— "Arrête, chéri, tu vas nous mettre en retard...", minauda Elodie.Guillaume fit la sourde oreille : il préféra continuer à caresser la belle jeune femme avec qu’il avait épousé il y a deux ans déjà. Il était fou d’elle, et résistait rarement à la tentation d’explorer son corps, dès le réveil. Ce matin ne faisait pas exception. A peine s’était-il réveillé, sur le coté, qu’il avait sentit les douces fesses de sa belle contre son sexe, le faisant bander.— "Tu n’es... vraiment pas... raisonnable...!", continua t-elle, tandis qu’elle sentit son entrejambe s’humidifier. Les doigts de son homme, titillant tantôt son clitoris, tantôt ses seins, lui faisait toujours cet effet là.Elle décida de s’abandonner, et d’écarter un peu plus les cuisses, l’invitant à la doigter. Guillaume compris l’invitation et enfonça son majeur dans l’intimité d’Elodie. Il écarta les cheveux de sa femme de son cou, elle embrassa cette partie du corps qu’il savait très érogène chez elle.Elodie soupira de plaisir, l’excitation était de plus en plus forte. Elle écarta encore ses cuisses et sentit rapidement un deuxième doigt s’aventurer au fond de son vagin. Elle se laissa faire encore pendant une minute.Brusquement, elle se retourna, embrassa son mari à pleine bouche, et, lui attrapant les poignées, se mit à califourchon sur lui. Elle frottait son sexe sur le pénis de Guillaume. Ce dernier adorait quand Elodie faisait ressortir le coté dominateur qu’elle avait en elle. Il la trouvait follement érotique.— "Je t’ai dit que tu n’étais pas raisonnable, mais tu n’as rien voulu entendre", dit-elle, une lueur folle dans ses yeux. "Maintenant que je suis toute trempée, tu vas être obligée de bien me lécher."Et elle avança son bassin pour placer sa chatte au dessus du visage de visage de Guillaume, qu’il ne se fit pas prier pour mettre sa langue en action, goutant à la cyprine de la savoureuse femme. Il la lécha entre les lèvres, frottant parfois sa langue sur son clito, avant s’enfoncer son pouce dans l’antre humide. Après quelques allers retours, il sortit son doigt, bien lubrifiée par l’excitation d’Elodie, pour presser doucement sa rosette.Elodie devenait folle, elle profitait pleinement de ce délicieux cunnilingus, se plaquant de plus en plus contre la bouche de son amant.Puis elle se retourna, et se mit tête bêche, découvrant devant ses yeux une réjouissante érection. Elle sourit devant ce morceau de chair et, ouvrant largement la bouche, tenta immédiatement d’en prendre le plus possible dans sa bouche. Elle avait l’habitude de prendre son temps, la fellation étant pour elle un alléchant jeu amoureux, mais elle ne voulait pas arriver au travail en retard. Elle sentit la langue de Guillaume s’arrêter, sans doute surpris (agréablement supposait-elle) par la soudaineté de la bouche d’Elodie. Il ne tarda cependant pas à s’occuper à nouveau de son sexe, et entreprit de suçoter le clito en enfonçant un doigt dans chaque orifice.Elodie, pendant ce temps, gobait la queue de son mari en faisant de larges mouvements, lui cajolant les testicules au passage. Elle se sentait monter son propre orgasme, et émettait des gémissements étouffés par le sexe de son homme. Elle libérant sa bouche pour le masturber.— "Oooh... Ne t’arrête pas mon chéri c’est trop bon..." Soupira t-elle, mettant entre deux phrases un bon coup de langue sur le gland luisant de salive."Continue à bien me manger la chatte..." Puis elle reprit sa fellation.Elodie continua à sucer le membre tendu de son homme et aventura un doigt entre ses fesses. Elle savait qu’il adorait ça. Elle pénétra doucement une phalange . La queue de Guillaume soubresauta et la jeune femme compris qu’il allait bientôt jouir, lui aussi. Elle entoura le gland de ses lèvres, les compressant au maximum, branla fermement la tige. La langue de Guillaume s’agitait de plus en plus, ses doigts allaient et venaient de plus en plus vite. Bientôt, Elodie jouit, son sexe et son anus se serrant autour des doigts de Guillaume. Sous le coup de son orgasme, elle prit entièrement le sexe dans sa bouche chaude, et sentit le sperme de Guillaume couler en cascade dans sa gorge. En temps habituel, elle n’aimait pas trop avaler, sauf sous le coup d’une pareille excitation. Elle nettoya le sexe, avec de doux vas et viens buccaux, remuant amoureusement sa langue sur la queue de son mari. Guillaume continua à la lécher tendrement.Elle se retourna et vint l’embrasser, chacun goutant à son propre goût.— "Tu m’as mis dans un état..!", ria t-elle. "T’abuses, je vais encore me retrouver à la bourre !"— "Tu n’avais qu’à pas te jeter sur moi." se moqua t-il.— "La faute à qui ?!", répondit-elle en lui jetant un oreiller sur la figure. Puis elle dit simplement :— "Je t’aime". Et elle l’embrassa.Elle sauta littéralement du lit, s’arrachant de la chaleur conjugale, afin de s’habiller en vitesse, se brosser les dents, se maquiller et partir. Tant pis pour le petit déjeuner, elle n’avait pas de temps à perdre : Une grande nouvelle l’attendait au travail et celle-ci ne souffrira d’aucun retard !
