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Emilie : directrice et trainée du lycée

Chapitre 13

Avec plusieurs hommes
Suite :
Ma main se pose alors doucement sur ce sexe impressionnant, plus gros que celui de Laurent (ça ne va pas lui plaire…). Je le caresse, le branle un petit peu, palpe ses couilles. Inutile de vous dire que je mouillais comme une folle. Tout en le branlant, une envie me vient et je lui demande :
— Tu as déjà joué à la poupée ?— Hein ? Non… ou alors il y a longtemps… — Ça te dirait d’y jouer à nouveau avec moi ?— Je ne comprends pas…— Et bien tu peux me regarder, me positionner, me toucher, me déshabiller comme tu veux… Comme une poupée. Tu peux prendre ton temps ou m’arracher mes vêtements… fais ce qui te plais. Mais par contre, une fois nue, c’est moi qui reprends le contrôle. Alors profite bien de ce pouvoir tant que tu l’as !— Ouaa, merci beaucoup…— Et aussi : interdiction de te servir de ta bite pendant le jeu. On verra après…— Ça va être dur… mais compris ! Commencez par remettre votre chemise et vous mettre à votre bureau.
Ce petit coquin voulait jouer avec sa salope de directrice. Cela promettait d’être amusant !
J’obéis en silence et remet ma chemise. Je la reboutonne en laissant tout de même une belle échancrure. Puis je me mets à mon bureau et fait mine de travailler, supposant que c’est ce qu’il veut. Il tourne alors autour de moi, mate mon décolleté par-dessus mon épaule, enlève un bouton supplémentaire pour l’augmenter encore.
— Si vous saviez le nombre de fois où j’ai rêvé de ce moment lors de vos rendez-vous dans votre bureau… dit-il autant à moi qu’à lui-même, sans doute pour se rendre compte de la chance qu’il avait.
Dans mon dos, il masse mes seins au travers de la chemise et du soutien-gorge. Il fait encore sauter un bouton. Il passe ses mains sous ma chemise et caresse ma poitrine. Étant assise sur un simple tabouret, je sens très bien son sexe bandé dans mon dos. Il appuie avec pour bien me faire sentir sa virilité et il me faut la plus grande maîtrise de moi-même pour ne pas craquer et lui prendre la bite à pleines mains.
Il me fait pivoter sur mon tabouret et me demande de croiser et décroiser les jambes le plus haut possible. Puis il remonte ma jupe pour révéler mes bas et me demande de renouveler l’opération. Il regarde alors mon petit string apparaître entre mes belles jambes avec un air admiratif. Il me fait ensuite me lever et soulève ma jupe totalement. Puis il me retourne, me fait me pencher sur le bureau et écarte mes fesses pour contempler mon sexe et mon anus à peine masquer par un string déjà moite.
Je sens alors un doigt se poser sur le tissu, au niveau de mon sexe et me caresser. Il monte et il descend doucement en instant parfois sur le clito. Il appuie et enfonce un peu mon string dans ma chatte trempée. Tout en me caressant, son doigt glisse sous le string et s’enfonce délicatement dans ma chatte sans que celle-ci fût découverte. Il me doigte en me faisant gémir puis ressort et continue de me stimuler au travers du tissu. Il est évident qu’il prend énormément de plaisir à jouer avec moi ainsi.
Ses mains parcourent également mes cuisses de haut en bas, coté extérieur comme intérieur. Il embrasse la peau de mes cuisses au-dessus des bas, ainsi que les fesses. Enfin sa bouche se porte sur mon sexe, mais toujours par l’intermédiaire du string. Il renifle mon inutilité et, enfin, en lâchant dans un soupir un « Ooohhh putain » qui en dit long, il écarte le tissu et découvre ma chatte. Une chatte trempée, dégoulinante de mouille qui frémit au moindre contact. En regardant sous moi, entre mes jambes, j’aperçois réellement un fil de mouille qui s’allonge lentement vers le sol. Il se décroche de ma chatte puis un autre se reforme. Je suis tellement excitée que je fuis !
De bout de sa langue, Kevin titille mon clitoris, de bas en haut, de gauche à droite. Il enfonce également un doigt dans ma chatte fait quelques allers-retours en me provocant des décharges de plaisirs. Par contre, il ne touche pas à mon anus, craignant peut-être que cet acte moins « commun » ne rompre le charme. Puis il retire son doigt et replace le string sur mon sexe.
— Cambrez-vous un peu plus encore, s’il vous plaît…
Je m’exécute et tendant le plus possible les fesses vers lui et sens alors qu’il fait doucement glisser mon string vers le bas. La pièce de tissu qui couvre mon entrejambe est la dernière à glisser car elle colle à mon sexe trempé. En se détachant, un long fil de cyprine se créé à nouveau… C’est fou comme de simples attouchements peuvent m’exciter d’avantage que me faire baiser ! Alors que mon string est sur mes chevilles, il soulève une jambe, retire un coté du string et repose ma jambe en position écartée. Même opération avec l’autre jambe, si bien que je me retrouve cul tendu, jambes largement ouvertes.
Alors que je pensais qu’il allait enfreindre mes instructions et me baiser comme une chienne, il me redresse et rebaisse ma jupe sur mes cuisses. Je ne comprends d’abord pas, puis :
— Mettez-vous à votre bureau et travaillez.— Tu veux que je travaille vraiment ?— Oui… Continuez ce que vous faisiez tout à l’heure. Je veux que vous pensiez à moi en revoyant ces documents.
En l’occurrence, je remplissais des formulaires d’inscription à des formations pour plusieurs de mes profs. Je me mets donc au travail alors qu’il repasse devant le bureau. Il s’accroupit et passe sous la table en avançant à quatre pattes vers moi. Je le sens alors écarter mes jambes le plus possible et incliner un peu mon bassin vers lui. Puis, sans que je le voie, je sens une langue jouer avec son sexe, des doigts rentrer à l’intérieur. Mais cette fois c’est du sérieux, il me doigte rapidement, avec un deux puis trois doigts tant je suis large. Il pompe, suce, mordille mon clito pour mon plus grand plaisir et j’ai énormément de mal à me concentrer sur mon travail. Alors que ma main droite coche des cases, ma main gauche va caresser ses cheveux et l’inciter à continuer encore son excellent cuni.
L’orgasme monte en moi, à une rapidité impressionnante. Je serre sa tête contre ma chatte et jouis alors intensément en l’inondant probablement de mouille. Il sort alors du bureau, me souris en me voyant encore sous l’effet de la jouissance. Il me fait mettre debout et cette fois-ci, décide de me déshabiller. Il enlève ma chemise et baisse ma jupe. Il dégrafe mon soutien-gorge et admire un instant mes seins. Il les lèche, les palpe, mordille mes tétons. Il s’apprête à enlever le dernier bas mais s’arrête soudain.
— J’oubliais… tant que j’ai encore le contrôle de ma poupée.
Il me retourne, me penche en avant et m’écarte grand les fesses. Il me « rassure » alors sur le genre masculin en me léchant l’anus comme si c’était une glace et en entrant, certes timidement mais tout de même, moitié de son majeur dedans. Enfin, il enlève complètement mes bas et me rend le contrôle.
— Merci Kévin pour ce moment… C’était absolument divin. A moi de jouer avec toi maintenant.— Allez-y !— Allonges-toi sur la table.
Il se retrouve sur le dos, le sexe fièrement dressé en l’air. Je me place à côté de lui et commence à le masturber d’une main et lui palper les couilles de l’autre. Il semble beaucoup apprécier ces caresses d’autant que je donne un petit coup de langue de temps à autre. Puis je craque, sans le prévenir, lui prend le sexe à pleine bouche. Il pousse un râle de surprise et de plaisir et se laisse aller à ma fellation. Je le mange tant je suis affamée et tant son sexe est appétissant. Je gobe également ses grosses couilles, joue avec dans ma bouche. J’adore la taille de ses engins et imagine le foutre que je vais me prendre dans la chatte. Ma chatte… Et MERDE !! J’avais complètement oublié le fait que je tenais absolument à avoir des rapports protégés avec mes nouveaux amants, au moins au début. Et là je me retrouvais en train d’en sucer un sans même lui avoir demandé s’il avait une capote.
— Kevin ?— Oui ?— Tu as un moyen de protection ?— Vous voulez dire une capote ? Non… désolé. C’est important ?— Tu plaisantes ? Évidemment que c’est important ! On ne se connait pas…— Qu’est qu’on fait alors ?— Je vais m’occuper de toi… et la prochaine fois, viens équipé… ou avec un test négatif !— La prochaine fois ??— Tu ne crois quand même pas que je vais me contenter de ça ? J’ai hâte que tu me baise avec sa belle et grosse queue ! — Ouaahh…J’ai hâte également ! Je… Ouh là…je suis plus très loin, là…
En effet, pendant notre petite discussion, je continuais le branler énergiquement. Si bien qu’avec toute l’excitation de son petit jeu, il commençait à suinter !
— Attends, j’ai une idée… lui dis-je, vicieusement.
Je monte alors sur la table, le chevauche et prend son sexe à deux main pour le placé bien contre ma chatte. Puis je commence à monter et descendre le long du gourdin, l’enduisant de mouille au passage, pour le branler. Le frottement m’est également très agréable et c’est une sorte de masturbation mutuelle qui s’engage alors. J’alterne entre mouvements rapides et mouvements plus lents, plus amples, durant lesquelles son gland vient presque rentrer en moi. D’ailleurs, je sens son bassin s’incliner et ses mains me retenir pour me pénétrer mais d’un mouvement habile des hanches et en disant « non, non, non… » avec un sourire joueur, je m’esquive et redescend le long de sa hampe.
Ce petit jeu de reproduit à de nombreuses reprises et je vois que ne pas pouvoir me pénétrer le torture un peu plus à chaque fois. Enfin, je décide de l’achever en accélérant mon jeu de hanche un bon coup en plaçant une de ses mains sur un sein et l’autre sur mes fesses.
— Enfonce ton doigt !
Il dirige alors son doigt vers ma chatte mais je l’arrête :
— Non pas là ! Mets-le dans mon cul !
Il m’enfonce alors son doigt dans le cul et, tout en palpant mon seins gauche, monte tranquillement jusqu’à l’orgasme. Moi-même je sens que s’il me laisse un peu de temps je peux jouir à nouveau. Mais il était trop près de craquer et le doigt dans mon cul a dû l’achever. Sans prévenir, un premier jet s’échappe soudain de son sexe et vient s’abattre sur son torse. Les autres viennent maculer ses abdos. C’est finalement une mare de foutre épais qui se créé sous mes yeux impressionnés.
— Oh mon dieu… Quelle réserve tu as !!— Et encore là, ce n’est pas parti très loin, dit-il encore essoufflé par son orgasme. — Heureusement pour toi ! — Oui, mais je suis quand même dans un bel état…— Ne t’occupe pas de ça…
Toujours à cheval sur lui, je recule un peu et me penche pour aller boire à la mare, tel un animal. Je donne d’abord de simples coups de langues dedans pour tester le gout, puis, voyant qu’il me convient tout à fait, aspire une première grosse gorgée de sperme. Je suis très excitée par cet acte inédit pour moi (j’ai déjà bu du sperme mais seulement à la source, jamais en le léchant au sol ou sur un homme) et par les frottements qui l’on fait jouir mais qui m’ont laissé sur ma faim. En trance, j’aspire une nouvelle gorgée de semence et renouvelle l’opération jusqu’à épuisement de la mare. Puis je remonte la première trainée de sperme allant presque jusqu’à son torse en la léchant progressivement. Il ne reste plus la moindre trace de sperme sur lui quand je me redresse, rassasiée.
— Tu as déjà vu une femme se masturber ?— Oui, bien sûr !— Je veux dire en vrai, juste devant toi…— Ah… Non.— Alors regarde et profite.
Je voulais absolument me finir. Pourquoi ne pas le faire devant lui ? Je me mets alors accroupie, une jambe de chaque côté de ses hanches et écarte à fond mes cuisses. Ma chatte luisante lui fait face, je commence aussitôt à me faire tournoyer le clito. Je ne mégote pas et alterne entre doigtage profond et masturbation rapide. Il ne tente même pas de me toucher, me laisse me faire du bien toute seule et attends patiemment que je jouisse. Cela ne tarde d’ailleurs pas. Un orgasme délicieux vient me secouer les tripes et fait s’écouler de beaux fils de mouilles qui viennent imprégner les poils pubiens de Kévin.
Satisfaite, je descends de la table et commence à me rhabiller. Il en fait de même en me remerciant.
— Vous avez été extraordinaire, Madame.— Tu as été très bon également. J’ai hâte de te revoir pour, cette fois-ci, que tu me baise en bon et due forme.— Ce sera avec plaisir ! Quand ?— Pour moi, le plus tôt possible. Mais il faut que tu voies ça avec Laurent. C’est lui qui assurera la discrétion de nos rendez-vous. Je peux compter sur toi pour garder le silence ?— Évidemment !
Après son départ et l’extinction des feux, Laurent vint me voir pour me demander comment ça c’était passé.
— Très bien, lui dis-je, enjouée. Il est très beau et bien membré ! — Il baise bien ?— Je ne sais pas, nous n’avions pas de capote et je tiens à me protéger quand je suis avec des inconnus. — Je comprends. — Mais nous allons nous revoir, n’est-ce pas ? Tu vas nous arranger ça.— Pas de problème, maintenant qu’il est dans le coup, je trouverai une excuse. Du coup, vous n’avez pas baisé ?— Non…
Il me plaque alors contre le mur de ma chambre, me retourne, soulève ma jupe, baisse mon string et m’enfile sa queue dans la chatte après avoir craché dessus pour se lubrifier un peu. Où il veut, quand il veut, tel était les termes de notre relation ! Ce soir la relation c’est résumée à une brutales séries d’allers-retours dans mon vagin, au terme desquels il a jouit et est repartit aussitôt. Là, j’ai vraiment l’impression d’avoir servi de vide-couille. Mais ça m’allait…
A suivre...
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