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Emilie : directrice et trainée du lycée

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
Suite :
Après une bonne douche froide et une petite masturbation, je pus me calmer et m’endormir à peu près bien, mais tout de même déçue. Malgré deux jours de folies et d’excitation, je n’avais pas fait l’amour. Et dieu sait que j’en avais envie et même besoin.
Le soleil venait à peine de se lever quand on frappa à ma porte. Je regarde mon portable : 6h15… Je me lève, la tête encore dans la brume et ouvre ma porte. C’était Florian.
— Florian ? Mais qu’est-ce que tu fais là ?? demandais-je en parlant à voix basse.— Je voulais m’excuser pour hier. J’ai été très décevant, j’en ai conscience…— Ce n’est rien, cela peut arriver à tout le monde. Et tu manques peut être d’expérience.— Donc vous ne m’en voulez pas ?— Hum, non, ne t’en fais pas.— Parfait. Je voulais aussi vous prouver que ce genre d’incident ne se reproduira pas.
Et soudain, avec une rapidité étonnante, Florian ferme la porte sans la claquer, me prend par la taille et m’embrasse fougueusement en me poussant en arrière vers le lit.
— Mmm attend…. Qu’est que tu fais…— Je vais vous baiser et vous faire jouir comme convenu.
Et avant que je puisse donner mon avis, il m’allonge sur mon lit, me retire mon bas de pyjama et se jette sur mon sexe en me le léchant. A peine réveillée et pas encore excitée, j’essaie de le dissuader de continuer.
— Florian, tu es fou ! Les autres élèves vont bientôt se lever !!— Je m’en fou ! J’ai trop envie de vous !!— Mais moi, je ne… veux pas… je… mmmhhh— Vous ?— Rien… Mmhh , continue… Oohhh

Ce petit con avait bien appris depuis hier et savait à présent lécher mon clito avec efficacité. Son cuni était très agréable et me faisait mouiller. Je le sentais boire ma cyprine et en profiter pour enfoncer sa langue en moi. Il était affamé et j’adorais. Mais, n’étant pas vraiment du matin, je sentais que je ne pourrais pas jouir simplement avec ce genre de caresses. Et surtout j’avais envie qu’il me baise. C’est cela qui me manquait depuis une éternité.
— Ooohh, baise moi Florian, prends moi s’il te plaît !!— Ce n’est pas bon ce que je vous fais ?— Si, oh que si… C’est juste que je veux ta bite en moi… Maintenant !!
Florian se relève alors et baisse alors son bas de pyjama (un simple short, en fait) et dévoile son magnifique sexe déjà très dur. Alors qu’il se rapproche de moi, je le branle un peu et, prise d’un doute affreux, lui demande :
— Tu as un moyen de protection ?— Hein ??— Une capote ? Tu as une capote ?— Non… Vous y tenez ? — Bin, oui, on ne sait jamais…— C’est que… j’en ai pas… Et, vous savez, c’est pas comme si je baisait à droite ou à gauche. En fait je ne l’ai pas fait si souvent que ça…
Etait-ce intentionnel de sa part, en tout cas, Florian s’était mis à me caresser le sexe pendant qu’il essayait de me convaincre d’abandonner l’idée de la capote. Ces caresses, plus le fait que j’avais sa grosse bite en main me font finalement céder.
— Ok… viens, j’ai trop envie… Par contre, ne viens pas en moi, je ne prends pas la pilule.— Oh… d’accord.
Sans même me demander de le sucer, il se place entre mes jambes, joue un peu avec son gland en le frottant à mes lèvres, à ma vulve, à mon clito. Il me fait languir et mouiller comme une folle !
— Pénètre-moi !! Je t’en prie, rentre là !
Et dans un mouvement de pur bonheur, il enfonce son sexe doucement mais d’une traite et jusqu’à la garde et commence immédiatement à aller et venir en moi. — Mon dieu !! Putain que c’est bon… encore, oui encore !!— Putain, c’est excellent souffle-t-il en se penchant sur moi et en m’embrassant amoureusement.
Il m’a ainsi baisé en missionnaire sur mon lit, puis m’a retourné et ma prise en levrette en me donnant de délicieuses petites fessées sur le cul. A chaque fessée, il me disait que c’était mal, qu’une directrice de lycée ne doit pas se faire baiser par un de ces élèves, que j’étais une cochonne. L’excitation et l’évocation de cet acte immorale me fit jouir rapidement. Un orgasme très agréable mais pas le plus intense que j’ai eu, surtout par rapport à ceux que lui et ses amis (entre autre) m’ont donnée ensuite…
Voulant reprendre un peu le dessus, je lui demande de changer de position pour me mettre en cowboy sur lui. Mon déhanché endiablé sur sa queue a dû avoir eu raison de sa résistance car rapidement, il me dit :
— Oohhh, ça vient, je vais jouir…
Je me retire aussitôt et me met à genoux en même temps qu’il se relève. Ne voulant pas qu’il soit tenté de me jouir au visage (ce, qu’alors, je n’appréciais pas du tout), je me saisis de sa queue, la dirige vers mes seins et le branle vigoureusement pour le finir. Le premier jet sort aussitôt et s’abat sur mon torse. L’éjaculation est longue et puissante, elle me recouvre la poitrine.
Satisfaite, j’étale son sperme sur mes seins tout en le branlant doucement pour faire sortir les dernières goutes de foutre. Gouttes que je récupère avec un doigt et que, excitation faisant, je porte à ma bouche pour y gouter. J’avale la petite quantité de liquide sans trouver le gout affreux…
— C’est parfait… merci Florian !— Merci à vous, vous êtes incroyable…— Bien, retourne dans ta chambre avant que les autres ne se réveillent !— J’y vais, bonne journée madame.— Au revoir Florian.
Sur le palier de la porte, il se retourne et chuchote :
— On se verra la semaine prochaine ?— Je ne sais pas… Il ne faut pas que ça devienne une habitude. Nous verrons bien.— Très bien…
Il sort de ma chambre, apparemment un peu déçut pendant que je vais à la douche. A cette époque, je souhaitais réellement que ça ne se reproduise pas ou peu. Je croyais avoir assouvi une pulsion. Mais en réalité, je venais de gouter à une drogue dure dont je n’ai pas réussi à me passer et j’en ai consommé jusqu’à l’over dose.
Satisfaite en tant que femme, la journée du vendredi c’est passé tout à fait normalement. Mais le weekend fut terrible. Seule dans mon logement de fonction, je n’ai pas arrêté de penser à Florian, en réalité à sa bite car je n’éprouvais aucune attirance envers lui en particulier, juste envers ce qu’il représentait : du sexe. J’ai passé le weekend à me masturber et fantasmer sur ses attributs, si bien que le lundi, en arrivant au Lycée, je n’avais qu’une chose en tête : qu’il me baise à nouveau. « Il ne faut pas que ça devienne une habitude » me souvins-je… Tu parles !!
Après une matinée de labeur mêlée de fantasme, je me rends à la cantine avec le reste du personnel administratif. Florian est assis à une table avec des amis quand je passe à côté de lui. Nous échangeons un bref mais appuyé regard. Immédiatement, je mouille. Juste avant le début des cours, Florian profite d’un bref instant où je suis seule devant le tableau d’affichage pour m’aborder discrètement :
— On se voit ce soir ?— Absolument… Attends, non, j’ai pas de permanence le lundi… Merde, ce sera pour demain…— J’attendrai pas jusqu’à demain, j’ai trop envie de vous…— Chuuut ! Moi aussi mais on ne peut pas. On va quand même pas faire ça dans les toilettes !— Et pourquoi pas ??— Tu es fou ! Vas en cours, ça va sonner. On se voit demain.
Florian me tourne alors le dos avec un sourire aux lèvres et se dirige vers sa salle de cours.
L’après-midi fut difficile car la frustration sexuelle en moi était grande. Puis quelqu’un frappa à la porte.— Entrez…
Un surveillant rentre avec Florian à côté de lui. Immédiatement, l’idée affreuse qu’il ait parlé me glace le sang.— Madame Bourgeois, il a été renvoyé de cours. Il est à vous !— Merci. Alors Bouchard, on en peut plus vous tenir en ce moment ??
Puis en m’adressant au surveillant :
— Merci ça ira, je le renverrai en cours moi-même.— Bien.
Une fois la porte fermée, je me dirige vers Florian et lui dit à voix basse :— Qu’est-ce que tu fous ici ??— Je me suis fait renvoyer de cours pour vous voir !— C’est… adorable et stupide… mais pourquoi ?— Pour vous baiser dans les toilettes !!— Ca ne va pas la tête ??— C’est ça ou je vous prends sur votre bureau… Je sais que vous en avez envie…
A ce moment il me caresse la cuisse d’une main et les fesses de l’autre. Puis il glisse sa main entre mes jambes, remonte sous ma mini-jupe et se frotte délicatement contre le fin tissu de mon string.
— Arrête… c’est très agréable mais c’est risqué…— Qu’est-ce qui vous dérange dans le fait de baiser aux toilettes ?— C’est dégradant… et risqué…— Mais excitant…
D’un doigt il écarte l’étoffe à dentelle et en entre un autre dans mon sexe déjà trempé.
— … et franchement, dans l’état que je suis, je ne mettrai pas longtemps à jouir… On ne risque rien… — Tu ne te retiendras pas, hein ? Un coup vite fait et c’est tout, ok ?— Ok !
Je sors alors dans le couloir de l’administration, personne. J’ouvre la porte des toilettes qui nous sont réservées, personne. Je fais ensuite un signe rapide à Florian pour qu’il sorte de mon bureau et entre en vitesse dans les toilettes. Je le suis et entre immédiatement dans une cabine que je ferme à clé.
Nous ne parlons pas et agissons vite. Je baisse ma culotte et remonte ma jupe pendant qu’il sort son sexe de son pantalon. L’endroit est exigu et après quelques tentatives inconfortables de pénétration, il s’assoit sur le siège des toilettes et je me place sur lui. Ainsi c’est moi qui contrôle la pénétration, aidé par ses coups de hanches habiles.
Nous nous embrassons tendrement pendant qu’il me fourre en m’écartant les fesses. Il ouvre mon chemisier pour faire apparaître mon soutien-gorge duquel il extrait mes seins pour les lécher.
Soudain la porte des toilettes s’ouvre. Nous nous fixons immédiatement pendant que l’homme se dirige vers les urinoirs. Il se vide tranquillement en sifflotant puis va se laver les mains. Sans m’en rendre compte, je continue de monter et descendre sur le sexe de Florian mais à vitesse très réduite. La présence de ce collègue ne me bloque même pas dans le fait de chevaucher un élève…
Pendant que l’homme se sèche les mains avec la soufflerie Dyson qui fait tant de bruit, Florian accompagne mon mouvement en levant et baissant mes fesses et continue de me mordiller les tétons… Puis enfin l’homme s’en va.
— Finis vite, dis-je à Florian.
Il me soulève alors et me place en levrette, les jambes de part et d’autre de la cuvette, les bras appuyés sur la bac de la chasse d’eau. Derrière moi, Florian m’enfile et me lime avec énergie, pour se finir vite, comme je lui ai demandé.
— Ne jouis pas en moi, lui ordonnais-je.
Florian lime encore quelques secondes puis, soudain se retire et me jouis sur les fesses et le sexe. Sans perdre de temps, il se rhabille pendant que je m’essuie avec du pq. Je réajuste ensuite mes seins dans mon chemisier et ma culotte sous ma jupe.
— Je sors d’abord, lui dis-je, et si c’est tranquille je toque sur la porte. Reste dans la cabine pour l’instant. — Ok. A demain soir…— J’ai hâte…
Je sors des toilettes et constatant que le couloir est désert, je toque à la porte dans mon dos. A ce moment j’aperçois le surveillant qui sort d’une salle et se dirige vers moi. Je marche alors comme si je venais de sortir de mon bureau.
— Vous avez finis avec Bouchard ?— Oui, je viens de le renvoyer dans sa classe…
Et à ce moment précis, Florian, qui n’avait rien entendu, sort des toilettes et tombe nez-à-nez avec le surveillant et moi.
— Qu’est-ce que tu fous là ?? crie alors le pion— Tu utilises les toilettes de l’administration, toi maintenant ? dis-je pour rajouter une couche et paraitre aussi surprise que le pion.— Bien, c’est que… je… hésite Florian.
Je l’interromps et m’adresse au surveillant :— Je venais de lui mettre deux heures… vous lui en rajouterai deux autres. D’accord ?— Avec plaisir madame Bourgois ! Tu n’avais rien de prévu mercredi, Bouchard ?— Très drôle…. Pfff— Allez, en cours, maintenant !
J’étais désolée pour Florian mais les toilettes, c’était son idée. Baiser sa principale n’est pas sans danger !
A suivre...
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