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Emilie : directrice et trainée du lycée

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Assise à mon bureau, je m’attelais à faire disparaître la montagne de courriers accumulés ces derniers jours.
— Entrez ! dis-je sévèrement à la personne qui venait de frapper à la porte.— Bonjour Mme Bourgeois, désolé de vous déranger. Puis-je vous parler un instant ?— Allez-y, Sébastien, je vous écoute. Encore un problème avec votre classe ?— Non, rien de cela… Merci. En fait, hum, depuis que je suis arrivé dans cet établissement à la rentrée, comment dire… il me semblait connaître votre nom mais impossible de me souvenir d’où… — Et bien ? demandais-je avec un frisson dans le dos— Et bien c’est en discutant de cette impression avec mon frère et en lui montrant une photo de vous qu’il m’a rafraichit la mémoire… Vous savez, je ne suis installé dans la région que depuis peu. Nous vivions avec mes parents en Bretagne et mon frère était élève au Lycée Pro des Marais où vous étiez directrice adjointe à l’époque… Il m’a parlé de ce qui s’y était passé et il m’a donné ceci.
En voyant les photos tomber sur mon bureau je sus que j’étais foutue. On m’y voyant nue, entourée de bites, couverte de sperme, prise en double pénétration et le tout, dans une chambre de dortoir avec plusieurs lits cote à cote. J’avais essayé de fuir mon passé mais il revenait en la personne de ce jeune prof qui me regardait maintenant avec un sourire pervers.
Je m’appelle Emilie Bourgeois, j’ai 45 ans et je suis la directrice d’un Lycée professionnel perdu au milieu de la campagne bourguignonne. Ma vie y est morose, sans animation ni plaisir mais je n’ai pas vraiment le choix… J’ai été mutée ici il y a quelques années maintenant après avoir été sanctionnée pour une affaire de mœurs dans mon précédent établissement.
Une affaire de mœurs ? Difficile à croire en me voyant aujourd’hui, toujours habillée stricte, jamais un sourire ni une parole déplacée à un prof ou un élève. On m’appelle même « la grise » en rapport avec mon teint et mon humeur ! Je suis pourtant encore une très belle femme et je l’étais encore plus il y a 10 ans, quand j’ai intégré le lycée des Marais, en Bretagne, en tant que directrice adjointe.
J’étais débutante dans ce domaine administratif après avec commencé une carrière de prof et m’être rendu compte que la pédagogie n’était pas mon fort. Après deux ans en tant que CPE, j’ai donc été nommée directrice adjointe dans l’établissement. Mais le monde des lycées Pro, composé presque uniquement d’hommes, autant dans les élèves que dans les profs, m’effrayait totalement. Des élèves, âgés pour leur niveau (entre 18 et 21 ans pour des secondes et des premières !), en échec scolaire, bourrins en classe comme dans la cour, ne me respectaient pas. Les profs de matières techniques, souvent de gros macho « du cru », mis à part ceux et celles enseignant des matières générales venant d’ailleurs en France, ne reconnaissaient pas vraiment mon autorité, d’autant que mon directeur était basé dans le lycée général auquel nous étions relié, dans la ville située à 30 bornes. Bref, j’étais seule, inexpérimentée et en milieu hostile.
J’étais à deux doigts de craquer et de m’avouer vaincue quand une idée farfelue m’est venue en observant au quotidien que, par exemple, les clients à la banque ou à la poste étaient beaucoup moins agressifs avec les jolies femmes qui s’habillaient sexy plutôt qu’avec les autres conseillers. Je constatais que les hommes étaient moins enclins à râler ou même engueuler un jeunette au décolleté plongeant et aux courbes avantageuses que sur une femme froide et peu avenante.
Au bord de la dépression et sans autre solution, j’ai donc décidé de jouer la carte de la séduction pour reprendre le pouvoir dans mon établissement. Et cela a marché, au début en tout cas…
J’ai donc radicalement changé mon style d’habillement et mon comportement. Ma garde-robe, très stricte à la base, s’enrichit de mini-jupes, de tailleurs au décolleté prononcé, de talons hauts, de chemises étroites et transparentes, de pantalons (par temps froids) très moulants, etc. Avec cet attirail, et à ma grande surprise, la fin de cette première année fut du gâteau ! Il est vrai que lorsque que vous exposez votre décolleté plongeant et des seins à peines masqués sous le nez d’un élève perturbateur ou d’un prof qui se plaint, ils perdent leurs moyens.
Forte de ce succès, je poursuivis ce comportement l’année suivante, en accentuant encore un peu plus le trait : des tenues encore plus sexy, accompagnées d’une attitude plus provocante. Je n’hésitais pas à draguer les élèves en complimentant leur physique lorsqu’ils étaient en sport, je charmais les profs les plus récalcitrants par des mots à double sens. Je mettais aussi en avant mes atouts physiques : en été, je mettais des chemises fines et bien ouvertes sur ma poitrine, au point que mes soutiens gorges n’avaient plus de secret pour personne, mes minijupes ou mes robes se raccourciraient à la limite de la décence ; en hiver mes pantalons taille basse laissaient souvent échapper mes string et je portais sous mes robes des bas dont la dentelle se voyait à chaque croisement de jambes. Une vraie allumeuse, j’en suis consciente. J’ai bien cherché ce qui m’est arrivé…
Je mis aussi un système de « récompense » en place : je recevais dans mon bureau les élèves motivés et travailleurs pour parler (réellement et sérieusement) de leur avenir et les aider dans leur dossier d’inscription en BTS, par exemple. A ces occasions, je portais souvent une robe violette qui se fermait par l’avant avec une longue fermeture éclair, sous aucun sous-vêtement. J’adorais cette robe car il suffisait alors de baisser le zip pour me retrouver entièrement nue. Elle était si moulante que les gens voyaient bien que je ne portais rien en dessous et cela les rendais fous de savoir que mes seins et mon sexe étaient juste là, caché par une robe si fine et pouvant s’ouvrir si facilement. Ce genre de rendez-vous eu beaucoup de succès, la liste d’attente s’allongeant, les moyennes des élèves repartant à la hausse, les incivilités à la baisse. J’aimais également beaucoup une robe blanche très légère qui avait la fâcheuse tendance à virevolter au moindre coup de vent découvrant ainsi mes jambes, mes fesses, mes string durant de brefs instants et qui était si transparente que le soleil au travers me dénudait presque totalement.
Je me pris totalement à ce jeu en y trouvant même un plaisir pervers. Je devenais accro à l’exhibition et les regards lubriques qui se posaient sur moi m’excitaient de plus en plus. Cela me rendait folle de savoir que certains élèves se branlaient en pensant à moi, que certains profs baisaient leurs femmes en m’imaginant à leur place. Je n’éprouvais aucun complexe à montrer ma culotte en salle d’étude en croisant les jambes négligemment, assise sur le bureau. Les regards qui se perdaient entre mes cuisses entrouvertes me faisaient mouiller. Il m’arrivait de plus en plus de me masturber, une fois chez moi, en pensant à tous ces mâles en train d’abuser de moi. En été, j’étais en chaleur en permanence et me comportait comme une chienne au milieu de mes élèves.
Cette deuxième année fut ainsi un grand succès où m’exhiber et allumer tout le monde donnait des résultats impressionnants dans mon établissement. Je peux vous dire que lorsque c’est moi qui surveillais l’étude, on entendait les mouches voler. Lorsque j’entrais dans une salle de classe, tous se levaient et tous les regards, y compris des profs, se perdaient entre mes seins que je savais si bien mettre en valeur.
Tout s’emballa et dérapa l’année suivante. En effet, une réforme des lycées Pro diminua nos budgets et le directeur dû supprimer des postes de surveillants. La situation devint si critique pour surveiller les élèves qu’il dut mettre en place un système de permanence entre lui (dans son établissement), le CPE et moi-même pour surveiller l’internat en plus de l’étude et des colles, en soutient des rares pions qui nous restaient. Deux à trois nuits par semaine, je devais donc être présente à l’internat, dans une chambre de fonction mise à disposition, et intervenir en cas de besoin.
L’internat était mixte mais le nombre de fille était si faible qu’on leur avait réservé 2 chambres au bout d’un couloir, surveillée par une surveillante (la seule que nous avions) et que le reste du bâtiment, sur 2 étages, était rempli de garçons surveillés, par un pion assisté soit par le CPE, soit par moi.
C’est le fait de me retrouver seule, entourée de jeunes hommes, hors du cadre des classes qui éveilla chez moi une envie de plus en plus irrésistible. Tous ces jeunes mâles m’excitaient… Depuis mon arrivée dans ce lycée, j’étais célibataire et je m’étais plongée dans le travail. Mais le manque de sexe, couplé à mon comportement provocant (qui m’excitait aussi) et la présence, lors de mes soirées de garde, de tous ses ados se promenant torse nus, en caleçons, sortant des douches avec juste une serviette, tout cela me rendait folle.
Je me contentais dans un premier temps de me soulager dans ma chambre en me masturbant presque chaque soir en passant à ce jeune que j’avais aperçu sous les douches, ou un autre qui faisait des pompes dans sa chambre alors que je passais demander l’extinction des feux. J’avais honte de mes pensées mais je me déculpabilisais ensuite en me disant qu’ils étaient tous majeurs, qu’ils étaient de vrais hommes, bien que jeunes, et que presque tous devaient avoir couché. Ils n’étaient donc plus des enfants innocents mais des adultes virils qui, d’ailleurs, me baisaient comme une salope dans mes phantasmes et sans doute dans les leurs.
Sans vraiment savoir ce que je cherchais à provoquer, j’adoptais dans l’internat des tenues tout aussi sexy que la journée dans le lycée. Je gardais en début de soirée, avant et après la cantine, mes habits de travail mais une fois le soir venu, après l’extinction des feux, j’enfilais des tenues décontractées pour le moins légères et négligées. Il pouvait s’agir de mini short et d’un T-shirt, ou de pantalons de jogging très moulants avec un simple débardeur. Et évidement, sans sous-vêtement.
Un soir, alors que je faisais une tournée dans les couloirs après l’extinction des feux, j’entendis l’eau couler dans les douches. Je m’approche et découvre qu’un garçon est en train de s’y laver. Je m’apprête à lui ordonner de regagner sa chambre au plus vite mais, constatant qu’il ne m’a pas vu, je m’attarde un peu et regarde ses fesses dépasser de la douche. Il se retourne et je découvre alors un très beau sexe, certes mou mais de taille plus que correct et une plaquette d’abdos assez impressionnante. Il coupe l’eau pour sortir de la douche, je me cache donc précipitamment. Puis, alors qu’il est en train de s’essuyer, j’entre d’un coup dans la douche pour, cette fois, lui ordonner de rentrer dans sa chambre car ce n’est plus l’heure. Il a alors sa serviette ouverte et tente de cacher son sexe maladroitement, l’air penaud.
Je continue mon inspection et me dis que d’ici quelques minutes, je vais me doigter comme une folle, émoustillée par la scène que je viens de voir. Alors que j’arrive au niveau de ma chambre, je sens, au détour d’un recoin, une main de poser sur mes fesses et me peloter vigoureusement. Je me retourne et vois le jeune de la douche, Florian, simplement vêtu d’un caleçon.
— Non mais ça va pas, petit con ??? m’écriais-je alors que je rejette sa main. De quel droit tu me touches ??— Où est le problème ? me répond-il en souriant. Vous me matez sous les douches et moi, je n’ai pas le droit de vous approcher ?? — Je ne te « matais » pas, comme tu dis ! Je faisais simplement ma tournée et…..— Mais bien sûr…. Me coupa-t-il. Je vous signale que je vous ai vu dès le début, vous m’avez regardé pendant plusieurs minutes… Je suis allé me doucher tard juste pour voir si vous viendriez m’espionner et bingo !!— Tu dis n’importe quoi ! Tu…tu viendras me voir dans mon bureau demain !— Avec plaisir… vous porterez votre robe sans culotte ? Ou celle où on voit vos tétons ? — Qu’est-ce que tu insinue ??— Que vous êtes une allumeuse, madame Bourgeois ! Vous exhibez vos formes devant tout le monde pour exciter vos élèves ! Et je suis sûr que vous adorez ça…
En prononçant ses mots, il avait posé sa main sur mon pyjama, au niveau de mon sexe et commençait à me caresser.
— Arrête ça tout de suite, pervers !! lui ordonnais-je en essayant d’enlever sa main.— C’est vous la perverse, madame. Allumer des élèves, les mater dans les douches, rentrer dans leurs chambres en petite tenue… Vous aimez ça, mater et savoir que l’on bande pour vous ? Hein ?— Arrête ça !! C’est absolument faux, je ne….— Mais si, vous aimez nous montrer vos gros seins, votre si beau cul, vos longues jambes…. Vous êtes tellement bandante ! Regardez.
Alors qu’il continuait de me caresser malgré mes protestations et mes tentatives pour lui faire lâcher prise, il exposa fièrement son caleçon déformé par une bosse impressionnante. Je fis tout pour ne pas regarder mais alors que ses doigts jouaient habillement avec mon vagin, mon regard se posa sur son engin et je ne pus m’empêcher de rougir.
— Vous voyez que vous aimez mater ! Et vous aimez aussi vous faire caresser on dirait…
En effet, alors que je contemplais son caleçon, je ne me rendis même pas compte que j’avais arrêté de lutter et que mes jambes, fermement serrées jusqu’ici, s’étaient écartées.
— Ohhh, s’il te plaît…. Arrête…. Quelqu’un pourrait nous voir….
Mais il continuait de me caresser au travers de mon pyjama en insistant sur mon clito. De son autre main, il me palpait les seins au travers de mon débardeur.
— Je savais que vous étiez une chaudasse !!— Je t’interdis de me parler ce sur ton !— C’est juste la vérité… Vos tétons sont durs et votre pyjama est trempé de mouille… Je suis sûr que si je mets ma main dedans, c’est l’inondation…— Non… je t’en prie ne fais pas ça… il ne faut pas…
Mais c’était trop tard. Florian me pose la main sur le ventre et la glisse dans mon pyjama jusqu’à mon sexe en feu. Il constate immédiatement mon état d’excitation avec un sourire et entreprend de me masturber. Il fait tourner deux doigts sur mon clito puis les enfonce d’un coup dans ma chatte. Cette insertion délicieuse me fait pousser un petit cri de plaisir et Florian met sa main sur ma bouche pour qu’on ne nous entende pas. Me faire ainsi dominer me plais beaucoup et je décide alors de m’abandonner totalement au plaisir.
Le gamin cesse ses caresses un instant pour soulever mon débardeur et admirer mes seins. Il les lèche, suce mes tétons puis retourne me masturber, nous sans avoir descendu mon jogging à mi-cuisse et contempler mon sexe. Alors que je sens l’orgasme monter, je cède à la tentation et touche cette énorme bosse qui déforme son caleçon. Je palpe ce sexe si gros et si dur au travers du tissu et commence moi aussi à le branler.
Très excité lui aussi, il m’embrasse fougueusement et accélère son mouvement sur mon clito. Nos langues qui se mélangent me choquent presque plus que ses doigts dans ma chatte venant d’un élève… Étrange…. Toujours est-il qu’en quelques secondes, il me déclenche un orgasme divin qui me fait m’assoir au sol tant j’ai les jambes qui tremblent.
Puis, sans me laisser reprendre mon esprit, il baisse son caleçon et présente juste devant mon visage sa grosse bite. Encore sous le coup de l’orgasme et ayant perdu le sens de la raison, je m’apprête à sucer ce gamin, de 15 ans plus jeune que moi. Mais le bruit de porte coupe-feu qui se ferme et des pas dans les escaliers grinçants indiquent que quelqu’un, sans doute le surveillant, est en train de monter ici. Sans que j’ai à lui demander, Florian remet son caleçon et disparaît en direction de sa chambre.
J’ai à peine le temps de me relever et de remettre en place mes vêtements que le surveillant entre dans le couloir et me demande si tout va bien.
— Ça va… je… finissais ma tournée. Tout est calme.— Parfait, me répond-il. Je vais rester un peu ici, vous pouvez aller vous coucher.— Merci, à demain.— A demain Mme Bourgeois.
Voilà comment c’est terminé, dès le mois de septembre, mon premier rapport avec un élève de mon établissement. Le premier de longue liste. Mais je ne le savais pas encore et, le lendemain, j’étais très perturbée, déboussolée. Mais aussi très excitée en repensant à cette bite que j’ai failli sucer. A cette bite que je veux sucer… A cette bite que je veux en moi… Pour la première fois de ma carrière, je me suis masturbée dans les toilettes des locaux de l’administration tant j’étais excitée. Ce soir, il fallait que je baise ! Ce soir, j’allais me faire Florian !
A suivre...

Cette histoire est encore en cours de rédaction... N’hésitez pas à me donner vos avis et idées pour la suite des aventures d’Emilie.
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