en faire sortir ma verge tendue.Je veux la prendre debout !
Je lui saisis la jambe sous le genou et la relève. Elle me prend le sexe pour le guider vers son antre. Et je m’enfonce en elle lentement. Nous nous regardons dans les yeux et je la prends avec le plus de douceur possible. Elle soupire en appuyant sa tête contre mon torse tandis que je vais et viens en elle.Soudain, la sonnette déchire l’atmosphère. Elodie me dit :« Oh, ça doit être Sandrine ! »
Elle file à la porte tandis que je me réajuste, frustré de cette interruption. Je m’essuie le visage encore mouillé quand elles entrent dans la cuisine. Sa copine jette un regard sur mon bas ventre et remarque immanquablement la déformation de mon pantalon. Elle sourit et s’approche de moi pour me faire la bise. Ce faisant, ses lèvres touchent les miennes. Elle déclare :« Humm, vous sentez bon ! »Elle ne doit pas parler de mon après-rasage du matin qui a dû s’évaporer mais plutôt du liquide vaginal de son amie.Je me sens tout bête devant cette fille. Je me sens pris en flagrant délit.Sandrine sensiblement du même age que ma fille est presque aussi grande que moi, elle est blonde avec des cheveux courts, une poitrine imposante, des bonnets D au moins. Elle a de belles formes, sans être grosse. Non, elle est bien proportionnée. Elle a un piercing sur la langue et un autre au nombril. Elle porte un haut très court qui dévoile son ventre et un short qui laisse apparaître un peu ses fesses. Elle n’a pas de maquillage, inutile, ses yeux d’un bleu perçant et ses lèvres charnues ne nécessitent aucun artifice. De plus elle est toujours de bonne humeur et découvre de belles dents à chacun de ses sourires.
Pour me donner contenance, je propose à boire d’une voix chevrotante. Elodie a saisi son sac à main et se met à l’ouvrage pour rouler un cône d’herbe. Quand je m’assois, je suis entre les deux filles autour de la table ronde de la cuisine. Nous buvons une boisson rafraîchissante tandis que Sandrine me passe le joint après avoir tiré quelques bouffées. Ses doigts s’attardent sur les miens et les frôle délicatement. Je sens son pied effleurer ma cheville de façon de plus en plus insistante. Je me recule mais elle revient à la charge. Elle désire le contact.Une fois le joint écrasé, Elodie se lève et vient derrière moi pour me déposer des bises dans le cou. Ses mains glissent et elle entreprend de déboutonner ma chemise tout en me caressant le torse. Même si il fait chaud, je souhaite rester prude devant son amie. « Elodie, Qu’est-ce que tu fais ? »« Je te mets à l’aise mon papou ! » dit elle innocemment. Elle m’aide à retirer ma chemise, et je la laisse faire, vaincu.Sandrine n’a pas perdu une miette de la scène et me demande :« Je peux ? »Sans attendre la réponse encore coincée dans ma gorge, elle s’est saisie d’un téton qu’elle pinçote entre pouce et index. Sa caresse est magique. Je sens mon cœur battre plus vite et surtout ma verge reprendre une vigueur incroyable.Elodie, toujours debout, se déplace, me relève le menton pour déposer ses lèvres sur les miennes. J’ouvre la bouche instinctivement et nos langues se lient et s’enroulent à nouveau. Je sens une main sur mon sexe, c’est Sandrine !« Ouah ! C’est mieux qu’en photo ! »Je manque de m’étrangler, de quoi parle-t-elle ?« Quelle photo ???? »« Celle-ci » dit-elle en tapotant sur son portable, pour me montrer une bite tendue. Je reconnais mon grain de beauté sur la hanche, c’est de moi qu’il s’agit ! Sandrine pose une bise sur l’écran en souriant.Avant que je n’aie le temps de protester, Elodie ajoute :« C’est toi ce matin avant ton réveil ! ». Je comprends alors pourquoi le drap était tiré.Je suis estomaqué mais Sandrine s’est approchée de moi pour s’emparer de mes lèvres et c’est elle qui m’embrasse maintenant.Son piercing claque sur mes dents et j’avoue que je prends un sacré plaisir à être le jouet de ces deux filles en chaleur qui sans nul doute ont tout manigancé. Je sens quatre mains s’activer sur ma peau et je ne sais plus où je suis.Elodie déclare :« Allons dans ma chambre ! »Elle tient son amie par la main et je trottine derrière elles. Dans l’escalier, je pose une main sur le fessier ferme de la jeune blonde et assurément ce n’est pas du toc. Elle se retourne et me lance un regard malicieux au dessus de son épaule.Arrivés dans la chambre de ma fille, cette dernière me dit :« Allonge toi sur le lit, papa »Je m’exécute tandis qu’elle ouvre sa commode pour prendre une paire de bas. Elle me fait lever les bras et m’attache au fer forgé de sa tête de lit.Sandrine, elle, m’a baissé pantalon et slip et me voilà nu, immobilisé, devant les deux donzelles.Les filles se relèvent et Sandrine enlève la robe d’Elodie puis cette dernière enlève les habits de son amie. Ouah ! Quelle poitrine elle a ! Des seins en poire qui pointent fièrement. Sa toison pubienne confirme que c’est une vraie blonde !Et les deux filles qui s’enlacent, s’embrassent, se caressent devant mes yeux médusés. C’est un spectacle érotique à souhait. Je bave d’excitation de les voir se toucher ainsi mutuellement. J’ignorais la bisexualité de mon aînée. Et même si ça fait plusieurs semaines qu’elle n’a pas de copain, leur relation semble ne pas dater d’hier. Elles s’allongent sur le lit près de moi et continuent leurs ébats comme si je n’étais pas là.
Ma position est inconfortable et mes bras sont ankylosés. Je le leur signifie. Elodie me détache et me chevauche le visage. Sa chatte ruisselle littéralement et je m’applique à l’éponger de ma langue. Cette fois, je peux aller profondément dans son vagin et darder son clitoris et même son anus. Elle apprécie beaucoup !Sandrine, quant à elle m’a engobé. Je sens sa langue s’activer sur mon gland et son bijou lingual frotter sur mon frein. C’est absolument génial comme sensation ! Elle s’interrompt, écarte mes fesses et un doigt s’insinue dans mon anus. Elle s’y reprend en plusieurs fois en humectant son majeur et me voilà pénétré activement alors qu’elle a repris sa fellation.
Je suis tendu au maximum et encore plus si c’est possible. Et là, Sandrine se redresse, me chevauche pour venir s’empaler sur ma verge. Elle monte et descend avec frénésie. Noyé sous les cuisses de ma fille, je ne vois pas grand-chose mais les coquines profitent bien de moi. C’est Sandrine qui jouit en premier. Elodie, quant à elle, m’offre son bouton à sucer. Elle tremble de tout son corps et se retourne brusquement pour prendre la place laissée libre par son amie. Je lui lèche les seins pendant qu’elle entame une cavalcade sur mon membre qui la pénètre. Son amie est appuyée sur un coude et regarde ma fille et moi jouir presque simultanément.
Elodie, après avoir repris son souffle, me dit :« Sandrine va dormir avec nous ce soir, il faut que tu reprennes des forces ! »Si j’avais pu avoir des fantasmes de faire l’amour avec deux femmes, ça ne m’était jamais arrivé. Et là, je suis servi !
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