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Emma à tout prix.

Chapitre 2

Lesbienne
L’orgasme survient. C’est le troisième en 15 minutes ; cela devrait suffire maintenant. Je retire mes doigts de mon con encore dégoulinant de plaisir et j’arrête la vidéo sur mon ordinateur portable. Je suis trempée, en sueur, j’ai la respiration haletante et pourtant j’ai encore envie de me faire jouir une dernière petite fois.
Décidément, cette mini-caméra que j’utilise pour filmer mes séances est une véritable merveille ! Les confessions de certaines de mes patientes sont nettement plus hot que le plus torride des pornos trouvables sur Internet ; et bien meilleur marché. Hmmm, j’hésite… Il y a cette vidéo que je n’ai pas encore visionnée, celle où cette mère de famille me raconte comment elle a dépucelé son neveu de 17 ans le jour de son anniversaire...
Je regarde mon horloge : 15 h 30. Zut ! Plus le temps ; elle ne devrait pas tarder à arriver, aussi Je me lève, renfile mon string ainsi que ma jupe et j’arrange ma coiffure, histoire d’être présentable. Je n’ai pas pour habitude de me soulager de cette façon au bureau, mais si elle est aussi à moitié moins excitante que sa mère me l’a décrite, il vaut mieux pour moi de prendre quelques précautions. Évacuer les tensions, en quelque sorte.
15 h 43. Elle est en retard et j’ai encore plus envie de me donner du plaisir. Comment cette gamine peut-elle m’exciter autant sans l’avoir jamais rencontrée ? J’ai déjà vu sa photo, bien sûr ; mais cette fois-ci, elle sera en chair et en os devant moi, entièrement à ma merci... Cette pensée me fait instantanément mouiller comme une folle ; trop, c’est trop ! J’écarte la ficelle de mon string, attrape la bouteille de gin qui traîne sur mon bureau et m’enfonce le goulot sans ménagement dans la fente humide. Malheureusement, j’ai à peine le temps de faire faire quelques langoureux va-et-vient à ladite bouteille que ma secrétaire me prévient par l’intercom :
— Docteur Portman, votre rendez-vous de 15 h 40 est arrivé.— Très... très bien. Euh... attendez deux minutes, puis faites-la entrer.
Je ressors la bouteille d’entre mes cuisses, et une fois de plus, j’essaie de me rendre présentable autant que faire se peut lorsque la porte s’ouvre et que la jolie donzelle entre dans mon bureau. Tout sourire, je me dirige vers elle et lui tends la main. Elle me tend la sienne timidement en retour, et j’ai tout loisir d’admirer la jeune beauté tout en constatant que les quelques photos que j’ai pu en voir étaient bien loin de la vérité.
1 m 65 environ, une magnifique chevelure blonde lui arrivant au milieu du dos et une peau nacrée sans aucun défaut, le tout s’additionnant à un corps aux mensurations totalement loufoques pour son âge. Corps parfait mis allègrement en valeur par une tenue provocante et sexy à souhait. Son mini short en jean épousant impeccablement les lignes de ses hanches et son tee-shirt moulant me laissant plus qu’entrevoir son généreux 90C me font presque défaillir, rarement ai-je vu une adolescente aussi désirable.
Je constate cependant très vite une toute petite ombre au tableau ; un imprévu tout du moins. En effet, la jeune fille n’est pas venue seule, mais est accompagnée ; d’une amie, vraisemblablement. Joli brin de fille elle aussi, soit dit en passant. Qu’importe ; je la salue également et les invite toutes deux à venir s’asseoir sur mon divan et m’installe moi aussi, jambes croisées, dans mon fauteuil leur faisant face. À en juger par leur apparente raideur, je vois bien que les deux jeunes filles n’ont pas l’air très à l’aise. Je réajuste donc mes lunettes et j’entame la conversation :
— Vous avez trouvé facilement ?— Qu... quoi ? bafouille Emma.— Mon bureau ; vous l’avez trouvé facilement ? répété-je avec un doux sourire.— Ah ; euh… oui. Les indications de votre secrétaire étaient très claires, mais euh...— Et je dis bien « vous » car je vois que tu es venue accompagnée ; tu avais peur de venir seule, mon cœur ?
Le « mon cœur » semble la déstabiliser quelque peu, si j’en crois la façon dont elle bafouille de nouveau. Mais après une longue respiration, elle finit par répondre d’une voix plus assurée :
— Pas peur, non ; mais je trouvais tout de même plus rassurant de venir avec une amie. Après tout, vous avez beau être docteur, mais je ne vous connais pas et je ne sais toujours pas pourquoi vous m’avez contactée, ni même comment vous avez pu avoir mon numéro de téléphone.
La petite est mignonne, mais pas totalement écervelée, ce qui me plaît encore plus. Et sans attendre davantage, je lui raconte toute l’histoire. Brisant le secret professionnel (pour la bonne cause, bien sûr), je lui explique que sa mère est une de mes patientes et qu’ayant son adresse, il ne m’a pas été très difficile de retrouver le numéro de téléphone du domicile. J’en rajoute un peu évidemment et lui raconte comment sa pauvre maman se sent seule, à quel point elle aime sa fille et combien elle se sent délaissée par cette dernière.
J’utilise quelques mots qui font mouche comme « dépression », « abandon », « médicaments » ou encore « profonde tristesse » ; et sans évoquer les détails croustillants, je lui fais part du travail effectué avec sa mère durant quelques-unes de nos séances. Toute cette soudaine somme d’informations la laisse bouche bée. Quoi de plus normal : la pauvre petite apprend que sa mère est suivie par une psy depuis plusieurs semaines et qu’elle en est la principale cause.
En tout cas, Emma semble très concernée par l’état de sa chère maman et me bombarde de questions ; question auxquelles je réponds avec le plus grand professionnalisme. Et tout en conversant avec cette dernière, je remarque que son amie assise juste à côté ne cesse de me dévorer des yeux. Je tente ma chance et lui adresse un léger clin d’œil plein de malice qui la fait légèrement rosir. Emma, elle, ne semble pas avoir remarqué la chose et continue de me harceler de questions sans discontinuer. Alors, toujours en maintenant mon regard sur l’attirante pipelette, je décroise mes jambes et les entrouvre légèrement.
La réaction ne se fait pas attendre : de rose, son teint devient carrément cramoisi. L’envie de voir jusqu’où je peux aller sans éveiller les soupçons d’Emma me démange. Je me sens d’humeur joueuse aujourd’hui ; alors, de la façon la plus discrète possible, je remonte ma jupe d’une dizaine de centimètres et cette fois-ci j’écarte généreusement les cuisses. Le spectacle est hilarant, c’est bien simple ; si nous étions dans un cartoon, la jeune fille aurait les yeux en forme de cœur lui sortant des orbites et la langue qui pendrait jusqu’au sol.
Il faut dire aussi que, du divan, elle a une vue parfaitement dégagée sur mon string. Mais pourquoi ne pas lui en faire voir un peu plus ? Cette fois-ci, c’est bien ouverte qu’elle a le loisir de zieuter ma chatte que je touche et tripote sans retenue en la fixant des yeux. Quant à Emma, elle n’a toujours rien remarqué, trop occupée à faire la conversation presque toute seule depuis plusieurs minutes. Je la regarde et me demande si elle feint de n’avoir rien vu de mon petit manège, mais j’ai l’impression que non. C’est fou... Comment peut-on être aussi innocente à son âge, et surtout avec un corps comme le sien ?
Bref, il est temps de passer aux choses sérieuses : j’ai une folle envie de sexe et suis littéralement au bord de l’explosion ! Avec toute l’amabilité possible, je coupe la parole à la miss sans même prendre la peine de remettre ma jupe en place :
— Très bien, Emma ; j’ai parfaitement compris ton point de vue, mais le fait est là : tu négliges ta mère ou, en tout cas, elle se sent négligée par toi.— Mais... mais non, voyons ! J’aime beaucoup maman, bien sûr ; seulement... comment le lui montrer ?— Eh bien, c’est pour cette raison que je t’ai fait venir ici, mon cœur. Je vais te donner quelques petits conseils. Tu pourrais par exemple la laisser, ELLE, te montrer plus souvent son affection.— La laisser me montrer son... ? Comment ? J... je ne comprends pas.
Une alarme silencieuse retentit dans ma tête pour m’avertir qu’une belle porte vient de s’ouvrir en ce moment même, et un léger sourire se dessine sur le coin de mon visage, sourire qui semble échapper à l’ingénue Emma mais pas à la jolie brunette en ébullition assise juste à côté. Je suis complément trempée ; rarement un rendez-vous m’avait autant excitée comme celui-ci ! Il est temps de monter d’un cran et mon instinct me dit qu’au moins une de ces deux coquines en a envie également.
— Eh bien, Mesdemoiselles, que diriez-vous d’un petit jeu de rôle pour vous aider à comprendre ?— Un... jeu de rôle ? me répond Emma avec un air quelque peu dubitatif. — Oui : un jeu de rôle. C’est un exercice très commun, je te rassure ; c’est comme hmmm... jouer une scène dans une pièce de théâtre, ce qui te permettra bien mieux de comprendre là où je veux en venir.
Je fais semblant de réfléchir quelques secondes en mettant le doigt sur la bouche et en secouant la tête de façon un peu idiote, ce qui fait rire les filles. Puis je me tourne vers la jolie brune et lui demande :
— Cindy, c’est bien ça ? Cela te plairait de jouer avec moi ? — Avec grand plaisir, Madame, me fait-elle avec un grand sourire, quoique visiblement un peu surprise.— Parfait. Alors, viens ici t’asseoir sur mes genoux, mon ange.
La mignonne se lève et se dirige vers moi. Elle est n’est pas aussi bien foutue qu’Emma, mais cette dernière est une perle rare pour son âge, hors catégories. Il n’empêche que Cindy n’est pas mal non plus ; en fait, maintenant qu’elle est debout, elle me paraît bien plus excitante et désirable. Elle doit être un peu plus petite qu’Emma : 1 m 60, je dirais. Cheveux bruns et courts, maintenus bien en place par un serre-tête rose. Quant au reste : un très sexy débardeur au décolleté plongeant, bleu clair, assorti à ses chaussures et un jeans taille basse très à la mode épousant parfaitement ses formes.
Cindy vient donc lentement s’asseoir sur mes genoux, faisant face à Emma. D’un mouvement délicat, je lui replace une mèche de cheveux et en profite pour humer son délicat parfum. Elle sent terriblement bon et cela m’excite encre plus.
— Tu vois, Emma, Cindy et moi allons jouer une scène du quotidien très banale. Je viens de rentrer du travail et je semble très fatiguée et très lasse. Alors ma fille vient tendrement s’asseoir sur mes genoux pour me demander comment a été ma journée.
Je tourne mon visage vers Cindy et lui fais un clin d’œil pour lui signifier que c’est à son tour de répliquer. Ce qu’elle fait presque aussitôt, non sans bafouiller quelque peu, et c’est ainsi que notre petit jeu de rôle commence sans plus tarder.
— Ah, euh, je... Oui euh, co... comment a été ta journée, maman ?— Très bien, ma puce ; et toi ? Tu as passé une bonne journée à l’école ?— Oh oui, très bonne ! J’ai appris plein de choses ! me répond-elle avec entrain.
Je crois qu’elle se prend au jeu, ce qui facilite grandement la suite.
— Hmmm, Cindy, mon poussin, c’est fou ce que tu sens bon aujourd’hui ; tu as mis du parfum ? Et cette façon si provocante de t’habiller... C’est pour moi que tu t’es faite si belle ?
Pendant qu’une fois encore elle bafouille quelque chose, ne sachant visiblement pas quoi répondre, de ma main droite je lui palpe délicatement le sein au travers de son tee-shirt tandis que ma main gauche se rapproche lentement de son entrejambe. J’enchaîne :
— Tu sais, mon poussin, avec papa qui est toujours en déplacement et toi qui es si distante ces derniers temps, je me sens tellement seule... — Je... je peux être moins distante avec toi si tu le veux, maman...
Je souris de plus belle ; la donzelle manque encore d’un peu d’aplomb, mais elle semble bien comprendre là où je veux en venir. Alors, toujours aussi calmement, je passe ma main sous son tee-shirt et remonte lentement vers sa poitrine. Je jette un regard vers Emma et suis satisfaite de voir qu’elle ne loupe pas une miette du spectacle. Les deux mignonnes ont l’air d’être plus que réceptives, aussi je continue dans la même voie : je déboutonne le jeans de Cindy et y engouffre mon autre main.
Malaxer sa poitrine est tellement agréable... ses petits seins sont fermes et sa peau est douce comme de la soie. Je lui pince furtivement un téton qui pointe farouchement et elle lâche illico un minuscule mais adorable cri de plaisir. Mon autre main ne reste pas inactive non plus ; sa petite culotte est soyeuse, imbibée de désir. Je caresse tendrement son minou au travers du tissu, tissu d’ailleurs si fin que je peux ressentir chaque frémissement de sa peau comme si elle était nue. Bientôt, la pièce est totalement silencieuse, sauf peut-être deux sons à peine audibles : le tic-tac de mon horloge et les faibles gémissements de Cindy sous l’effet de mes caresses expertes. Je n’en oublie pas pour autant notre petit jeu de rôle :
— Oh là là, mon amour... Tu mouilles comme une grande, dis donc ; c’est maman qui te fait cet effet-là ?— Je, j... Oh oui, je... ahhhhh...— J’ai envie de t’embrasser, mon cœur ; j’en ai vraiment envie, tu sais.— Ohhh, maman j... moi aussi j’ai envie. Emb... embrasse-moi !
Je lui dépose un baiser sur la nuque, puis un autre... et encore un autre tout en remontant lentement vers ses lèvres. Arrivée à destination, je lâche pendant quelques secondes son délicieux mamelon, lui fais doucement tourner la tête vers mon visage et je lui dépose alors un tendre baiser sur le bout des lèvres. J’embrasse Cindy avec une incroyable retenue ! Car en effet, en me voyant, on pourrait aisément s’imaginer une mère donnant un simple bisou à sa fille alors qu’en fait, à ce moment précis, je suis au paroxysme du désir et que ma seule envie est de faire sauvagement l’amour à cette adolescente en fleur.
Et vient le moment où, à l’unisson, nos deux bouches s’ouvrent, nos deux langues en sortent, se cherchent, se touchent, se lèchent puis se mêlent dans un savoureux ballet moite et érotique. Enfin nos lèvres se rejoignent et j’ai alors droit à l’un des plus divins et incroyables roulages de pelle de ma vie, tant cette petite est douée et sensuelle. Elle est aussi curieuse et incroyablement volontaire ; je suis excitée comme une jeune pucelle lors de sa première fois ! Je commence à perdre tout sens de la mesure, tant j’ai envie d’elle. Envie d’ELLES ! Nos bouches finissent par se séparer :
— Hmmmmm, tu embrasses divinement bien, Cindy.— Merci Doct... euh, merci maman ; c’était... c’était mon premier baiser.— Oh, vraiment ? Retire ton haut, mon amour, je vais te lécher les seins.— Tout ce que tu voudras, maman.— Et toi, fis-je en me tournant vers Emma, reste bien attentive car c’est ce genre de chose que ta mère attend de toi.
Aucune réponse ne sort de sa bouche ; elle est tout simplement subjuguée par le spectacle. De son côté, Cindy s’exécute docilement en faisait descendre son haut le long de ses hanches et en me présentant sa parfaite petite paire de seins d’adolescente. Petits mais adorables, ils tiennent entièrement dans une main ; alors je les malaxe, je les soupèse, je les caresse... Finalement, j’approche mon visage et, après avoir ouvert la bouche, je décris de lents et sensuels petits cercles autour de ses mamelons avec ma langue. Sa peau est sucrée, son contact me rend folle ; je mouille comme rarement j’ai mouillé auparavant. Mais je ne m’arrête pas là. Délicatement, je lui mordille les tétons, les lèche puis les suce avec amour. Je m’occupe de ses seins consciencieusement, m’attelant à lui donner un maximum de plaisir. J’ai envie de la faire jouir et j’ai envie qu’Emma me regarde faire.
Finie, la demi-mesure : tout en continuant de m’occuper de sa petite poitrine avec ma bouche, je me faufile sous cette petite culotte à la recherche de son inestimable trésor. Son sexe est doux, soyeux et délicieusement humide ; presque une invitation à entrer. Alors, toujours d’un mouvement sûr et adroit, j’écarte ses lèvres pulpeuses, fais pénétrer très lentement mon majeur dans sa fente suintante et je commence à la doigter avec tendresse. C’est la première fois que je mets un doigt dans une si jeune chatte ; c’est fou comme c’est étroit et humide ! Cindy ne tarde pas à pousser un râle de plaisir comme jamais elle n’a dû en pousser, ce qui semble surprendre Emma, qui timidement demande :
— Cindy, est-ce que ça va ? Pour... pourquoi est-ce que tu cries ?— C’est vrai ça, mon poussin ; si tu disais à Emma la raison de tous ces cris ? dis-je à mon tour avec un sourire malicieux.— Ohhhh, Emma c’est parce qu’elle... ahhhhh... c’est parce qu’elle a son majeur dans mon vagin ! Ohhhh, Emma, il faut que tu essaies ça ; c’est trop booooooooon, anhhhhhhh !
C’est la seule réponse qu’Emma obtient de Cindy, tant cette dernière est maintenant occupée à onduler et à bouger ses hanches au rythme de ce doigt qui lui donne tant de plaisir. Je lui lèche et lui suce les mamelons, lui mordille les tétons, m’arrêtant seulement de temps en temps lorsque la belle me réclame ma langue pour un baiser passionné. Au fur et à mesure que ses gémissements gagnent en puissance, ses inhibitions s’envolent une à une. Elle a définitivement passé un cap, lorsqu’elle me demande – me supplie presque – de lui mettre un autre doigt. Alors mon index se faufile à son tour dans son petit minou en ébullition et vient rejoindre mon majeur dans la danse. Comme je l’ai dit, la miss est incroyablement étroite, et ce deuxième doigt la fait littéralement exploser ! Cindy se met à jouir comme une démente ; son tout premier orgasme la secoue comme un tremblement de terre et son corps tout entier est pris de spasmes de bonheur.
Mais peu à peu Cindy redescend sur terre, un sourire de contentement sur le visage. Je retire mes doigts recouverts de mouille de son sexe toujours dégoulinant et les porte à sa bouche. Elle ne pose aucune question et se met simplement à lécher et à se régaler avec gourmandise de sa propre jouissance ; et lorsqu’elle finit, elle se tourne vers moi, m’enlace et m’embrasse encore une fois, mais avec douceur cette fois-ci.
Tout est redevenu un peu plus calme, Cindy est blottie contre moi et passe sa main dans mes cheveux tout en me donnant de délicieux baisers dans le cou. Emma, elle, me regarde fixement dans les yeux sans savoir quoi dire, aussi je me jette une fois de plus à l’eau :
— Tu vois, Emma, il n’y a rien de sorcier à montrer combien tu aimes ta mère. Ça t’a plu ?— Heu je... oui ; c’était, euh...C’est tout ce qu’elle arrive à articuler, mais ce petit "oui" m’incite à aller toujours plus loin.— Dis-moi, Emma, ça te plairait de me voir lécher le minou de ta copine, juste pour voir comment on fait ?— OUI !
La réponse fuse de la bouche de Cindy comme un éclair ; ça ne m’étonne pas, tant cette fille semble aimer le sexe. Ce qui m’étonne le plus (et m’excite), c’est la façon dont Emma, elle aussi, me hurle presque le "oui" ! Cette réponse un peu soudaine a dû lui échapper, car elle se met immédiatement à rougir et à détourner le regard, visiblement gênée. Bref, je dépose un bisou sur la joue de Cindy, lui demande de se lever et de retirer son jean, ce qu’elle fait très sensuellement. Ensuite, je demande à la miss maintenant simplement vêtue d’une paire de chaussettes et d’une petite culotte de s’allonger sur la table basse, à seulement quelques centimètres d’Emma, et je me lève à mon tour pour la rejoindre.
Je me mets à genoux près de Cindy et, très délicatement, je fais glisser le long de ses cuisses le morceau de tissu trempé de luxure. Elle lève légèrement les jambes pour me faciliter la tâche et je prends tout mon temps pour lui retirer sa culotte d’une main, pendant que l’autre lui malaxe tendrement la poitrine. C’est trop drôle : Emma est tellement penchée en avant qu’elle est à deux doigts de basculer ; la seule façon qu’elle aurait de moins cacher son excitation serait de baver, sans doute. La culotte de Cindy finit sa course en tombant sans un bruit au sol, et mis à part sa paire de chaussettes, elle est complètement nue. Alors, d’un mouvement toujours aussi sensuel, elle se met à lentement écarter les cuisses dans un grand écart digne d’une gymnaste accomplie ; ce qu’elles sont toutes les deux d’ailleurs, me fait-elle remarquer en gloussant.
Son petit abricot est d’une rare beauté, tout simplement parfait. Je sens ma chatte s’humidifier de plus belle et mes tétons durcir ; j’ai une folle envie de me masturber, mais je résiste pour le moment : j’aurai besoin de mes deux mains pour m’occuper d’elle. Je jette un coup d’œil à Emma qui, à mon grand plaisir, a maintenant la main dans son short et semble enfin prendre un peu de plaisir, puis reviens à Cindy et lui dis :
— Ne sois pas aussi timide, mon amour ; fais-moi voir comme tu es belle.— C... comme ça ?
Ça doit être la première fois qu’elle fait voir autant de son intimité à quelqu’un, mais elle se débrouille très bien. De ses deux mains, elle m’ouvre alors lentement son adorable minou. La façon dont ses lèvres sont généreusement écartées de part et d’autre fait ressembler sa chatte à un cœur, un joli petit cœur bien rose. J’approche mon visage de cet amas de chairs perlées de désir et hume son délicieux parfum.
— Hmmmm, ça sent tellement bon entre tes cuisses, Cindy... Tu me rends folle !— Me... merci. Lé... léchez-moi maintenant, s... s’il vous plaît !— Avec grand plaisir, ma douce.
Je place mes mains sur ses cuisses et les maintiens bien écartées pendant que Cindy, toujours en m’ouvrant bien grand sa fente, me supplie presque de la brouter. Je donne un premier coup de langue et en savoure chaque instant. Elle gémit et me dit qu’elle m’aime. Je crois qu’elle me dit tout un tas de choses mais je n’entends rien, trop occupée que je suis à lui manger la chatte et à me régaler de son délicieux nectar. Le goût de cette petite cochonne m’enivre et je m’abandonne maintenant totalement à mes pulsions.
— Cindy, mon poussin, tu savais que le clitoris est l’organe le plus innervé chez l’être humain ?— Haaaaaaan, non je... je... ahhhhhhhh !— Et toi, Emma, tu le savais ?— In... innervé ? Non, je ne... je...— Innervé, ça veut dire qu’il est le plus sensible, mon cœur ; et lorsqu’il est correctement stimulé, il déclenche l’ouverture et la lubrification du vagin. Regarde.
Je joins le geste à la parole. De mon pouce je commence à doucement caresser et à titiller le clitoris de Cindy ; l’effet est immédiat ! Son sexe se met abondamment à mouiller, se dilate et s’ouvre en grand, telle une jolie fleur en train d’éclore. Son corps ne me fait pas très subtilement comprendre qu’il est prêt pour sa première pénétration... et Dieu sait que c’eût été avec un grand plaisir que je me serais acquittée de cette noble tâche si j’étais correctement équipé, mais ce n’est hélas pas le cas.
Je n’ai pas d’autre choix que d’utiliser mes doigts pour satisfaire la demoiselle en chaleur, mais elle ne semble pas déçue le moins du monde si j’en crois par la façon démentielle dont elle atteint l’orgasme lorsque je m’insinue en elle. Je la doigte avec vigueur, la lèche avec délectation, lui titille le clito d’une façon experte et alors Cindy jouit. Elle jouit fort, elle jouit comme seule une ado sait le faire, de façon presque exagérée, sans réussir à contenir son extase. Elle se tortille dans tous les sens et hurle de bonheur tout pendant que je me régale de sa jouissance et de son plaisir.
— Oh, Emma ! Si tu savais à quel point la chatte de ta copine est délicieuse ! Je n’arrive pas à croire qu’avec une telle amie tu ne sois pas devenue lesbienne plus tôt.— Lesb... mais je ne suis pas lesbienne, je... C’est juste que, euh...— Voyons, ma belle, il n’y a pas de honte à être attirée par les femmes, tu sais.— Mais non, j... nous ne...
Je ne sais pas si c’est dû à ma profession de psychanalyste ou si j’ai simplement un esprit tordu, mais sa confusion me fait sourire et m’excite. De son côté, Cindy est tout bonnement au bord de l’évanouissement, étendue sur la table basse, jambes écartées, bouche ouverte en un sourire béat et les yeux fixant le plafond. Je crois que la miss a eu son content de jouissance, et même un peu plus. Ça tombe bien, car autant j’aime donner du plaisir à mes partenaires, autant j’aime en recevoir ma part également.
Je me lève sans un bruit, me dirige vers mon bureau, attrape la bouteille de gin et me sers un verre que j’avale d’un trait. Je commence alors à déboutonner et à retirer mon blazer. Les regards des filles sont braqués sur moi ; même Cindy fait l’effort – malgré sa fatigue évidente – de prendre une position assise afin de profiter de mon effeuillage. Je retire également mon haut, puis fais de même avec ma jupe que je laisse lentement descendre le long de mes jambes par de petits et sexys mouvements du bassin.
Je ne porte plus que mon soutien-gorge, mes bas, mon porte-jarretelles et mon string. Sans oublier mes talons aiguilles. Je ne dis rien ; je me contente de rester là, debout, appuyée contre mon bureau le temps que les filles puissent se rincer l’œil à loisir. Je vide alors ma bouteille de gin en me servant un autre verre, en bois une gorgée, puis du doigt je fais signe à Cindy de venir me rejoindre.
Cindy s’approche, et malgré le fait que je vienne tout juste de la faire jouir à répétition en lui léchant et en lui doigtant le minou, elle est toute penaude. Elle donne l’impression d’un gosse sur le point de se faire gronder, mais c’est sûrement dû à l’air sévère que j’adopte toujours lorsque je suis sur le point de me faire brouter. « Ça doit être mon côté dominatrice… » me dis-je en souriant intérieurement.
— Tu as aimé la façon dont je t’ai donné du plaisir avec ma langue et ma bouche, mon cœur ?— Ou... oui, beaucoup. Je... C’était très bon.— Alors, tu ne vois pas d’inconvénient à me rendre la pareille je suppose, n’est-ce pas ? Retire mon soutien-gorge et lèche-moi les seins, ma douce, dépêche-toi !—Vous lécher les... euh... oui, oui Madame.
D’une main un peu fébrile, elle passe ses mains derrière mon dos et dégrafe mon soutien- gorge du premier coup ; puis, en saisissant les bretelles aussi délicatement que si c’était la chose la plus précieuse au monde, elle le retire et le pose sur le bureau.
Elle a des étoiles dans les yeux en contemplant ce que je lui dévoile, ce qui me surprend un peu à vrai dire. De l’avis de tous (et surtout de mes conquêtes féminines) j’ai une très belle poitrine : mon honnête 85C fait tourner pas mal de têtes, je dois l’avouer ; mais avec une copine comme Emma et sa paire de miches à faire pâlir la plus siliconée des actrices pornos, je pensais qu’elle serait un peu plus blasée que cela.
C’est trop drôle ; Cindy semble avoir le cul entre deux chaises, si j’ose dire. Les mains tremblantes et son regard allant d’un sein à l’autre constamment, j’ai l’impression qu’elle ne sait tout simplement pas par lequel commencer. À en juger par la détresse lisible dans ses yeux, je crois qu’à ce moment précis son vœu le plus cher serait d’avoir deux bouches et quatre bras. Elle hésite encore un peu et finit par se jeter sur un de mes mamelons gonflés qu’elle se met à embrasser puis à lécher avec gourmandise. La jeunette s’en sort sacrément bien, je dois dire, et reproduit à la perfection les coups de langue que je lui ai donnés quelques minutes plus tôt en finissant carrément par me sucer le téton comme si elle espérait y trouver du lait à l’intérieur. Je la sens le titiller du bout de sa langue, je sens ses douces lèvres sur ma peau et je sens ses dents qui m... AÏE !
— Doucement, ma puce : j’ai des tétons extrêmement sensibles, tu sais…— Je... je suis désolée, je me suis laissé emporter. Je vous ai fait mal ? — Un peu, mais rien de bien grave. Continue, mon cœur, tu te débrouilles très bien. Lèche l’autre, maintenant ; mais en douceur.
Sa bouche passe alors sur mon autre sein, qui subit lui aussi le même assaut de caresses et de savoureux coups de langue. Je sens le plaisir monter en moi et m’envahir petit à petit ; je gémis à mon tour, je me sens défaillir, je... Tout à coup, une étrange sensation dans le bas du ventre me fait baisser les yeux. Cindy, son regard plongé dans le mien, est comme dans l’attente de mon approbation. Elle a sa main dans mon string et me trifouille timidement le sexe. C’est maladroit mais, mon Dieu, que c’est bon ! Lorsque je la sens enfoncer sa petite main presque entière dans ma chatte, je suis sur le point de la féliciter pour son audace, mais là elle me coupe l’herbe sous le pied :
— Je euh... Est-ce que j... J’aimerais euh... bafouille-t-elle.— Tu as envie de me lécher le minou ; c’est ça, mon petit cœur ?
Elle me fait oui de la tête.
— Alors, mets-toi à genoux et régale-toi, ma belle.
Je retire mon string que je balance nonchalamment en direction du divan, m’assieds sur le bureau et écarte les cuisses comme jamais je ne les ai écartées. Je mouille comme une écolière à l’idée de me faire brouter par ce joli brin de fille, et ça a l’air de ravir cette dernière.Encore une fois comme pour mes seins, Cindy reste en admiration devant ma chatte et ne semble pas sur le point de commencer tout de suite. Le visage à quelques centimètres de ma fente, elle commence à humer cet enivrant parfum de femme.
— Ça donne l’eau à la bouche, pas vrai, Cindy ?— Oh oui, Madame Katherine, ça... ça sent si bon...— Qu’est-ce que tu attends, mon ange ? Une invitation peut-être ?
Sur ces mots, j’écarte mes grandes lèvres et lui révèle tout de moi. C’en est presque indécent, et quelque part j’ai honte d’être aussi excitée. Je mouille tellement que mon désir coule littéralement le long de mes cuisses en se répandant sur le bureau. Voilà l’effet qu’elle me fait, ou l’effet qu’elles me font, devrais-je dire. Je n’ai pas le temps de réfléchir plus que cela : je sens la langue de Cindy qui se met à explorer et à lécher ma chair rose. Une première fois hésitant, puis vient un deuxième coup de langue plus sûr de lui ainsi qu’un troisième, et enfin... Et enfin les choses sérieuses commencent !
À poil et à genoux, Cindy me mange la chatte avec délice, sa langue passant dans chaque coin et recoin de ma fente humide. Oh, mon Dieu ! On ne ma jamais léchée de cette façon ; il y a un tel entrain dans la façon dont elle me broute que j’en ai du mal à croire quelle soit vierge et sans aucune expérience en matière de sexe. Je suis émerveillée de la voir lécher si consciencieusement chaque millimètre de ma chair moite et de se délecter de chaque goutte de plaisir ruisselant de moi. Plus les minutes passent, plus la miss semble apprendre à donner du plaisir au fur et mesure que sa langue s’enfonce toujours plus loin dans ma chatte. Bien sûr, ses coups de langue restent somme toute assez malhabiles, mais je suis dans un tel état d’extase que je pourrais difficilement prendre un plus grand pied, même avec une professionnelle en cunnilingus.
— Oh, c’est ça ! Oh oui, mon amour ! Ja... Jamais je n’avais pris autant de plaisir en me faisant manger la chatte, Cindy ; tu es tellement douée... je... ahhhhh, vas-y, continue de me... ANHHHHHHH !!
Cette fois-ci je ne gémis plus, je me mets carrément à crier ; cette petite salope vient de rentrer trois de ses agiles petits doigts en moi tout en se remettant à me dévorer le con avec deux fois plus d’entrain ! En règle générale, je ne suis pas facilement satisfaite ; mais là, je suis au bord de l’explosion ! Ses coups de langue sont maintenant presque parfaits et je sens que je ne vais pas tarder à jouir ! Je lui attrape la tête par les cheveux et la force à retirer ses lèvres de ma vulve. Elle se pourlèche les babines et je lis dans ses yeux qu’elle a une petite idée de ce qui va suivre…
— Ouvre la bouche bien en grand, Cindy : avec moi, tu vas pouvoir réellement étancher ta soif de plaisir.
Elle obéit avec un grand sourire et c’est à peine à deux ou trois centimètres de mon sexe, la bouche ouverte et la langue pendante, que Cindy attend patiemment son dû. Son envie crève les yeux : elle n’attend que ça. Je me mets alors à me masturber frénétiquement en la fixant bien dans les yeux ; à cet instant précis, je me dis que s’il y a bien quelque chose qui peut accélérer la montée de mon plaisir, c’est une jeune fille à genoux devant moi, la bouche grande ouverte, prête à recevoir mon orgasme avec délectation. C’en est trop ; je jouis. Je jouis comme une démente et hurle à pleins poumons. Soudain, un incroyable jet de bonheur jaillit et éclabousse le visage angélique de Cindy. Elle ne bronche même pas ; au contraire, un seul regard me fait comprendre que cette vicieuse est prête à s’essayer à tous les délices, même les plus dépravés. Alors, jambes écartées, je me positionne au-dessus d’elle et je me laisse aller en déversant toute ma jouissance dans la bouche de la jeune fille.
Sa bouche se remplit de mon nectar qu’elle avale avec délectation gorgée après gorgée. Rarement j’ai atteint dans ma vie un tel niveau d’extase, et jamais je n’avais joui avec une telle abondance auparavant. Mais surtout, jamais je n’avais rencontré quelqu’un aimant tant se régaler de mon jus de minou. Cette petite est une perle rare, et elle a soif de sexe ! Littéralement !
Je continue de me masturber et de lui remplir la bouche tandis qu’elle, de son côté, continue de boire ma cyprine tout en se masturbant également. Nul doute qu’aux yeux d’Emma, cette scène torride doit lui sembler d’une rare beauté. Ou d’une rare perversité, c’est selon...
Mon jus de femme coule à flots et Cindy ne semble pas être tout à fait rassasiée. Elle est toute trempée, encore une fois littéralement. Elle est recouverte de mon plaisir, de ma féminité.Mais arrive le moment où la source de plaisir se tarit ; combien de temps a duré mon orgasme ? J’ai l’impression de jouir depuis au moins une heure ! Adossée contre le bureau, les jambes tremblantes et le cœur palpitant, je tente de reprendre mon souffle après cette déferlante de luxure. Cindy, maintenant repue, me regarde avec un air béat mêlé d’envie. Cette petite cochonne en veut encore ?!
— Petite coquine... Tu peux continuer de me lécher ; mais lentement, s’il te plaît. J’ai besoin de quelques minutes pour me ressaisir, dis-je entre deux halètements.— Oh, merci beaucoup, Madame !— De rien, ma jolie ; mais tu peux m’appeler Katherine si tu en as envie.— Avec plaisir, Mad... euh... Katherine !
Décidément, cette minette est incroyable : je pensais qu’elle aurait du mal à contenir sa furieuse envie de me manger le minou mais, à ma grande surprise, elle se met à me lécher et à me doigter avec douceur et délicatesse. C’est bon... bon et apaisant ; tout ce qu’il me fallait pour me remettre de mes émotions. En fait, c’est même si bon qu’il est fort probable que la miss ait droit à une deuxième tournée plus vite que prévu. Fermant les yeux, je me cambre en arrière sous les spasmes de plaisir que me donne le doux cunnilingus de Cindy, me disant que rien ne pourrait me combler davantage à cet instant précis que sa délicieuse petite bouche.
Enfin, c’est ce que je crois, jusqu’au moment où je me tourne vers Emma. Vautrée dans le divan, plus de short, jambes généreusement écartées, elle a la main dans sa petite culotte et se donne visiblement beaucoup de plaisir. Je parlais tout à l’heure de scène torride ; eh bien en voici un parfait exemple. Elle se masturbe d’une façon incroyablement sensuelle, son corps aux mensurations de rêve ondulant au rythme de ses langoureuses caresses. Je me sens ragaillardie à la vue de ce somptueux spectacle ; j’écarte un peu plus les cuisses, et je sais que Cindy comprend aussitôt le message lorsque j’entends de nouveau ces obscènes bruits de succion de sa bouche sur mon sexe. Mais surtout, je remarque que de son autre main elle porte quelque chose à son visage ; j’ai l’impression qu’elle renifle quelque chose... Oh !
— Il te plaît mon string, Emma ? demandé-je sans cacher mon amusement.— Je euh... je suis désolée, je ne sais pas ce qui m’a pris… me répond-elle avec un joli teint rosé.— Et si tu venais ici rejoindre Cindy ? Il y a assez de place pour vos deux bouches entre mes cuisses…
Je devrais avoir honte de moi, car à défaut d’avoir un grand sens moral, j’ai toujours eu beaucoup de conscience professionnelle, et nous avions convenu que je devais simplement mettre Emma en condition pour sa mère. Je savais depuis le début que ça ne serait pas facile de résister à la tentation, et je m’y étais préparée. Mais la voir à moitié nue, la main dans la culotte et à deux doigts de succomber à mes charmes fait légèrement vaciller ma volonté, je l’avoue. Nous nous regardons l’une l’autre, moi en souriant et elle en se mordillant la lèvre inférieure lorsque soudainement, juste après avoir humé une dernière fois mon string – comme si cela l’avait finalement décidée – elle se lève et se dirige lentement vers moi.
Elle arrive presque à ma hauteur lorsque la porte de mon bureau s’ouvre inopinément. Patricia, ma secrétaire, nullement gêné à la vue des filles dénudées fait irruption. Pour mon plus grand malheur ! Emma semble retrouver toute sa pudeur d’un seul coup et remet son short à la vitesse de l’éclair. Cindy, elle, continue de me lécher sans prêter attention à ce qu’il se passe.
— Comme vous le voyez, Patricia, je suis en plein milieu d’un rendez-vous.— Je suis désolée, Docteur, mais madame Jeanne Evans est en salle d’attente et demande sa fille.— Maman est ici ! Mais je... je ne... Oh, mon Dieu ! crie presque Emma, toute paniquée.
Bon, je ne peux pas vraiment en vouloir à Jeanne de ne pas m’avoir fait confiance, mais je suis tout de même quelque peu déçue de la tournure que prennent les événements ; néanmoins, je pense que la séance a été plus que constructive. Après quelques instants passés à rassembler ses affaires, Emma se tourne vers Cindy, toujours nue.
— Cindy, dépêche-toi, voyons ! Si ma mère te voit comme ça, on va avoir des probl...— Je crois que je vais rester un peu plus longtemps, répond Cindy en lui coupant la parole.— Quoi ? Mais... mais comment tu vas faire pour rentrer si...— Ne t’inquiète pas pour Cindy, mon cœur : Patricia et moi allons bien nous occuper d’elle. Et nous la ramènerons bien évidemment chez elle lorsque nous en aurons terminé.— Euh, d’accord ; mais, euh... balbutie Emma.— Contente-toi de rentrer, Emma, et surtout n’oublie pas ce dont nous avons parlé ici : il ne tient qu’à toi de montrer à ta mère à quel point tu l’aimes.
Sur ces paroles Emma, finit par partir sans dire au revoir ni à moi, ni à Cindy. Patricia referme la porte derrière elle.
Nous nous occupons en effet très bien de Cindy, la fête se finissant même chez moi. Il n’empêche que de toute la soirée, c’est seulement à Emma que je pense ; il me tarde de la revoir après qu’elle se soit un peu dévergondée. Peut être lors d’une autre consultation, qui sait ?
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