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Emilie : directrice et trainée du lycée

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Suite :
Dans l’après-midi, les scènes où je m’imaginais prise par ce gamin me firent mouiller à nouveau. Alors que je devais travailler, je ne pensais qu’à ce soir, où, je l’espérais, il allait me baiser. Je m’imaginais prise dans le couloir, par derrière, dans ma chambre, sur mon lit… Je m’imaginais aussi baisée devant les autres élèves se masturbant devant moi. Mmmhhh que ça m’excitait. Et si Florian voulait m’enculer ? Je ne l’avais fait que deux fois et ça s’était mal passé à chaque fois pour moi : absence totale de plaisir et douleur. Avec son membre, il me déchirerait le cul à coup sûr… Mais alors pourquoi cela m’excite-il encore plus ??
J’avais commencé de me masturber dans mon bureau quand on frappa à ma porte. La secrétaire avec des documents à me faire signer. Cette interruption me frustra et j’en envie de plus. Je voulais que Florian fasse ça lui-même. Et quoi de plus facile quand on est directrice de convoquer un élève.
Je demande donc à un surveillant d’aller me le chercher. Alors qu’il revient quelques minutes après l’élève, je lui demande de nous laisser seuls.
— Bonjour Florian— Bonjour Mme Bourgeois…— Je voulais, évidemment, reparler avec toi, de ce qui s’est passé hier soir…— Heu… d’accord... répond-il, livide.— Ce que tu as fait est inadmissible ! Si je n’ai pas plus contesté et n’ai pas hurlé, c’est que cela aurait provoqué un scandale, pour toi comme pour moi… Mais tu as abusé de moi ! Tu t’en rends compte ??— Oui… enfin… vous sembliez…— Silence ! Ecoute-moi bien maintenant : tu as intérêt à garder cela pour toi et ne jamais le répéter à quiconque. Si j’entends ne serait-ce qu’une rumeur à ce propos, je ferais de ta vie un enfer dans ce lycée et tu pourras faire une croix sur toute perspective d’inscription ailleurs. Est-ce que c’est clair ?— Oui…— Parfait. D’autant que si tu gardes cela pour toi, tu pourras venir me baiser dès qu’on le pourra…— P… Pardon ? me dit-il, les yeux écarquillés.— Dès ce soir, par exemple… Ça te dirait de me sauter ?— Carrément !! répondit-il, aux anges— Parfait, je trouverai un prétexte pour te faire sortir de ta chambre… Tu n’auras qu’à foutre le boxon après extinction des feux.— Compris !
Durant cette conversation, je mettais levée et placée devant lui pour exercer pleinement mon autorité. Il avait d’abord baissé la tête mais à présent, il me regardait avec le même air vicelard que la veille.
— Bien, maintenant lèche moi. — Q.. Quoi , là ? Maintenant ?— Tu as cinq minutes pour me faire jouir.
J’appuie alors mes fesses contre mon bureau et lève une jambe que je pose sur une des chaises « visiteurs » dévoilant ainsi ma chatte luisante de mouille.
— Oh putain, dit-il en chuchotant, sans s’en rendre compte — Tu ne l’avais pas très bien vu hier… Je ne trouvais pas cela juste !
Il ne répondit pas à mon trait d’humour et se mis à genoux devant moi puis commença à me lécher. Je le sentais débutant dans ce domaine et quelque peu gêné par tant de mouille. Mais en l’aidant un peu en lui prenant la tête pour le diriger, il finit tout de même pas me faire jouir. Ce ne fut pas le meilleur orgasme de ma vie mais il me soulagea et me permit de me calmer.
— Je te remercie, tu peux retourner en classe, dis-je en réajustant ma robe et en retournant à mon bureau. — D’accord… à ce soir.— CHUTT !! lui fais-je en le regardant avec un air menaçant.— Pardon… dit-il en chuchotant. Puis, plus fort : Au revoir.
Il sortit de mon bureau et je pus travailler le reste de la journée.
Il sortit de mon bureau et je pus travailler le reste de la journée.
Après la surveillance fastidieuse de la cantine et de l’étude, je pus enfin gagner l’internat et commencer mes tournées durant lesquelles je matais à volonté la chair fraiche. Arriva l’heure tant attendue de l’extinction des feux et, un peu plus tard et comme convenu, du bruit venant de la chambre de Florian.
J’étais encore avec ma tenue de la journée : mini-jupe sans culotte, bas, tailleur bien décolleté. Je décide d’aller pousser une gueulante dans la chambre et d’en profiter pour convoquer Florian. J’entre en trombe dans la pièce, évidemment sans frapper et découvre Florian en train de faire du catch avec un copain sur lits mis côte à côte.
— Non mais vous foutez de la gueule du monde ???!!!!! hurlais-je en entrant.
Tout le monde se fige en me regardant et les fautifs baissent la tête comme des gamins.
— Durant, Bouchard, dans mon bureau, tout de suite !!
Florian (Bouchard) et son copain (Nicolas Durant) me suivent dans le couloir et entrent dans ma chambre. La pièce n’est pas grande mais comporte tout de même un espace bureau. Tout ça pour dire que même si c’est ma chambre, je ne reçois pas les élèves sur mon lit… En tout cas pas tous !

Je commence par sermonner les deux lascars en reprochant à Nicolas d’être normalement un jeune sans problème et en lui conseillant de ne pas se faire entraîner par d’autres. Je le libère après lui avoir donné 2h de colle mais retient Florian en prétextant devoir lui parler sérieusement. Une fois le gamin partit, je plaque Florian contre le mur et lui masse immédiatement le paquet. J’ai faim… je suis affamée !
— Alors, on fait des siennes après l’extinction des feux ?— Pardon madame, je suis un vilain garçon…— Je sais !
Je décide alors de lui faire un petit show. J’enlève mon tailleur puis mon soutien-gorge. Je le laisse un peu jouer avec mes seins puis commence à enlever ma jupe. Alors que je découvre progressivement mon sexe, il sort son sexe et se masturbe en me regardant.
— Putain, vous êtes trop bonne !
En guise de remerciement à ce compliment si poétique, je m’accroupis devant lui et commence à lui sucer la bite. Elle est grosse et bien dure. J’adore ! Je ne suis pas spécialement une experte en fellation mais je m’applique autant que possible. Je le pompe énergiquement, le lèche, joue avec ses testicules, lui mordille le gland avant d’essayer de l’enfoncer le plus loin possible dans ma bouche. Seule l’envie de vomir m’empêche de le prendre plus loin car mon excitation est à son comble et j’aurais aimé l’avaler en entier. Je suis comme une affamée sur son sexe, dans un état second. Je me donne des coups avec sur les joues, me caresse le visage avec pour m’enduire de liquide séminale qui suite de son gland. Je le branle comme une folle en lui massant les couilles.
Je ne me rendais pas compte de l’effet que ça lui faisait réellement car, alors que je joue avec son gland tout en lui branlant, un premier jet puissant et brulant de sperme s’échappe et entre directement dans ma bouche. Totalement surprise et aucunement habituée à gouter le sperme, je recrache la bite et le liquide blanc pendant que Florian finit de se vider sur le bas de mon visage et mes seins.
Alors qu’il avait l’air aux anges et ravi de m’avoir recouvert de son foutre, je suis au contraire furieuse :
— T’aurais pas pu te retenir ?? Ou au moins me prévenir !!— Quoi ?? Mais je croyais que…— Tu croyais quoi ? Je voulais me faire baiser et jouir, pas me faire recouvrir de sperme par un éjaculateur précoce !— Hé, je suis pas un précoce !!— Ah bon ? Alors explique moi pourquoi ton sperme est en train de ruisseler sur moi sans même que tu m’ais pénétrer.— C’était vraiment excellent… et je n’ai pas vu le coup venir…
Je me relève pour prendre un mouchoir et commence à m’essuyer le visage et la poitrine.
— Bon… c’est mort pour ce soir… Le temps que tu rebande, ça fera trop longtemps et ce sera louche. Je suppose que je pourrai attendre jusqu’à demain.— Heu, madame Bourgeois, demain, on sera vendredi… Donc je repars chez moi pour le weekend. — Bordel, tu sers vraiment à rien !! Dire que tu jouais au dominant hier… Allez, sort de ma chambre !— Je suis désolé… On pourra se voir la semaine prochaine si vous voulez…— Rien n’est moins sûr, Florian. Bonne nuit.
A suivre...
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