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Emilie : directrice et trainée du lycée

Chapitre 10

Avec plusieurs hommes
Rappel : alors que je viens de me faire baiser en double par deux élèves et que je suis encore nue, recouverte de sperme, le surveillant fait irruption dans ma chambre...
Suite :
— Quel spectacle, madame Bourgeois !! Bravo !
Je reste d’abord muette, pétrifiée puis arrive enfin à réagir :
— Qu’est ce vous foutez-là ?? dis-je en me couvrant comme je pouvais avec mes mains. Sortez…— Ta gueule !! cria-t-il fermement. Tu vas bien m’écouter, maintenant. Tu es une salope qui ne se contente pas juste d’allumer son entourage, mais qui se tape aussi des élèves. Tu pourrais te les taper séparément, mais apparemment, tu préfères quand ils s’y mettent à deux ! Je ne pense pas avoir vu pareille trainée dans ma vie… Alors maintenant voilà ce qu’on va faire : ces deux gamins là, tu ne les revois plus. C’est clair ?— D’accord, dis-je, vaincue, la tête baissée— Bien. Ensuite, je vais te baiser à volonté, quand je le voudrai et où je le voudrai ! C’est clair ?— Très clair…— Et évidemment, tu n’as pas intérêt à en causer, sinon ta carrière en finie. Ok ?— Ok…
Il s’approche alors de moi et regarde le sperme qui macule encore ma poitrine, d’un air dégouté.
— Ils ont jouis dans ta bouche ?— Non…— Bien, alors suce-moi !
Laurent baisse alors son pantalon de pyjama (il est 1h du matin…) et dévoile un sexe proprement superbe. Aussi long que celui de Florian mais plus large, bien droit, virile. Lui-même est très beau et j’ai souvent songé à ma le faire… Du coup, là, je n’avais plus le choix.
Je venais de jouir deux fois et de me faire labourer pendant une heure. Mais ce sexe m’excita aussitôt et c’est donc sans problème que je m’en saisis pour commencer à le sucer. La pipe (et la bite) sont savoureuses et je fais durer le plaisir longtemps. Au début il me tenait la tête pour forcer le mouvement et m’imposer son autorité mais, à l’évidence, je suis affamée et c’est moi qui impose la cadence et qui enfonce son pieu profondément dans mon gosier.

Après l’avoir pomper longuement, je lui dis :
— Ils n’ont pas jouis dans mon cul, non plus…— Putain… t’es vraiment la reine des salopes… Mon dieu, on va bien s’amuser ensemble !
Son chantage envers moi n’a duré deux minutes. Car j’étais maintenant totalement consentante et heureuse d’avoir trouvé un mâle plus âgé, plus expérimenté et si bien membré. Avec lui, je serai comblée…
Il me place donc à quatre pattes, et mouille un de ses doigts pour me préparer les fesses.
— Inutile, lui dis-je, ils ont… hum… bien fait le passage…— J’y crois pas, putain…
Il s’enfonce d’un coup en moi et me dilate le cul comme rarement jusqu’à présent. Durant tout le reste de la nuit, il m’a pilonné, baisé, enculé comme un dieu. Nous avons pris une douche après que j’eu avalé son sperme une première fois, et, une fois débarrassée des traces de foutre des jeunes, il m’a longuement léché et doigté avant de me limer à nouveau pendant un long et délicieux moment. Il était certes dominateur et énergique, mais jamais violent. Il me baisait comme la chienne que j’étais mais il ne me faisait pas mal. C’était parfait !
A cinq heures du matin, nous étions épuisés et vidés (même si je m’étais fait remplir pas mal cette nuit…).
Et à son tour et à la place de Florian et Antoine, c’est lui qui, jour et nuit, me baisait. Il me prenait évidemment le soir, dans ma chambre, lorsque j’étais à l’internat, mais aussi dans mon bureau, dans les toilettes en fin de journée lorsque le reste du personnel était parti et même de temps en temps dans les couloirs et salles de classes désertes, la nuit, car j’avais évidemment toutes les clés et que cela me titillais de me faire ramoner le fion au milieu des salles de cours. Je prenais un pied d’enfer mais, rapidement, un manque apparut en moi. J’avais pris gout à la double et à des quantités de sperme et de bites plus importantes…
J’essayais de combler ce manque en lui demandant de me doigter le cul lorsqu’il me baisait (et inversement) mais ce n’étais pas pareil. Un jour, alors qu’il enfonçait à ma demande deux doigts le plus loin possible dans mon cul tout en me prenant en levrette, je lui demande en gémissant :
— Je veux… une autre bite…— Ça te manque d’avoir deux bites en toi ? Et bien il faudra t’y faire car hors de question que je te partage !— Oohhh je t’en prie… j’ai envie de me faire prendre de partout… Mmhh je veux plus de bites !!— Tu es vraiment une tarée de nympho !! Bon… Si j’invitais les deux élèves que tu te tapais, ça te ferait plaisir ?— Oh oui !!! Mmhh j’ai hâte qu’ils me prennent en double à nouveau ! Aahh deux bites rien que pour moi…— Trois… Ne m’oublie pas ! Je compte bien participer à la curée et te démonter comme tu le mérite, salope !— Trois hommes rien que pour moi ?? Oohhh putain, j’ai hâte ! Occupe-toi en vite, je les veux cette semaine !— Je leur parlerai demain…— Mmhh parfait… et en attendant baise-moi plus fort ! Je veux jouir encore…
Cette fin de nuit a été torride et il a défoncé le cul comme rarement. Lui aussi était finalement très excité par l’idée de ce plan à quatre. Par l’idée de me voir assaillie de bites.Le lendemain, il m’annonça donc qu’il avait vu les garçons et que c’était ok pour jeudi soir, à 1h du matin, qu’il s’occupait de tout. J’étais comme une gamine à qui on venait de promettre un poney ! Sauf que là, j’étais une salope à qui on venait de promettre un gangbang. Gangbang… un mot que ne voulais rien dire pour moi il y a un an et qui maintenant devenait une obsession ! Un seul amant en même temps ne me suffisait plus, je devais à présent être « sollicitée » de tous les côtés pour être comblée.
Le jeudi soit arriva après une journée où je n’ai pensé qu’à une seule chose : la folle partie de sexe qui m’attendait. Autant dire que ma culotte était trempée et que j’ai dû me masturber une paire de fois pour me calmer.
Il était une heure pille quand Laurent entra dans ma chambre sans frapper avec Antoine et Florian. J’étais folle de joie et d’excitation mais je gardais mon calme. Je ne voulais pas paraître hystérique, je voulais rester leur directrice, même dans cette situation.
— Bonsoir les garçons, ça faisait un moment…— Bonsoir Madame Bourgeois, oui ça faisait longtemps… dit, avec le sourire, Florian.— Vous nous avez manqué… ajouta Antoine.— Mais ce soir, vous allez vous rattraper, n’est-ce pas ?— Et comment !!— Laurent, merci pour ce beau cadeau, dis-je au surveillant, cela me fait énormément plaisir.— De rien…
Je me lève alors pour l’embrasser langoureusement. Puis je me dirige vers les garçons et les embrasse également. Cela donne le top départ de l’orgie. Alors que je les embrasse les uns après les autres, ils me caressent délicatement le dos, les fesses, les seins. Toutes ces mains qui se promènent sur mon corps me rendent folle. Je ne porte qu’un short léger et un T-shirt. Les mains s’aventurent le long de mes jambes, sous le tissu de mon haut pour me ploter, dans mon short pour me caresser le sexe. Les garçons m’entourent et me sollicitent de tous les côtés. La main de Laurent insiste sur mon sexe déjà trempé, tournoie sur mon clito puis s’enfonce en moi.
— Elle est déjà trempée, les jeunes, dit Laurent.— Ca ne m’étonne pas… commente Florian, qui fût le premier de mes amants, celui par qui tout commença.
Ses doigts passent également dans mon short mais en prenant le chemin de mes fesses. Un doigt s’enfonce dans ma raie, titille mon anus, progresse encore pour aller me doigter le sexe et revient en arrière pour s’enfoncer dans mon petit trou. Cela fait moins de deux minutes que les garçons sont dans ma chambre et j’ai déjà un doigt dans la chatte et un autre dans le cul…
Antoine, assez sage jusque-là, m’embrasse tendrement et m’enlève le haut pour se concentrer sur mes seins. Il les masse et pince légèrement les tétons déjà durs. Puis il délaisse ma bouche pour les lécher avidement.
— Oohhh que c’est bon… Continuez mes amours, dis-je en passant ma main dans les cheveux de tous les hommes uniquement là pour moi.
Alors que Laurent et Florian sont toujours occupés à me doigter tout en m’embrassant différentes partie du corps, Antoine baisse mon short et joue avec mon clito. Il s’amuse à rentrer un doigt de temps en temps dans mon sexe en même temps que Laurent me donnant l’agréable sensation de n’être qu’un jouet, d’être malléable à merci. J’étais folle d’excitation et j’en voulais plus.
— Sortez vos engins, messieurs ! Je veux voir vos trois belles queues en face de moi…
Ils cessent alors de me caresser et enlèvent leurs habits pour exposer leurs bites. Evidemment, Antoine paraît un peu petit entre Florian et Laurent mais il ne s’en préoccupe pas. Il bande bien dur comme les autres et c’est sur lui je que jette mon dévolu et ma bouche en premier. Je me mets à genoux devant mes mâles, commence à sucer la queue d’Antoine et branle les deux autres. J’avoue ne pas être, alors, expérimentée en branlette multiple si bien que mes mains servent surtout à les maintenir en érection pendant que je me concentre sur la queue que je suce.
Je suis affamée et je change très vite de cible pour sucer Florian (mes élèves m’ont manqué…) puis Laurent, et ainsi de suite pendant de longues et savoureuses minutes. Je parviens à prendre le sexe d’Antoine entièrement dans mon gosier, me retrouvant le nez dans ses poils pubiens, la langue sous ses couilles. Cette gorge profonde impressionne tout le monde et chacun essaie d’en profiter mais je peine à renouveler l’exploit avec des sexes de plus gros calibre. J’avale tout de même leur gros chibre aux 2/3, allant à la limite de la nausée.
Je les suce, les pompe, les lèche, les mord comme une furie. Florian passe derrière mais écarte mes fesses et s’exclame :
— Putain ! Elle ruisselle de mouille ! Sa chatte fuit littéralement…
Il est vrai que dans mon état et dans cette position agenouillée et jambes écartées, ma chatte dégoulinait de mouille et mes lèvres remuaient au rythme de la fellation. Immédiatement, il place trois doigts sur mon clito et se met à me masturber à une vitesse folle qui me fait gémir comme une chienne, la bouche pleine. Il enfonce ces mêmes doigts dans ma chatte, me branle puis ressort pour me stimuler à nouveau le clito. Le plaisir est fabuleux d’autant que je ne m’occupe plus de rien, Laurent et Antoine s’échangeant ma bouche et ma main à volonté, s’en servant comme ils le veulent.
Florian continue de me doigter la chatte et tente même d’enfoncer son petit doigt en plus, ce qui en fait quatre. Il y arrive sans trop de mal et me dilate la chatte plus qu’elle ne la jamais été. Il sent que je suis à deux doigts de jouir et, alors qu’il me stimule le point G, il passe son autre main en dessous et fait tournoyer mon clito. Il me suffit de 30 secondes de ce traitement pour jouir.
Alors que je suis en plein orgasme, je retire la main de Florian de mon sexe et, à tâtons, me saisit de sa bite. Je la tire à moi pour l’enfile dans ma chatte encore secouée par les spasmes.
— Reste bien au fond et ne bouge plus… Voilà… Mon dieu que c’est bon….
A ma demande, il reste bien enfoncé durant mon orgasme. Les autres me laissent également tranquille durant cet instant, me permettant d’en profiter à fond. Puis l’orgasme s’estompe, mes gémissements aussi et Florian commence immédiatement à me baiser.
Ma chatte est à la fois trempée et distendue : il rentre en moi comme dans du beurre et me lime puissamment sans que cela ne me fasse mal. Au contraire, que du plaisir et des gémissements qui reprennent, tout comme les fellations, les garçons se servant de leur sexe pour « me faire taire » car même si j’essaie d’être discrète, j’ai du mal à retenir mes cris tant je prends mon pied.
A nouveau, c’est le chassé-croisé : celui qui me baise laisse sa place à celui que je suçais qui lui-même laisse sa place à celui qui n’avait accès à aucun autre orifice mais qui jouait avec mes seins ou se branlait avec ma main. Les sexes qui arrivent à la chaine devant ma bouche sont enduis de ma mouille mais je n’y prête aucune attention et les lèche en savourant le petit gout acidulé de ma cyprine.
Ce petit jeu ne dure cependant pas très longtemps car, clairement, celui qui n’est pas en moi se fait un peu chier et, moi-même, je trouve qu’il n’y a pas assez de bite en moi ! D’autant que cela fait cinq minutes que ceux qui me baisent me doigtent également le cul, me donnant réellement envie d’une bonne double, raison pour laquelle, je vous le rappelle, j’avais demandé ce plan à 4 !
Cela dit, hors de question de me prendre deux chibres en même temps sans que mon anus n’ai été entrainé un peu. Antoine, le plus finement monté des trois, est en train de me baiser quand je lui demande :
— Tu comptes me doigter le fion encore longtemps comme ça ou tu vas te décider à m’enculer ?— Demandé si poliment…
Il sort alors de ma chatte et s’introduit sans trop de peine dans mon petit trou. Il y va d’abord doucement puis lime joyeusement mon cul.
— La, ça commence à devenir du sérieux, commente Laurent en me baisant la bouche, apparemment très excité.
D’ailleurs, il cède à l’impatience et retire Antoine de mon cul avec un « chacun son tour, gamin » ferme et n’appelant pas à discuter.
Il le remplace dans mon cul et je sens immédiatement la différence de diamètre et de longueur. D’autant qu’il me défonce comme un fou, en tapant de ses hanches contre mes fesses à chaque aller-retour.
— Ho putain… Doucement quand même… Si tu veux en profitez longtemps, je te conseil de ne pas me déchirer le cul tout de suite ! — Pardon… l’excitation… répond-il en ralentissant— Laaaa, c’est bien mieux comme ça. Mmmhhh !
Antoine, viré de son trou, se retrouve devant moi, la bite sortant fraichement de mon colon juste devant mes lèvres. Les autre fois que cette situation s’était présentée, j’avais systématiquement exigé qu’ils aillent se passer un coup de gant de toilette. Mais là, ils allaient tourner sans cesse, rentrant et sortant de mon cul. J’étais excitée et je n’avais absolument pas envie qu’ils aillent dans la salle de bain à chaque fois. Je voulais qu’ils se succèdent dans mon cul à la chaine, sans interruption ! Je me résous donc à m’en occuper directement, le branlant d’abord pour le nettoyer un peu puis le prenant en bouche en salivant beaucoup.
La première impression fut assez dégelasse et je crache une grosse quantité de salive au sol (le parquet de ma chambre est déjà jonché de mouille et de bave et ça risque encore d’empirer…). J’y retourne et le suce cette fois presque normalement. Puis, à son tour, Florian remplace Laurent dans mon cul et ce dernier remplace Antoine dans ma bouche. Et à nouveau, je le nettoie un peu, salive, crache et suce cette queue souillée.
Dans mon dos, Florian s’avère joueur. Sans doute consommateur de porno, il s’amuse avec mon fion en écartant mes fesses pour le maintenir grand ouvert, y enfonce deux puis trois doigts, les fait tourner à l’intérieur. Il me lèche également l’anus et enfonce même sa langue en moi, ne tenant pas compte du passage qu’il y a déjà eu. Puis il me pénètre à nouveau.
Depuis tout ce temps, je suis à quatre pattes sur le parquet et, malgré le plaisir, j’ai franchement mal aux genoux, et un peu au cul aussi… Je demande donc à ce que l’on change de position et qu’on aille sur mon lit.
Laurent m’y précède et s’allonge sur le dos. Je grimpe sur lui et enfonce son sexe dans ma chatte un peu délaissée ces dernières minutes. Cette position était parfaite pour, enfin, passer aux choses sérieuses. D’ailleurs, il écarte mes fesses et déclare :
— Allez, les gars, quelqu’un pour lui défoncer le cul ?— Je m’en occupe, déclare alors Florian.
Mais l’idée de me prendre en double deux queues aussi grosses me fait peur et je décide de l’interrompre :
— Attends Florian ! Vous deux ensemble… ce sera de trop pour commencer… Antoine, tu veux bien ? — Pourquoi ? Ça passera mieux avec une petite bite, c’est ça ?— Non, ce n’est pas ça… Enfin si mais… elle n’est pas petite, tu sais… Elle est juste moins… Enfin tu vois ?— Je sais, je vous embête juste un peu ! Ne pas avoir une batte de baseball entre les jambes a au moins cet avantage : on passe avant les autres !!
En disant ces mots, il était monté sur le lit, avait craché dans sa main et lubrifiait son sexe. Alors que Laurent cesse un instant de me baiser, il s’introduit dans mon cul, me faisant pousser un long râle de pur plaisir. Mon dieu que j’aimais cela et que ça m’avait manqué !!
— Et bin ma salope, s’exclame Laurent, c’est vrai que tu aimes avoir deux bites en toi !!— C’est… absolument… divin ! Oh oui comme ça… continuez comme ça !!
Antoine et Laurent avaient, en effet, trouvés un rythme synchronisé qui faisait que leurs sexes rentraient et sortaient en même temps de moi. Énorme !!
Florian aussi avait rejoint la partie et, face à moi, me baisait la bouche. Enfin, trois queues me ramonaient en même temps. Enfin j’étais remplie, satisfaite.
Cette première double dura longtemps, les garçons profitant à fond de leur position respective. Puis, c’est normal, Florian demanda sa part. Antoine se retira et alors, le plaisir se décupla quand le gros sexe de Florian vint m’écarter le cul alors que mon vagin était déjà bien rempli. Je sentais mes orifices élargis au maximum et mes conduits distendus de l’intérieur. C’était fabuleux.
Durant ces minutes de paradis, j’étais un jouet entre leur main. Ils me ramonaient comme ces barbares, Antoine m’enfonçait sa queue jusqu’à la garde dans le gosier et je me contentais de jouir et de pleurer de plaisir. Car, en effet, cette double me procura un second et puissant orgasme. Mon corps était tellement secoué de plaisir que les garçons se retirent de mes trous et me laissèrent me calmer en m’embrassant tendrement.
Ce deuxième orgasme et l’intensité de la baise m’avait épuisé et mes conduits commençaient à être douloureux. Je demande donc à faire une pause, les garçons acceptant volontiers, étant eux même plus ou moi à deux doigts de jouir, ce qui aurait signifié la fin de la partie. Or, ils comptaient bien profiter de moi encore longtemps. Cette pause fut donc la bienvenue.
A suivre...
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