Suite : Le lendemain, jeudi, je pus travailler normalement, apaisée par le fait que ce soir, j’allais encore me faire sauter. Je m’étais du coup habillée plus classiquement : jean, chemise. Le pantalon me moulait certes bien le cul, mais rien de très provoquant. Je me sentais plus en paix avec ma sexualité, j’éprouvais donc moins le besoin d’allumer la terre entière. Arrivé le soir, je remplis mon rôle de surveillance à l’internat normalement : surveillance de l’étude, application de l’extinction des feux, tournées. Il était 23h, je réalisais ma dernière tournée avant d’aller me coucher. J’étais simplement vêtue d’un short de pyjama et d’un débardeur minimaliste. Les soirées de ce tout début d’automne (fin septembre) étaient encore lourdes et déjà humides : je crevais de chaud. Je marchais tranquillement quand une main se pose sur une de mes fesses. Je sursaute et me retourne. C’était Florian. — Tu es fou ! Qu’est-ce que tu fais là ?— J’allais aux toilettes et je vous ai vu… Il me plaque alors contre le mur et m’embrasse fougueusement tout en glissant une main dans mon short. — Hé là, doucement, sauvage ! On ne t’a pas appris qu’une dame doit être excitée avant d’être touchée ici ?— Vous avez raison… pardon. Il s’accroupit alors à mes pieds, baisse d’une geste mon short et commence à me lécher. En quelques secondes, il me fit mouiller et commença à me doigter. Il me retourne, écarte mes fesses et me lèche en enfonçant son visage dans mon entrejambe. Il insiste également sur mon anus qu’il titille du bout de sa langue. Etonnement, cela m’excite beaucoup. Puis soudain, il se relève, remet mon short en place et s’éloigne. — Hé oh ! Tu vas où là ??— Aux toilettes… c’était pour ça que je m’étais levé à la base…— Et tu vas me laisser dans cet état ?— On ne va pas faire ça là… On se voit plus tard dans la nuit ? Je mettrais mon réveil en vibreur sous mon oreiller. — Bon… vers 1heure ?— Ok.
Il se dirige alors vers les toilettes. Sans que je sache pourquoi, je le suis et, une fois devant les urinoirs, lui demande : — Je peux te regarder pisser ?— Hein ? Heu… oui… je suppose… Ça vous plaît ?— Je ne sais pas… Je me suis toujours demandé comment c’était sans jamais oser demander à un de mes compagnons de les regarder.— Bin, allez-y : regardez. Il sort son sexe mi mou de son caleçon, se décalotte et se met à pisser. Je caresse sa cuisse et ses fesses pendant qu’il se vide. — Vous voulez la tenir ? Sans répondre, ma main glisse vers son sexe et l’agrippe du bout des doigts. Pour m’amuser, je dirige le jet de haut en bas. Puis le jet faiblit et s’arrête. Je secoue le sexe pour faire tomber la dernière goutte. — Alors ça vous a plu ?— Je ne sais pas… c’était bizarre mais le côté un peu dégradant m’a excité. — J’adorerais vous voir pisser également…— Pourquoi pas… Mais pas ici et pas maintenant. A plus ! Je sors alors des toilettes, non sans mettre lavé les mains, et regagne ma chambre. A 1h10, la porte s’ouvre et Florian rentre dans la chambre. Je ne vais pas vous décrire encore une fois nos ébats, ceux-ci furent assez classiques, bien que très plaisants. Classiques excepté un passage : quand Florian m’a doigter le cul, avec mon consentement. Il était en effet en train de me prendre par derrière quand, comme la dernière fois, il aventure un doigt sur mon anus. Il se fait beaucoup plus prudent que la dernière fois, il se lèche le doigt, joue avec mon œillet d’abord sans le pénétrer puis en y entrant timidement une phalange. — Ça va comme ça ? me demande-t-il— Oui…tu peux l’enfoncer encore un petit peu… Il ne se fait pas prier en pousse un peu plus loin son doigt. Pas de douleur à proprement parler mais le désagréable souvenir des précédentes tentatives de sodomies qui, elles, m’ont fait très mal. J’essaie de penser à autre chose et me concentre sur le plaisir que son sexe me procure. Il retire son doigt le lèche à nouveau (je suppose) et le réintroduit lubrifié dans mon trou du cul. Il n’a que deux phalanges d’enfoncées mais j’ai l’impression qu’il est au plus profond de moi. Pourtant, mes gémissements aidant autant que mon absence de contestation, il continue d’enfoncer son doigt. A ce moment, je commence à comprendre pourquoi il y tenait autant : son doigt fait pression sur la paroi séparant mon colon de mon vagin et entre en contact avec sa bite. Pour lui, la sensation de massage doit être divine. Pour moi, c’est d’abord de l’appréhension que je ressens, Surtout lorsqu’il enfonce complètement son doigt (je sens les autres repliés venir buter contre mes fesses…). Mais il fait des allers-retours avec son doigt et l’appréhension se mue en plaisir. Le plaisir d’avoir le vagin comprimé et, je dois l’avouer, d’avoir quelque chose de tendre et pas trop gros me pénétrant le cul. Lui-même prenait un plaisir intense et soufflait de manière appuyée, comme pour résister à un orgasme venant trop vite à son gout… Mais le charme se brisa un peu alors qu’il tenta d’enfoncer un deuxième doigt. Cela étirait trop mon anus et me fit un peu mal. — Oh non, pas deux ! C’est trop… Il s’exécute sans rien dire et retire ses doigts. Comme il continuait de me baiser et que je sentais l’orgasme monter en moi, je voulu absolument que nous jouissions en semble. — Florian, je vais jouir… Viens avec moi ! — Je suis encore un peu loi…— Alors enfonce-moi ton doigt comme tout à l’heure et accélère ! Je veux jouir avec toi ! — OK ! Il se met alors à me pilonner, m’enfonce doucement son doigt à nouveau lubrifié et me doigte le cul sur toute la longueur de son majeur, en appuyant même parfois sur sa bite en mouvement pour se la masser. La montée de plaisir pour moi fut aussi soudaine que surprenante, pour lui également car il m’annonce dans un râle de plaisir : — Ça vient ! Putain, c’est trop bon, je vais jouir !— Oooohh moi aussi !! Oui encore, accélère encore !!! Plus loin ton doigt !!! Oui, doigte-moi le cul !!! OUIIIIIII !!!! Il se repend alors en moi en même temps que l’orgasme explose dans mes entrailles, je ne sais pas où exactement entre mon cul et mon vagin… Après être resté emboités un long moment, nous être embrassés, il se relève (libérant au passage le sperme encore contenu dans mon sexe et s’écoulant au sol) et me dit : — C’était extraordinaire… Dommage qu’il faille attendre quinze jours avant de se revoir !— HEIN ? Mais de quoi tu parles ??— Bin de ma première période de stage… toute ma classe part pour deux semaines en entreprise. Vous le savez bien, c’est vous qui organisez ça !— Putain, je n’avais pas capté que c’était ta classe pour la première période !! On ne va pas se voir pendant quinze jours ?? — Oui… désolé… mais là, j’y peux rien !— Je ne t’en veux pas… J’ai une question : tu promets de me rester fidèle ?— Fidèle ? Mais on n’est pas ensemble, pas en couple je veux dire ! — Je sais, mais nous avons des rapports non protégés… Si tu couches, je ne pourrais plus être sûre et je te demanderai d’utiliser une capote.— Et si j’en utilise de mon côté ?— Ecoute ! Je ne veux pas que tu couches avec d’autres filles, c’est tout ! Si tu me le jure, je te promets qu’à ton retour, je te laisserai m’enculer.— Sérieux ??— Sérieux !— Alors ok : je vous jure de ne coucher avec personne d’autre que vous. De toute façon, il n’y a que des mecs là où je vais…— Tu aurais pu me le dire avant que je t’offre mes fesses ! — Pour une fois, c’est moi qui vous ai eu ! Alors que Florian se dirige vers la porte, je me rend compte qu’il va me manquer et que je veux lui offrir un petit cadeau. — Florian ?— Oui ?— Tu veux toujours me voir pisser ?— Avec plaisir ! Je le prends alors par la main, l’emmène vers les toilettes de ma chambre et m’assois sur le siège en écartant le plus possible les jambes, un peu comme sur un bidet. Je commence à me vider la vessie tandis que Florian regarde le jet d’urine sortir de ma chatte, l’air intrigué. — Ça te plait ?— J’adore… Il s’accroupit alors et met sa main sous mon sexe. Il joue un peu avec le jet qui faiblit, me caresse le sexe. Puis, alors que les dernière goutte ralentissent puis s’arrêtent, il prend du papier toilette, s’essuie la main et m’essuie le sexe. Il y enfonce deux doigts et fait tournoyer mon clito avec son pouce. — Vous allez me manquer… dit-il un peu triste— Mmhh, toi aussi… Allez, rentre dans ta chambre, il est tard. Il sort ses doigts de moi, se redresse et m’embrasse tendrement. Nos langues se mélangent un long moment et se baiser me fait presque remouiller. Je me rhabille et raccompagne Florian à la porte, surveillant, comme d’habitude, si personne n’est dans les couloirs. — Vis-à-vis de votre demande de « fidélité », me dit-il en chuchotant, vous, par contre, vous pouvez vous taper d’autres mecs si vous voulez…— Je n’en ai pas l’intention !— Pas maintenant, mais dans quelques jours vous serez en manque… Je ne suis pas jaloux, du moment, qu’ils ne jouissent pas en vous. C’est mon privilège. Ok ?— Je te dis que je ne coucherai pas avec quelqu’un d’autre ! Je peux quand même t’attendre 15 jours !— Si vous le dites… Au revoir, madame Bourgeois. J’ai hâte d’être dans deux semaines pour vous enculer !— Je suis sûr que tu ne l’oublieras pas ! Au revoir Florian. Je m’étais juré de lui rester fidèle et n’avait aucune intention de le tromper. Je n’ai en fait pas tenu 4 jours… A suivre...