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Emilie : directrice et trainée du lycée

Chapitre 14

Avec plusieurs hommes
Suite :
Le lendemain, Laurent m’appris que Kevin viendrait me voir à la rentrée des vacances d’hiver, dans quinze jours et que d’ici là, Antoine et Florian voulait me voir (me baiser en fait), mais pas dans ma chambre, dans une salle de cours. Ayant les clés de tous les bâtiments, aucun problème, il suffira juste de faire sortir les garçons de l’internet pendant une heure ou deux. J’allais donc me faire prendre en gangbang dans une salle de classe. Cool !
Nous étions donc jeudi soir, après l’extinction des feux. L’internat étant un peu plus vide en cette veille de vacances, Laurent avait demandé à sa collègue Lia, la surveillante de l’internat des filles, de le remplacer pour ce soir. Moi, je n’avais pas de permanence ce soir-là et donc pas excuse à donner.
J’avais choisis une salle de classe discrète, donnant sur une cour intérieure pour que personne ne remarque la lumière ou de suspects mouvements en pleine nuit. J’étais assise au bureau normalement réservé au professeur quand, enfin, Laurent, Antoine et Florian firent leur apparition dans la salle.
— Désolé pour l’attente, s’excusa Florian, mais les gars de ma chambre ont mis du temps à s’endormir. — Je ne veux pas de vos excuses ! Installez-vous et prenez des notes, le cours va commencer !
Ils parurent d’abord surpris mais comprirent vite que je leur faisais un petit scénario prof/élèves pour pimenter le début de séance.
Les trois garçons s’installent et font mine d’être attentifs.
— Bien, même si ce n’est pas prévu dans le programme de biologie cette année, nous allons faire un cours d’anatomie humaine comparée. Je commencerai par l’anatomie masculine, et surtout de comment elle diffère de l’anatomie féminine.
Je sors alors de mon sac un gros gode que j’avais acheté pour l’occasion. Une belle bite, bien imitée en latex, de taille impressionnante. Je décris alors l’anatomie du sexe masculin, les différentes parties, etc…
— Evidemment, un sexe masculin n’est pas toujours dans cet état. Cela s’appelle l’érection et faut être excité pour cela. Une volontaire pour une démonstration ?
Les trois élèves lèvent alors la main.
— Ok, je vais montrer comment ça marche à chacun… Levez-vous et mettez-vous côte à côte.
Ils se placent devant moi, l’un à côté de l’autre. Je leur baisse leur pantalon et leur caleçon.
— Vous voyez, à l’état normal, les sexes sont mous. Mais avec quelques stimulations, ils peuvent devenir durs.
Je branle alors le sexe d’Antoine et lui donne des coups de langues qui commencent à le faire durcir. Je suis accroupie devant eux, les jambes écartées. Ma jupe remonte donc sur ma taille, laissant donc apparaître la ficelle de mon string et mes bas. Je vois les autres sexes à coté commencer à gonfler aussi.
— Même une stimulation psychologique, comme la vision de ma lingerie par exemple, peut suffire. Mais rien ne remplace le contact pour obtenir un sexe bien dur !
Je commence donc à sucer Florian et Laurent, sans oublier de retourner vers Antoine. En quelques instants, les trois queues sont fièrement dressées devant moi.
— Bien, retourner à vos places, dis-je en retournant à mon bureau et en réajustant ma jupe, nous allons passer à l’anatomie féminine. Veuillez noter : petit 1, la poitrine.
Tandis qu’ils se renfroquent un peu et font mine d’écrire, je dégrafe ma chemise et leur montre ma belle poitrine qui était soutenue par un redresse-seins à dentelle et donc, totalement visible.
— Comme vous le voyez, la poitrine féminine est plus volumineuse que celle des hommes car elle contient des glandes mammaires pour allaiter les enfants. Pouvez-vous me montrer par où sort le lait ainsi sécrété et comment s’appelle cet organe ?
Les trois faux élèves lèvent alors le doigt pour répondre à cette question débile. Je choisis Antoine. Il se lève et se met en face de moi. Il me palpe les seins en répondant :
— Les glandes mammaires sont situées dans toute cette zone et le lait sort par le téton, situé ici.
Il joue alors mes tétons en les faisant rouler entre deux doigts.
— Très bien, tu peux aller te rassoir.
Je continue ainsi mon cours en leur expliquant que l’organe reproducteur était également différent chez la femme. Je soulève légèrement ma jupe, enlève mon string, m’assois sur mon bureau et écarte mes jambes pour leur montrer ma chatte.
— Ceci est un vagin. Voici les lèvres, le clitoris (l’organe érogène essentiel), la vulve, c’est-à-dire l’entrée du vagin. Vous comprenez ?— Excusez-moi, madame, je ne vois pas bien d’ici, m’interpelle alors Florian.
Je m’approche alors de lui et m’assois sur sa table en écartant les jambes. Pour répéter la leçon, il touche mon clito, mes lèvres, ma vulve et entre un doigt dans mon vagin.
— C’est étrange, dit-il alors, c’est mouillé à l’intérieur…— Cela s’appelle la cyprine, cela permet la pénétration sans sensation de douleur. Comme avec ton doigt en ce moment… — Et de quelle largeur peut être un vagin ? demande alors Laurent avec une fausse vois d’ado qui manque de me faire éclater de rire.— Et bien cela dépend de la situation, de l’excitation de la femme, du fait qu’elle ait eu des enfants ou non, etc. Par exemple, mon vagin est relativement souple, regarde…
Alors que je me place sur sa table, je m’enfonce un puis deux, trois et enfin quatre doigts dans ma chatte et les fais aller et venir.
— Tu vois, j’y rentre quatre doigts et je sens qu’il y a encore de la marge.
Je glisse alors mon pouce à l’intérieur et continue de pousser jusqu’à ce que ma main disparaisse en moi. Je m’étais déjà doigtée, mais jamais fistée. C’est d’ailleurs excellent !
— Je vois…
Je retire ma main et me relève.
— Voilà pour les principales différences. Il y a aussi quelques similarités, comme l’anus, par exemple.
Je me retourne, soulève complètement ma jupe et écarte mes fesses en me penchant un peu en avant.
— Vous voyez, l’anus est normalement un organe musculaire, un sphincter, fait pour retenir et évacuer si besoin le contenu du colon. Mais cet organe peut également, chez les hommes comme chez les femmes, être une zone érogène, capable d’une grande souplesse.
— Quelle largeur ? demande encore Antoine— Je m’attendais à cette question ! Cela varie beaucoup entre les personnes et dépend aussi de l’entrainement… Beaucoup de femmes ont un anus étroit. Le mien, en l’occurrence, est assez souple car bien entrainé.
Je me saisis alors du gros gode encore sur la table et le suce pour l’enduire du bave.
— Je fais cela car l’anus ne produit pas de cyprine. Il faut donc bien lubrifier l’objet que l’on veut y rentrer pour ne pas provoquer de douleur.— Faut-il également lubrifier l’anus en lui-même ?— Tout à fait ! D’ailleurs, lève-toi et charges-en toi.
Florian se lève, m’écarte les fesses et lèche avec avidité mon anus.
— Tu peux également lubrifier l’intérieur…
Il crache alors dans sa main, place de la salive sur mon œillet et enfonce un doigt à l’intérieur. Il introduit ensuite un deuxième doigt fait quelques vas-et-viens.
— Parfait, cela me semble assez lubrifié. Retourne à ta place.
Il se rassoit tandis que je place le gros gland en latex à l’entrée de mon fion. Je le pousse et celui-ci y entre sans trop de difficulté. Il me faut ensuite le lubrifier abondamment mais le gode finit par rentrer entièrement dans mon cul. Rarement j’ai été aussi dilatée à ce niveau de mon anatomie. Je le fais allez et venir en moi pendant que je commente en gémissant un peu :
— Vous…mmhh… voyez : malgré la taille de… cet objet, mon anus… Aahh… l’absorbe sans difficulté… et même avec… mmhh… beaucoup de plaisir. Et comme la nature est très bien faite, mon sphincter reprendra ensuite sa… ooohhh… taille initiale pour continuer à assurer sa fonction première. Regardez.
Je sors alors d’un coup le gode de mon cul et maintient mon anus ainsi ouvert. Puis je le contracte pour le refermer, le détend pour le rouvrir et ainsi de suite.
Je repose le gode sur la table, me retourne vers mes élèves qui, naturellement sont en train de se branler et leur dit :
— Avez-vous bien compris ce cours ?— Ouiiiii— Alors assez joué maintenant, venez me défoncer !
Fin du scénario, l’orgie peut commencer ! Ce ne fût d’abord pas très original, bien que délicieux. Les garçons se jetèrent sur moi, me léchèrent, m’embrassèrent. Je les ai évidemment sucé longuement, chacun leur tour. Puis ils m’ont prise sur le bureau à tour de rôle, tantôt dans la chatte, tantôt dans le cul. Rapidement, la première double arriva ainsi qu’une double vaginale, ma chatte étant bien ouverte aujourd’hui.
Alors qu’ils étaient à deux dans ma chatte et qu’un autre me doigtait le cul, je regardais en finissant de jouir le tableau en face de moi. Je me faisais prendre en double dans une salle de classe. C’était cool mais je voulais pousser un peu le concept de « baise dans le lycée ».
— Ça vous dirait de continuer dans d’autres salles du bahut ? J’ai envie de me faire troncher un peu partout. Pas vous ?
Nous nous sommes levés et sommes allés dans divers endroits symboliques du lycée. Ils m’ont enculés dans le bureau du CPE et enfoncés plusieurs de ses crayons dans la chatte et le cul. Dans le laboratoire de chimie, ensuite, c’est toute une série de tubes à essais, de toutes tailles, qu’ils m’ont enfoncé dans la chatte. Dans les toilettes, ils m’ont pris à nouveau en double, mais debout accrochée au coup Laurent, pour que personne n’ai à s’allonger au sol. Ils m’ont encore enculés ou fistés à la chaine dans les couloirs. Dans la salle des profs, ils m’ont allongé sur ta table, sur le dos, et mon baisé la bouche à la chaine. C’était la folie car à chaque changement de pièce ou virage dans un couloir, ils m’attrapaient, m’enfilaient, me retournaient, m’enculaient, etc. Puis, ne sachant plus où aller de croustillant, nous nous sommes rendu à mon bureau pour qu’ils se finissent.
Après avoir été recouverte de sperme à de nombreuses reprises ces dernières semaines, j’avais envie de les sentir venir en moi. Ils m’ont donc pris par la chatte, sur mon bureau, et ont jouis chacun leur tour. Laurent exigea de venir en premier pour ne pas avoir à patauger dans la semence des autres mais Antoine et Florian ne s’en offusquèrent pas… Ils baisèrent sauvagement ma chatte poisseuse et la remplirent à leur tour.
Les jambes relevées, je savourais cet état de plénitude, au sens propre comme au figuré car j’étais heureuse et remplie de foutre. D’ailleurs, je demande si quelqu’un peut m’apporter un mouchoir pour éviter que le sperme ne coule sur ma moquette en me relevant.
— J’ai une meilleure idée, fit Laurent.
Il se saisit alors du mug de café sur mon bureau en me disant :
— Ce serait dommage de perdre tout ce précieux nectar ! Soulevez-là, les gars…
Antoine et Florian me prennent alors chacun par un bras et une jambe et me soulèvent, jambes écartées. Sous mon sexe, Laurent positionne le mug et récupère le sperme qui ne tarde pas à s’en écouler. Puis, lorsque le flot cesse, il me tend la tasse.
— A la vôtre…
En cumulé, je devais avoir bu pas loin d’un litre de foutre depuis le début de mes aventures sexuelles et j’aimais de plus en plus ça. Cette tasse remplie au tiers d’un mélange de sperme et de mouille ne me faisait pas peur ! Je me saisis du mug et bois en deux gorgées le délicieux nectar. Je pousse le vice jusqu’à récupérer le liquide restant sur les bords de la tasse avec mon doigt.
— Mmhh, délicieux, fis-je en me léchant le doigt. Rentrez, maintenant, je fermerai derrière vous.— Bonne nuit Madame, à demain !
J’ai encore vagabondé nue quelques minutes dans mon lycée, profitant de la nuit pour imprégner chaque pièces de souvenirs de moi dans le plus simple appareil. Je me suis assise ainsi sur les sièges de mes collègues et ai frotté avec un plaisir malsain mon sexe sur le tissu de leur fauteuil. Puis, enfin, je rentre chez moi, comblée. Le soir, seule dans mon lit, je me suis masturbée en m’imaginant me faire prendre par toute une classe remplie d’ado, garçons ou filles, en rut !
A suivre...
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