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emmanuelle

Chapitre 4

SM / Fétichisme
Elle reprit la chaussure en main, l’usant sur elle même plus profondément que je ne l’osais. J’avais envie de la lécher encore. Alors je me suis approchée, la tête entre ses jambes, le visage cerné par ses cuisses. Elle se masturbait. Je la léchais. « Embrasse-moi » je me suis hissée jusqu’à elle en rampant sur son corps afin d’obtenir un baiser encore plus impudique et fougueux que les autres. Nos visages voisins, nos bouches séparées de quelques centimètres, les yeux brillants, nous nous comprenions, nous lisions dans les pensées l’une de l’autre. « On va jouir ensemble tu veux bien » lui dis-je n’en pouvant plus de retenir mon plaisir. Avant de me répondre, elle fit remonter le soulier de mon sexe à ma bouche en suivant le contour de mon corps, et, lorsqu’elle pouvait me regarder, le cuir si proche de mes lèvres, je l’entendis me susurrer « lèche-le ». Le cuir me tentait. Il brillait. Il avait cette odeur. Et nos parfums respectifs s’imprégnaient au cuir. Je l’ai léché. Une seule fois. Une petite fois. Pour lui obéir. Pour me faire plaisir. Juste avant de glisser deux doigts en elles. Pour la première fois de ma vie, mes doigts fouillaient une autre chatte que la mienne. Je sentis ses muscles se contracter, elle se rapprochait de la jouissance qui venait de m’étreindre.
Nous nous regardions dans le blanc des yeux. Le bleu contre le marron. Nous n’osions plus nous embrasser de peur de perdre l’autre de vue. J’imaginais l’image que pouvait donner mes trois doigts en train d’aller et venir en elle. Je sentais bien sa main caresser mes fesses depuis un moment mais quand elle glissa un doigt entre elles pour pénétrer mon orifice de chienne, j’ai cru que j’allais la remercier à voix haute d’avoir deviné ce qui me manquait. « Tu aimes ça aussi ? », « Ça me rend folle » répondis je en gémissant : le doigt m’avait délaissé pour un autre, plus gros, son pouce, je le pense maintenant, parce que tout en me pénétrant, elle continuait de caresser mon sexe. J’ai joui entre ses mains tandis qu’elle jouissait entre les miennes. Nous ne pouvions plus parfaite harmonie pour une première fois ensemble.Ce matin, ou plutôt ce midi, nous avons été réveillées par Florence qui rentrait. Me croyant seule, elle nous surprit dans le même lit une place, nues, enlacées, les vêtements en chantier autour du lit comme ceux qui dans le salon l’avait énervée pour leur désordre. Elle s’excusa d’un pardon discret et quitta immédiatement la chambre visiblement désappointée de surprendre deux amies d’enfance ainsi agencées.J’ai regardé Frédérique. J’avais un peu peur de sa réaction. Nous avions beaucoup bu. Mais ses yeux étaient les mêmes. Tendres. Rieurs. J’ai lu dans son regard que ce qui nous unissait maintenant ne la gênait pas plus que cela ne me posait de problème. « Bonjour » dit-elle en souriant. Je répondis « Bonjour » doucement. Puis j’ai posé la question par acquis de conscience. « Comment on fait ? ».Elle me répondit « Comme ça » : ses lèvres déposèrent sur les miennes un baiser chaste.J’avais très mal à la tête. Elle aussi. Nous avons parlé. Pourquoi ? « Parce que j’en avais envie. J’ai pensé que je ne voulais pas essayer avec une autre femme que celle qui a toute ma confiance ». « Tu aurais pu m’en parler avant ? », « Tu crois que ça aurait été pareil ? », « Non, ça n’aurait pas été aussi bien » s’accorda-t-elle à dire. Maintenant, nous sommes amies. De tendres amies. Et nous nous sommes jurées de nous revoir comme hier soir lorsque l’on en aurait envie. Sans boire. Et sans être gênées. Parce que nous aimons tous les deux, et je l’ai découvert cette nuit, partager nos corps.Lundi 3 mai 2013Aujord’hui, avant-dernier jour de repos avant de reprendre le boulot, je me suis réservée la journée de la soumise. Avec plein de défis en tête, l’esprit bouillonnant d’autres envies et de souvenirs.Ce matin déjà, la journée s’annonçait belle à Paris. Belle et chaude. Je suis allée sur les Champs. En journée, j’aime bien ce quartier. L’ambiance y est différente du week-end. Plus branchée, plus chic, plus touristique.Je n’étais habillée ni en touriste, ni en parisienne. J’étais vêtue bizarrement, portant la tenue du défi. Le premier de la journée qui ne serait qu’une succession de changements de tenues et de jouets.En dessous d’une mini-jupe moulante et très courte, en coton blanc, je portais un porte-jarretelles. Arborer serait le verbe plus approprié. En effet, en m’habillant devant la glace ce matin, j’ai vérifié ce que dévoilait la position assise : la naissance des bas et selon un certain angle, la fixation jarretelle située vers l’intérieur de la cuisse. La jarretelle se devine d’autant plus aisément que l’ensemble noir tranche sur la blancheur de ma peau mais ne transperçait néanmoins pas l’opacité de ma jupe. Pour le haut, j’optais pour une brassière en dentelle blanche qui laisse le nombril apparent et pour un soutien-gorge balconnet noir en dessous. Sage, pudique mais sous un tel haut, il ne pouvait que stigmatiser les regards sur ma poitrine.Après la torture du trajet, je me suis assise avec plaisir sur un banc près du rond point des champs, optant pour un banc en bordure de l’avenue matignon. J’aurais pu aller dans le parc mais c’eut été moins amusant de montrer mes jambes gainées de blancs et mes talons hauts aux yuppies du coin.J’avais deux sacs aujourd’hui avec moi : un sac petit à main, et celui que j’utilise habituellement, le fourre-tout magique. J’ai profité du la protection du petit sac posé sur les cuisses pour glisser sous le coton ma main et glisser en moi la première petite boule de geisha. Je me suis levée et me suis mise en quête d’une cabine téléphonique. Je suis remontée sur l’avenue des champs et j’ai choisi une de ces cabines design, opaque, qui est ouverte sur la rue mais qui cache la partie face du corps.C’est difficile d’expliquer comment sont ces cabines si l’on ne connaît pas. Un tube où l’on s’abrite du vent et du bruit mais qui ne se ferme pas serait une bonne description. La, en faisant semblant de passer un coup de fil, j’ai remonté ma jupe sur le devant en glissant la main entre mes cuisses pour enfoncer la deuxième boule. Ça me fit du bien : d’abord je sentais mon jouet mieux ancré en moi et ensuite, je n’avais plus la peur que l’on aperçoive la ficelle qui jouait avec les limites de ma jupe.Je suis ensuite allée à la terrasse d’un café puis suis allée aux toilettes pour glisser le plug en métal en moi. Les fesses bien emplies, moulées par la mini jupe, je suis retournée exhiber mes jambes durant quelques minutes. J’ai repris le métro et suis allée au parc Montsouris.Il était presque midi : allongée dans l’herbe avec ma tenue exhibitionniste sophistiquée, les jambes dirigées vers l’allée du lac, je me montrais à qui voulait me voir. Puis j’ai décidé d’ôter les boules de ma chatte : pour se faire, j’ai recroquevillé les jambes, j’ai relevé ma mini jupe à l’arrière surtout, et j’ai tiré sur la ficelle pour extraire les boules en gardant les jambes, surtout les mollets, serrés le plus possible. J’ai ensuite pratiqué de même en expulsant le plug, devant m’aider de la main. Le métal posé sur l’herbe, je glissais une petite boule dans mon cul, laissant l’autre en dehors.J’ai rangé le plug dans le petit sac à main duquel j’ai sorti les grosses boules de geisha.J’ai hésité puis me suis résignée à accomplir ma destinée de soumise dévouée en glissant en moi, grimaçant car ce n’est guère facile jambe presque fermées, la première des grosses boules. En me relevant, réajustant ma jupe, j’ai pu voir ce que je craignais et imaginais : la deuxième boule était presque entièrement visible sous le niveau de la jupe et sous la boule pendait encore un petit bout de ficelle.J’ai vécu de longues minutes de marche au pas, je tenais le gros sac devant moi, tentant de protéger au mieux l’objet de ma gêne. Je devais avoir l’air ridicule à marcher comme ça, absolument pas naturelle, en plus, j’avais l’impression que tout le monde verrait la forme de la petite boule qui dépassait de mon trou de chienne. Je n’ai pas quitté la pelouse, regagnant une statue située au bord de l’allée et qui devait se trouver à 300 mètres de mon point de départ. Je me suis collée contre elle, côté pelouse, et en faisant semblant de chercher quelque chose dans mon gros sac posé sur la pierre, j’ai enfoncé la deuxième grosse boule dans ma chatte, dans une posture dénuée de grâce, mais je ne me suis pas posée de question, je devais la cacher rapidement car des gens s’approchaient.Agenouillée, le sac au sol, j’ai enfoncé la deuxième petite boule entre mes fesses et j’ai quitté le parc pour gagner le café qui se trouve en face de l’entrée secondaire.J’ai commandé et ai demandé au garçon si je pouvais aller aux toilettes en attendant. Là, j’ai changé de jupe, troquant ma mini jupe blanche opaque pour une jupe certes longue et noire, mais dont la transparence est légère : j’ai ressorti une boule de chaque orifice et ai regagné ainsi la salle pour aller prendre ma grenadine. Une boisson d’enfant pour une petite salope dont on pouvait deviner sous la transparence noire à la fois le porte-jarretelles et les boules. Bien sûr, il fallait être près. Bien entendu, je devais éviter de me retrouver en contre-jour. Mais c’était excitant de me dire que j’allais peut être semer le doute. Toujours jouer l’ambigüité. C’est le doute qui est excitant. Pour celui qui regarde et celle qui s’exhibe.J’ai repris le métro pour aller déjeuner avec un copain de fac. Montsouris – Italie n’est pas un long trajet mais j’avoue que je me suis sentie mieux protégée par un jean. En effet, arrivée à Italie, je suis allée me changer dans des toilettes publiques : disparue la transparence, j’étais nue sous mon jean, sans porte-jarretelles et bas mais avec le plug en métal de nouveau entre les fesses.J’ai déjeuné avec Pascal, un fast food (pouah, j’ai perdu l’habitude). Puis, après nous être quittés, je suis retournée à l’intérieur du fast pour aller me changer aux toilettes. Encore. Et toujours !
Journée non stop ou presque. J’étais très excitée. Déjà. Et il me restait tant à accomplir. J’ai remis la jupe légèrement transparente après avoir changé le plug en métal qui brulait mon orifice de chienne pour le plug moyen en latex caressé par ma langue au préalable. Le cul bien rempli, l’anus dilaté, les fesses séparées par la base du plug, la culotte en latex à fermeture éclair par-dessus, je suis ressortie pour reprendre mon chemin.Je suis retournée au parc Montsouris, mais cette fois-ci, à pied. Je suis arrivée fatiguée, en sueur sous le latex, les cuisses ruisselantes, le cul brisé par le plug. Je me suis assise sur un banc, ai profité d’un moment de tranquillité pour ouvrir la fermeture éclair de la culotte en glissant ma main sous la jupe tout en restant assise, puis me suis relevée après une pause de cinq minutes. J’ai marché jusqu’à une allée secondaire, un peu ombragée, très calme, je me suis mise dans un renfoncement du muret, je devenais ainsi partiellement protégée par la végétation, tout en étant face au muret qui donne sur la voie de chemin de fer désaffectée, j’ai remonté ma jupe pour glisser en moi la première petite boule. La deuxième restait en dehors de mon sexe, en dehors du latex noir. Je suis ensuite sortie du parc pour aller dans les ruelles du côté chic du 14e arrondissement. En plein milieu de cette ruelle où ne se trouve que des maisons individuelles, je me suis mise sous un escalier en pierre, face à la maison, mais protégée des regards d’éventuels passants pour faire rentrer en moi la deuxième boule. Je suis retournée au café du midi, là où je m’étais déjà changée. Je suis retournée aux toilettes pour remettre la mini-jupe blanche du matin. J’ai ensuite retraversé tout Paris en métro pour me rendre au parc des Buttes Chaumont. Je dois avouer que les sièges du métro sont très inconfortables lorsque l’on porte une mini-jupe blanche avec un slip en latex noir en-dessous, particulièrement lorsqu’un plug vous remplit les fesses et que chaque secousse de la rame vous donne envie de grimacer.Arrivée, je me suis allongée dans l’herbe. Il y avait beaucoup de monde au parc. Il faisait beau et une douce chaleur régnait. Les gens étaient de sortie. Pourtant, je n’ai pas hésité à glisser mes mains sous ma jupe, la faisant remonter presque jusqu’à mon sexe pour retirer mon slip en latex. Comme si les autres n’existaient pas. En fait, je crois que j’étais tellement fatiguée qu’une sorte d’état second s’était emparé de moi. Je ne me suis pas cachée. Allongée, j’ai relevé mon bassin pour me libérer du latex. Mon geste ne laissait place à aucun doute. Je me suis agenouillée, et, en poussant, en faisant travailler mes chairs, j’ai expulsé le plug en latex d’entre mes fesses, le laissant se poser sur l’herbe sans que je ne l’aide, sans me cacher. Il n’y avait personne d’assez proche pour le voir. Mais c’était agréable de le faire.J’ai ensuite repris la route, je suis allée tout en haut de la butte, voir le panorama. Peu avant d’être arrivée en haut, après avoir regardé où se trouvaient les autres promeneurs par rapport à moi, j’ai ôté les boules de ma chatte pour me les enfoncer dans le cul, comme ça, en plein air, debout, un peu penchée, sans être vue, dans l’escalier. Je suis en suite redescendue, et je suis allée à la cascade dont je parlais l’autre jour. Là, dans la pénombre, entourée du bruit de l’eau, à proximité d’inconnus, je me suis assise sur une pierre, j’ai ouvert mes cuisses en grand pour glisser dans ma chatte trempée les deux grosses boules de geisha. Je ne pouvais pas être vue. Mais je devinais leur silhouette en contre-jour. C’était très excitant. Au même endroit, mais une fois redressée, j’ai ôté les petites boules et mis le plug en métal entre mes fesses.J’avais envie de me caresser. J’avais ma dose d’émotions. J’étais fatiguée. J’avais chaud. Les talons me faisaient mal aux pieds. Je suis rentrée ainsi remplie chez moi, priant le ciel que mon orifice dilaté par la largeur du latex ne relâche pas le petit mais pesant plug en métal. Et assise dans le RER, j’espérais à la fois qu’un homme ne remarque que je ne portais pas de slip… Mais je redoutais aussi qu’il voit l’impudique ficelle en coton qui dépassait de ma chatte.En rentrant, j’ai pris un bain tiède, presque froid et me suis caressée jusqu’à la jouissance en sortant. Le plus dingue, c’est que quelques minutes après m’être satisfaite, j’avais de nouveau envie de jouer. Je pense qu’il est temps que je recommence à travailler (sourire) !Mardi 4 mai 2013Je me suis levée tard aujourd’hui. J’avais besoin de récupérer de ma longue balade d’hier. Pieds, jambes, et je l’avoue gênée, mon trou de chienne aussi. Pourtant, dès que je suis sortie de la douche c’est bel et bien le plug moyen en latex qui devait venir séparer mes fesses. J’ai ensuite choisi ce que j’allais porter pour sortir : une mini-jupe en jean, un chemisier en coton blanc très simple, et pas de slip pour protéger ma petite chatte fraichement rasée pour être parfaitement lisse.Petit sac à main, veste en jean, et hop, partie, sans même avoir déjeuné. Direction : les magasins. Je suis allée aux Galeries Lafayette. J’adore cet endroit. Je l’ai toujours aimé. Pour son luxe, son côté décalé. On a l’impression d’être ailleurs. Je ne voulais qu’une chose : une vendeuse de chaussures et des talons très hauts. J’avais déjà aux pieds mes souliers blancs de douze centimètres.Trois fois, j’ai demandé la même chose : « je voudrais des chaussures dans le même style, mais avec des talons plus hauts » demandais-je très sure de moi. Le plus incroyable, et c’est ce qui m’étonne, c’est que je me sentais aussi très sure de moi en étant assise face à la vendeuse agenouillée : pour qu’elle m’aide à chausser les souliers, je desserrais les jambes, je lui tendais. La première était idiote. Elle ne remarqua rien. La seconde, elle, vit dès son premier regard que je ne portais rien sous la jupe. Je l’ai vue à son air gêné et à sa manière de ne plus rien regarder dans cette direction ensuite.Pourtant, celle avec laquelle je me suis le plus amusé fut la dernière : elle, je le crois, remarqua aussi la justesse de ma jupe et mon entrejambe. Mais on fit semblant de rien l’une et l’autre. J’ai essayé plusieurs paires de chaussures avec elles. J’adorais la voir lutter pour ne pas regarder lorsqu’elle usait de son chausse pieds pour placer le cuir sur moi. Mais parfois, elle craquait, comme pour vérifier si elle avait mal vu. Ce qui était doublement délicieux sur son stand, c’était la présence d’un miroir en face de mon siège. Ainsi, lorsque j’attendais qu’elle revienne avec une autre paire, je pouvais voir la chatte que je lui proposais et mieux doser l’écartement ou la posture de mes jambes.Je fus si satisfaite de l’attention qu’elle m’a porté que j’ai finalement craqué pour une paire : talons hauts noirs, dans une matière qui me rappelle le daim, très chic et surtout… des talons assez fins qui mesurent 15 centimètres. « C’est assez rare de voir une jeune femme porter des talons aussi hauts » me fit-elle remarquer. « Je suis une exception » lui ai-je répondu. « Et pas uniquement pour ça ! » ai-je ajouté. Elle a répondu d’un sourire qui me ravit.J’ai ensuite changé d’étage pour celui des vêtements. Je voulais essayer une jupe. Très sexy. J’ai vu un stand très « hip » comme on dit maintenant avec une mini-jupe en vinyl. J’ai demandé à la jeune vendeuse si je pouvais l’essayer. Et alors que je devais l’essayer, j’en ai profité pour glisser les petites boules de geisha entre mes cuisses. Et suis ressortie après avoir essayé la jupe qui ne me plaisait pas. D’ailleurs, en l’essayant, le plug m’échappa et tomba au sol, le sol qui n’était pas masqué par le rideau. Je ne me suis pas affolée, je l’ai ramassé après avoir regardé comment m’allait la jupe et après avoir remise la mienne. Maintenant, en plus de l’angoisse de perdre le plug, un petit nœud en coton de cinq centimètres sortait de ma chatte. On ne pouvait le voir que si je m’asseyais.Or, lorsque je me suis assise, c’était au cinéma. Quand le film a commencé, j’ai déboutonné la jupe et me suis contorsionné pour l’enlever. Un homme en retard est venu s’installer juste derrière moi quand j’enlevais le plug pour le remplacer par les petites boules. J’attendis qu’il se soit bien installé, qu’il ait commencé à s’imprégner du film pour continuer : les petites boules pour le cul, les grosses pour le sexe : ca m’excitait d’écarter les cuisses en pleine salle pour sentir ces énormes boules violer mon intimité. J’ai ensuite remis ma jupe, difficilement, lentement pour ne pas me faire remarquer, avant de poursuivre : j’ai ouvert mon chemisier, complètement déboutonné, l’ouvrant sur mes seins qui, je ne l’avais pas précisé, étaient privés de soutien aujourd’hui. J’ai posé sur chaque mamelon les pinces mordantes munies de poids pour toute la durée du film. J’ai remis un bouton sur deux, refermant le chemisier sur ma silhouette modifiée par les poids.Je suis partie avant la fin du film. D’abord mes seins me faisaient souffrir et j’avais du mal à fixer mon attention sur le film, ensuite, il était relativement nul, même très nul.Et puis je voulais une chose : regarder mes seins dans la glace des toilettes des dames. J’ai quitté la salle et tout le chemin qui me séparait des toilettes soit un long couloir et le hall principal, je l’ai parcouru sans remettre ma veste, affichant la forme des poids sous le chemisier. Et une fois là bas, j’ai ôté les pinces en faisant un petit pipi mérité et suis allée voir dans les parties communes, dans la grande glace, l’état de mes seins : rouges, mamelons écrasés, marqués. J’adorais cette sensation. J’ai du cesser de m’examiner parce que la porte s’ouvrit. J’eus juste le temps de me redresser et de mettre le coton devant ma poitrine avant de reboutonner le chemisier une fois seule.En rentrant, le mouvement des seins libres sur le coton me faisait doucement souffrir. Un délice !J’ai conservé cette tenue jusqu’à ce que Florence ne rentre. Nous avons dîné ensemble, événement, et, parce que cela m’excitait, je me suis mise à l’aise, en me vêtissent uniquement d’un long tee shirt qui arrive à mi-cuisses. Juste à l’endroit où descend la ficelle des grosses boules de geisha.Pendant le dîner, Florence s’est excusée pour dimanche. Nous n’en avions pas reparlé. « Ce n’est pas grave, je n’avais pas l’intention de le cacher de toute façon, on a rien fait de mal après tout » lui dis-je pour la rassurer. « Je ne te connaissais pas cette liberté d’esprit » m’a-t-elle avoué soulagée. « Tu sais, je crois que ce que je vis depuis quelques temps change pas mal la manière dont je vois les choses et je crois que tu n’es pas au bout de tes surprises avec moi, mais la prochaine fois, sois gentille, frappe avant d’entrer tu veux ? ». Accord obtenu ! Et promesse d’autres maladresses de ma part. Maladresse et oubli indépendant de ma volonté bien entendu…Mercredi 5 mai 2013Je suis finalement allée voir mon médecin ce matin et pas hier comme je l’avais initialement prévu. Je suis ensuite allée au bureau pour reprendre. Dur Dur ! Même pour une journée un peu plus courte que les autres. J’ai un boulot dingue qui s’est accumulé. Ça m’a fait drôle de ne rien faire de pervers de toute la journée. Oh bien sûr, je ne portais qu’un string blanc en dentelle sous ma robe en laine de couleur gris clair, sans prendre la peine d’offrir à ma poitrine le soutien inconditionnel qui m’aurait permis d’éviter de dévoiler à mon médecin la vue de mamelons martyrisés par les pinces. Moulée par la laine, j’aimais voir mon reflet dans le miroir : le string se distinguait très légèrement, étais-je la seule apte à repérer la dentelle disparaître entre mes fesses nues ou le dessin du téton ?Je pense qu’un de ces jours, j’irai le voir habillée en latex. Il faudra y songer sérieusement.En rentrant ce soir, j’ai souri en voyant posé par terre à côté du lit, ma barre d’écartement, laissée là ce matin par mes soins pour que Florence la voie. L’avait-elle vue ? Je l’ignore. Elle était rentrée tôt. Mais je ne pouvais pas lui demander. L’ordinateur étant allumé, elle était obligatoirement venue ici. Et je pense qu’on pouvait difficilement ne pas voir cet objet si évocateur de mes goûts.En manque de sensations fortes après m’être galérée dans les transports en commun en grève, j’ai eu envie de réaliser une envie née ce week-end. Bientôt 20 heures. L’heure à laquelle ferme la supérette du coin. Je me suis dépêchée : me suis déshabillée, ai pris dans la penderie un soutien-gorge et un slip en latex, les ai enfilés, ai chaussé mes nouveaux souliers, et, parce que j’avais envie de vivre une expérience nouvelle, me suis contentée de mettre mon imper argenté sur moi. Sans aucun vêtement. Florence m’a vue passée dans cette drôle de tenue. « Je vais chercher un truc, je fais vite »Quel plaisir de marcher avec ces chaussures exceptionnellement hautes. J’avoue que j’ai le pied dans une position assez inconfortable. En fait, entre douze et quinze, il n’y a pas seulement que trois centimètres d’écart. Visuellement, une étape est franchie. Mais aussi vis à vis de la position du pied et de la cambrure de la jambe.Il faisait encore bon dehors. Les personnes étaient habillées plutôt en printemps. Je me distinguais anormalement avec cet imperméable dont les reflets argentés ne passent pas inaperçus même en hiver. Mais quel délice de sentir ma peau devenir moite sous le latex. Quelle sensation magnifique de sentir l’air s’engouffrer sous l’imperméable, glisser sur la peau. Quel sentiment étrange que d’arpenter les rayons de ce magasin vêtue comme une pute. « La prochaine fois, je me maquillerais comme une vraie putain » ai-je pensé en faisant la queue à la seule caisse ouverte.
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