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Elodie infirmière, la suite partie 1

Chapitre 1

Erotique
Élodie infirmière , la suite partie 1NOTE : Élodie était une belle jeune femme blonde, élégante, d’une taille de 1,66 m pour 50 kg, fine et sportive, avec une jolie poitrine bien pleine qui attirait les regards masculins. (60 en octobre), 21 ans.Suite à une erreur médicale, elle se soumet peu à peu à un de ses malades, Franck, qui la confie aussi à la brutalité sexuelle de ses fils. Ceux-ci ayant des dettes de jeux vendent contre leurs dettes Élodie à un serbe, Drago.

Drago avait enchaîné Élodie, sa récente acquisition, dans sa voiture commerciale. Il quittait le bourg. Élodie pleurait discrètement, ballottée comme une caisse mal attachée, car ses poignets et chevilles étaient attachés au sol par des fers. Il roulait vers sa maison, qui était isolée et comportait plusieurs niveaux afin de lui permettre de vivre les différentes facettes de sa vie. Le conducteur était inquiet et surtout s’en voulait un peu pour l’échange des dettes des frères qu’il venait de faire. Mais bon, il aimait les choses dures à faire.Cependant, arrivé à un croisement, alors qu’il était prioritaire, il s’engagea sans avoir vu arriver, sur lui, une voiture lancée à vive allure. Elle s’encastra à pleine vitesse, au niveau de la porte avant, poussant la voiture de Drago violemment contre un luminaire. Ce dernier fut arraché par le choc accentuant la coupure de la voiture et même de l’homme. Élodie subit l’impact. Sa tête frappa violemment la porte arrière du véhicule et elle perdit connaissance.Elle se réveilla dans une chambre d’hôpital. Il faisait jour, ses poignets et ses chevilles libres mais couverts de gazes et de pansements. D’autres lui couvraient sa tête. Une lueur blanche traversait la fenêtre couverte par un rideau. Quelques instants plus tard, une infirmière apparut et voyant Élodie réveillée, lui sourit. Cela faisait longtemps que quelqu’un ne lui avait fait un sourire gentil, comme celui-là. Elle prit alors son pouls puis se retira. Elle revint avec un médecin :— Bonjour Madame,-Bonjour docteur,— Vous l’avez échappé belle, madame ! L’autre personne, elle, est morte ! Cependant, comme vous étiez enchaînée, les gendarmes viendront vous interroger. Vous avez juste été assommée mais assez violemment. Pour éviter tout risque, on va vous garder en observation. A propos, comment vous appelez vous car on n’a pas retrouvé vos papiers d’identité ?— Je m’appelle Élodie X, j’ai 21 ans, je suis mariée à Eric M mais je viens de le quitter. Je suis en fin de stage pour devenir infirmière. -Vous souvenez vous de la tenue dans laquelle vous étiez ?-Je préférerais en parler à la police si cela ne vous dérange pas, docteur. Pouvez-vous prévenir mon mari ? -Je vais prendre ses coordonnées et ensuite reposez-vous. Vous en avez besoin !Il prit le numéro de téléphone d’Eric avant de se retirer avec l’infirmière.Quelques temps plus tard, deux sous-officiers de gendarmeries entrèrent dans sa chambre. Les questions tournaient principalement sur la raison de l’enchaînement. Très vite, elle piqua du nez et devint toute rouge, car elle devait indiquer toute un pan de sa vie récente et surtout le chantage exercée par Franck. Finalement, de plus en plus recroquevillée sous ses draps, se sentant complètement nue malgré sa tenue médicale et ses draps, elle éclata en sanglots et raconta toute son histoire sans rien déformer. Les gendarmes, surpris, étaient même attendris. Elle raconta même la vente dont elle avait été l’objet, malgré la promesse du père de la garder comme infirmière soumise à son service. Les gendarmes notaient consciencieusement les déclarations d’Élodie, malgré le fait que ces événements leurs semblaient très étranges. Cette dernière demanda ce qu’il s’était passé. La réponse fut laconique : un chauffard avait brûlé la priorité mais était sorti indemne de l’accident et surtout avait prévenu la police sans chercher à fuir.Au bout d’une heure, les enquêteurs partaient avec pleins d’enseignements à la fois sur Drago et sur la famille de Franck. Son mari attendait en pleurnichant dans la salle d’attente. Les deux gendarmes l’interrogèrent rapidement et le prièrent de venir faire une déposition pour éclaircir la relation entre elle et lui. Quand il entra, Élodie était recroquevillée dans son lit et pleurait. Eric : Comment vas-tu ? dit-il d’air gêné et presque s’excusant d’être là.Élodie : Pas très bien et surtout complètement perdue. Je n’ai toujours pas envie de rentrer chez toi.Eric: Tu veux toujours divorcer ?Élodie : Oui et puis tu m’ennuies avec tes questions et tes fleurs. Va voir ton avocat pour la procédure. Je te laisse tout.Eric : D’abord, pour l’instant tu n’as nulle part où aller ! Ensuite, si tu veux te trouver un poste, il faut être en convalescence et enfin il y a la déclaration de police. Mais surtout….Élodie : Il n’y a pas de mais, va-t’en ! dit-elle nerveusement.C’est alors qu’une infirmière entra et comme elle sentait une ambiance malsaine, elle demanda au mari d’Élodie de quitter la chambre prétextant que la malade devait se reposer après le long interrogatoire policier.
Deux jours sont passés sans rien de particulier à part le train-train des hôpitaux. Au troisième jour, un membre de son école arriva : c’était son responsable de stage. Il aborda directement les questions médicales, mais indiqua que l’enquête de gendarmerie avait conclu à des comportements inhabituels et que l’école pour des raisons exceptionnelles lui accorderait son brevet d’infirmière, notamment en raison du rétablissement de la santé de son patient, Franck ! Élodie était dans un entre-deux : elle était maintenant infirmière avec certes une notation particulière, son patient était remis mais elle était sans lui. En effet, le médecin lui avait indiqué qu’il lui était interdit de le revoir. Elle éclata en sanglots après le départ de son professeur, car Franck, son Monsieur, ne pourrait plus la voir.Le soir du troisième jour, un gendarme vint la voir et commença :-Madame, vous nous avez permis de détecter un réseau international. Cependant, nous vous demandons de rester chez votre mari quelques temps. Je sais que cela ne va pas bien entre vous, mais cela vous permettrait de mieux appréhender l’avenir.-Merci, mais je vous ai tout raconté et puis c’est un peu Eric, mon mari, qui m’a poussé à faire des choses que la morale réprouve avec Franck.- ???-Et puis il y a mon travail. Je ne peux plus aller au dispensaire. -Madame, ne vous inquiétez pas pour cela, vous êtes en arrêt maladie pour un temps et puis il y a un certain nombre de centres médicaux, notamment à la campagne qui ont des gros problèmes de personnels.-Merci, est-ce que je pourrais y aller provisoirement ? -Faites des recherches, cela devrait être facile de trouver un poste.Eric attendait dehors et entrait quand le gendarme sortait :-Alors, ma petite salope, on se venge ! Il s’approcha du lit et posa sa main sur les draps, puis la remonta doucement avec un sourire méchant. T’as fait du vide autour de toi ! Ton patient est bloqué chez lui et ses deux fils sont en prison ! Bon, pour le divorce, on va faire un marché : je ne vais pas faire d’histoire mais en échange je veux que tu me permettes de faire tout ce que Franck t’a fait !— Mais ça ne va pas !-Si très bien ! Sa main glissait sous le drap, mais sans le pousser. Tu aimes être dominée moi pas, mais je n’aime pas non plus être le dominateur. Mais aujourd’hui, je vais être méchant : soit tu fais ce que j’ai envie, soit le divorce va te faire perdre tout ce que tu as !— Bon, je n’ai pas vraiment le choix !Une infirmière entra mettant fin ainsi à la discussion, du moins provisoirement, car elle indiqua qu’Élodie partirait demain dans la matinée. Eric l’embrassa sur le front et sortit, après avoir montré un sac de vêtements et lui dit « A demain ».Le lendemain matin, vers 10h, Eric était là, souriant. Élodie, vêtue d’une tenue digne d’une collégienne : chemisier blanc opaque, jupe écossaise jaune et noire, une veste noire, des socquettes blanches et des sous-vêtements de la même couleur et aussi opaques. On ne voyait plus les marques de son accident. Il se montra très poli envers son épouse et même lui ouvrit même la porte, chose qu’il n’avait faite qu’une seule fois dans sa vie : lors du mariage ! Une fois dans la voiture, le ton changea radicalement :-Alors, ma chérie, as-tu réfléchi à ma proposition ?-Oui, c’est d’accord jusqu’à ce j’ai un rendez-vous avec un médecin ! Après plus rien !-OK. Alors maintenant, tu soulèves ta jupe et tu me donnes ta petite culotte. Ton cul doit reposer sur le siège.Élodie s’exécuta rapidement : Elle passa ses mains sous sa jupe, tira les élastiques de sa petite culotte et descendit rapidement le sous-vêtement, puis après avoir levé les pieds l’un après l’autre, le tendit à son mari sans rien dire avec un sourire emprunté et inquiet. Il stoppa le véhicule, prit le linge et le sentit ; il marqua un signe de déception puis le rangea, et reprit : -C’était pour le principe ! J’espère que cela ne t’a pas trop fait mal d’en porter une ? Programme de la journée : match du moins pour moi, vaisselle et fellation pour toi, et en fonction du plaisir que j’aurai, récompense ou punition. Le repas sera avant. Je t’installe dans la chambre d’ami. Ah, j’oubliais, la tenue que tu portes sera celle que tu auras en sortie. A la maison, et dans le jardin, tu en auras une autre qui est sur le lit. Tu iras l’enfiler tout de suite, dès que l’on arrive.-Oui Eric,-J’oubliais, il y a une lettre de ton école sur le lit. Je ne l’ai pas ouverte.-Merci. Je pourrais la lire en arrivant ?-Oui, je te laisse une demi-heure pour te remettre dans le bain de la maison et des habitudes de soumise.A peine arrivée, Élodie se dirigea vers la chambre d’ami. Sur le lit une place, qui n’avait qu’un drap et une couette, se trouvait une tenue dite « infirmière », qui était en fait un bustier cachant la poitrine avec des lacets sur les côtés. Tout était blanc, sauf les lisérés qui étaient rouge. En sus, se trouvait un mini-calot blanc et rouge. Les bottes étaient en cuir récemment ciré en blanc avec des lanières de serrages blanches, mais les talons en métal avaient au moins 10 cm de hauteur. Elle se changea rapidement, puis se regarda dans le miroir posé à même le sol : le calot était vraiment petit, la robe la serrait à la taille, lui écrasait les seins, lui arrivait ras-les-fesses, qui dès qu’elle se baissait étaient visible. Les lanières marquaient ses cuisses et montraient qu’elle n’avait rien en dessous. Les cuissardes dépassaient à peine les genoux mais étaient à sa taille de pieds. Ces dernières n’étaient pas neuves et guère agréables. Pour ce changer les idées, elle ouvrit la lettre qui disait en terme peu empathique que l’école, en raison de son dévouement pour le rétablissement rapide et peu espéré du patient qui lui avait été confié, lui accordait une mention spéciale à son diplôme d’infirmière. Eric l’appela sèchement et elle descendit d’une manière hésitante les escaliers et en s’accrochant au mur pour ne pas tomber.-Ah une nouvelle infirmière est née, car je pense que ton école t’a fait infirmière.-Oui, c’est cela.-Oui qui ?-Oui Eric.-Non, ici c’est oui Monsieur. C’est clair ?Interloquée mais acceptant la situation, Élodie répondit le fameux « Oui, Monsieur » !-Il est 11H 30, voici le programme. Je vais faire quelques courses. J’en ai pour une heure. Tu as le temps de faire la vaisselle et de nettoyer la cuisine. Je ferai le repas, puis tu feras le service et la vaisselle. Tu mangeras après moi. A deux heures, il y a une retransmission, tu me feras toutes les gâteries que je voudrai, repos à la mi-temps, et si tu t’es bien comportée tu auras une récompense, sinon une punition. La première sera de pouvoir profiter de ta chambre, sinon cravache et tu dors nue à la cave ! Après le match, tu feras le ménage dans la salle de bain et les chambres. Ce soir, tu seras tranquille car je sors chez des amis.La vaisselle fut rapidement faite, mais le ménage prenait plus de temps, car il n’avait pas été fait depuis longtemps et puis bouger en talons métalliques hauts n’était pas, pour elle, chose aisée, surtout qu’elle devait ramasser aussi les affaires éparpillées d’Eric. Elle remarqua aussi une gamelle de chien, mais elle ne savait pas à qui cela appartenait. Elle la posa sur le rebord intérieur de la fenêtre puis passa l’aspirateur et la serpillière dans la cuisine. Cela dura trois quarts d’heure. Élodie passa au salon mais son vrai problème était ses chaussures, qui commençaient à lui faire mal !A 12h20, Eric rentra et vit avec joie sa cuisine propre et rangée. Il interpella sa femme toujours dans le salon : -Bien, on prend de l’avance. Je t’ai apporté ton repas et le mien. Dès que tu auras fini de ramasser mes affaires, tu mettras la table pour une personne. Il alla à la cuisine et ferma la porte sans attendre ni entendre le « oui, Monsieur ».Dix minutes plus tard, il appela :-Élodie, alors cette table.-Oui, Monsieur. Je la mets.— Les plats sont presque prêts, je n’ai pas envie de manger froid.— Oui, Monsieur.Élodie, qui montait de la cave, où se trouvait la machine à laver le linge se dépêchait de mettre le couvert pour Eric. Puis elle indiqua par un « couvert mis, Monsieur » très militaire, pensant se moquer, à son mari que son ordre était réalisé.-Le menu est posé dans l’ordre. J’attends l’entrée. Élodie prit dans le plat prêt posé sur le rebord de la fenêtre la cuisine. Elle remarquai que la gamelle du chien avait été remplie avec une espèce de soupe aux vermicelles alourdie de morceaux de viande. Cela sentait pourtant bon. L’entrée, qu’elle emmenait à son époux, était une simple salade de concombre avec de la mozzarella et des tomates.-Cela a l’air excellent, fit Eric en regardant l’assiette.Il commença a manger doucement avec ses deux mains. Élodie voulut partir quand il lui dit sèchement : Non, tu restes ici tant que je ne t’ai pas dit de bouger !-Oui, Monsieur.Élodie à sa droite en arrière, Eric posa son couteau et prit les fesses de sa femme en disant :-Allez mets toi là que je caresse ce beau postérieur. Mets les coudes sur la table et les mains à plat sur la paume.-Oui, Monsieur fit-elle en se positionnant en angle droit. Toute son intimité était ainsi découverte et Eric lui caressait la fesse gauche.-Allez ouvre la bouche. Eric lui tendit alors un morceau de concombre qu’elle avalait après l’avoir mâché. Les manipulations d’Eric sur son postérieur se faisaient pressantes. Elle arriva à peine à dire « Merci Monsieur ».-C’est bien. Tu as remarqué la gamelle, je n’ai pas réussi à en trouver une à ton nom. Quand tu mangeras, cela sera ton assiette et tu devras laper avec les mains dans le dos. Si je te vois utiliser tes mains, tu seras privé du repas et punie de 50 coups de cravache ! On pourra t’appeler la femme-zèbre après, dit-il en riant alors qu’Élodie était effrayée ! Je te rappelle que tu devras compter les coups, que si tu cries, il y aura un coup de pénalité et si tu te trompes dans le décompte, on recommence à zéro ! C’est clair, infirmière-esclave ?-Oui, Monsieur, dit-elle effrayée et en pleurant !-Arrête de pleurer ! Tu voulais cela de Franck alors je me venge !-Oui Monsieur, dit-elle en reniflant ses larmes. Élodie repensa à son effondrement personnel depuis son erreur médicale ! « Pourquoi est-il si dur avec moi ? » pensa t-elle en silence.Après avoir fini son plat, il se fit apporter les deux autres et les mangea sans en faire goûter à Élodie qui se faisait tripoter. Ensuite, il lui dit :-Tu ranges la table, tu fais la vaisselle et tu manges. Rien d’autre ! C’est compris ?— Oui, Monsieur.Il se leva, s’essuya et se dirigea vers le salon. Il alluma la télé pendant qu’Élodie s’affairait à ranger la table, et à faire la vaisselle. Chaque fois qu’elle avait en vue sa gamelle, elle la regardait comme si elle en avait peur ! Puis vint l’heure du repas ! La gamelle posée sur le rebord était à mi-hauteur. Elle devait donc se mettre en angle droit et avoir les mains dans le dos. Ne s’occupant pas de ce que l’on pouvait voir de devant, ou de derrière, elle écartait les jambes afin de s’assurer un équilibre. Elle débuta par lécher le bord intérieur de la gamelle. C’était assez bon, difficile à attraper surtout les morceaux de viande, qui avaient tendance à retomber. Ce ne fut qu’à la fin du liquide qu’elle put mordre sans se mettre sur le nez trop d’éclats de vermicelles ou de viande. Alors qu’elle finissait, Eric apparut et s’amusa du spectacle. -Je vois que tu ne t’en sors pas trop mal. Je veux une gamelle bien propre avant qu’elle ne soit rincée et dépêche toi, dit-il en lui claquant un coup sur les fesses totalement visibles ! Subissant le coup, Élodie accéléra et se releva.-J’ai fini Monsieur.-Bien, tu la laves à l’eau et tu te débarbouilles le visage et les fesses. Ton cul n’était pas très propre quand je l’ai entrevu. Le match commence dans 20 minutes. Je te veux prête dans le salon à ce moment-là !-Oui, Monsieur dit elle en allant dans la salle de bains rapidement et baissant la tête de honte.A la salle de bains, Élodie nettoya la tâche rouge sur le nez (c’était du jus de tomate) puis tira un peu sa robe pour caresser avec ses doigts de sa main gauche son périnée. Elle les portait à son nez, cela ne sentait pas bon ! Elle prit de l’eau, courbant son corps à 90 degrés, et se mouilla la raie des fesses, puis se savonna d’abord le périnée, puis en remettant du savon sur son majeur gauche sa rondelle anale. Un peu hésitante, elle se l’enfonça dans son rectum. Elle sentit en elle un écoulement froid qui disparut lorsqu’elle se mit à faire des allers et retours avec son doigt tout en frottant l’épiderme interne. Cette sensation était loin d’être désagréable pour Élodie qui se mit à mouiller. Elle retira son doigt, le rinça puis le remit dans son anus en le poussant à fond pour le sortir tout aussi brutalement juste après. Cela sentait maintenant le savon. Elle s’essuya avec une serviette en papier en prenant garde de ne pas laisser de morceaux de papier. Elle remit ensuite son doigt sur sa rondelle, c’était électrisant pour elle, et l’enfonça un peu. Elle aurait bien continué mais elle était consciente des exigences d’Eric. Elle retira son doigt et le renifla. Cela sentait maintenant le propre. Élodie était donc satisfaite et elle redescendit au salon toujours aussi péniblement.Devant la télé allumée, Eric était affalé sur le canapé et jouait avec la télécommande en attendant la retransmission de sa main droite et tenait une cravache dans sa main gauche.-T’es propre ?-Oui, Monsieur.— Alors à quatre pattes devant moi. Tes prochaines 45 minutes vont être occupées à me sucer sans me faire éjaculer. Je veux du plaisir ! Si tu vas trop vite, je vais juter et alors j’en mettrai partout ou tout au fond de ta bouche. Tu seras alors punie de 15 coups de cravache et tu ne pourras pas faire de recherches de boulot. C’est clair ?-Oui, Monsieur.-Alors au boulot.Élodie fit le tour du canapé et se mit à quatre pattes devant son mari puis avança vers l’entrejambe de son mari, qui commença à se pourvoir d’une boule. De la main droite, elle défit la ceinture, puis un à un les quatre boutons de la braguette de son mari. La queue de celui-ci montrait une excitation certaine, mais le boxer noir la retenait. La main fine d’Élodie saisit l’élastique puis l’abaissa ce qui provoqua un mouvement violent de la verge du téléspectateur, car elle se dressa comme celle d’Orlan dans son tableau « l’origine de la guerre ». Eric amusé dit :-Ah AAh que c’est drôle ! Maintenant plus de mains, que la bouche !Aussitôt Élodie écarta sa main et emboucha la queue de son futur ex-mari. Sans se presser, elle commençait à baver autour de cette verge puis à faire des allers et retours. Elle regardait sans arrêt son mari, pour deviner le niveau de plaisir de celui-ci et aussi éviter toute punition. Celui-ci était pris par le match, du moins au début, ensuite, à la fois la baisse d’intensité du jeu et l’action de son épouse, dont les mouvements avant et arrière mais aussi latéraux avaient tiré sa robe, l’avait détourné du poste. Cependant, durant certaines actions de jeu, la télé accaparait totalement Eric et le tendait encore plus sans pour autant avoir une action sur sa queue.Au bout, d’un quart d’heure, Élodie avait mal à la mâchoire mais elle ne relâchait son effort qu’en ne portant plus la queue de son mari que par sa langue. Elle ne put en profiter longtemps car Eric la rattrapa en se moquant d’elle : « Ne t’en va pas, on n’a pas fini ! ». Ses deux mains coincèrent le crâne de son épouse et l’obligèrent à être proche de son pubis. Cela durait ainsi encore une demi-heure avec un arrêt voulu par le maître de cérémonie pour éviter d’aller trop vite.A la mi-temps, il repoussa Élodie, qui retomba sur ses genoux. Elle s’essuya avec une serviette de papier alors qu’il remettait sa verge dans le boxer puis son pantalon. Il affirma : « Eh bien, tu vois, tu t’en sors pas si mal et c’était très plaisant ! On a encore une mi-temps, repose-toi moi je vais me chercher quelque chose à boire. » Il se leva et se dirigea vers la cuisine avant de revenir. Élodie s’effondra joue contre le tapis en pleurant : «j’ai mal et il va falloir que je reprenne ça ! C’est une saleté ! ». Cela durait quelques minutes, mais elle s’arrêta de geindre juste avant qu’Eric ne revienne avec un verre et une paille en plus de plusieurs cannettes de bière. Elle se redressa.-Tiens c’est pour toi ! Si tu veux te rafraîchir ! Le match reprend dans 6 minutes.-Merci Monsieur ! Élodie pensa en sus, « C’est un geste gentil ! »Elle se dépêcha d’aspirer l’eau du robinet assez fraîche de son verre, qu’elle avait pu prendre avec ces deux mains.Elle avait fini quand le match repris. Eric était assis, affalé dans le canapé une bière à la main et ordonna : « Allez on reprend ! »La fellation reprit mais très vite, en raison d’actions qui s’accéléraient, Eric exigeait des « Va plus vite ! » Elle accélérait alors ses va et viens et ses actions, qui le plus souvent plaisent aux hommes, mais là Eric, tout en lui tenant, avec ses deux mains, la tête semblait autrement excité. Puis soudain, il dit :« Tourne toi, et montre moi ton cul ! »Comprenant tout à fait l’ordre mais surtout l’envie, elle se tourna rapidement surtout que la cravache avait été saisie et sifflait en l’air, ce qui l’effrayait encore plus. Sans aucune préparation, Eric lui saisissait les hanches et se dirigeait directement vers l’anus d’Élodie. Sentant le gland face à ses sphincters anaux, Élodie cria. Un violent « Ta gueule Femme » sortit de la bouche d’Eric et un coup de cravache suivit sur les hanches d’Élodie, provoquant des larmes, mais Élodie en serrant les dents avait retenu son cri de douleur. Le gland d’Eric pénétra violemment dans l’anus, mais il ressortit aussitôt en raison d’une sonnerie du portable d’Eric. Le mari d’Élodie arrêta toute action et se rassit dans son canapé et commença à parler : - Bonjour, qui êtes-vous ?Élodie n’entendait pas l’interlocuteur, mais sentait que cela n’était pas favorable à Eric, au vue de sa voix et surtout à son manque d’envie de tripoter « son infirmière ». Puis, toujours face à l’écran regardant le match qui ne l’intéressait guère, Eric l’interpella :— C’est pour toi !— Bonjour Madame,-Bonjour Monsieur,-Je suis le docteur Bernard X, de la maison de retraite médicalisée de Y en Haute-Marne et aussi généraliste dans une centre médical. Il nous manque une infirmière, qui serait en contrat avec la maison de retraite pour une action interne et externe. Seriez-vous intéressée ?-Effectivement, je le suis, mais je ne pourrais être disponible que d’ici quelques jours en raison de mon arrêt maladie...-Oui, mon collègue m’a raconté ! dit-il en la coupant. Il continua : pour le logement, ne vous en souciez pas, nous avons des propositions qui conviendrait à une célibataire.— Est-ce que vous pouvez m’envoyer rapidement les documents administratifs pour commencer ? Fit Élodie avec un large sourire, car elle pensait que son enfer avec son mari allait prendre fin !-Pas avant une semaine, pour que tous soit prêt !-J’attends avec impatience votre courrier. Avez-vous mon adresse ?-Oui, oui, ne vous inquiétez pas pour cela ! Je vous souhaite un bon dimanche et à bientôt, je l’espère !— Oui, en revoir et merci ! Fit-elle en redonnant son téléphone à Eric toujours affalé dans son canapé !— Bon, on remet cela !— Mais, normalement l’accord fait que...-On finit ce que l’on a commencé et on arrête.Élodie se dit que pour une dernière fois, il le pouvait et elle se retourna ! Eric, dont le sexe s’était tout de suite re-raidi avec la présentation du postérieur de sa future ex-épouse, prit les hanches et encula violemment Élodie, qui pouffa de douleur. Eric, lui, gémissait de plaisir en insultant sa partenaire avec des noms de « salope », « parasite » et bien entendu « pute » ! Cela dura une dizaine de minutes, pendant lesquelles le match était devenu un simple bruit de fond. Eric, tout en multipliant les va et viens caressait les seins de sa femme. Pour celle-ci, le plaisir commença. Cela se voyait par les gouttes de cyprine sortant du vagin mais aussi par les petits cris « Ouiii » et « Aaahh » ainsi que par les accompagnements des mouvements que faisait Élodie. Eric remplit le rectum de sa femme dans un «  Ouiii, que c’est bon ! ». Élodie réchauffée de l’intérieur partit elle aussi dans un orgasme mais moins bruyamment exprimé.Eric se retira mais exigea un nettoyage de sa bite. L’infirmière fit cette dernière action avec attention malgré les éléments peu agréables qui tâchaient la queue. Une fois terminée, elle réussit à déglutir une partie de ces éléments dans son verre sous le couvert de sa main alors que futur ex-mari s’étalait dans le canapé !-C’était la dernière relation sexuelle commune, d’après le contrat passé ! Fit-elle-Exact, je garderai finalement un souvenir d’une bonne infirmière !Après plusieurs journées en parallèle, occupée par le travail et les démarches du divorce à l’amiable pour Eric et par du ménage et les préparatifs du départ pour Élodie, le jour du départ arriva. Eric l’accompagna à la gare et lui dit : « Bonne chance ! On se revoit dans quelques semaines pour la signature de l’acte du divorce ! ». Sa seule réponse fut « Merci et à dans trois semaines ! ».Élodie fit son voyage dans une robe sans décolletée, arrivant aux genoux, et des bas à jarretière avec des chaussures de types mocassins féminins. Élodie se voulait « sans reproche ». Pourtant après 4h 30 dont 25 minutes de transit difficile pour ses fesses car le siège était en peluche et la grattait, elle rencontra son nouveau patron qui l’attendait à la gare avec une petite pancarte. C’était un médecin d’une cinquantaine d’année chevelure grise, très grand et surtout très longiligne. Il impressionnait terriblement Élodie, notamment par sa voix très accueillante et un sourire large, on dirait ravageur, qui montrait une dentition très bien entretenue. Il se présenta : « Je suis le docteur X ». Se montrant, très galant, il prit sa valise après lui avoir serré les mains franchement. Il l’invita à prendre place dans sa voiture, une Audi break, montrant ainsi une certaine aisance financière. Par habitude, Élodie remonta l’arrière de sa robe et ses fesses étaient en contact direct avec le siège. Ce fait échappa au médecin, Par contre, le ton changea légèrement dans la voiture quand le médecin reprit la conversation vers des sujets plus ciblés :-Madame, on m’a mis au courant de votre comportement, mais aussi de votre efficacité sociale, pour parler poliment. J’insiste pour que cela ne se reproduise en aucun cas dans mon établissement. De plus, vous allez devoir suivre des personnes à domicile dans quelques temps. Ce que vous ferez alors ne doit en aucun cas perturber le fonctionnement de l’hôpital. Vous aurez donc besoin d’une voiture fiable. On m’a indiqué que vous en aviez une ! Est-ce exact ?-Effectivement, mais j’attendais mon premier contact et si celui-ci était favorable de trouver un appartement.-Pour votre première angoisse, je vais vous présenter l’équipe, qui n’est au courant que de la « résurrection », et pas de l’affaire sordide qui est liée. Que cela reste un secret ! Pour votre résidence, j’ai une partie de mon château que je n’utilise pas que je vous louerai volontiers. Ma mairie vous proposera aussi une petite maison, mais je ne vous la conseille pas. Je suis veuf et mes enfants, deux fils finissent leurs études hors de chez moi. L’un est élève-officier dans sa dernière année de Saint-Cyr et l’autre fait L’École du Louvre. Vous ne les verrez que peu. Dans notre maison médicalisée, il y a deux autres médecins et quatre autres infirmières. Il y a aussi six aides-soignantes. Je vous présenterez vers 16 h.— Vous semblez avoir pris toutes les mesures préparatoires, mais que ce passera t-il s’il y a échec, d’autant que je devrais rentrer à plusieurs reprises pour rencontrer les gendarmes et les juges. -Il n’y a aucun problème, mais je vous ferai remarquer que votre directeur d’école a eu beaucoup de mal à trouver une place pour vous en raison des problèmes que vous évoquez ! indiqua le docteur avec cette fois un sourire assez sadique qui fit aussitôt piquer du nez Élodie et mit fin à toutes les récriminations d’Élodie. Elle était tombée dans un autre piège plus doré cette fois !Le silence régna dans la voiture pendant le reste du voyage. Élodie ne pouvait que regarder la campagne verdoyante montrant le règne de l’espèce humaine. Après une demi-heure de voiture, elle découvrit le « château », dont les grilles étaient ouvertes. Bernard reprit :-Voici, mon chez moi. C’est un château, dont il ne reste plus qu’une aile et une partie des communs. Votre partie sera à gauche. Ma femme l’avait organisée et séparée pour en faire un gîte, mais après son décès, j’ai laissé tomber même si je l’ai gardé intact. Il y a tous le confort et vous y serez indépendante. Il y a au rez-de-chaussée et au premier étage, une double porte qui permet la liaison entre le reste de la maison et votre partie.-C’est très joli, mais cela doit revenir cher en entretien, fit Élodie assez remuée d’avoir pour elle seule, ce qui semblait être un si grand domicile.-Effectivement, d’où la proposition que je vous fais si vous restez, mais avant je vais vous montrer l’intérieur. Bernard entra par ce qu’il appelait le vestibule : une salle toute blanche avec un meuble campagnard et une photographie encadrée, de plein pied sur la cour, où s’était garé Bernard, mais séparée en deux par une marche. Il y déposa la valise d’Élodie. Puis, il lui montra la cuisine américaine et le salon dont les volets à persienne étaient en assez bon état, mais qui avaient besoin d’un coup de peinture, étaient clos. Bernard lui montra aussi le débarras de la cuisine sous les marches. Il monta ensuite l’escalier avec la valise, après être revenu dans le vestibule, pour lui montrer les deux chambres, et la salle de bains, qui était comme au rez-de-chaussée dans la travée centrale. Il lui indiqua aussi la salle centrale, sans fenêtre et dont il n’avait su que faire en raison des murs porteurs. Il lui soulignait enfin que l’accès au grenier se faisait par un escalier dépliant, de ce côté-ci, alors que dans l’autre aile, un escalier de plein pied menait aux combles qui bien isolé thermiquement n’avaient pas de séparation interne. Dans la chambre, un lit double donnait sur le parc et un potager en friche, il lui parlait de l’air en ouvrant les volets. Puis il changea de ton :-Bien, je vous invite dans mon espace pour déjeuner et on parlera du prix. Venez, l’en-cas doit nous attendre. Après être ressortis et avoir parlé un peu du parc, traversé la cour, ils rentrèrent dans la cuisine-salle à manger située dans l’autre aile. Deux assiettes étaient en place. Il reprit :-Prenez place, je sors la salade, la charcuterie et les cornichons.Élodie s’assit dos à l’immense cheminée, encore utilisée, sans oublier de relever sa robe. Le geste surpris le médecin, qui ramenait les plats, mais sans plus.-Voilà, voulez-vous quelque chose d’autre ?-Non merci, cela à l’air délicieux, particulièrement la terrine.-Merci, c’est moi qui l’ai faite !? dit-il en s’asseyant. Servez-vous ! Je vais maintenant parler de choses moins palpitantes : le loyer. Le premier mois, il sera de 300 euros, avec une garantie de 400 euros. Ensuite, le montant fixe sera de 400 euros. Vous devrez payer en plus les charges et les frais du notaire qui enregistrera ce contrat, même si je pense que la mairie fera un geste.— Cela me semble faible pour un loyer meublé. — Ne vous inquiétez pas pour cela, cela m’allégera. Par contre, je vous demanderai des services en sus : le développement du potager éventuellement, mais surtout l’entretien de la zone entre le potager et la cour d’abord, et d’autres services en plus.-Quel genre de service, demanda-t-elle inquiète ?— Il y a la pelouse, pas le parc, à tondre et surtout la piscine qui a eu ses heures de gloire, mais que je n’utilise que peu, malgré le fait que ma femme, écologiste distinguée, avait mis à côté une sorte de bassin de nettoyage, si bien que le nettoyage se fait automatiquement. En fait, si vous faites revivre la piscine, qui fait 25m sur 15m, le potager et la pelouse--le reste est suivi par le jardinier-- et que je peux en profiter, vous pourrez avoir un retour sur investissement, fit il avec regard intéressé par les rondeurs de l’infirmière.— En fait, si je comprends bien, pour le potager, vous aimeriez que je le fasse revivre, que je repeigne les volets…-Non, un peintre doit venir le faire cette semaine, dès que vous serez reparti !— Donc pas les volets, que je tonde la pelouse et que j’entretienne la piscine. !— Je vous trouve très jolie, donc si je peux à la fois profiter des résultats du potager et de belles choses chez moi, on pourra s’arranger. — Je voudrais aussi savoir, pour les portes de liaisons, comment cela marche ?-Elles sont fermées par des loquets, non par des clés, dont si un côté ferme le loquet, on ne peut pas passer. Pareil pour le passage du grenier. De plus, je donne quelquefois des fêtes sur la pelouse. Je vous préviendrai.— Ah, vous aimeriez que je sois la soubrette ? Enfin, question sexe, allez-vous chercher à abuser de moi ? fit –elle avec un air mi inquiète mi agressive.-Je n’y avais pas pensé, mais si cela vous plairait de jouer la soubrette, pourquoi pas. Quand au sexe, je connais votre passé et je vais aller droit au but : Au travail, il n’en ait pas question. Ici, si on s’accorde pourquoi pas ! Élodie marqua un signe de soulagement puis la discussion alla ensuite sur le chauffage, géothermique pour la piscine et les habitations, de l’électricité en partie photovoltaïque et une chaudière au bois. Élodie se renseigna aussi pour les courses et les horaires de travail, tout en mangeant. Finalement, elle commença à penser que ce poste serait assez agréable, surtout qu’il comportait une partie infirmière en externe, ce qui pourrait devenir libéral après les 24 mois d’exercices. Elle devait rencontrer le maire après la présentation à l’établissement médicaliséA 15h30, après avoir déballé ses affaires, elle rejoignit Bernard, qui devait être appelé docteur, pour l’instant en privé et toujours au travail ou en public, qui l’emmena voir l’équipe. Un seul docteur était présent, François, un pur local, qui était aussi en partie dans la maison de garde. Il était le kiné de la maison. L’autre, de garde la nuit, un gérontologue, s’appelait Xavier. Il y avait trois des quatre infirmières, Jeannette, la chef, une femme ronde 45 ans passé, qui vivait ici et n’avait pas beaucoup bougé, Yvette, une jeune diplômée de 22 ans, fine, jeune mariée, assez amène et dont un des locataires était son grand-père et enfin Sylvia, qui avait reçu ce prénom car sa mère était une fan de séries américaines, de 30 ans, qui semblait être la seule à avoir une autre vie que celle d’infirmière. Elle faisait de l’équitation, son mari tenait un centre équestre pas loin et ses deux enfants montraient d’après elle un vif intérêt pour le travail avec les animaux. La quatrième, de garde de nuit cette semaine, Françoise, était au repos. Toutes montraient de l’enthousiasme à voir une collègue en plus pour s’occuper des quatre-vingt personnes âgées, dont plus de la moitié avait plus de 80 ans. Toutes montraient des signes de maladies des os ou de la vieillesse comme Alzheimer. On lui montrait l’établissement, un vaste bâtiment de cinq étages avec un grand jardin derrière. Ensuite, elle alla avec le docteur Bernard X, rencontrer le maire, un de ses ami personnel. La rencontre eut lieu à la mairie, petit bâtiment du XIXe siècle, organisé pour cette fonction et aujourd’hui totalement modernisée L’accueil par l’élu fut très amical et plein d’espérance réciproque. Le maire indiqua à Élodie, que si elle restait, le bourg lui allouerait une compensation pour les frais d’essence et prendrait en charge les frais d’assurances de son véhicule et du contrat de location. Une maison lui serait louée à un prix réduit ou si elle avait déjà fait un choix, la mairie allouerait une compensation à son propriétaire. Elle comprit ainsi le faible montant du loyer proposé par Bernard, mais affirma que le logement proposé par le docteur lui convenait. Par contre, si l’offre lui convenait, elle s’engageait à rester au moins un an.Finalement Élodie accepta cette offre et indiquait qu’en raison de ses problèmes dans sa ville d’origine, qu’elle prendrait son poste au 1er juillet. Avec Bernard, elle s’accorda pour faire venir ses quelques affaires (ordinateur, une nouvelle télévision et cadres) un peu avant. Elle arriverait un peu avant pour faire ses courses et finir son installation au château. A son arrivée, les volets avaient été repeints et tous les objets marquants un attachement personnel avaient été enlevé, dont le cadre du vestibule.
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