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Emilie : directrice et trainée du lycée

Chapitre 6

Avec plusieurs hommes
Suite :
En effet, je n’ai guère résisté car dès le weekend suivant, un phénomène de manque naquit en moi. Une frustration sexuelle qui grandissait un peu plus chaque jour, malgré de nombreuses séance de masturbation et de godage qui me faisaient du bien mais ne me soulageaient pas vraiment. Je profitais d’ailleurs de mon petit vibro acheté chez La Redoute il y a quelques temps, dans un moment de grande solitude, pour m’exercer à la sodomie. Le doigt de Florian me faisait déjà pas mal d’effet et mes souvenirs des deux précédentes tentatives catastrophiques de sodomie avec mon ancien copain me faisais beaucoup appréhender.
Les premiers essais furent douloureux (un peu) et le vibro n’entrait que légèrement dans mon cul. Mais plus je m’exerçais, plus je pouvais enfoncer le gode en moi sans avoir mal. Mais j’étais loin, très loin de pouvoir endurer un enculage en règle avec le calibre de Florian. Je m’interrogeais également sur cette troublante sensation lorsque j’avais vu et aidé Florian à pisser. Est-ce le coté dégradant ? Est-ce juste une curiosité de passage ? J’avais lutté, je l’avoue, contre l’envie de passer ma main sous son urine… juste pour voir ce que ça fait. Lui n’avait pas résisté et l’avait fait avec moi mais j’essayais de me laisser quelques limites…
Le weekend pris fin avec toujours autant de frustration sexuelle pour moi si bien que, sans m’en rendre compte sur le coup, je m’étais habillée de manière vraiment provocante le lundi. Ma robe moulante décolletée et révélant mes bas à chacun de croisement de jambes ne passa pas inaperçues !
Le soir, à l’internat, je profitais de la moindre occasion pour mâter mes pensionnaires : sous les douches quand j’estimais qu’il y avait trop de bazar et en profitais pour y débarquer, dans les couloirs quand ils se rendaient aux toilettes, dans leur chambre lorsque j’y entrais sans frapper pour surprendre un fauteur de trouble… Du coup je mouillais en permanence et dû me masturber deux fois en cours de surveillance pour me calmer ! Au moment de me coucher, j’exerce une nouvelle fois mon cul avec mon vibro et m’endors en passant et fantasmant sur tous ces jeunes me baisant à la chaine. Je devenais nymphomane, au sens médical du terme…
Le lendemain fut calme à part le fait que je dû encore me masturber, y compris à mon bureau pour pouvoir travailler un peu. L’après-midi, je reçus dans mon bureau un élève réservé aux résultats prometteurs pour parler orientation avec lui. Mais je l’ai tellement allumé qu’il n’a pas cessé de me reluquer les seins, les jambes ou les fesses et était en permanence rouge pivoine. Il faut dire aussi que me pencher vers lui en lui offrant une vue imprenable sur ma poitrine n’est pas très sérieux. Tout comme croiser et décroiser les jambes alors que j’étais assise sur le coin de mon bureau en face de lui, au point qu’il pouvait presque savoir la couleur et la matière de ma culotte… Culotte évidemment trempée, vous vous en doutez ! Et la main que j’ai posée sur sa cuisse pour le rassurer quant à son orientation et qui a provoqué une érection qui se devinait sous le jean ? Était-ce bien professionnel de ma part ?
Peu importait, j’avais rendu fou un gamin et assouvi un peu mon gout pour l’exhibition. Le soir à l’internat, l’ambiance était électrique et les jeunes faisaient un bordel assez pénible, si bien que je n’ai pas eu l’occasion de m’isoler pour me soulager, devant en permanence aller d’une chambre à l’autre pour demander le calme. Celui-ci n’arriva qu’à l’extinction des feux. J’en profite pour aller enfin dans ma chambre et me mettre en tenue décontractée pour la nuit. Je constate alors que ma porte n’est pas verrouillée mais rien n’a l’air d’avoir disparût.
Vers 23h30, je fais une petite tournée et, en passant devant les douches, j’entends un léger bruit. L’eau ne coule pas mais en tendant l’oreille, il y a bien un bruit régulier. J’enlève mes baskets et, pieds nus, entre discrètement dans la pièce composée de douches séparées par de courtes parois carrelées mais sans portes ni rideaux (un niveau d’intimité insuffisant selon les normes : des travaux étaient d’ailleurs prévus mais sans cesse reportés faute de crédits). En progressant dans les douches, je découvre alors un élève, celui que j’ai allumé dans mon bureau quelques heures plus tôt, en train de se palucher en reniflant un morceau de tissu. En habituant mes yeux à la faible luminosité, je m’aperçois qu’il s’agit d’un de mes string, celui porté la veille et qui trainait dans un sac à linge sale dans ma chambre.
Ce petit coquin se masturbe en reniflant mes odeurs de sueur et de mouille de la veille. Mon exhibition a dû le rendre fou pour qu’il ose entrer dans ma chambre… Il a les yeux fermés et, sans se rendre compte de ma présence, sniffe profondément mes effluves corporels qui imprègnent la fine étoffe. Son sexe n’est pas gros. De taille moyenne, je dirais. Le jeune en lui-même n’est pas, contrairement à Florian, un beau gosse. Il est de taille moyenne, brun, un peu bedonnant et pas vraiment musclé… Pourtant, ce petit pervers me fait mouiller comme une chienne…
Légèrement cachée par un angle de la pièce, j’observe la gamin se branler. Sans que je m’en rende vraiment compte, ma main descend le long de mon ventre et commence à caresser mon entrejambe pour apaiser l’excitation qui y grandit. Je sens mon mini short devenir moite. Je passe ma main directement sur mon sexe et m’aperçois de mon état : je suis trempée, mon clito est gonflé de désir et chaque effleurement me provoque une décharge de plaisir. Mais je me suis masturbée des dizaines de fois ces derniers jours et ce n’est pas ça que je veux, là, maintenant. J’ai les yeux rivés sur sa main qui s’active sur sa bite et me lèche les lèvres de désir. Pourquoi ce jeune homme au physique banal m’excite-t-il autant ? Parce que je peux l’avoir sous ma coupe et en faire ce que je veux ou simplement parce qu’il a une bite et que je suis en manque ? Toujours est-il que je craque et décide d’aller vers lui.
Je sors de ma cachette improvisée, m’approche du jeune d’un pas souple et discret et, alors juste devant lui, lui demande calmement :
— Tu veux que je te donne un coup de main ?
Il sursaute alors en ouvrant les yeux et me regarde alors terrorisé, blanc comme un mort, comme si sa vie venait de s’effondrer. Il cache d’un geste la culotte dans son dos et couvre son sexe de son autre main.

— Je… Désolé… Je… Je vais rentrer dans ma chambre… pardon… excusez-moi… je— Montre-moi tout de suite ce que tu caches !— Non… heu, c’est personnel…— Tout de suite !!
Il me tend alors le string. Je feins la surprise :
— Mais ? C’est un de mes string !! Tu as fouillé dans ma chambre ??— Non pas du tout ! C’est… à ma copine…— A ta copine ? Oui… Et d’une, je ne t’ai jamais vu avec une fille dans ce lycée et de deux, ta « copine » ne pourrait pas se payer le quart d’un string de cette marque ! Sérieux, tu te rends compte de ta situation ? Tu es entré dans ma chambre, tu y as volé une chose on ne peut plus intime pour te palucher en la reniflant !! Tu es un sacré pervers !
Le gosse se met alors à pleurnicher malgré ses 17 ou 18 ans…
— Je suis désolé… c’est juste que j’ai vu votre porte ouverte et votre sac d’habits sales… j’ai pas voulu faire ça mais j’étais trop excité depuis…— depuis ?— depuis votre bureau… — Mon bureau ? Tu as été excité par notre entrevue ?? dis-je en faisant semblant de ne pas comprendre.— C’est votre tenue, vos jambes… votre main sur ma cuisse… je ne suis pas habitué !— Ce n’était qu’une main sur ta cuisse…Tu es vierge ?
Il garde le silence en regardant par terre. Je le relance :
— Dans ta situation, rien ne sert de me mentir… Et être puceau jouerai plutôt en ta faveur.— Oui…— Oui quoi ?— Oui je suis vierge.
Durant toute notre conversation, le jeune, Antoine, dissimulait son sexe avec sa main. La vision de ce jeune homme nu m’excitait… Le voir ainsi en situation de faiblesse me faisait encore plus mouiller. Mais hors de question de le brusquer pour qu’il raconte tout ensuite. Il devait avoir envie de moi comme moi de lui.
— Tu as déjà embrassé une fille ?— Bien sûr !! C’est juste que je n’ai jamais pu aller plus loin…— Tu t’es déjà fait masturber par une fille ?— Hein ? Non, mais c’est un truc perso de toute façon… — Tu as déjà demandé à une fille de te le faire ?— Non, jamais elle accepterait un truc pareil !!— Tu es sûr ? Les filles adorent branler leur copain pour les faire jouir… Enfin, moi en tout cas, j’adore ça…— Ah bon ? Tant mieux pour vous… Heu, je peux rentrer dans ma chambre maintenant, je me sens carrément ridicule…— Tu ne veux pas plus tôt que je t’aide à finir ce que tu as commencé ?— P… Pardon ? — Pour être franche avec toi, j’ai très envie de te branler et de te faire jouir… ça te tente ?— Vous vous foutez de moi ?? C’est encore un de vos trucs pour allumer vos élèves ?— Pas du tout ! Quand je vous allume, c’est juste pour m’amuser… Là, j’ai vraiment envie de tenir ton sexe entre mes mains et de te voir jouir… Alors, c’est d’accord ?— Bon, admettons…— Alors demande le moi !— Ok. Hum, Madame Bourgeois, est-ce que vous pouvez me branler ?— Si tu insistes…
Je m’agenouille alors devant lui et commence à caresser son sexe mi mou. Malgré mes attouchements, son sexe a du mal à reprendre de la vigueur.
— Hum… excusez-moi… je suis un peu stressé par… vous…— Détends-toi… Peut-être qu’un petit encouragement pourrait t’aider…
Je baisse alors les deux bretelles de mon haut de pyjama et relève à Antoine mes gros seins. Tout en le masturbant, je lui demande :
— Ils te plaisent ?— Ils sont superbes… Vous êtes superbe.— Merci. Ça te dirait de jouir sur mes seins ?— Avec plaisir !
Cette petite conversation et la vue de mes seins doivent l’avoir détendu car son sexe est à présent bien dur, même si je le trouve encore un peu petit. Je le branle vigoureusement en lui massant les testicules ou en me touchant mes propres seins.
— Tu es encore loin ?— Non… ça vient… Oh continuez ça vient !!!!!
Je sens alors ses testicules remonter un peu et un premier jet de sperme jaillit de son gland et vient s’abattre sur mon torse. Je dirige les autres jets sur mes seins, me recouvrant ainsi la poitrine.
— Ça va mieux ?— Oh putain, c’était génial… vous… êtres très douée !— Merci… Ça te dirait de me baiser ? De me voir nue et de me prendre dans ma chambre ?— Évidemment ! Attendez, c’est pas une blague ?— Je t’assure que non…
Il s’approche alors de moi et tend une main vers mon short.
— Eh là, tout doux ! Pas ce soir, ça fait un moment que tu es là, c’est trop risqué…— Quand alors ?— Demain, frappe à la porte de ma chambre une fois que tout le monde sera endormi. Ne te fais pas voir, et ne parle de ça à personne. Sinon, tu te la mettras derrière l’oreille et, en outre, je ferai de ta vie un enfer, ok ?— Ok.— Bien, maintenant dégage !
Antoine récupère alors son caleçon et file vers sa chambre. De mon côté, je constate mon état compromettant : seins nus dans les douches des garçons, poitrine recouverte de sperme tiède, short trempé de mouille. Je récupère du bout du doigt un peu de sperme et le porte à ma bouche : bof, pas terrible comme gout. Mais pas écœurant non plus, je pourrai facilement m’y habituer. Florian sera content que j’avale son foutre, me dis-je alors. Florian ! Je n’y avais pas pensé un instant pendant que je branlais Antoine. Peu importe, j’ai trop besoin qu’on me baise et Florian n’est pour moi qu’une queue et Antoine, une queue de substitution. Et c’est celle-là qui, demain, me limera la chatte.
Le lendemain soir, j’étais évidemment excitée. A double titre car, d’une part, j’allais me faire baiser et, d’autre part, j’allais dépuceler un jeune homme.
A suivre...
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