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Emilie : directrice et trainée du lycée

Chapitre 8

Avec plusieurs hommes
Suite :
Le lundi suivant, ce fut avec plaisir que je croisai Florian dans les couloirs du lycée, de retour de sa période de stage. Vu le sourire qu’il me lança en me voyant, et sans se rendre compte qu’il y avait des gens autour de lui, il devait également être ravi.
J’avais évidemment prévu de le voir le soir même à l’internat et je m’étais entrainée au niveau de mon petit trou tout le weekend en prévision de cet instant. Trois jours et trois nuits d’abstinence m’avaient rendu sensible à la moindre excitation et d’humeur salope. Toute la journée, j’ai allumé mon entourage en poussant la provoc toujours un peu plus loin, pour mon plus grand plaisir et celui, j’imagine, de ceux que j’allumais. Je profitais également des derniers jours de beaux temps en cette fin septembre pour mettre mes robes légères, après quoi je devrais me promener en pantalons pendant des mois… Quelle horreur !!
Aujourd’hui, ce fut une robe blanche et transparente au moindre contrejour que je portais. Et ce ne fut pas des élèves que j’ai aguiché cette fois-ci mais un surveillant qui se plaignait des horaires à rallonge (c’est lui qui assure les permanences à l’internat avec moi) et qui a eu droit à des jeux de jambes particulièrement osés. Il est reparti calmé et j’avais réussi à garder un surveillant efficace et corvéable sans que ça coûte au lycée le moindre centime ! Imparable, la technique de l’allumage !
Le fameux soir arriva, celui où Florian allait me défoncer le cul… A l’internat, tout se passa calmement même si j’ai remarqué que le surveillant de tout à l’heure, qui d’habitude gère son propre étage, me coulait un peu trop aux fesses, surtout à partir du moment où je m’étais mise en tenue légère. Je suppose que je l’ai un peu trop excité et qu’il profitait de chaque opportunité pour me mater. J’aimais cette idée. J’avais tort…
J’ai finalement réussi à la convaincre de s’occuper, pour la nuit, de sa partie et de me laisser seule à cet étage. Il était 23h00.
A minuit, comme convenu, Florian tape légèrement à ma porte et entre à ma réponse. Il me découvre alors entièrement nue à quatre pattes sur mon lit, le cul tendu dans sa direction, entièrement offert.
— Comme promis… lui dis-je en guise d’accueil. Viens m’enculer ! — Putain, qu’est-ce que vous m’avez manqué…
Il se jette alors sur moi, ou plutôt sur mes fesses et commence à me bouffer la chatte, la tête enfoncée entre mes jambes. Il parait affamé et me donne de grands coups de langues sur un sexe qui mouille et gonfle rapidement. Il écarte fermement mes fesses pour me lécher l’anus et enfonce sa langue dans mon vagin, comme pour boire ma mouille.
Il insiste également sur mon clito, retourné dans cette position, soit en le léchant, soit en le branlant et tire sur la petite peau qui le recouvre pour faire sortir le bouton. Ce petit salop me le lèche et le suce si fort que je suis obligée de le calmer tant le plaisir se mélange à la douleur. Il n’oublie pas également de me doigter la chatte à un, deux puis trois doigts, me dilatant comme je l’ai rarement été et s’enfonce également dans mon cul. Il y rentre entièrement son pouce tout en me broutant le minou. Je dois l’avouer : c’est délicieux !
— Approche-toi, je veux te sucer !
Il se place alors à côté de moi et me tend sa bite sans arrêter de me doigter. De mon côté, je le gobe et le suce avec avidité. Je suis folle d’excitation et essaie de l’enfoncer dans ma gorge, au point de me donner envie de vomir. Je calme le jeu mais le suce tout de même goulûment.
Cette position instable évolue progressivement au fur et à mesure que Florian glisse sous moi pour me lécher et que je me recentre entre ses jambes pour le sucer. Nous finissons rapidement en 69, lui me léchant le clito et moi lui pompant le gland. Il fait alors quelques chose a priori d’anodin mais d’inédit entre nous jusqu’à présent : il appuie sur ma tête d’une main pour accompagner (au début) mon mouvement de fellation puis pour m’imposer un rythme et une « profondeur ».
Cette action de « contrainte » me gêne un peu au début mais je me rends compte que j’apprécie le fait d’être sous contrôle (relatif) et je le laisse me prendre par les cheveux pour me baiser la bouche. Je limite juste l’amplitude pour qu’il ne me l’enfonce pas dans le gosier… La double action de fellation musclée et d’un excellent cunnilingus me fait finalement jouir. Un orgasme délicieux qui déclenche une râle de plaisir dont j’ai eu du mal à contrôler le volume sonore. Lui-même ne jouit pas mais je sens ses couilles remonter et du liquide séminal suinter de son gland. D’ailleurs, il me lève la tête pour arrêter la pipe. Il n’aurait sans doute pas tenu encore longtemps.
Nous nous redressons et je me place de mon propre chef à quatre pattes sur le lit. Il se place derrière moi et me pénètre doucement. C’est divin et je me rends compte que, tout de même, son gros sexe me fait plus d’effet que celui plus modeste d’Antoine.
Tout en me baisant, il me doigte le cul avec son pouce puis avec son majeur, qu’il enfonce entièrement. La sensation est excellente et je me surprends à avoir hâte qu’il m’encule. Cet instant arrive d’ailleurs assez vite.
— Vous êtes prêtes ? me demande-t-il prudemment.— Mmhh, oui… vas-y, mets-là moi dans le cul !
Il se retire alors et présente son gland sur mon anus. D’emblée je sens la différence de taille entre lui et les diamètres du sexe d’Antoine et de mon vibro. Son gland pénètre avec difficulté mon anus et je lui demande un instant pour me détendre. Il cesse la pression, me laisse tranquille quelques secondes.
— Vas-y, essaie à nouveau, lui dis-je, peu sûre…
Mais au lieu de présenter son sexe, il enfonce un doigt bien lubrifié puis, après consultation, un deuxième. Avec ses deux doigts en moi, il va et vient et me dilate l’anus. Il est doux et prudent. Il est efficace.
Enfin il retire ses doigts et les remplace par son sexe qui, sans trop de difficulté, passe la barrière de mon anus. Il s’enfonce aussitôt de quelques centimètres, me faisant pousser un « Oooohhhh » de surprise, la bouche grande ouverte et les yeux écarquillés.
Il progresse à coup d’allers et retours modérés, se retire pour re-lubrifier son sexe et y retourne avec plus de facilité. Finalement, coups de hanches après coups de hanches, il m’encule à fond me pénètre de part en part, sans que cela ne me fasse spécialement mal.
— Tu es… rentré à fond ? — Oui, c’est excellent !!— Mon dieu ce que tu es gros… Vas-y mollo maintenant, hein ?— Ne vous inquiétez-pas…
De ces deux mains il m’attrape les fesses et commence à m’enculer de tout son long. J’ai à ce moment l’impression d’être la pire des salopes : se faire ramoner ainsi le cul par un de ses élèves et aimer ça ! Il m’encule ainsi pendant de longues minutes, à la fois savoureuses et intenses car son diamètre imposant m’oblige à me concentrer. La sensation dans mon cul est en effet assez proche de quelque chose qui n’a rien de sexy ni d’excitant… Mais j’arrive à faire abstraction et prend beaucoup de plaisir durant cette sodomie. Au début en tout cas car la douleur me rappelle bientôt à l’ordre.
— Florian… je… commence à avoir…. mal…— OK, on change un peu…
Il se retire donc de mon cul délicatement et me maintient les fesses écartées quelques instants pour observer mon anus encore bien ouvert.
— Mon dieu que c’est beau…— Quoi ? Mon trou du cul ? — Oui… le voir bien dilaté, comme ça, ça me rend dingue !
Soudain, il me retourne, m’écarte les jambes et me pénètre brutalement en me limant immédiatement comme un fou. Il me défonce la chatte en me léchant et mordillant les seins.
— OH OUI FLORIAN !! C’est bon !!! vas-y !!
Le rythme qu’il m’impose est intense mais jouissif et je sens l’orgasme monter rapidement.
— Continue, je t’en prie !! Ooohh t’arrête surtout pas !! Encore…. Encore !!! AAAAHHHHH
Ses coups de boutoirs m’arrachent un nouvel orgasme, délicieux. Mais lui n’en a pas fini. Mon orgasme n’est pas dissipé qu’il reprend son ramonage intensif.
— Aaahhhh ! D…doucement… c’est très sensible…
Répondant à ma demande d’accorder un répit à ma chatte, il se retire et s’enfonce dans mon cul en un grand et ample mouvement de bassin. Cette pénétration anale surprise m’arrache un petit cri de douleur qui ne le freine absolument pas, au contraire. Ainsi en missionnaire, il m’encule avec fougue, m’enfonçant même deux doigts dans la chatte en même temps.
A sa tête, je sens qu’il est sur la dernière ligne droite et me dit d’ailleurs :
— Ca… ça vient… je peux venir sur vous ? — Oui, jouis sur moi mon salop ! Recouvre-moi !
Je ne croyais pas si bien dire car sitôt sortit de mon cul, des flots de spermes s’abattent sur moi ! Le premier jet est puissant et m’atteint directement au visage. Les autres échouent sur mon cou, mes seins, le plus gros du foutre s’étalant sur mon ventre en créant une mini flaque… Alors que des gouttes s’écoulent encore de sa grosse bite, je m’exclame :
— Bon dieu, quelle réserve !! Comment peux-tu jouir autant ?? Je suis recouverte…— Je me suis réservé pour vous pendant plusieurs jours… Je voulais… vous voir dans cet état !— Recouverte par ton sperme ? Petit vicieux… Tu aimes me voir souillée comme ça ?— J’adore… — Et tu préfères ça ou quand j’avale ton foutre épais ?— Les deux, mon capitaine…
Je récolte alors une petite quantité de sperme sur mes seins avec un doigt et le porte à ma bouche pour l’avaler.
— Encore… me dit-il d’un ton assez ferme.
Obéissante, je récupère encore du foutre sur mon ventre pour l’avaler et répète l’opération plusieurs fois pour satisfaire mon jeune amant. Puis, sentant une désagréable sensation de nausée monter, je me lèche les doigts pour signifier que je n’ai plus faim.
— Vous aimez le gout ?— Je commence à m’y habituer… Mais toi, ne t’y habitue pas trop, je ne compte pas bouffer ton sperme à chaque fois ! — Je m’en doute…
Je le vois alors se diriger vers ma salle bain.— Tu… Tu vas aux toilettes ?— Oui, juste pour pisser… mais je peux aller dans celles de l’internat si vous préférez…— Non, c’est juste que… — Vous voulez regarder ?— Oui, s’il te plaît !
Il se place devant les toilettes, siège relevé et me m’agenouille à côté de lui, le visage à hauteur de son sexe. Le jet de pisse qui sort me fascine immédiatement. De ma main gauche je tiens son sexe et dirige le jet, et de ma main droite… et bien j’essaie de résister à l’envie de toucher. De toucher de l’urine d’un autre. Le jet faibli et se réduit en simples gouttes. Je me rends compte que je branle légèrement Florian et que mon visage n’est maintenant plus qu’à quelques centimètres de son sexe. Puis sans savoir pourquoi, je le prends dans ma bouche et lèche son gland et les dernières petites gouttes qui en sortent. Le gout est salé, un peu dégueu mais c’est l’excitation qui a parler, par la morale. Bizarrement, je n’ai pas envie de recracher et avale cette gorgée de salive légèrement aromatisée.
Je regarde alors Florian qui m’observe avec un air amusé et troublé.
— Excuse-moi… je ne sais pas pourquoi j’ai fait ça… J’ai juste voulu essayer… comme une expérience, tu vois ?— Ya pas de problème… Vous êtes juste plus perverse que je pensais. C’est cool !— Tu ne trouves pas ça choquant ?— Non… et maintenant que vous le demandez, je crois en fait que j’adorerai vous pisser dessus ! — Beurk !! Ça c’est dégelasse ! — C’est vrai… mais un jour, vous verrez, c’est vous que me le demanderez !— Compte la dessus mon grand !
Après son départ et lui avoir donné mes consignes pour ne venir dans ma chambre qu’à ma demande (et éviter de croiser Antoine), je prends une douche réparatrice, tant pour mon aspect extérieur que pour mes orifices échauffés.
Pendant les semaines qui ont suivis, j’ai ainsi jonglé avec mes deux amants sans jamais qu’ils se croisent une fois mais en réussissant toujours à me faire sauter le plus souvent possible. Antoine et Florian me baisaient chacun un soir sur deux, parfois les deux dans la même nuit lorsque j’avais encore « faim » après un premier coup. Je profitais aussi des mercredi après-midi pour me faire tringler en extérieur et des pseudos conneries de l’un ou de l’autre pour les sucer ou me faire lécher dans mon bureau.
Les pratiques se libéralisaient également et, d’occasionnelles, les sodomies devinrent plus régulières. Au début, c’est moi qui freinais leur ardeur à me défoncer le cul en leur faisant comprendre que le plaisir d’une femme vient surtout de choses plus simples : pénétration vaginale, cunnilingus… Des choses pour lesquelles ils s’amélioraient à vue d’œil pour mon plus grand bonheur. Mais avec l’expérience, je découvris aussi que la sodomie me plaisait de plus en plus (autant psychologiquement que physiquement) et je me surpris à leur demander à plusieurs occasions un petit ramonage anal.
Durant mes périodes de règles, je levais le pied et me contentait de les sucer à la sauvette. Mais les coquins ne pouvaient s’en contenter : ces périodes, surtout si elles duraient trop longtemps à leur gout, devenaient l’occasion pour eux de se concentrer sur mon cul et rien d’autre. Ainsi, une fois par mois pendant trois ou quatre jours, je me faisais enculer dans tous les positions sans que mon vagin ne soit sollicité. Je pouvais me faire sodomiser à la sauvette contre un arbre le mercredi après-midi, le pantalon à peine baissé et recommencer le soir même dans les positions les plus acrobatiques. Mon cul était de plus en plus sollicité et de plus en plus élastique. En trois mois de relation soutenue, toute douleur avait disparue et, une fois excitée, mon anus n’offrait pas plus de résistance que ma chatte.
Le pire là-dedans c’est qu’au bout d’un moment, ce ne sont même plus les garçons qui insistaient pour m’enculer tous les jours, c’est moi qui n’arrivais pas à me contenter d’une simple pipe et sous l’effet de l’excitation, leur offrait mon cul. Et ce besoin physique ne se calmait jamais, si bien que les weekends chez moi, où j’aurais pu vouloir reposer mes orifices, je les passais à me caresser ou me goder. Il fallait que je jouisse quotidiennement, que je me fasse pénétrer aussi souvent que possible. J’étais accro ! Accro et perverse car ma lubie pour la pisse ne disparaissait pas et c’est Antoine que j’ai, à son tour, mater en train de se soulager. Lui, par contre, ne s’est pas gêné pour me pisser dans la bouche alors que je voulais simplement lui donner un petit coup de langue. J’ai évidemment recraché mais, là encore, j’étais plus intriguée que choquée. Et je ne lui en ai même pas voulu. Antoine était plus pervers que Florian, je le constatais, mais j’aimais ça.
De l’extérieur, il est clair qu’un observateur avisé aurait vu les regards complices et les allées et venues. Mais je n’avais ressentis aucune suspicion dans mon entourage, les hommes me considérant de toute façon comme quelqu’un d’extraverti et de courtisé au quotidien. Mes amants eux-mêmes ne soupçonnaient pas ma double relation et ne s’étaient encore pas rendu compte de ma nymphomanie. Car on peut le dire, après avoir regardé les symptômes médicaux sur des bouquins et internet, c’était clair que j’étais nymphomane !
Arrivèrent les vacances scolaires, celles de fin d’année, qui me privèrent de mes chers amants en même temps que mes tenues légères. J’en ai profité pour retourner dans ma famille et la compagnie de personnes que je n’avais pas vues depuis un moment me fit du bien. Durant plusieurs jours je n’ai même pas pensé au sexe. Mais la deuxième semaine fut plus difficile et je dus me masturber à de nombreuses reprises pour me calmer. Ma campagne natale et les repas chez les tantes et grands-parents n’offrant que peu d’occasions de rencontres, je suis restée fidèle à mes amants. Mais leur présence hantait mes rêves et mes fantasmes. Je les imaginais l’un ou l’autre en train de me baiser. Je fantasmais aussi sur le fait qu’ils prennent à deux. Ensemble.
L’idée que deux hommes me baisent en même temps m’excitait terriblement et cela me surprenait car c’était quelque chose de très hard, réservé aux films pornos ou aux libertines. Seule une salope ou une professionnelle pouvait accepter cela ! Alors pourquoi cela m’excitait tant ?? Peut-être parce que j’étais moi-même une grosse salope… Mais comment faire avec Florian et Antoine alors qu’ils croient être les « seuls » à me voir ? Y-a-t-il un risque de les perdre tous les deux s’ils s’estiment trompés ?
Ces questions me tourmentaient encore le jour de la rentrée quand je les vis, indépendamment, et que j’ai mouillé mon string à la simple idée qu’ils me baisent, non pas chacun de leur côté, mais ensemble.
A suivre...
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