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Elodie, piégée.

Chapitre 11

Trash
Elodie était en manque.Cela faisait 4 jours qu’elle avait rencontré Joris et Dominique. Depuis mardi, elle avait vécu la semaine la plus luxurieuse de sa vie. Elle avait sucé, léché, s’est faite léchée, prendre par les deux orifices, bu du sperme jusqu’à plus soif… Et malgré cela, pas le moindre petit orgasme, alors que la plupart de ces séances l’avait mise dans un état d’excitation jamais atteint auparavant. Elle n’en pouvait plus. Et le spectacle qui lui était offert la torturait plus encore.En effet, une fois de plus, elle avait retrouvé Dominique sur le lieu de rendez-vous après son travail. Il lui avait préparé une petite surprise.Il l’avait emmenée dans une pièce dans laquelle il y avait un fauteuil en face duquel une table était posée. Sur cette table, une multitude d’objets phalliques. Mais ce n’était pas ce qui avait frappé Elodie en entrant dans la pièce. En effet, le mur qui faisait face au fauteuil n’était rien d’autre qu’une glace sans teint. Derrière cette glace, deux femmes qu’elle n’aurait pu oublier : Lisa Asthoën et Alice Frenielle. Elles étaient toutes deux sur un lit, et mêlaient, nues, leurs langues avec passion.« - A poil. Puis tu t’assoies et tu regardes. » Tonna Dominique.« - Oui, maître. »Elle se délesta de ses vêtements en regardant la sensualité dégager de cette scène lesbienne. Lisa embrassait le cou de la petite rouquine, et laissait sa main se perdre entre les cuisses blanches. Alice écartait doucement ses jambes sous la caresse, et pressait un de seins de Lisa. Puis elle l’attira à elle pour l’embrasser à nouveau. Elodie les trouvait très érotiques. Elle était excitée de les voir se faire du bien.Enfin nue, elle s’assit sur le fauteuil et les fixa à nouveau. Rapidement, Lisa remplaça sa main par sa langue, qu’elle activa entre les cuisses de la jeune femme aux tâches de rousseur. Elle entendit la porte s’ouvrir à ce moment. Une voix bien connue la salua :« - Bonjour Madame Maerte, ravi de vous voir ! Je constate que vous vous êtes déjà installée. C’est parfait.»Après avoir dit ces mots, Joris vint aux coté d’Elodie, demeurant debout.« -J’espère que vous appréciez mon petit cadeau. J’ai demandé à vos amies de nous offrir un petit divertissement. Je vous ai aussi préparé des sextoys. Utilisez les à votre guise, ne vous gênez surtout pas ! »Ce n’était pas l’envie qui manquait à Elodie. La vision qu’elle avait lui rappelait le cunnilingus que lui avait prodigué la belle femme noire. Ca avait été un tel délice ! Des petits mouvements de hanche trahissaient son excitation. Elle se sentait si chaude ! Elle ne savait pas combien de temps elle allait tenir avant de se goder devant ces hommes. Elle voulait tellement être remplie ! Son état de manque rendait fragile ses barrières morales.Alice caressait la tête de sa partenaire, et jouissait d’une caresse buccale qui, si l’on se fiait à sa bouche sensuellement entrouverte et à ses paupières closes, devait être exquise. Elle exprimait son plaisir avec des petits gémissements aigus. Lisa remonta ensuite pour partager avec elle le goût de sa mouille, et doigter sa jeune chatte.Elodie céda, elle prit honteusement un petit gode pas très long, et poussa doucement dans sa moule. Elle se sentait humide. Elle fit des vas et viens qui provoquèrent en elle des pics de plaisir. Elle râla de bonheur. Ses derniers temps, il lui était difficile de songer à autre chose qu’à la jouissance.« - Vous aimeriez jouir, n’est ce pas ? » Lui demanda Joris.Elodie l’affirma de la tête. Puis elle regarda à nouveau les deux femmes. Alice s’était positionnée à quatre pattes, pendant que Lisa, dans la même position, lui léchait l’anus en continuant à la doigter. Dans un état second, Elodie prit un gode plus gros pour continuer à s’exciter. « - Je suis satisfait du cœur de vous mettez dans ce que vous faites. Je pense être disposé à vous accorder à nouveau le droit de jouir. Et cela pendant, pourquoi pas, une semaine entière ! — Oui, je vous en supplie ! » Gémit-elle en se pénétrant frénétiquement avec le gode. « J’en ai tellement envie ! »Entre temps, Lisa s’était équipée d’un gode ceinture, qu’Alice suçait comme si s’agissait d’une vraie queue. Elle branlait dans sa bouche le membre en plastique, pendant que la femme noire l’observait en se caressant les seins. Elle s’apprêtait à se faire saillir. Joris enchaîna :« - Madame Maerte, je ne vous donne aucun ordre. Je vous dis simplement que si vous voulez jouir, il va falloir nous le montrer. Je ne vous oblige à rien. »Il sortit sa queue de son pantalon, imité par Dominique.Les deux hommes se tenait de part et d’autres d’Elodie, qui avait pour elle une belle bite de chaque coté. Elle salivait de voir ces deux morceaux de chair rien que pour elle, même si une petite voix au fond d’elle la condamnait de désirer ces deux hommes qui la conduisait à sa perte.Pendant ce temps, Alice s’allongeait sur le lit en écartant largement les jambes, invitant sa partenaire à la prendre.
Elodie l’enviait, elle aussi voulait se faire posséder ! Et jouir, surtout, jouir ! Même si elle n’avait pas l’obligation de se faire prendre par Dominique et Joris. Ces derniers se contentant d’attendre que la femme qui se godait quémande leurs bites.Alice poussait des cris de bonheur. Elodie pouvait voir les fesses de Lisa s’agiter au rythme de ses coups de reins. Elodie se léchait les lèvres d’envie. Le jouet tapait au fond d’elle, la rendait folle.Alice tourna ensuite le dos à celle qui la baisait. Elle se mit à quatre pattes en tenant les barreaux du lit. Elodie pouvait voir la moule luisante qui n’attendait qu’à se faire bourrer. Lisa s‘approcha, claque le fessier tendu à plusieurs reprise. La petite rouquine tressaillait en réponse à ces tapes, mais ne semblait pas trouver cela désagréable. Bien au contraire, elle tourna la tête pour lui sourire, en mordillant le bout de son propre index, telle une allumeuse. Lisa se décida enfin à la prendre en levrette, en continuant à fesser sa cadettes. Des cris résonnaient.A coté de la journaliste, les deux hommes se masturbaient doucement. Elle observait du coin de l’œil leurs mains monter et descendre sur leurs objets de plaisir. Au bout du sexe de Joris, une goutte de semence perlait, ne demandant qu’à être léchée.Elodie craqua. Elle se jeta comme une affamée sur la bite de Joris, et la suça avidement. Pendant ce temps elle branla Dominique, laissant figé le gode en elle. Dominique vint se placer aux cotés de son camarade, permettant à la femme d’avoir deux pénis juste sous son nez. Elle délaissa Joris pour venir s’occuper de l’autre queue, elle passa ainsi de l’une à l’autre successivement. Elle savait que chaque geste, chaque mouvement de poignée, chaque coup de langue ne lui était pas dicté mais venait de sa volonté. Elle appréciait la texture, la chaleur, la dureté de ces bites dans sa bouche et ses mains. Elle se comportait comme une salope qui voulait se faire sauter. Elle en était consciente mais s’en fichait, ne pensant qu’à la jouissance qui l’attendait. Elle prit les deux membres en même temps dans sa bouche, remuant sa langue sur les deux glands palpitant. Ensuite, elle offrit à chacun une gorge profonde, s’étouffant presque dans la précipitation.« - Eh bien, commenta Dominique. Il faut croire que cette cochonne était en chaleur.— En effet, acquiesça Joris. »Elodie branla les deux verges en levant la tête dans leur direction, un filet de bave la liant à celle de Dominique :« - S’il vous plait, supplia t-elle. Prenez-moi… — Puisque vous en avez tellement envie, pourquoi ne vous positionnez vous pas ? »Aucun ordre là non plus, cependant Elodie n’attendit pas pour s’allonger sur le sol après avoir retiré le gode qu’elle jeta négligemment par terre. Elle écarta les jambes, exposant sa moule baveuse. De la mouille s’en écoulait jusqu’au sillon de ses fesses. Elle était incroyable de dépravation.Joris fut le premier à se positionner entre ses cuisses. Il attrapa sa bite qu’il frottait contre le sexe accueillant. Le glissement de la queue de Joris contre sa chair innervée et son clito gonflé provoqua chez elle un frustrant plaisir. L’homme s’amusait à la faire patienter grâce à ce préliminaire. La femme brûlante de désir n’en pouvait plus : elle voulait sentir sa chatte investie dans la seconde.Joris se décida enfin à pénétrer le gland, mais n’alla pas plus loin au grand dam de la journaliste. En effet, il ressortit aussitôt son sexe, le frotta à nouveau sur celui d’Elodie, et recommença l’opération plusieurs fois. Impatiente, la femme prit d’autorité la queue dans sa main, et la rentra dans son vagin. Le membre rentra comme dans du beurre. Elle râla de bonheur, et empoigna les fesses de Joris pour qu’il enfonce plus encore sa récompense au fond d’elle. Enfin !« - Je vous autorise à jouir comme bon vous semble. » Lui dit l’homme qui la pénétrait.Elodie était heureuse d’entendre cela.Joris entama des puissants vas et viens. Elodie criait déjà, totalement désinvestie de gêne, ne pensant qu’à la queue qui ramonait sa chatte et au plaisir qui montait déjà. Elle remuait du bassin, ses doigts crispés sur les fesses de Joris. Dominique vint enfin à ses cotés, à genoux. Il souleva sa tête en plaçant une main derrière sa nuque, et guida sa bouche vers sa queue. Sans penser au tableau qu’elle offrait, elle ouvrit aussitôt ses lèvres et emboucha son engin. C’était un régal pour elle de le sentir aussi dur sur sa langue. Elle resserra ses lèvres sur la tige en gémissant comme une trainée, et laissa le soin à Dominique de lui baiser la bouche.Sa chatte était plus serré que ses lèvres encore. Elle sentait monter en elle l’orgasme. Une queue dans la chatte, et une autre dans la bouche, elle émettait des petits cris étouffées et aigus qui gagnaient en volume à chaque coup donné par Joris.Soudain vint la récompense.Un unième aller-retour provoqua sa jouissance, qui l’envahit de tout son être. Elle fut obligée de lâcher la queue qu’elle suçait pour l’exprimer :« - Oh oui oui ouiiiiiiiiiiiiiiiii !!! »Jamais auparavant elle n’avait connu un orgasme pareil. Toute la frustration de ses nombreuses séances sexuelles accumulée ces derniers jours se libérait. Sa chatte était incroyablement contractée, ce qui n’empêchait Joris de continuer à la sauter pour son plus grand plaisir. Elle eut l’impression que tous les orgasmes qu’elle aurait dû avoir les précédentes fois se déclenchaient au même moment. Le moindre de ses muscles était tendu au maximum. Elle savourait le bien être qui s’accaparait d’elle. Cela dura deux bonnes minutes, durant lesquelles elle hurla sans discontinuer. Les sensations étaient si puissantes qu’elle en pleurait.Enfin, la tension retombant, Joris abandonna le vagin d’Elodie, et la retourna pour qu’elle se retrouve à quatre pattes. La journaliste avait le souffle court, les jambes flageolantes. Sa tête était baissés et ses cheveux cachaient son visage. Elle avait du mal à s’en remettre.Elle vit Joris se positionner devant elle, le sexe près de son nez. Elle trouva la force de lever la tête, regardant celui qui l’avait enfin autorisée à jouir :« - Merci… Merci… ! » Lui souffla t-elle sincèrement.Et elle happa sa queue pour le sucer, reconnaissante. Elle était couverte de son plaisir. Encore en extase, elle avala généreusement le sexe qui lui avait fait tant de bien, et remua sa langue comme une possédée. Elle le branla ensuite avec intensité, en aspirant son gland. Elle vénérait cette bite qui investissait sa bouche. Elle exultait de la sentir déformer ses joues. Elle était telle une adoratrice devant son roi. Elodie sortit la queue de sa bouche, et la lécher avec application de tout son long.Mais elle en voulait plus. Elle se cambra fortement, laissant ressortir son cul luisant de la mouille qui y avait coulé. Elle présenta comme une salope sa chatte à Dominique. Elle le haïssait, pourtant, mais était prête à tout pour se faire saillir. Elle pompait toujours Joris en attendant son dû.Dominique ne se fit pas prier, et enfonça son dard dans la chatte implorante, la travaillant en s’accrochant à ses hanches. Les coups de rein qu’il lui donnait empreignaient le rythme de la bouche d’Elodie sur la queue de Joris. Elle s’accrochait aux fesses de celui qu’elle suçait. Petit à petit, la queue s’enfonça dans sa gorge. Bientôt, elle l’accueillit jusqu’aux couilles, sur lesquelles elle bavait. Elle se faisait prendre à quatre pattes comme une chienne et elle adorait ça. Elle avala difficilement sa salive, sentant les deux membres qui palpitaient dans ses trous.Elle sentit un doigt s’immiscer dans son anus. Celui-ci céda facilement, puisque lubrifié par sa mouille, et déjà préparé par la sodomie que lui avait administré son mari la veille. Un deuxième doigt rejoignit rapidement l’autre, décuplant le plaisir d’Elodie. Quelques minutes plus tard, Dominique se retira.« - Oh non, laissa échapper Elodie. J’en veux encore… !— Tu es vraiment insatiable ! » Répondit-il. « Mais rassure toi, je n’en ai pas encore terminé. »Il l’invita à prendre une nouvelle position. La jeune journaliste se retrouva rapidement à genoux sur le fauteuil, la tête dépassant du sommet du meuble. Joris fit le tour du fauteuil pour se faire à nouveau sucer goulûment. Elodie écarta légèrement les cuisses pour se encore faire pénétrer par Dominique, mais tenta de se dérober lorsqu’elle le sentit placer sa queue entre les fesses. Elle abandonna le sexe de Joris :« - Non, pas par là !— Ne fais ta mijaurée, répondit Dominique. Je suis sûr que tu as l’habitude de te prendre des bites dans le cul. Je l’ai bien compris en y mettant mes doigts. »La sodomie de la veille l’avait bien ouverte, c’était vrai, mais de là à parler d’habitude… Son cul en avait pris pour son grade, et lui brûlait encore. « - Je m’en fiche, je ne veux pas que vous passiez par là.— Je ne vous impose rien, là non plus, intervint Joris, mais si vous refusez, je vous interdirai à nouveau de jouir. »Elodie garder tristement le silence.« - Que faisons-nous ? » Lui demanda finalement Joris.« - D’accord. » Se résigna Elodie.« - Pardon ? » Dit Dominique.« - J’ai dit d’accord. Vous pouvez me sodomiser.— Brave fille, se satisfit Dominique. »Il prit possession du petit trou après l’avoir enduit de salive, pendant qu’Elodie se cramponnait à son siège. Le passage du gland ne posa aucun problème, mais elle dégusta lorsque la bite entra plus encore dans son anus douloureux. Elle se plaignit de façon sonore. Dominique y allait sans brutalité excessive, même si l’exercice était éprouvant pour la journaliste. Il s’enfonça centimètre par centimètre, en faisant des petites pauses régulières. Finalement, arrivé au fond de son cul, il entama des vas et viens lents mais amples.Elodie soufflait pour oublier la présence imposante entre ses fesses. Elle fut dérangée dans sa concentration par la main de Joris qui l’attira vers sa queue. Elle le suça à nouveau, mais cette fois-ci sans plaisir, subissant totalement la séance. Elle n’osa cependant rien dire devant la menace que venait de proférer l’homme qu’elle avait en bouche. Heureusement, la douleur diminua peu à peu, et elle parvint à se détendre.Au bout d’un certain temps, ce fut une douce chaleur qui l’emplissait. La sodomie commençait à devenir agréable. Peu habituée à trouver du plaisir de cette façon, elle fut quelque peu troublée. Elle suça malgré tout Joris avec un plaisir retrouvé, et s’appliqua à descendre sur sa tige, les lèvres collées à sa main qui glissait sur le membre. Elle appuya avec sa langue pour l’exciter et lui faire reprendre de la vigueur.Dominique accélérait progressivement ses mouvements. Elodie appréciait la sensation, même si elle n’était pas vouée à la faire jouir. Chaque vas et viens était un peu plus rapide et profond que le précédent. Bientôt, Dominique la culbuta comme si il la prenait par la chatte. Ce rythme violent ne permettait plus à la femme de contrôler la fellation. Au contraire, Joris lui bloqua la tête pour user de sa bouche comme il le désirait. Elodie était utilisée comme une poupée gonflable, se faisait remplir le cul et la bouche à la fois sans protester. De la bave coulait de sa bouche encombrée.Dominique sortit enfin de son cul. Le passage du gland tout le long de son tuyau lui fit mal. Joris le remplaça, et Elodie grimaça à nouveau lors de l’introduction de son engin. Mais lorsqu’il remua à nouveau en elle, faisant claquer son bas ventre contre les fesses de la journaliste, cette dernière ressentit encore cette douce chaleur. Dominique fit face à Elodie, et pressa sa bite contre sa bouche :« - Suce-moi »Elle s’exécuta malgré le goût. Il faudrait bien qu’elle prenne l’habitude, de toute façon. Elle se rendit compte avec cette pensée qu’elle s’était résignée à devenir une pute de luxe.Bourrée par Joris, ces réflexions s’évanouirent. Seule comptaient la chaleur et la vigueur du membre qui l’habitait.Elle se caressa le clito pour augmenter ses sensations. Elle gémit doucement.Durant dix minutes, Joris et Dominique s’échangèrent ses trous, lui défonçant la rondelle. A chaque fois elle nettoyait les sexes qui sortaient de son anus, avant qu’ils ne repartent à l’assaut.Joris mit fin à cette tournante en s’allongeant sur le sol.« - Venez donc enfoncer mon sexe dans le votre. »Elodie vint s’asseoir sur la queue tendue. Aussitôt, elle haleta de plaisir. Sa petite chatte avait toujours faim. Elle sauta sur la verge avec un plaisir non feint. Elle se sentait salope.Dominique arriva derrière elle et pressa sur son anus. Comprenant qu’il désirait l’enculer alors qu’elle avait déjà la chatte occupé, elle prit peur. Elle n’avait jamais eu ces deux orifices occupés à la fois, et se sentait à l’étroit. Cependant, elle ne protesta pas, de peur que Joris ne la punisse. Elle se caressa le clito pour limiter son angoisse. Le sexe de Dominique finit par rentrer totalement.Les deux hommes remuèrent de concert en elle. Cette dernière écarquilla les yeux.La sensation était incroyable pour Elodie, elle ne regretta pas de s’être laissée prendre par ses deux trous en même temps. Elle sentait la fine paroi séparant les deux verges poussée des deux cotés. Elle était remplie comme jamais et profitait de deux sources de plaisir. Plaquée contre les corps de deux mâles, elle hurlait littéralement de bonheur.Joris lui attrapa les mains, et Dominique la tira par les cheveux. Elle ne pouvait pas bouger et devait encaisser les bites qui coulissaient en elle. Elle avait la tête renversée, l’obligeant à se cambrer, et les mains clouées au sol. Sa bouche ouverte laissait échapper un cri ininterrompu. Elle ne se contrôlait plus.« - Oh oui c’est bon ! Aaaah comme j’aime vos queues, vous me baisez comme une reine ! Encooore ! Han… ! Han… ! Je me sens si pleine ! Défoncez-moi !! »Elle finit par jouir intensément, croyant s’évanouir de plaisir. Plus que jamais elle sentait les deux pénis figés en elle et emprisonnés par ses contractions de jouissance. L’orgasme fut plus court que le précédent, mais justifiaient pleinement l’abandon de sa morale en faveur d’une séance de baise sauvage avec deux hommes. Elle hurla, les yeux dans le vague.« - Oooooh… ! Que c’est booooon ! » Dit-elle ensuite. « Je n’en peux plus, je n’ai pas l’habitude… ! Sortez de là, s’il vous plaît…— Non n’avons toujours pas jouit. » Répliqua Joris.« - Je vais vous finir avec ma bouche. » Répondit-elle aussitôt.Les deux hommes se dégagèrent, laissant Elodie pantelante au sol. Elle se mit sur ses genoux et leur tailla à tous les deux une bonne pipe. Elle sentait ses deux orifices qui baillaient et tout son corps endolori. Elle savait que le réveil serait difficile demain matin. Son corps était tout tremblant de l’exceptionnelle jouissance qu’elle venait de vivre. Elle se concentra sur les deux queues et joua de sa bouche, sa langue et ses doigts pour satisfaire les deux étalons. Elle gémissait sans s’en rendre compte.« - Tu t’es vraiment comportée comme une bonne grosse chienne, complimenta Dominique. Je savais bien quelle était ta véritable nature. Suce bien cette grosse bite qui t’a ravagé le cul. Mmmh c’est ça… Et en plus tu fais les turluttes à la perfection. Continue comme ça, sale truie, je vais te donner ta boisson préférée…»Elodie avait mal à la mâchoire à force d’avoir eu la bouche remplie aujourd’hui, mais elle fit de son mieux pour les satisfaire. Elle en branlait un, en tournant sa langue autour de la queue de l’autre, aspirant les bites pleines de foutre. Ses efforts portaient leurs fruits puisque les compliments jaillissaient de la bouche des deux hommes.Ce fut Dominique qui éjacula en premier dans sa bouche ouverte, suivi par Joris. Elle sentait le sperme glisser sur sa langue, les deux liquides se mélangeant. Ses joues se tapissèrent d’un crémeux nappage blanc. Elle avala tout et écarta les mâchoires pour montrer qu’elle n’avait pas triché. La journaliste commençait à s’habituer au goût. Joris lui sourit :« - Je suis fier de vous ! Vous avez montré beaucoup de bonne volonté ! — Merci. » Répondit-elle en se sentant stupide de remercier un homme la complimenter pour ses talents de partouzeuse.Elle jeta un œil à travers la vitre. Les filles étaient toujours occupées. Alice était visage et poitrine au sol, le cul élargi par le gode ceinture d’Alice, qui la labourait en posant son pied sur sa tête. Joris distrait Elodie du spectacle :« - A partir de cette date, et jusqu’à vendredi prochain, je vous autorise à jouir. Les autres ordres sont toujours à respecter, évidement. Demain matin, nous viendrons vous récupérer en voiture devant chez vous. A vous de trouver une excuse auprès de votre mari. Votre weekend risque d’être chargé. Venez avec moi, nous allons dans une autre pièce où je vous administrerai votre injection. Je vais aussi vous faire don d’une crème apaisante pour votre anus : de ça aussi, vous aurez besoin. »
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