Nous avons passé tout l’après-midi à la piscine avec Kevin. J’adorais être avec lui, surtout sous l’eau où je pouvais m’accrocher et me frotter à lui. Nous sommes allés dans le grand toboggan. Je me suis mis entre ses cuisses et j’ai bien senti que ça lui faisait de l’effet mais j’ai fait semblent de ne rien remarquer car moi aussi, je sentais que sa frétillait sous ma culotte. Il a touché mes seins sans faire exprès mais j’ai aimé ça. Dans les vestiaires, nous nous sommes mis dans la même cabine. J’ai enlevé mon maillot de bain et il m’a mis une claque sur les fesses. Oh mon dieu, ce que j’aimais quand il faisait ça ! J’ai fait exprès de faire tomber mes lunettes de piscine et en me retournant, j’ai regardé sa belle bite. Je la voyais qui commençait à grossir et devenir plus grosse qu’elle ne l’était déjà. Putain, ce que j’aurais aimé la toucher et la goûter. J’aurais aimé qu’il puisse me dépuceler, là, dans cette cabine. Je savais qu’il m’avait vue et ça m’excitait encore plus. En m’essuyant avec ma serviette de bain, assez grande pour me cacher, je me suis malaxé les seins et me suis pincé les tétons. Plus bas, je me suis frottée fortement la chatte sans qu’il me voie. Le soir, chez notre grand-mère, pendant que tout le monde discutait et buvait, nous regardions un film de zombies dans sa chambre. Une fois le film terminé, nous avons rigolé en nous faisant passer pour des zombies. Kevin m’a mordu les bras, ça chatouillait. Il m’a mordu les cuisses. « Oh oui, remonte un peu. », ai-je pensé. Il m’a mordue dans le cou. J’ai senti son souffle chaud me caresser la peau. Alors, je lui ai fait la même chose et j’ai senti l’excitation monter de plus en plus. Cette même sensation que dans les vestiaires de la piscine. Et tout d’un coup, tout a dérapé. J’ai pris sa tête entre mes mains et je l’ai embrassé. Ce baiser n’a duré que quelques secondes mais j’ai eu l’impression qu’il a duré des heures. Il avait les lèvres chaudes, douces et humides à la fois. Je m’attendais à ce qu’il me repousse, me rejette ou m’insulte. Mais, à ma plus grande joie, il m’a rendu mon baiser. Nous nous sommes embrassés pendant cinq minutes et j’ai décidé de me mettre sur lui. Je sentais son sexe gonfler sous le mien à travers son pantalon. Il me caressait le dos en passant ses mains sous mon t-shirt. Des frissons m’ont parcouru tout le corps de la tête aux pieds. Je me suis frottée contre sa bite déjà tendue sous son pantalon. Il a ensuite descendu sa main droite sur mon cul et il me l’a caressé avant de me mettre une fessée. Aaaah!! Un petit bruit est sorti de ma bouche, ce qui l’a fait sourire. Il m’a prise dans ses bras et m’ retournée pour me mettre sur le dos. Il était au-dessus de moi, j’étais toute à lui. Il a continué de me faire des petits bisous sur les lèvres, sur le menton et dans le cou. Il est descendu encore et encore. Il m’a embrassé le sein gauche puis le droit. Oh ce que c’était bon !!! Il faut dire que c’était la première fois qu’un garçon me touchait autant. Il passait des petits coups de langues sur mon ventre, autour de mon nombril. Il était en bas de mon ventre. Je sentais ses deux indexes qui s’accrochaient à mon leggins pour l’abaisser. Il l’a fait glisser jusqu’à voir le haut de ma fente et quelques poils blond en dépasser. « A taaaable !!! », a crié ma grand mère. « Quoi ? Non ! Pas maintenant ! », ai-je pensé. Mon cousin s’est relevé et m’ regardée en souriant. Je me suis relevée aussi et l’ai suivi pour sortir de la chambre quand je l’ai vu qui se retournait pour m’embrasser sur la bouche. Ce sera notre dernier baiser du week-end. Ma mère et les parents de Kevin, qui avaient été invités par notre grand-mère, avaient décidé de rester dormir sur place. Je suis repartie chez moi le lendemain matin, en même temps que ma mère et ma sœur, pendant que Kevin dormait encore. Ce lundi matin, j’ai commencé les cours à 10 heures. Depuis la veille, je n’arrêtais pas de penser à lui, à ses mains qui avaient parcouru tout mon corps et à sa bouche si douce. Nous étions dans le même lycée, lui et moi. Je l’ai vu ce matin, en arrivant avec ma meilleur amie Lola, mais il ne m’a pas adressé le moindre mot. Je me suis dit qu’il ne se passerait rien de plus entre nous, qu’il fallait que j’arrête de me faire des films dans ma petite tête. Il était 9h45 et mon premier cours allait bientôt commencer. Nous sommes vite allées aux casiers pour prendre quelques livres. En ouvrant la porte du casier, j’ai vu quelque chose qui tombait mais je n’y ai pas fait attention. J’ai pris ce dont j’avais besoin pour la journée et j’ai refermé la porte. En me retournant pour partir, j’ai remarqué que ce qui était tombé quelques minutes auparavant était une petite enveloppe avec mon prénom écrit dessus. Je l’ai ouverte et y ai découvert un petit mot qui disait: "Rejoins-moi, seule, devant l’infirmerie à 13 heures 15 ". "Qu’est ce que c’est, m’a demandé Lola. — Ce n’est rien. Juste un truc que j’ai oublié d’envoyer. La matinée était interminable. Enfin l’heure H était arrivée. Je n’ai pas arrêté de penser à ce mot depuis ce matin. J’ai décidé quand même d’y aller. Je n’ai vu personne dans les couloirs. J’ai toqué mais les portes de l’infirmerie étaient fermées, ce qui était normal puisque les infirmières ne commençaient qu’à 14h30. Alors j’ai attendu et, sans savoir ce qu’il se passait, une main a attrapé mon bras droit et m’a tirée en arrière. À suivre…
