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Emma : libérée, déchirée

Chapitre 1

Hétéro
** Emma est la cousine de Ludivine. Elle apparait dans le récit "Ludivine II : le temps d’un week-end". La lecture des quatre récits "Ludivine" est vivement conseillée avant de lire celui-ci. **
Après trois belles années, il ne faisait aucun doute que la relation entre Emma et Paul touchait à sa fin. Les disputes étaient de plus en plus fréquentes même s’ils parvenaient encore à passer de bons moments ensemble.
Paul, 21 ans, est mon meilleur ami et il m’avait fait part des difficultés que leur couple rencontrait. Emma et lui ne parvenaient pas à faire évoluer leur relation et malgré leur bonne volonté, malgré leurs discussions. Il leur fallait se rendre à l’évidence : l’amour s’était envolé. Lucide, Paul savait qu’ils allaient se séparer sous peu. Il ressentait de la tristesse mais refusait de la quitter. Par l’intermédiaire d’une amie commune, je savais qu’Emma, 19 ans, ressentait plus ou moins la même chose. Elle avait l’honnêteté de reconnaitre qu’elle restait avec Paul "tant qu’elle n’avait pas d’autre mec". J’avais mis Paul en garde de ne pas "gâcher" leur belle relation par des dernières semaines difficiles et houleuses.
Février 1999. Leur Saint-Valentin avait été un désastre et Paul m’avait invité à son chalet pour y passer le week-end suivant. Entre hommes, pour se changer les idées (surtout lui). Pourtant, le jeudi soir, veille de notre départ, Paul avait modifié ses plans et il était monté au chalet avec Emma. J’avais été scié par ce changement alors qu’il semblait si motivé les jours précédents. Bref, j’étais sorti avec d’autres amis le vendredi soir.
Cependant, le samedi en fin de matinée, j’avais reçu un coup de fil de Paul. Il s’était platement excusé me promettant que nous fixerions rapidement une autre date pour un week-end. Puis il m’avait dit :— Je ne sais pas si tu as des projets, mais si ça te dit, tu peux monter passer la soirée avec nous.— Ludivine est avec vous ?Paul se marre. Deux ans auparavant, à la même période, nous étions montés au chalet avec la cousine d’Emma, Ludivine, qui était aussi une de mes ex. Ludivine, toujours vierge, s’était néanmoins montré très gourmande.— Non, mais si j’avais su, je l’aurais conviée aussi, "la fille tout terrain" !Je ris à mon tour à la blague de Paul à qui j’avais répété l’expression utilisée par Ludivine après un rapport sexuel où nous avions pratiqué le sexe buccal, vaginal et anal.— T’aurais dû, oui. Je n’aurais pas été contre lui mettre quelques coups de bite dans le cul ce soir !— Hier soir, j’en ai mis quelques-uns à sa cousine !— On devrait remonter avec les deux et les sodomiser côte à côte au dortoir.Paul rit.— Et échanger ensuite ! La Ludivine, ça doit être quelque chose de lui mettre dans son petit cul.— Je retourne le compliment à Emma !Paul rit et provoque :— Hé ! T’es en train de dire que t’as envie d’enculer ma nana !!?!
Je n’avais rien de prévu pour la soirée, mais j’hésitais. Malgré les plaisanteries de Paul, je comprenais ensuite à sa voix qu’ils s’étaient probablement disputé peu de temps avant. Il savait que je m’entendais bien avec Emma et ma présence apaisait souvent les tensions entre eux. C’est aussi pour cela qu’il m’appelait. J’avais néanmoins encore quelques courses à faire avant de partir. J’avais ensuite rassemblé quelques fringues et j’étais parti les rejoindre.
L’atmosphère était un peu pesante à mon arrivée mais quelques blagues et vannes plus loin, la détente était bien amorcée. Surtout, nous étions tout de suite passé à l’apéro et c’est assez joyeux que nous étions ensuite descendus manger au village.
Trois heures plus tard, au bar, autour de jeux d’alcooliques initiés par Paul, la situation a commencé à déraper gentiment. Des paris étaient lancés pour à peu près tout et n’importe quoi. Éméchée, Emma avait perdu la majorité de ses paris avec moi et avait été contrainte de me donner un smack, puis, plus tard, un baiser qui s’était un peu prolongé. Sur la piste de danse, elle embrassait Paul puis me faisait un smack et ainsi de suite. Tout ça pour le plus grand plaisir de Paul. Avant de sortir du bar, un dernier pari avait obligé Emma à me donner son string passablement humide.— J’suis désolée pour l’état mais cette soirée m’a bien amusée !
Nous rentrons alors au chalet. Emma et Paul montent immédiatement au dortoir, tandis que je me change en bas. Mais à peine cinq minutes plus tard, Paul m’appelle pour que je monte aussi dormir en haut. Quand j’arrive à l’étage, j’aperçois Emma en soutien-gorge sur un lit et Paul en caleçon. Alors que je m’apprête à demander à Paul sur quelle couche je m’installe, Emma vient m’embrasser à pleine bouche et m’entraine dans leur lit. Je n’en reviens pas. Elle me déshabille lentement, Paul sourit, me fait un clin d’œil et hausse les épaules, l’air de dire "profitons-en". Sans aucune hésitation, Emma sort ma queue, me masturbe quelques secondes et me prend dans sa bouche. Paul n’avait dit que du bien de ses fellations et je me délecte de cette caresse. Quand ma bite est bien dure, Emma me gratifie d’une gorge profonde magnifique avant de... passer au sexe de Paul. Elle nous suce ensuite alternativement avant de s’allonger sur le côté. Paul la prend en cuillère alors qu’elle me suce encore.
Galvanisée, Emma vient ensuite à califourchon sur moi. Son sourire complice en glissant sur ma verge confirme qu’elle avait prémédité son coup. Quand Paul va aux toilettes, elle me dit que les récits de certaines de mes ex et notamment celui de Ludivine, avaient fait naitre en elle un désir puissant de coucher avec moi. Elle jouit alors que Paul revient. Elle monte sur lui tandis que je caresse son petit trou. Je la doigte doucement, deux doigts. Elle gémit et jouit une nouvelle fois.
Emma se couche sur le dos, Paul la prend. Je reviens dans sa bouche. Rapidement, j’indique à Emma que j’arrive au bout. Elle me dirige sur sa poitrine en me masturbant et j’explose sur ses seins. Paul jouit peu après, alors qu’Emma m’a repris en bouche. Génial. Après la douche, Emma vient se coucher au milieu de nous deux et nous nous endormons.
Au matin, Paul dit qu’il descend au village chercher de quoi faire un petit-déjeuner royal. Emma et moi baisons. Je lui dis qu’elle a une bouche divine, elle me répond que mon sexe donne envie. En levrette, Emma brûle de plaisir. La position semble la rendre folle. Elle refuse à plusieurs reprises de changer de position.
Elle vient finalement à califourchon sur moi et c’est elle qui, avec un peu de gel, me dirige dans son cul. Je la sodomise ensuite en levrette. Emma a un orgasme anal. Violent, bruyant, long et intense. Sublime. Je jouis quelques secondes plus tard.
Avant que Paul ne revienne, Emma me fait un aveu :— Durant le week-end ici il y a deux ans, le dimanche matin, je suis remontée alors que vous étiez en plein 69. Ludivine ne te suçait pas, mais toi, tu la léchais comme un fou. Elle a joui super fort. Je suis redescendue et je me suis faite sauter par Paul dans la cuisine. J’étais trop excitée.— Et bien voilà, j’ai enfin l’explication du bruit qu’il m’avait semblé entendre derrière la porte.Emma rit :— Oui, j’avais laisser tomber ma pantoufle sur une marche.
Profitant du sujet, elle me questionne sur sa cousine.— C’était comment avec Ludivine ?— Très sympa.— Ce que je voulais dire, c’est comment elle était au lit ?— Très sympa aussi.Emma comprend que je joue avec elle. Je lui dis :— Qu’est-ce que tu imagines ?— Bah, elle est plutôt garçon manqué et pas super féminine.— Il ne faut pas se fier aux apparences, rappelle-toi.— Je pense qu’elle suce, mais pas trop souvent et pas super bien.— Pourquoi penses-tu ça ?— Parce qu’elle n’a pas l’occasion de le faire régulièrement.— La première fois que je suis sorti avec ta cousine, elle avait 17 ans, j’étais son premier copain et après deux semaines, elle suçait mieux que la majorité de mes ex. Et même si elle n’avait pas voulu coucher avec moi, elle s’était montrée très assidue à la fellation. Comme toi, elle suce comme une déesse.Emma rit et rougit :— Oh ! Elle ne m’a jamais raconté ça ! Elle te suçait jusqu’au bout ?— Pas à ce moment-là, mais plus tard, oui. Sans aucun problème.Emma semble bien surprise par mes révélations. Ce n’est pourtant que la strict vérité. Elle insiste :— Je pense quand même qu’au lit, ça ne doit pas être fantastique. Je ne sais pas pourquoi mais j’imagine qu’elle doit être assez passive et que ça doit être assez ennuyeux à la longue.— Dis donc, tu n’as pas une haute estime des capacités sexuelles de ta cousine !— Je suis désolée, mais c’est comme ça que je la vois. Je me trompe ?— Une fois que ta cousine a commencé à coucher, elle a vraiment beaucoup aimé ça et, sincèrement et vulgairement, c’est un très bon coup. Un très très bon coup. — Mais non ! Elle ne parait tellement pas…— Et une sodomite confirmée.
Emma est estomaquée. Je lui raconte la semaine de vacances à Malte avec Ludivine, neuf mois plus tôt. Je plaisante en lui disant que la sodomie doit être de famille. Elle répond qu’une fois de temps en temps, c’est déjà bien. Provocateur, je lui propose de l’emmener en week-end et de ne pratiquer que le coït anal. Elle répond sur un ton ambigu, sans que je sache réellement si elle dit vrai ou non, que si Paul et elle venaient à se séparer, elle serait peut-être partante.
Néanmoins, elle n’en revient pas pour Ludivine :— Ce qui m’hallucine le plus, c’est qu’elle n’a jamais eu mal quand tu l’as sodomisée. J’avais voulu essayer assez vite avec Paul, mais il m’a fallu plus d’une année pour me sentir à l’aise.Mon cerveau fait tout seul un calcul assez simple :— Qu’entends-tu par "avoir voulu essayer assez vite" ?— Il me semble qu’on avait essayé après deux ou trois mois ensemble.— Donc, tu as 19 ans et ça fait plus de trois ans que vous sortez ensemble.Elle rougit :— J’ai parlé un peu vite, ça devait être plus tard.Je la regarde en souriant. Elle dit :— Bon, tu promets que tu le gardes pour toi : la première fois qu’on a essayé, c’était environ une semaine avant mes 16 ans. Mais c’était juste un essai, hein !— Hé bien !!— Nous étions très curieux.Elle rit et ajoute :— Après, on essayait de temps en temps et il y avait toujours des petits progrès. La première fois qu’il a joui, c’était l’été. Donc j’avais un peu plus de 16 ans et demi. A partir de 17 ans, c’est devenu une activité sexuelle normale de notre couple.— Je suis le deuxième donc ?
Elle rougit à nouveau, plus encore que la première fois :— T’as le chic pour me déstabiliser ! Là encore, pas un mot, surtout pas à Paul, jamais. Tu te souviens de notre dispute il y a un peu plus d’une année ?— Oui, juste avant les fêtes ! Tu parles que je m’en souviens, ça avait été assez chaud ! D’ailleurs après, vous aviez fait un mini-break d’une semaine.— De dix jours exactement. Et j’ai couché avec deux garçons à ce moment-là et les deux m’ont sodomisées.— Oh !— Oui, je voulais voir ce que ça faisait de le faire avec un autre.— C’était qui ?— Un voisin et un camarade de classe. Après la dispute, j’étais tellement en colère que j’avais envisagé de coucher avec un ami de Paul par vengeance. Tu étais en tête de liste. — J’aurais refusé.— Avec ce que je savais de toi et de tes goûts, j’avais même échafaudé un plan assez astucieux.— Je ne te crois pas.— Je savais où tu sortais et malgré la situation avec Paul, tu m’aurais ramenée chez moi si je te l’avais demandé.— C’est vrai.— Tout se serait passé dans ta voiture. Ma "tenue de chasse", c’est comme ça que je l’avais appelée, comportait plusieurs armes : la première devait dévoiler une large partie de ma poitrine. De manière totalement fortuite, tu imagines bien.— Tes seins m’ont plu dès que je t’ai rencontrée.— Oui, ça, je l’avais bien remarqué. Ensuite, seconde arme, ma jupe remontait et tu devais apercevoir mon porte-jarretelles. Je sais que tu adores ça, parce que Paul me l’a dit un jour que j’en ai portais un.— Quel pipelette celui-là !
Emma rit. Son plan est incroyable. Elle continue :— A ce moment-là, tu devais déjà être "conditionné" à défaut d’être excité. Troisième phase : en arrivant en bas de chez moi, je chutais devant ta voiture. Tu en descendais illico et je te faisais constaté que j’avais très mal au coccyx et tu remarquais mon absence de culotte.— Mon Dieu ! Machiavel peut se rhabiller à côté de toi !— Enfin, tu l’as bien compris, tu devais m’aider à monter chez moi, m’emmener dans la chambre, m’amener un verre d’eau, m’aider à me déshabiller, me mettre de la crème et finalement, me sauter !Nous explosons de rire.— J’avoue qu’il aurait été difficile de résister à tant d’assauts répétés.— J’avais tout prévu.— Pourquoi ne l’as-tu pas fait ?— Mais je l’ai fait !! On s’était disputé un jeudi et j’avais passé les deux soirées suivantes le cul à l’air au mois de décembre, à me balader dans les bars où je savais que tu allais. Mais je ne t’ai pas croisé !Nouvel éclat de rire.— Alors le dimanche, j’ai été chez mon voisin dont les parents étaient absents. Avec mon copain de classe, c’était le mercredi d’après.— Bien ?— Le voisin, non. Mignon mais con et égocentrique au possible. Même au lit. Après coup, j’ai regretté car il m’avait prise de haut, comme si c’était "normal" que je veuille coucher avec lui. Et en plus, il avait eu la cerise sur le gâteau. Ce qu’il ne sait pas, c’est qu’il est de loin le moins bien membré des quatre mecs avec qui j’ai couché.— Et ton copain de classe ?— Une copine était sortie avec lui en début d’année et elle nous avait dit qu’il avait, passe moi l’expression, une énorme bite. Mais bon, comme elle était un peu mytho et qu’elle avait eu très peu de copains, on ne l’avait pas prise du tout au sérieux. De plus, Julien, le nom de mon camarde, n’avait pas vraiment le physique de l’emploi. Il était super sympa, il avait de beaux yeux, mais il était petit et très mince, presque chétif. Je m’entendais super bien avec lui et c’est comme ça que j’ai fini chez lui.— Et ?— Et il a vraiment une grosse bite !Éclats de rire.— Avec Julien, on s’était chauffé et je ne pensais plus du tout à ce que ma copine avait dit quand je déboutonnais son jeans, et quand j’ai sorti l’engin… whaw ! Ça m’a d’abord un peu refroidie, mais je n’ai rien laissé paraitre et j’ai commencé à le sucer. Pas facile. En fait, ce n’est pas que sa bite était bien longue. De ce côté-là, Paul et toi êtes mieux pourvus, surtout toi. Mais quelle largeur ! J’avais la bouche presque grande ouverte quand je le suçais ! Je ris. Elle enchaine :— Après, il s’est levé pour prendre des capotes. Les siennes, car celles que j’avais n’étaient pas du tout adaptées. Bref il s’est levé, il était nu et c’était étrange de voir ce petit maigrichon doté d’un si gros sexe. Je suis monté sur lui et j’ai glissé sur son sexe. J’avais l’impression d’être assise sur une souche !Emma rit et poursuit :— Mais après un moment, ça a été un pied géant. J’ai joui pleins de fois. La levrette plus tard, fantastique, même si je préfère la longueur à la largeur.Je vais dire quelque chose mais elle me coupe :— Oui, Monsieur. Ta levrette de tout à l’heure, c’était mieux. Quand tu donnais tes petits coups de bite rapides tout au fond de mon vagin, j’ai franchement cru que j’allais perdre connaissance, ma tête tournait tellement !Je dois sourire comme un idiot, car Emma éclate de rire en me regardant. — Revenons à Julien, veux-tu. En levrette, il me caresse l’anus. Et là je me dis : non, même pas en rêve. Mais il finit tout de même par me demander. Il me dit qu’il ne l’a jamais fait. Ses ex avaient soit refusé, soit ben, c’était trop gros. Et mon problème, c’est que j’aime les challenges.
Cette fille est dingue. Je ris tellement que j’en pleure. Je prie pour que Paul ne revienne pas trop vite. Emma est intarissable.— Alors il me prépare et il met plein de lubrifiant. En préparant, il me met deux doigts dans le derrière. Quand il me demande si c’est bon, je lui dis qu’un troisième ne serait pas de trop pour préparer à le recevoir. Ensuite, je me couche sur le dos, parce que c’est la position dans laquelle je suis le plus à l’aise pour ça. Le truc le plus bizarre quand il est entré, c’est qu’après le passage du gland, normalement ça se rétrécit et ça permet une petite pause avant la pénétration plus profonde. Là, pas de rétrécissement. Et chaque fois qu’il poussait, ça s’élargissait encore. J’ai tenu jusqu’au tiers de sa queue, selon lui. Il a commencé à bouger. Au début, c’était pas agréable, mais petit à petit, ça a été mieux. Il était tellement content, c’était incroyable. Il fallait le calmer, car j’avais peur qu’il arrache tout dans un excès soudain d’enthousiasme.
Je ris encore et encore, j’ai mal à la mâchoire, c’est fou. Elle ne s’arrête pas.— Ensuite, pour lui faire plaisir, je lui ai demandé s’il voulait me prendre à quatre pattes. Il est passé à deux doigts de la syncope. Bon, c’est vrai, ça me titillait aussi d’essayer. Il est revenu, ça a été très fort et c’était super bon à ce moment-là. Il était super excité et je vais utiliser un mot que je déteste, mais il m’a défoncée. Je n’ai pas joui. Lui a eu son orgasme, il s’est retiré et mon année scolaire, il m’a sacrément aidée à la passer.
Je lui dis que c’est l’expérience la plus drôle que j’ai jamais entendue. On s’embrasse. Paul arrive peu après. Il ne se passera rien d’autre le dimanche. Pas plus que les semaines qui suivent.
Emma et Paul se séparent environ deux mois plus tard.
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