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Emilie : directrice et trainée du lycée

Chapitre 4

Avec plusieurs hommes
Suite :
Le reste de la journée et le lendemain se passèrent normalement, si l’on exclut ma tenue provocante et le nombre de regards perdus dans mon décolleté, très prononcé aujourd’hui, que j’ai capté. Vraiment, j’adorais ça !
Le soir venu, je n’arrive pas à voir Florian seul à seul à l’internat et dois m’en remettre à sa capacité d’improvisation. Comme je l’avais deviné, il pénètre dans ma chambre vers 6h00 du matin. Il vient se glisser dans mes draps et me réveille en me caressant.
— Vous aviez laissé la porte ouverte…— Je sais, je ne savais pas à quel heure tu allais venir…— Le pion a tourné jusqu’à une heure et m’a tenu à l’œil en continu… A cause d’hier, je suppose. — D’ailleurs, je suis désolée pour les heures de colle.— Vous pourriez me surveiller mercredi ? Vous le faites des fois…— Je verrais… Viens par là.
Cette petite conversation m’avait réveillée physiquement et le contact de ses mains m’avait réveillé sexuellement. Je me place entre ses jambes et commence à le sucer délicatement. Les 20 minutes qui ont suivis furent classiques mais délicieuses : pipe, cuni, caresses, pénétration et un bel orgasme pour moi.
Mais alors qu’il me prenait par derrière et que ses mains écartaient mes fesses, il aventure un doigt sur mon anus. Son pouce me caresse d’abord l’œillet puis s’enfonce légèrement en moi. Je décide de ne pas régir et le laisse me toucher dans cette zone si taboue pour lui faire plaisir. Mais le petit pervers pousse sa chance et enfonce encore un peu son doit dans mon cul, certes délicatement, mais régulièrement. Je sens qu’il appuie avec son pouce sur son sexe en train de me pénétrer. Ce doit être délicieux pour lui car il râle et souffle de plaisir. Il retire son doigt, crache sur mon cul et y retourne, encore un peu plus profond cette fois. Alors qu’il me pénétrait puissamment avec, à mon sens, 3/4 de son doigt dans mon cul, j’ordonne dans un soupir de plaisir :
— Pas trop loin !— C’est juste un doigt…— Je sais, mais ne va pas trop loin… je n’aime pas du tout par là.— J’ai pris 4h pour vous… Vous me devez bien un petit plaisir !— Ok, mais pas ça…— Je peux jouir en vous ?— Non, je ne prends toujours pas la pilule… Je te l’ai dit.— Alors je peux jouir sur… hum… votre visage ?

Je marque une longue pause pour réfléchir à cet acte, assez humiliant selon moi. Mais ce petit con m’excite et me donne un réel plaisir. Et j’ai envie de faire quelque chose pour le satisfaire, moi qui lui refuse tellement de trucs.
— Ok, tu peux me faire une faciale… Ce sera la première de ma vie…— Sérieux ? Vous êtes géniale de m’avoir dit oui…
Il se retire alors et se place au-dessus de moi pendant que je m’agenouille à ses pieds, comme une esclave soumise. Il se branle au-dessus de mon visage puis approche son gland de ma bouche. Je le suce timidement car je trouve le gout de ma mouille particulièrement amère mais il insiste en prenant ma tête à deux mains. La salive finit par diluer le gout de cyprine et me permet de le pomper avec plaisir.
Puis il se retire soudainement de ma bouche, se masturbe furieusement et jouis dans un grand râle de plaisir. Des jets chauds et puissants s’abattent alors sur mon visage tandis que je maintiens la bouche fermée pour ne pas en avaler. Je sens une grande trainée de sperme de mon menton à mon front en passant par mon nez, le reste maculant une joue, un œil (que j’ai dû fermer) et la bouche.
— Putain, c’était énorme… Vous êtes superbe comme ça !
Sans répondre sous peine d’avoir du sperme sur ma langue, je me dirige vers la salle de bain, constate mon état dans le miroir et note que j’en ai également dans les cheveux. Je trouve cela plutôt moche… mais si ça peut faire plaisir à mon amant, alors pourquoi ne pas lui accorder cela de temps en temps !
— Merci, Florian, c’était parfait… même la faciale…— Vous avez aimé ça ??— Nous, mais je n’ai pas détesté, ce qui est déjà pas mal ! Retourne dans ta chambre. On se voit demain.— C’est la première fois que je dis ça mais j’ai hâte d’être en colle.— C’est mignon… Allez, ouste !
Le lendemain, comme promis, je me débrouille pour surveiller les collés à la place du pion. Six élèves seulement sont présents cet après-midi, cinq garçons et une fille. Ils vaquent à leurs occupations, certains écrivant des texto, d’autres révisant leurs cours, un autre effectuant le devoir qu’il n’avait pas fait, justifiant qu’il se retrouve ici. Habillée de manière sexy comme à mon habitude, une robe bleue très légère se boutonnant par le devant avec un simple redresse-seins et un string dessous, je déambule dans la salle pour surveiller tout ce petit monde. Mis à part celui de la fille, très jolie au demeurant, tous les regards sont sur moi. Mon dieu que cela m’excite de me savoir observée et désirée ainsi…
A quinze heures, après 2h de colle, tous les élèves partent sauf ceux ayant eu 4h, en l’occurrence Florian et un autre. Il fait chaud cet après-midi et je me sens excitée. Les clins d’œil de Florian à mon égard ne sont pas étrangers à cela. Mais il y a aussi le fait que depuis qu’ils ne sont plus que deux dans la salle, je les imagine se levant pour me violer sur le bureau. Ils me baiseraient à tour de rôle, abuseraient de ma bouche, de mon sexe et de mon cul, peut-être même qu’ils me prendraient en double pénétration, avides de porno qu’ils sont. Et ils finiraient en me recouvrant de leur sperme abondant. Ces actes que je m’interdisais et que je trouvais normalement dégradant m’excitaient au plus haut point… pourquoi ?? Quelque chose changeait en moi.
En tout cas, mon string était trempé et j’avais une furieuse envie de me caresser devant eux. D’autant que, assise à mon bureau (une simple table sur une estrade) ou appuyée sur des tables près d’eux, je m’amusais à croiser et décroiser mes jambes pour exposer furtivement mon entrejambe. Les deux compères n’en loupaient pas une miette, tandis que je faisais semblant de ne rien voir, occupée à remplir de la paperasse. Me déplaçant par moment vers les garçons pour voir ce qu’ils font, je me penche vers eux et leur expose mon décolleté, ou plus exactement mes seins car ma légère robe et mon redresse-seins ne cachent absolument rien dans cette position.
En me penchant vers Florian, dos à l’autre élève, il en profite pour tirer sur ma robe et contempler mes gros seins et mes tétons bien durs. Alors que je me retourne et me penche vers l’autre élève, il ne se permet évidemment pas la même chose mais à tout de même le regard plongé dans ma poitrine. Je sais pertinemment qu’il voit mes seins nus presque sans obstacle, mais cela ne me gêne pas, au contraire.
La seule chose qui me différencie d’une exhibitionniste, c’est le caractère sois disant « accidentel » ou « non voulu » de mes provocations. L’essentiel est que, collectivement, tout le monde se disent que je ne le fait pas exprès même si la plupart estiment que c’est volontaire. Si je me déshabillais ici et maintenant, ce doute serait levé et je serai foutue.
La frontière est mince et je parvenais jusqu’ici à la maintenir en place. Tout cela allait bientôt voler en éclats…
Revenons à la surveillance. Les quatre heures touchaient à leur fin et les deux élèves s’apprêtent à sortir. J’étais très excitée, légèrement frustrée de ne pas avoir pu aller plus loin même si, assise sur le coin de mon bureau, j’ai réussi à me donner un peu de plaisir en frottant mon sexe contre le bord. Je devais évidemment bouger le moins possible car cela serait devenu très voyant. Mais cela aurait été tellement bon… Florian traine un peu à ranger ses affaires, si bien que nous pouvons échanger quelques mots en privés.
— Tu as encore du temps avant l’heure de retour des autres ?— Une demi-heure…— Alors retrouve-moi à la sortie du parking des profs. Ça te dit une petite balade en voiture ?— Vous ne me ferez pas le coup de la panne au moins ?— Pour tout ce qui est « panne », c’est plutôt à toi d’assurer. Là, il va plutôt falloir être rapide. Ok ?— Ok !
Cinq minutes plus tard nous étions dans ma voiture et cinq minutes trois seconde plus tard, il avait sa main dans mon string et me doigtait alors que je le conduisais vers un petit bosquet où je connaissais un coin tranquille. J’y allais souvent manger à l’époque où ça n’allait pas fort pour moi dans ce lycée et je n’y avais jamais rencontré quiconque.
Durant les 7 ou 8 minutes de trajet nécessaire, ce petit pervers avait réussi à me faire jouir juste avec un doigt dans ma chatte et sa langue sur mes tétons. Arrivé au bosquet, il a simplement retiré mon string et ma prise avec passion sur le capot de ma voiture. Je tenais mes jambes relevées, bien écartées pendant qu’il me pilonnait le sexe en m’embrassant. Nos langues se mélangeaient avec fougue quand soudain, il me dit :
— Je vais jouir, je peux venir sur vous ?
Et alors qu’il commence à se retirer, un vif sentiment de frustration et de vide me saisit. J’ai envie de le sentir en moi. De sentir son sperme en moi.
— NON ! Jouis en moi ! Remplis-moi…— Vous… Vous êtes sûre ? Votre histoire de pilule…— T’occupe ! Continue de me baiser et viens en moi ! Oui… Encore…. Continue je viens aussi… ENCORE !!!
Et alors qu’il donne le dernier coup de boutoir libérant sa semence, il me déclenche un délicieux orgasme, le premier que nous aillions de manière synchronisée. Je sens ses jets de foutre me remplir de vagin alors que des spasmes me secouent de plaisir.
Puis il se retire et laisse échapper un flot impressionnant de sperme épais. Je m’empresse de descendre du capot pour que le liquide tombe au sol et non sur mon ma voiture. Je joue avec ma chatte et ce liquide épais qui, décidément, ne me dégoute plus du tout et me surprend même à y gouter encore une fois. Et à nouveau, le gout ne me parait pas si dégueu… Après, de là à dire que c’est bon, quand même pas !
— Vous… vous n’allez pas tomber enceinte ?— C’est possible… Mais, tu sais, j’ai toujours voulu un enfant d’un de mes élèves.— Hein ? Quoi ? Mais…— Je déconne ! La tête que tu as faite, haha ! Ce soir, je passe à la pharmacie prendre une pilule du lendemain et je me fais prescrire une pilule contraceptive. Je ne voulais juste pas franchir ce pas car cela devait rester exceptionnel mais il faut bien admettre que, finalement, on baise aussi souvent que possible.— Ça veut dire que je ne serais plus obligé de me retirer à chaque fois ?— Oui, et du coup, terminé les faciales ! — Ah ? Mais…— Je déconne encore ! T’es naïf, toi ? Allez, on rentre.
Soulagée, apaisée, je ramène Florian à l’internat avec l’agréable sensation d’avoir du sperme qui suinte de moi. La sensation de me sentir revivre.
A suivre...
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