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emmanuelle

Chapitre 11

SM / Fétichisme
Elle m’envoya dans la chambre pour mettre ma tenue de soubrette en vinyl : tablier fermé dans le dos par une chaînette qui mord la taille et qui se ferme avec un petit cadenas, poitrine visible de profil et par le décolleté accentué par la fermeture par une autre chainette cadenassée aussi derrière la nuque. Le cul rouge bien visible, elle me fit me regarder dans la glace en me faisant remettre des souliers vernis, hauts talons de douze centimètres, puis m’envoya éponger mes saletés dans la salle de bains. En pleine nuit, j’ai passé la serpillière habillée en soubrette, sous son regard, et me mettant à quatre pattes lorsqu’elle en émit le souhait.Vendredi 21 mai 2013Je n’ai pas vu Frédérique de la semaine. Partie dimanche en Egypte, elle est revenue hier vendredi. Cette pause dans notre relation de moins en moins ambiguë m’a permis de me consacrer au job. J’ai ainsi retrouvé un rythme que j’avais perdu depuis un bon moment maintenant.Nous sommes samedi matin, il est neuf heures, et je suis déjà réveillée. Frédérique dort encore. Elle a passé la nuit et la soirée avec moi à l’appartement. Nos retrouvailles après cinq jours de manque. Je dois l’avouer, son corps m’a manqué. Dès son arrivée, nous nous sommes tendrement embrassées alors que Florence se trouvait avec nous, à l’autre bout du couloir. Nous en avions trop envie.Quelques minutes par jour au téléphone n’ont jamais remplacé le contact et le plaisir d’un baiser.Nous avons proposé à Florence de dîner avec nous. Elle a poliment décliné l’invitation. Ainsi, nous sommes allées à Paris pour dîner et nous balader. Alors que je n’avais pas joué de la semaine, Fred m’imposa la pressante présence du body en latex, ce fameux body qui laissait mes seins nus caresser le pull moulant qu’elle avait choisi pour moi. « On ne sait jamais, si ça se rafraîchit » avait-elle dit en souriant. Avec ce pull gris en coton et le body, il est vrai que je n’avais pas vraiment froid en ce début de soirée. Malgré l’aspect décontracté du jean, elle avait souhaité que je me chausse avec mes talons hauts de quinze centimètres. Parfois, durant la balade qui suivit notre dîner, Fred m’entraînait dans un coin sombre, une porte cochère ou une cour, pour m’embrasser tout en glissant une main sous le pull pour taquiner l’extrémité de mes seins. J’étais terriblement excitée. Trempée par la sueur et le désir. C’est sans doute ce qui me donna le courage et l’inconscience pour m’accroupir et lécher sa chatte après avoir relevé sa longue jupe fendue. Nous avons du arrêter et fuir à cause de personnes que nous entendions s’approcher. Mais plus tard, Frédérique profita d’un étroit et désert couloir du métro pour m’enlever mon pull. J’étais debout dans ce couloir, les bras croisés sur ma poitrine nue quand elle m’échangea sa lourde veste en cuir contre la protection du pull. A peine l’avais-je fermé que des usagers de la ligne passèrent en dévisageant les deux femmes que nous sommes, immobiles comme deux copines qui discutaient. « Montre-moi tes seins » me dit-elle doucement à l’oreille. J’ai eu un peu de mal à rouvrir la veste pour écarter les deux parties qui se fermaient sur moi, mais aussi de les maintenir ouverts alors que nous risquions d’être surprises.C’est alors qu’elle a sorti de son sac les pinces crocodiles achetées la semaine passée à la boutique. Sans me le demander, elle pinça le mamelon gauche puis le droit, déposant la chaîne qui reliait mes seins sans prendre la peine d’en stopper le cruel balancement. Elle referma ma veste alors que j’avais un peu de mal à reprendre mes esprits et quand les passages furent passés, elle fit le contraire afin de fixer à chaque pince un poids de 400 grammes.Grimaçante, j’ai refermé la veste en cuir sur moi et nous avons repris notre chemin. Non seulement je fus martyrisée par la marche et le mouvement des poids, mais la veste ne cachait pas entièrement le body en latex et son étrange matière. Quand nous avons été accostées par deux mecs profitant du RER pour nous draguer, je me sentais très peu à l’aise.Ensuite, alors que nous rejoignions seules mon appartement, Frédérique m’a taquinée en me disant qu’elle aurait dû profiter de ces deux types pour me regarder « en train d’être baisée ». Elle plaisantait mais je sais qu’au fond d’elle-même, l’idée de me voir me soumettre à cette chose aussi incroyable que gratuite l’excitait. « Etre baisée par deux mecs en même temps. Les sucer sous mon regard. » : je crois qu’elle va finir par réaliser ce fantasme.En rentrant, nous avons fait l’amour après que mes mamelons soient libérés de la terrible pression. Elle m’a fait l’amour sans m’enlever le body, jouant à glisser le plug entre ma peau et le latex.Et quand elle eut joui peu après moi, elle m’a interdit d’ôter le body. Je le porte encore. Je me sens complètement emprisonnée. Je suis bien.Samedi 22 et Dimanche 23 mai 2013Nous avons pris le petit-déjeuner ensemble. Avec Florence. Je portais un tee-shirt long par-dessus le body en latex où je baignais. Insolite, je me suis douchée avec Fred sans qu’elle m’autorise à ôter le body. Ainsi, elle ne lava qu’une partie limitée de mon anatomie, continuant de plonger l’autre dans un trouble important. Elle a terminé la douche par une séance d’eau glacée « pour me rafraichir ».Je mourrais d’envie de faire pipi. Je lui avais déjà dit. Je me suis répétée. « Fais-le ! » m’a-t-elle intimé pour que je me soulage dans le latex, l’urine ruisselante sur mes cuisses lavées à l’eau froide.« Tu vas le garder jusqu’à ce que je daigne t’autoriser à l’enlever. Jusqu’à cet instant que tu attendras, mieux, que tu vas espérer, tu vas cuire, suer et mouiller comme une chienne sous cette seconde peau qui te va si bien » m’a-t-elle dit avant de me sécher.J’avais l’impression de ne pas m’être lavée. J’avais envie de jouir. De me caresser. Je ne pouvais pas. Mon corps ne m’appartenait plus vraiment. Quand elle m’a annoncé que nous profiterions du beau temps pour aller à la mer, je ne l’ai pas crue.Pourtant, quelques heures plus tard, nous étions assises dans le train corail qui allait à Dieppe. Chez elle, Fred avait pris quelques affaires glissées à la va-vite avec les miennes, dans le sac que Fred avait préparé seule. Je savais qu’elle me réservait des surprises. Mais ce week-end, elle s’est surpassée.
Quand nous nous sommes retrouvées seules dans le compartiment, le couple qui nous embêtait descendu au dernier arrêt avant l’arrivée, j’ai fermé les rideaux pour câliner ma compagne. J’espérais qu’elle me caresserait, qu’elle me rendrait les caresses que je lui offrais en glissant ma main sous la robe à fleurs. Il n’en fut rien. Je n’avais droit qu’à des baisers tendres et de pressantes ou pinçantes flatteries mammaires à travers la robe moulante qu’elle avait choisi. « Tu ne passeras pas inaperçue » avec une robe aussi courte que rouge, sous laquelle on devinait à la fois mes tétons mais aussi la fermeture éclair sous le col cheminée de la robe.Dans ce compartiment, je me suis retrouvée à genoux, les bras sur ses cuisses, le visage enfoui contre son pubis. Je l’ai léchée jusqu’à ce qu’elle jouisse, profitant du bruit du train pour se laisser aller. Je n’ai eu que des baisers pour me satisfaire et me consoler d’avoir les genoux rougis par la position.Avant d’arriver, elle s’amusa à me regarder essuyer la bordure du body avec des kleenex. La chaleur m’obligeait à m’essuyer, la sueur commençant à ruisseler le long de mes cuisses. « Tu dois te sentir très mal à l’aise en sachant que tu ne peux rien faire pour empêcher ça, non ? ». Elle ne se trompait pas. C’est très frustrant. Je ne pouvais que subir. Et sentir la chose recommencer plus tard.Comme lorsque nous marchions dans Dieppe après avoir trouvé un hôtel plutôt sympa.Chambre double avec un seul lit sous le regard suspicieux et complice du réceptionniste. Je pensais me changer pour la plage. « Tu rêves ma chérie » m’a rappelé Fred de trois doigts pressant mon sexe latexé. J’ai même gardé les hauts talons jusqu’à la plage de galets. Nous étions en début de soirée.La plage commençait à se vider. Fred a choisi un endroit très éloigné, un endroit tranquille.Pour s’allonger au soleil de fin de journée. Abandonnant sa robe pour un maillot alléchant. Elle me narguait en se moquant de ma situation : assise au soleil, avec ma robe et ce body prison.
« Enlève-la » m’a-t-elle répété trois fois avant que je n’obéisse pour aller nager avec elle. Impossible de courir sur des galets. Mais je peux assurer que je me suis précipitée à l’eau afin que même de loin on ne repère pas l’étrangeté de ma tenue. « C’est comme une combinaison de plongée » soulignait Fred pour me rassurer. « Moi je trouve que tu faisais bien pire à Paris. Dans les jardins publics… »Elle n’a pas tort. Mais tout ça, c’était nouveau et si inattendu que je ne m’y étais pas préparée.Et puis, cette combinaison de plongée seins nus, ce n’est pas vraiment… courant !C’est lorsque nous avions de l’eau jusqu’à la poitrine qu’elle a baissé la fermeture. L’eau fraîche s’est engouffrée dans le body au fur et à mesure qu’elle l’ouvrait sur la mer.Je l’ai aidée à m’enlever le body parce qu’elle n’y arrivait pas seule. J’ai nagé nue dans la manche. Je me suis laissée caressée dans la manche. Je me suis lavée dans la manche. Je l’ai suppliée d’aller me chercher une serviette. Quand elle est sortie avec mon body à la main, j’ai compris que je n’avais pas d’autre solution que de la rejoindre sur la plage, à près de cent mètres du bord, totalement nue.J’ai attendu qu’il n’y ait plus grand monde dans les parages de notre point d’attache pour me lancer.Là-bas, une serviette m’attendait. J’ai profité des derniers rayons brûlants pour m’allonger. Relaxée, je lui ai avoué à quel point je me sentais bien ici. A peine l’avais-je confortée qu’elle baissait l’éponge qui protégeait mes seins sur mon ventre. « Montre tes seins pour moi » me chuchota-t-elle au creux de l’oreille. Je n’ai jamais aimé ça sur une plage. Mais là, c’était différent. Quand les baigneurs qui quittaient la plage passaient à côté de moi, après avoir fait un détour pour me mater, je me sentais fière pour Frédérique. Je mouillais pour Frédérique. L’éponge descendue sur les cuisses, elle montrait mon pubis lisse comme une attraction. J’avais les yeux fermés. Elle me racontait. « Lui, il a vu » ou bien « Si je m’écoutais, je la descendrais totalement, pour qu’ils voient ton adorable petite fente ».Moulée de nouveau par ma robe, cette fois-ci sans rien en dessous, légère comme le vent et excitée comme un sirocco marocain, nous sommes allées dîner en terrasse d’un petit restaurant.Nous avons flâné en ville comme deux copines avant de nous retrouver sur le même lit en amantes.Tendrement, elle me fit l’amour sans plug, sans gode, sans rien, juste de ses mains, genoux, doigts et langue. La première fois habillée, la seconde totalement nues, la troisième dans la salle de bains. J’ai appris à quel point deux femmes peuvent être insatiables. La jouissance engendre un sentiment de désir plus grand encore. Debout devant le lavabo, les bras tendus, mains appuyés contre l’émail, j’ai eu la satisfaction de sentir le manche du martinet venu de Paris s’immiscer entre mes cuisses.Les cuisses écartées, jambes tendues, j’ai observé dans le miroir mon visage exprimant le pincement de chaque lanière s’abattant sur mes lèvres. De bas en haut, les lanières remontaient sur mon sexe.Entre mes cuisses, patiemment, doucement, Frédérique martyrisa mon sexe avant mes fesses.« Je vais tellement te faire rougir le cul, que demain, quand je t’emmènerai à la plage, tu auras le cul encore douloureux. Surtout que je recommencerai juste avant qu’on y aille ». Fred prend maintenant un malin plaisir à me faire asseoir sur un tabouret ou une chaise après avoir terminé son ouvrage. Samedi soir, ce fut le cas, assise les jambes écartées sur le petit tabouret, je léchais patiemment sa chatte tandis qu’elle nourrissait parfois mon entrejambe de la morsure des lanières en latex.Le lendemain matin, nous avons été réveillées par le room service. J’ai quasiment été jetée du lit par Fred pour aller ouvrir la porte au garçon qui nous amenait le petit déjeuner. J’ai entendu les paroles de ma compagne qui me préférait nue. J’ai obéi une nouvelle fois, protégeant mon sexe d’une main sous le regard médusé de l’employé. Fred s’était redressée et, assise dans le lit, montrait fièrement sa poitrine généreuse à l’invité d’un moment où notre intimité s’affichait clairement.Elle voulait que je lui amène le plateau au lit. Je lui ai répondu quelque chose comme « tu n’as qu’à venir à côté de moi ». Bien mal m’en a pris, en effet, non contente de m’avoir expulsée du fauteuil où je m’étais assise, j’ai été sommée de me mettre à quatre pattes devant la table basse où était posé le plateau. Bien cambrée sur ses consignes, elle a déplacé le plateau de la table à mon dos, mettant en place un équilibre précaire entre mes épaules et mes fesses. Les pieds sous mon ventre, s’amusant parfois à caresser mes seins avec les orteils, Frédérique a petit-déjeuner en se servant de moi comme d’une table basse docile. Un objet qu’elle nourrissait de temps à autres d’une cuillère de confiture et de viennoiserie écoeurante.Débarrassée du plateau, et pour finir de m’humilier, pour achever de me donner la leçon, elle me fit laper un peu de lait puis du jus d’orange dans une soucoupe posée sur le sol.
Lavées, nous nous sommes habillées pour la plage. J’avais droit à un nouveau maillot de bain.« Je l’ai acheté spécialement pour toi » : blanc, une pièce, il ne semblait rien avoir de spécial. Mais quand je me suis glissée dedans, j’ai compris. « Il est trop petit » ai-je dit naïvement. « Je sais. C’est exprès » répondit Frédérique en me forçant à l’enfiler. « Je l’ai pris trois tailles trop petit » m’a-t-elle avoué en caressant mon entrejambe à travers le lycra. Je me sentais boudinée. Le maillot me serrait de toute part. La forme échancrée s’avérait terriblement indiscrète parce que mes fesses étaient sans cesse violées par le lycra qui oppressait mes lèvres intimes. « J’aime deviner ta chatte » dit-elle.Elle aimait aussi beaucoup voir mes seins déborder du maillot. La poitrine comprimée, moulée, elle me caressa tout en m’embrassant. « Maintenant, je vais te fesser, je vais te faire rosir le cul ».Elle me fit enfiler la jupe longue blanche qu’elle me réservait (« tu es privée du haut parce que tu es une salope qui aime se montrer ») puis me la fit remonter pour longue séance de gémissements dus et causés par le martinet. J’avais le cul en feu. Dans la glace, je le vis écarlate. Nous pouvions sortir.Frédérique ne s’est pas lassée de l’après-midi de me voir subir les assauts répétés de regards inconnus avant ou après le bain, que le maillot soit simplement trop moulant ou trop transparent. « J ‘aimerais bien qu’il y ait une petite touffe de poils blonds là, pour que tu sois encore plus gênée » me dit-elle doucement après avoir acheté au vendeur ambulant deux boissons fraîches. Souvent allongée sur le dos ou en balade au bras de mon amie, mon petit cul ferme, fendu et rougi affichait son arrogance au monde ignorant.Elle m’emmena dîner au restaurant sans m’autoriser à me changer. Le maillot humide, je me savais légèrement impudique à l’intérieur de ce restaurant peuplé de jeunes gens de la région.Accostées par une bande de copains, nous avons été invitées à poursuivre la soirée en boîte. C’est Frédérique qui a décidé d’y aller. Elle voulait me voir me trémousser avec mon maillot. Elle voulait me voir chauffer les mecs sans pour autant le faire exprès. Nous n’étions pas à Ibiza, ce n’était pas l’été, ma tenue suffisait à attirer les mâles. Pourtant, elle n’en profita pas pour me livrer à eux.Nous sommes rentrées au milieu de la nuit, raccompagnées par le plus sympa des six garçons.Le lendemain midi, nous quittâmes l’hôtel pour retourner à Paris. La taille piégée par le corset, je n’avais pas du tout la même liberté que la veille. Strictement corsetée et cernée par ma robe blanche en coton dont le décolleté arrondi dévoilait largement ma poitrine comprimée.Privée de culotte mais harnachée de bas fixés aux jarretelles du corset, perchée sur des talons hauts aussi blancs que ma tenue, je n’étais pas autorisée à croiser les jambes ou à serrer les genoux. Ainsi, quand nous nous sommes assises dans le compartiment six places, Frédérique m’invita à m’asseoir à côté de la fenêtre, certes, mais aussi et surtout en face d’un vieil homme qui, malgré son âge avancé, ne resta pas longtemps insensible à mon charme quelque peu… putain.Je commençais même à trouver amusant de lui dévoiler mon entrejambe quand trois militaires nous rejoignirent dans le compartiment. Nous avions vu l’un d’eux en boite la veille. Je l’avais remarqué pour ses origines métisses, plutôt rares dans la région. Les deux autres étaient un pur produit frappé du sceau de la normandie et de l’armée. L’un s’assit à côté de Fred et engagea la conversation. Je fis mine de me reposer, en fermant les yeux, attendant que le temps passe.La tête appuyée contre la vitre, je commençais à me recroqueviller et à croiser les jambes. Frédérique interrompit sa conversation pour abattre son magazine sur mes genoux. Je compris, étonnée qu’elle le fasse malgré les voyeurs potentiels, et reprenais une position adéquate.Je lui apprends les bonnes manières » dit-elle à voix haute en plaisantant.+++++++++++++++++Cette petite phrase et son attitude créèrent un climat assez particulier dans ce microcosme sur rails. Quand le vieil homme quitta le compartiment à Rouen, le plus jeune des trois appelés prit sa place. Je ne réussissais pas à faire comme si il n’était pas là. Et quand je le regardais, il soutenait mon regard avec une insistance qui me faisait automatiquement détourner les yeux. Instinctivement, je refermais mes genoux. Frédérique réitéra son avertissement à l’aide de son magazine. Je l’ai regardée furieuse. Je ne savais pas où elle nous embarquait et je n’appréciais pas de ne rien contrôler. Mais je ne peux rien refuser à ce regard plein d’amour où brûle la flamme de la décision. Elle m’ordonnait d’être sage. Et je ne voulais pas lui désobéir.Elle chuchota quelques mots à son voisin de droite qui vint s’installer à côté de son compagnon. Je me retrouvais donc doublement matée de bas en haut mais je les voyais en plus échanger entre eux des paroles discrètes que je ne comprenais pas en raison du bruit ferroviaire.Quand la main de Frédérique se posa sur la mienne avant de descendre sur mon genou, j’ai perçu la perversité de la situation. La main sur le genou, elle m’invita à la laisser m’exhiber. Gênée de ne pas réagir, de ne pas me rebeller, troublée par la situation, je ne regardais plus que le paysage défilant le long de la voie.Lorsque je sentis le coton remonter sur mes cuisses si haut que j’allais bientôt sentir des regards subjugués sur mon pubis lisse, j’ai pu constater à quel point il m’était difficile de respirer. L’antillais se leva pour fermer deux rideaux du compartiment, Frédérique fermant le troisième.Le plus jeune colla son épais soulier à mon escarpin et le poussa de manière à ce que mes cuisses soient suffisamment écartées pour qu’il puisse voir mes lèvres. Suffisamment pour que je sente mes lèvres se séparer.« Enlève ta robe » me glissa à l’oreille Frédérique. Ce n’était pas une invitation. C’était un ordre. Je l’interrogerai du regard. « Il est trop tard pour reculer » me dit-elle distinctement. Je me suis levée et, alors que j’étais pleine d’hésitation, ma maîtresse dézippa ma robe afin que je m’en débarrasse.Surréaliste, j’étais sans robe, corsetée, le pubis à l’air devant trois inconnus. Je subjuguais le jeune, l’antillais affichait un sourire avenant tandis que celui du milieu s’aventurait à toucher le corset. Je ne regardais plus que mes chaussures ou le plafond. Quand l’étranger descendit du corset pour effleurer mon sexe, je fus pétrifiée. Frédérique m’empêcha de m’asseoir et se leva pour prendre possession de ma bouche le temps d’un baiser qui me remit d’aplomb.Sa langue fouillait ma bouche, sa main maintenait mon menton, les doigts masculins glissaient sur ma vulve. Une nouvelle main se posa sur mon cul, cette peau mate appartenait à l’antillais qui me pelotait la fesse comme on pétrit de la pate à pain.
Frédérique se rassit, me laissant aux mains de l’antillais debout à mes côtés, et du petit chauve qui me faisait face. Je m’abandonnais petit à petit. L’antillais caressait la partie visible de ma poitrine quand Fred prit mes mains pour les mettre dans mon dos. Je me suis retrouvée menottée en un clin d’œil et me suis entendue intimée l’ordre de les sucer.J’ai bouffé leur queue l’une après l’autre, à genoux dans ce compartiment. Comme une putain. Pas mieux qu’une actrice de X qui ferait un gang bang. Je les prenais en bouche, je léchais leur sexe. Le petit éjacula dans ma bouche à peine commencé. Poursuivie par le goût et la texture de son sperme, je continuais de sucer les deux autres debout devant moi.J’entendis Frédérique refuser de prendre le relais avec l’éjaculateur précoce, préférant continuer de m’embrasser dans le dos ou dans le cou pendant que j’exécutais la difficile mission qu’elle m’avait confié. Généralement, quand je taille une pipe, je caresse la queue, je joue avec ma main, là, je ne pouvais que m’en remettre à ma bouche, à mes lèvres, à ma langue. C’était épuisant. Le chauve se soulagea sur mon visage. Bizarrement, malgré le peu d’élégance de la situation, la joue maculée de sperme dégoulinant, j’avoue avoir ressenti une certaine satisfaction voire même un sentiment de fierté d’être parvenue à ne plus avoir qu’une dernière queue à sucer… Et ce n’était pas la plus petite que j’ai jamais prise en bouche !Les lèvres distendues par le membre qui venait régulièrement butter au fond de ma gorge, le mâle puissant prit possession de ma chevelure pour me tirer vers lui dans son mouvement. Il se rassit au fond de son fauteuil sans relâcher son pouvoir sur moi. Frédérique profita de mon cul relevé pour taquiner de son talon mon petit trou ou flatter de sa semelle mes fesses.L’un des types demanda à l’antillais si il avait une capote pour lui. Je l’espérais tout en le redoutant. Mais je ne pouvais pas me manifester autrement qu’en gémissant. La bouche pleine, fermement maintenue à ma tâche par une main puissante, je ne pouvais que subir. Comble du comble, Fred se proposa pour l’aider à glisser le latex sur le sexe qui s’apprêtait à me pénétrer.Fred vint s’asseoir à cheval sur mon dos pour m’embrasser dans le cou, puis, sans se relever, tout en caressant ma nuque, elle conseilla à haute voix que j’adorais être enculée. La queue qui caressait ma vulve partit alors immédiatement se glisser entre mes fesses pour s’abattre d’un coup lent mais ferme au plus profond de moi.La queue turgescente libéra ma bouche tandis que l’autre ramonait mon orifice de chienne. Ce n’est pas qu’elle était grosse mais longue. Quand elle butait au tréfonds de moi, j’étais prise d’une sorte de spasme qui amusait terriblement Frédérique qui aidait l’antillais à cerner son sexe d’une capote.Je me souviens de ces longues secondes où j’ai croisé le regard mateur du plus jeune tandis que je me faisais défoncer le cul, montée par ma maîtresse, le visage fouetté par la queue recouverte par le latex fraichement déroulé. Fred se releva, me tira par les cheveux alors que l’autre se retirait d’entre mes fesses. Debout, elle m’attacha les mains menottées au porte-bagages qui se trouve au-dessus des banquettes. L’antillais m’a retournée, je fis de nouveau face à Fred et au chauve, les bras tendus en arrière. « Moi aussi, je vais t’enculer » dit le métisse en joignant la démonstration à ses paroles.Fred s’effaça pour laisser l’autre type se coller à moi et venir nicher son sexe entre mes cuisses.
J’étais doublement prise par des inconnus. Devant Frédérique. Dans un train. Debout et menottée. Corsetée et matée par un tiers. Jamais je n’avais vécu un moment et une situation aussi intense. Aussi perverse…Alors que je commençais à perdre pieds, à décoller, Fred me libéra du corset suffisamment pour en extraire mes seins immédiatement pétris par les deux mecs qui me baisaient. Pourtant, c’est le jeune qui revendiqua de s’amuser avec, prétextant n’avoir que les miettes. Un devant, l’autre derrière, Fred à droite, le jeune à gauche, le cul dilaté, la chatte défoncée, les mamelons léchés par Fred, les seins pétris par le troisième type qui se branlait contre ma cuisse… Un tableau extraordinairement dense en un lieu si exigu.Un tableau extrêmement difficile à vivre après que les deux mecs aient éjaculés dans leur capote. Un moment extrêmement humiliant que de voir Fred vider le contenu d’une capote puis celui de l’autre sur ma poitrine. Ils auraient bien aimé recommencer, en particulier le métisse qui rêvait d’essayer ma chatte de chienne selon ses propres termes. Mais Frédérique a senti que j’étais exténuée, et, parvint à les convaincre de nous laisser seules après m’avoir libérée et avoir refilé un faux numéro de tél. pour une autre partie de jambes en l’air.A la sortie du train, j’étais nue sous ma robe, le sperme avait séché sur ma peau, sur ma poitrine, sur ma joue, sans que je sois autorisée à le nettoyer. Le corset et les bas dans la valise, je me sentais à la fois libre et sale, comblée et insatisfaite. J’avais envie de la tendresse de Fred. Je l’aurais à la maison.Samedi 27 et Dimanche 28 juin 2013Un mois d’abstinence. Un mois sans t’écrire si cher et si intime journal. Un mois de travail intense. Un mois à croiser Frédérique entre deux voyages experts. Un mois à me caresser loin d’elle. Un mois à me caresser sous son regard. Dans tous les lieux de son choix. Un restaurant, un taxi, un parc ou un cinéma, rien ne lui déplait. Surtout pas le risque d’être vue ou celui qu’un passant, un chauffeur ou quelconque étranger ne perçoive la blondeur des poils encore courts mais repoussés et taillés en triangle au sommet de ma fente. « Des lèvres lisses de salope et le pubis d’une adolescente » se plait à me rappeler Frédérique.Comme ce samedi où profitant du beau temps, nous sommes allées au bois de Vincennes sous un soleil de plomb pour un moment de farniente et un autre d’effort. Double effort pour moi puisque privée de la culotte blanche qui me protégeait de l’extérieur.Jouer au beach ball en jupe courte, plissée revient à montrer son cul à tous les passants. Ce que Fred adorait constater au fil des échanges !Fred s’amuse beaucoup à contraster mes tenues : soit sages, presque collégiennes, soit salopes, très chienne. C’est habillée comme une adolescente, sans culotte, ni soutien-gorge, en jupe et chemisier blancs qu’elle m’a emmenée à la boutique pour choisir des bijoux destinés à orner mes mamelons en se clippant autour du téton. Je suis ressortie avec chaque téton doucement pincé et saillant sous le chemisier particulièrement indiscret quant à l’érection de mes extrémités.Dans le sac en plastique noir marqué du D argenté, se trouvait un corset de taille destiné à martyriser ce que Frédérique veut voir ceint de son pouvoir. « Celui-ci en cuir, serré par des lanières. Il paraît qu’il est plutôt dur mais c’est le but non ? » a précisé la vendeuse en nous le présentant. « Ce qui est très apprécié, c’est la possibilité d’ajouter trois petits cadenas pour empêcher que la soumise ne soit tentée de l’enlever, mais aussi cette petite chaine qui peut se fixer et joindre le recto et le verso en séparant délicieusement les lèvres et les fesses de la soumise ». Vendu avait répondu Frédérique.Le samedi suivant, j’ai eu droit au traitement de choc de ce corset « taillé pour l’été » serinait Frédérique en plaisantant. Les seins libres, la taille mordue et cadenassée, ma cruelle partenaire imposa à ma vulve la présence pénétrante de cette chaine elle aussi cadenassée. Elle avait pris un malin plaisir à l’ajuster de manière à ce que s’asseoir devienne un véritable supplice.Frédérique choisit un tailleur parmi l’un des plus stricts que je possède en m’habilla elle-même, du slip dont j ‘étais privée aux bijoux ornant mes mamelons, des talons-hauts au chignon.Le gris foncé du tailleur faisait ressortir le blanc soyeux du chemisier sur laquelle la veste se refermait.Une heure plus tard, nous étions en bas d’un immeuble cossu d’un quartier chic de Paris.« C’est une surprise « m’avait simplement répondu Frédérique quand je l’avais interrogée.Admirative devant la richesse de la décoration des lieux, je n’avais pas prêté plus d’attention que cela à la vieille femme domestique qui nous avait accueillies et conduites dans un boudoir qui me rappelait les gravures du début du siècle.Un sexagénaire est apparu, élégant, poli, a salué Frédérique d’une bise pudique avant qu’elle ne me présenta. Les premières phrases de la conversation engagée alors que nous rejoignions le salon, moi devant, me permit de comprendre que Frédérique connaissait sur le plan professionnel ce vieil homme qu’elle prénommait Georges. Je ne comprenais toujours pas ce que nous faisions là.Frédérique se prit d’admiration pour une magnifique statue en bronze de plus d’un mètre cinquante de hauteur qui ornait un angle du salon.« Vraiment, votre dernière acquisition est une splendeur » confirma-t-elle à Georges.« J’en conviens » conclut l’aimable dandy. « C’est un peu grâce à vous si je l’ai eue chère amie » ajouta-t-il avant que Frédérique ne rebondisse sur un « vous n’allez pas être déçu par ce que je vous ai amené ce soir » qui m’intrigua. Mais, bien vite, ce n’est plus de l’interrogation qui me tenailla.Frédérique avait déboutonné ma veste en s’approchant de moi, et, en passant dans mon dos, m’avait invité à m’en débarrasser. Déconcertée, je me souviens avoir pensé qu’il s’agissait encore d’un jeu de la perverse ambigüité qu’elle aimait tant me faire vivre. Mais quand Georges s’est approché de moi pour déboutonner mon chemisier, j’ai compris qu’il n’y avait jamais eu aucune ambigüité pour eux.J’ai tenté de reculer, instinctivement. Frédérique me retint discrètement en serrant mon avant-bras. Lui me saisit le menton fermement et me tint ce langage en me fusillant du regard « Vous êtes à moi ce soir, je vous ai achetée ». J’ai cherché de l’aide chez Fred qui ne me manifesta aucune tendresse. Bien au contraire, elle me dit aussi froidement que doucement d’ôter ma jupe et mon chemisier.
Nue comme une salope et harnachée comme une chienne, je faisais face à cet étranger vieillissant qui me scrutait du fond d’un fauteuil aussi ancien que lui. Surveillée par ma compagne qui achevait son travail d’immobilisation : elle m’avait lié les bras dans le dos, les avants bras joints formant un angle droit avec mes biceps. C’était la première fois qu’elle m’attachait ainsi en utilisant une bandelette en latex qu’elle enroulait très serrée autour de la peau.Immobilisée, bien droite, la poitrine en avant et les tétons saillants, les lèvres séparées par la chaine, le corset m’enserrant autant que les bijoux pressaient l’extrémité de mes seins, elle me fit avancer.Quelques pas pour me rapprocher du vieil homme qui se servit de sa canne pour jauger la hauteur de mes talons puis pour se relever en exhalant à mes narines une haleine de vieux cognac.« Chère amie, nous allons souper avant de passer au divertissement » déclama-t-il à l’attention de sa complice qui ne se fendit pas d’une parole pour moi. La vieille domestique fut sonnée et se présenta presque aussitôt dans la pièce. Je ne savais plus où regarder.Elle ne disait rien, ne semblait ni choquée, ni étonnée, exécutant simplement l’ordre de son patron en allant chercher un plateau en argent qu’il venait de lui réclamer.Je n’en avais jamais vu de semblable, et pour cause : peu profond, plutôt large, un système de deux chainettes fixées de part en part de chaque côtés, se reliant à une troisième n’avait d’autre fonction que de venir se fixer au mamelon à l’aide d’une pince dentelée extrêmement accrocheuse.Après m’avoir débarrassée de mes bijoux, Frédérique l’assista pour déposer la pince sur le mamelon gauche pendant qu’il s’occupait du droit. J’ai grimacé quand il relâcha le plateau qui flottait comme par magie dans les airs.Stabilisé par le côté en contact avec mon corset, maintenu par mes mamelles comme le dit si bien ce vieux monsieur, j’allais servir de serveuse. Une serveuse grimaçante et docile.Je devais rester parfaitement droite et immobile à côté de lui. La domestique servait à table un dîner succulent alors que je peinais minute après minute. Sur le plateau que je ne pouvais m’empêcher de regarder, et où je ne pouvais m’empêcher de voir mon visage humilié, se trouvait un verre à whisky à moitié plein et le cigare qu’il fumerait à la fin du repas.Pendant le repas, il m’envoya à la cuisine après m’avoir débarrassée du verre afin que j’aille chercher auprès de sa domestique un assortiment d’épices destinées à relever le plat de résistance. Je ne peux décrire précisément ici ce que je ressentais ainsi utilisée. Un plaisir mélangée à de la gêne. Un plaisir honteux de me sentir manipulée et contrainte de faire ce qu’il exigerait.Ainsi, je ne fus ni surprise ni réticente quand il demanda à Frédérique la clef nécessaire pour libérer mon sexe de la chaine qui me martyrisait depuis plusieurs heures. Il l’ôta devant, derrière et la posa sur le plateau, l’alourdissant encore un peu plus mais le débarrassant de cigare qui allait bientôt flirter avec mes lèvres intimes. « Depuis que le personnage le plus puissant de ce monde le fait, je rêvais de l’imiter » disait il en souriant à Frédérique.
Alors qu’il fumait son cigare, Frédérique s’approcha de lui, s’agenouilla et prit son sexe en bouche. Cela m’a choquée. Elle ne m’avait jamais trompée. Je le prenais comme tel. Et c’était la première fois que je la voyais faire quelque chose avec un homme. Elle le lécha très longtemps, très adroitement, souvent en me regardant. Quand il se leva pour accentuer la densité de la fellation et s’asseoir contre le rebord de la table, elle me commanda de m’agenouiller. Elle continua de le sucer puis me céda sa place : il ne viola pas mes lèvres, se contentant de se branler sous mon nez.Quand il éjacula, j’ai reçu la première giclée de sperme en plein sur le visage, le plateau récoltait le restant de sa semence. Il y déposa jusqu’à la dernière goutte puis remit son sexe rabougri à l’abri de son pantalon. Je pensais avoir vécu le pire. Je me trompais.Il posa son cigare dans le cendrier au bord de la table, délivra mes mamelons de la terrible pression qui les serrait et fit déposer le plateau à terre par Frédérique. Il empoigna mon chignon et me mena jusqu’au centre de la pièce où trônait le plateau. J’avançais à genoux en l’écoutant me traiter de sale petite chienne. « Maintenant tu vas nettoyer » me lança-t-il en me déséquilibrant à moitié. « Allez, penche-toi sur le plateau et lèche » commanda-t-il.J’ai refusé. Il a regardé Frédérique qui s’est contentée d’un « Faites ce qu’il faut » pour me faire obéir.C’est alors qu’il a sorti de sa poche une petite pince bordée de plastique, a plongé ses mains si vite entre mes cuisses que je n’ai pas eu le temps de réagir et de l’en empêcher. Je le sentais fouiller mes chairs de ses doigts fripés quand soudain une terrible douleur m’envahit, un pincement successif à une caresse terriblement excitante. Je gémissais. Sa pince mordait mon clitoris. Il souriait et répétais une première fois « lèche, lèche bien ». J’ai essayé de lutter. De garder ma fierté. Mais quand il me promit que ce calvaire cesserait si je léchais, je me suis exécutée, me suis remise à genoux, me suis penchée, ai manqué de m’étendre sur le sol et ai nettoyé le sperme tiède et gluant qui maculait le plateau en argent. « Comme une vraie chienne » disait-il. Je l’écoutais me diriger. Me demander de nettoyer jusqu’à la dernière trace. Je n’espérais plus qu’être libérée. Frédérique le fit quand il jugea le plateau parfaitement propre. J’aurais presque pleuré tant le soulagement me parut salvateur.Relevée pour qu’il puisse « lire ma honte au fond des yeux », je fus débarrassée du corset par Fred. Le vieux voyeur se délecta des marques laissée par l’artifice en cuir et entama de me masturber avec le pommeau de sa canne. « J’aurais bien goûté ta bouche si elle avait été plus propre » me lâcha-t-il en caressant mes lèvres du sommet arrondi et argenté. Il passa derrière moi pour venir taquiner le trou de chienne que lui indiquait Frédérique de ses paroles dégradantes.Il joua avec mon anus sans arrêter de maintenir mes bras déjà immobilisés par le latex jusqu’à ce que le pommeau glisse en moi et que j’avale une partie de sa canne en exhalant un gémissement que je ne pouvais m’empêcher d’exhaler. Il le ressortit et me tendit l’objet pour que je le nettoie.Je n’avais pas le choix. Heureusement, je ne l’avais pas sali comme j’aurais pu le redouter. Léché et humidifié de mes lèvres et de ma langue, il reprit le pommeau en main pour entamer une cuisante fessée sur mon cul : toute la largeur de mes fesses recevait la correction de la canne extrêmement bien lancée sur ma peau qui finit par bien vite rougir. Il m’encourageait à gémir à chaque fois que je ne parvenais pas à retenir une manifestation sonore. Cela me donnait encore plus envie de les retenir. Je finis à genoux, le visage contre le parquet glacé alors qu’il martelait mes fesses d’un rythme lent mais régulier et appuyé.« Emmenez-la dans ma chambre » dit-il à Frédérique en se resservant un verre de whisky. Elle me prit par le bras et m’emmena en ce lieu plein de lumière où trônait un lit à baldaquin aux draps rouges d’aspect soyeux mais aussi et surtout une cage dorée dans laquelle Frédérique me dit de me glisser. « Pourquoi me fais-tu ça ? » avais-je envie de lui demander.« Parce que tu en crèves d’envie mais n’oses pas l’admettre » semblait répondre son regard. Elle ne se trompait peut être pas. Elle me connaît mieux que moi même et parvient à deviner tellement de choses que je refoule ou dissimule.Ainsi, je n’avais jamais imaginé me retrouver enfermée entourée de barreaux. La cage était trop basse pour que je me tienne debout et trop étroite pour que je m’accroupisse ou m’asseye, ce qui rendait la position extrêmement inconfortable. Voire même fatigante.Mais cet aspect ne m’apparut qu’en regardant Georges faire tendrement l’amour à Frédérique sans pouvoir trouver un instant de repos. Elle le laissait s’occuper d’elle et lui rendait la politesse. Comme avec un vieux monsieur, doucement, vicieusement parfois. Il adorait caresser ses seins bombés par le latex de son soutien-gorge. Elle aimait le chevaucher en me faisant face et en me regardant fièrement.Il était allongé sur ses draps soyeux et froissés. Il venait d’éjaculer dans sa main adroite. Elle vint me chercher pour me sortir de la cage en me tirant par les cheveux afin que je vienne lécher le sexe sale et ramolli. « Suce-moi chienne. Suce-moi jusqu’à ce que je sois en mesure de t’honorer » lança-t-il crument à mon intention. Frédérique caressait mes fesses rougies. Elle jouait avec ma vulve. J’étais à quatre pattes et le léchais depuis plusieurs minutes quand il se remit à bander. Il me gifla fermement si bien que ma joue droite devint cuisante.« Tu en as mis du temps, j’ai connu des pucelles qui suçaient mieux que ça » me dit-il. C’est idiot mais cela m’a blessée.« Je vais t’apprendre à honorer un mâle ». Je ne sais toujours pas ce qu’il entendait par là. Mais je sais qu’ensuite il s’est délecté de cet anus qu’il a limé pendant de longues minutes avant d’ordonner de poursuivre l’acte en le chevauchant, lui, qui était fatigué.Dans le taxi qui nous ramenait chez Frédérique, nous n’avons échangé que de brèves paroles.Elle me savait nue sous mon tailleur parce que George avait souhaité me voir partir ainsi, elle me savait songeuse et rageuse d’une certaine manière. « Tu n’étais peut-être pas prête à vivre ça » disait-elle. « J’aurai surtout voulu être prévenue » répétais-je à chaque fois. « Mais la surprise, ça fait aussi parti du plaisir non ? C’est bien ce que tu m’as expliqué au début ! ». J’en conviens. Mais je ne veux plus que ce genre de surprise se renouvelle sans un accord partiel. Elle m’a comprise.Elle me comprend tout le temps. C’est bien pour ça que je lui obéis.C’est bien pour ça que je l’aime.
L’été continue de passer. Le quotidien devient troublant tant nos jeux sexuels deviennent pervers. La semaine dernière, Dimanche, pour être exacte, mes règles se sont déclenchées. Frustrée, Frédérique a cherché à m’humilier et y est arrivée : j’ai passé une bonne partie de la journée étouffante de chaleur le visage harnachée, le harnais de tête maintenant avec fermeté la boule dure qui séparait mes lèvres et provoquait un salivement incontrôlable et humiliant… J’ai rangé l’appartement de Frédérique de fond en comble, j’ai nettoyé partout, mais comme j’étais totalement nue, je salissais de mon sang le parquet ou le carrelage que je devais immédiatement nettoyer. C’était infernal. Quand je me mettais à quatre pattes pour enlever une goutte de sang, je déposais de la salive d’un côté et généralement une autre goutte rouge de l’autre. Je l’ai suppliée de mes gémissements de m’ôter le harnais.Elle refusa et prit même la décision unilatérale de doubler la sécurité en adjoignant un petit cadenas pour joindre les deux points de jonction, rendant impossible la libération des bandes de cuir.Quand elle fut satisfaite de moi, c’est à dire quand je n’en pouvais plus d’être affairée de la sorte, elle libéra ma bouche et emprisonna ma chatte sous une culotte en latex. « Ce sera désormais la seule protection que je t’autorise à porter en ces occasions » : protection terriblement humiliante. Le latex empêche certes le sang de frapper le sol mais stagne sur ma peau… Je me sentais très sale en enlevant le slip pour la première fois surveillée par ma maitresse.Sale. Fière. Humiliée. Je passe par toutes les humeurs en ce moment. J’ai vécu une expérience très troublante ce week-end. Troublante parce qu’elle paraît répugnante et pourtant… Sa symbolique me plaît énormément.Belle. Je me sentais belle quand nous sommes parties pour une soirée habillée en banlieue chic de l’ouest de la capitale. Je portais une robe plutôt ancienne d’un satin bleu pastel, la poitrine dévoilée, la taille serrée par le laçage souple de la robe.Gênée. Je me suis sentie gênée par la présence de Georges nous attendant dans le corridor de l’hôtel particulier où nous nous trouvions. La robe, c’était lui, un souvenir me dit-il. Samedi, il m’a parlé comme à une personne avant que le ton ne change après avoir été présentée au maître de maison.Georges m’a conduite avec lui jusqu’à la salle où se trouvaient déjà une trentaine d’invités. Fred me laissait seule avec eux. Sans doute pour ne pas craquer sous mon regard interrogatif. Un rideau tiré par le propriétaire des lieux me permit de découvrir un recoin du salon, tel un placard sans porte où je fus installée avec ménagement mais fermeté. Une fois agenouillée, George décrocha du mur un harnais que je n’avais vu qu’en photo jusqu’alors. La gorge serrée par le cuir, une large bande courait le long de mon dos : mes mains y furent attachées au milieu, de manière à ce que la position ne soit ni fatigante, ni confortable. J’ai cherché Fred quand l’autre homme glissa l’autre partie du harnais de manière à remplir ma bouche d’un piège qui écartait mes mâchoires tout en laissant un accès béant à ma bouche offerte et à quelques parcelles de mes lèvres déformées.Tandis que George desserrait mon corsage, l’autre homme s’occupait de m’immobiliser : en piégeant mes grandes lèvres avec de larges pinces liées au parquet par un solide et doux lien, je ne pouvais plus me relever. Les chairs raisonnablement pressées se retrouvèrent sous la menace d’une véritable morsure si je venais à chercher à rompre ma position de soumission. Fred s’approchait au moment où mes seins furent déballés (je ne trouve pas d’autre terme plus appropriée) à la vue de tous.Elle se pencha pour me murmurer à l’oreille un « bon courage ma chérie » qui m’en apprit long sur la connaissance qu’elle pouvait avoir de ce qui m’attendait et ce que j’ignorais.George m’a alors montré un bandeau rouge sommairement gribouillé au marqueur : « garage à bites gratuit » avec une flèche qui pointait vers le bas. Il me priva de la vue en me l’apposant et en disant ces mots qui raisonnèrent longtemps dans ma tête : « ce soir, tu vas sucer des queues à n’en plus finir petite chienne. Je t’avais promis de t’apprendre, hé bien voilà » : sentir le premier membre violer mes lèvres sans que je ne puisse rien y faire me frustra énormément.J’étais incapable de refermer cette bouche qui ne m’appartenait plus : ma langue accueillait et flattait le membre qui prenait possession du lieu sans rien savoir, sans rien pouvoir faire si ce n’est sucer. Et sucer encore. A chaque fois le même scénario. Une odeur. Un goût. Une sensation. Une humiliation de sentir le liquide chaud couler au fond de ma gorge ou sur mes seins, ou pire, rester niché sous la langue qui à peine avait-elle été abandonnée qu’un autre convive prenait sa place.Je perdis totalement la notion du temps. Ce moment me semblait interminable. C’est Frédérique qui m’apprit plus tard que j’avais sucé une vingtaine de types en pratiquement une heure.Mon décolleté regorgeait de foutre, mon visage l’était presque autant, les mâles m’ayant prise ayant le goût de s’essuyer le gland sur mes joues notamment : je fus libérée de cette position agenouillée par Frédérique qui me mena jusqu’au siège où elle avait prit l’apéritif. Encore prisonnière du harnais, elle me confia à une autre femme, plus mûre, qui allait me conduire à la salle de bains pour m’ôter tous mes vêtements et me jeter sous une douche moelleuse et chaude à souhait. Je fus lavée, séchée, habillée d’un tailleur que Frédérique avait dissimulé à mon attention en partant et conduite en salle à manger où je m’attablai avec tous les autres convives.Aux côtés de ma maîtresse et de Georges. Je ne peux pas décrire ce que j’ai ressenti de me savoir au milieu de ces gens qui pour la plupart m’avait traitée come une putain quelques minutes avant. La soirée se déroula agréablement entre gens intelligents avant de se scinder en deux groupes. Nous ne rejoignîmes pas Georges parti s’isoler avec d’autres et rentrâmes chez Fred.Quelques semaines après cette étrange soirée, Frédérique me réserva une soirée surprenante alors que nous vivions la période la plus calme de notre relation.Elle vint tout d’abord me chercher au bureau sans me prévenir. Comme une amie. Comme une amie aimante qui m’embrassa dès que l’occasion d’être seules se présenta.Je fus déroutée de notre chemin habituelle vers un lieu qu’elle me garda secret jusqu’à ce que nous y pénétrâmes. Il s’agissait d’un hôtel. Un assez bel hôtel en plein Paris.Elle y avait déjà pris la chambre. Une chambre double à lits séparés. Quand j’y suis rentrée, j’ai tout de suite reconnu sur le lit une valise dont s’était servie Frédérique pour transporter des affaires qu’elle me destinait.La porte à peine refermée, elle se jeta sur moi pour une fougueuse étreinte. Un baiser chavirant qui ne me fit qu’à peine remarquer notre trajet vers la salle de bains. Là, elle m’entraîna sous la douche et déclencha l’eau sur nous deux toutes habillées. C’est la première fois que je faisais l’amour avec elle dans de pareilles conditions. Sentir la chaleur humide vous asperger alors que vos vêtements sont là est une sensation unique.Nous nous sommes maladroitement dévêtues, avons longuement lutté l’une et l’autre avec la tenue de notre adversaire de corps à corps. Terminé notre lutte en rendant humides les draps du petit lit le plus proche de la salle de bains.Quand ses cheveux commencèrent à sécher, elle se rhabilla avec une jupe en cuir qui descend sous le genou et lui va à ravir, un soutien gorge en cuir noir aussi, pas de slip, un chemisier blanc opaque et une veste légère noire également. Elle me demanda de lui enfiler ses escarpins noirs aux pieds. Quand je relevai la tête, elle me donna une gifle. « Une gifle affectueuse » commenta-t-elle avant de s’installer sur le petit canapé pour me regarder enfiler la tenue qu’elle avait concocté pour moi.Dans la valise m’attendait un corset de taille extrêmement rigide recouvert d’un latex rouge vif du plus bel effet dont je ne compris la forme étrange qu’une fois mis en place, elle le serra de sa poigne la plus efficace. Le laçage dorsal une fois terminé, la pièce de latex qui naissait au-dessus des liens fut rabattue sur ceux-ci afin de les rendre inaccessibles pour le regard d’autrui et les mains « de la chienne qui le subit » m’expliqua Frédérique toujours autant volubile en descriptions étourdissantes.Je me retrouvais bien vite les fesses prisonnières du latex qu’elle glissa entre mes cuisses pour le remonter sur le devant du corset. La pièce taillée dans cette seconde peau venait s’y fixer au moyen de deux anneaux métalliques comme le fermoir d’un sac à main. Mais de ce sac à main, je n’avais pas la clef… et j’en étais prisonnière, deux petits cadenas sur le devant.Le détail le plus cruel était sans nulle doute de sentir mon sexe comprimé par un latex qui dévoilait mon intimité la plus sacrée grâce à une fente parfaitement prévue pour m’humilier.Frédérique me tendit ensuite des bas en latex rouge qu’il me fut plus aisé d’enfiler après l’avoir lustré au moyen du produit en bombe qu’appliqua Fred afin de ne plus tarder. Ce fut le tour de mes gants longs en latex noir de venir épouser mes mains et mes bras. Une fois ainsi, elle me commanda de poser mes fesses sur la chaise qu’elle disposa près du plan en bois où se trouvait pêle-mêle la télé, le bar et autres agréments de la catégorie. Parfaitement disposée au milieu, à un mètre des pieds de lits, je m’assis : mes bras furent alors immédiatement amenés contre le dossier de la chaise dont Fred se servit pour enrouler la corde très serrée autour au-dessus et en-dessous des coudes. Le cliquetis que j’entendis ensuite était celui des menottes qu’elle refermait sur mes poignets. Je ne pouvais déjà plus beaucoup bouger mais le jeu ne s’arrêtait pas là : les jambes en arrière, Frédérique prit au piège mes chevilles du cuir. La barre d’écartement en place derrière les pieds de la chaise m’empêchait à la fois de ramener mes genoux vers moi, ou de les rapprocher. Plus efficace encore, elle utilisa un morceau de corde pour relier la chaine reliant les menottes à la barre d’écartement, mettant mes membres inférieurs dans une position particulièrement inconfortable au fur et à mesure qu’elle usait de toutes ses forces pour tirer sur la corde. Les pieds en angle droit par rapport à la moquette, elle se releva afin de me dévisager avec cet air supérieur qui me glace et m’excite terriblement.Elle sortit de la valise un baillon dont la boule en latex était rouge comme le corset et plus grosse que celle que je connaissais. Elle verrouilla ma bouche en écartant mes mâchoires et en serrant le cuir du harnais. « Avant de pouvoir imaginer, je veux que tu voies » dit-elle. Elle me montra un objet que je ne connaissais pas mais je compris vite son utilité.En aspirant mon téton, et uniquement le téton qui se trouvait emprisonné dans un tube en verre, elle allait travailler mes seins en toute tranquillité. Elle tourna le réveil digital vers moi. Il était 20h12. « Tu en as pour 30 minutes » me dit-elle en sortant de la chambre, éteignant la lumière, me laissant à mon silence composé de gémissements, de bruissements et de souffle court.Lorsqu’elle revint, il était 20h39. Elle me contempla souffrir de mes jambes endolories avant de libérer mes tétons quatre minutes plus tard. « Tu vois comme ils sont longs et gros ? » répétait-elle en les faisant rouler entre ses doigts et en maintenant ma tête pour que je regarde bien. « Tu vas voir ce qu’ils vont devenir » m’indiqua-t-elle avant d’appliquer les tire-lait que je possédais : eux sucent le mamelon en entier, le font durcir et grossir exagérément. Elle vérifia mes liens, mon baillon et rajouta un peu de salive pour s’assurer de l’étanchéité du verre et de ma peau. « Une heure petite chienne » dicta-t-elle sans se préoccuper de mes grognements supplicateurs.30 minutes seulement s’écoulèrent entre son départ et son retour. Vous ne pouvez imaginer à quel point j’étais soulagée de la revoir à mes côtés. Je n’en pouvais plus : les membres endoloris, la salive coulant le long de ma gorge. Je voulais me libérer : j’étais incapable. Je voulais cesser de bouger, la position étudiée m’empêchait de ne pas me trémousser. La lumière revenue, j’ai pu constater à quel point mes mamelons étaient gonflés. Quand Frédérique les caressa après m’avoir libérée, je constatai leur dureté. J’ai bien essayé de lui faire comprendre que je voulais être soulagée, elle ne m’écoutait pas, pire, se moquait de moi. Elle me nettoya le visage avec un gant en éponge gorgé d’eau froide puis me sécha avec deux paires de claques particulièrement bruyantes.Elle retourna à la valise dont elle sortit une cagoule en latex rouge comme le reste : je me souviens avoir poussé un soupir de soulagement. Elle allait me libérer de mon baillon boule. Il n’en fut rien. Mon visage recouvert de latex, la gorge oppressée par un latex lacé derrière la nuque, je suis devenue aveugle en plus d’être muette : « les seules ouvertures dont tu as besoin sont celles pour respirer un peu d’air » me lança ma cruelle compagne que j’entendais maintenant moins distinctement.Je sentis ses doigts s’assurer du bon alignement de l’ouverture nasale : ma respiration était devenue encore plus difficile sous l’effet de la surprise : je respirais aussi profond et vite que je le pouvais comme si ma vie en dépendait, je ne parvenais pas à empêcher ou à réduire le volume de ce bruit rauque entraîné par l’obstruction du baillon. Chaque bouffée d’air me rappelait la terrible condition de soumise que Frédérique m’expliquait implacablement ce soir là.Je sentis ses doigts sur mes mamelons puis l’aspiration. J’imaginais parfaitement mes tétons aspirés et maintenus serrés dans le tube en verre qu’elle faisait tourner en m’arrachant quelques gémissements.Puis elle cessa de faire tourner le verre autour des tétons congestionnés pour soulager mes poignets et mes jambes : elle ôta la corde qui reliait les menottes à la barre d’écartement. Je pus de nouveau poser pied à terre et ne plus tenir mon buste droit comme un I. J’étais presque à l’aise ainsi soulagée. J’en oubliais tout le reste. Et pourtant !Elle entama de dénouer les cordes qui retenaient mes coudes puis débarrassa mes chevilles du cuir qui maintenait la barre d’écartement en place. J’ai cru que la séance touchait à sa fin. J’avais tort. Elle me releva et m’amena quelques mètres plus loin. J’entendis une porte s’ouvrir. J’ai eu très peur de ce qu’elle faisait. Mais j’ai compris au bruit des cintres qu’il s’agissait du placard de l’entrée. Elle me fit enjamber le rebord et rentrer à l’intérieur. Elle me menotta les poignets à la tringle du placard, les bras en croix, la tête penchée vers l’avant, planche m’empêchant de la relever complètement.Je la sentais bien s’occuper à immobiliser mon poignet droit avec de la corde mais j’étais très loin de deviner ce qu’elle cherchait à faire. En effet, après qu’elle ait caressé mes lèvres baveuses de sueur et de mouille, je sentis Frédérique soulever ma jambe pour la glisser le long de son corps, comme un mec vous prend sous le genou pour vous prendre tout court. Là, elle cerna le latex juste au dessus du genou de plusieurs tours de corde qu’elle fixa sans doute à la tringle. Elle pratiqua de même pour l’autre jambe me transformant ainsi en pantin désarticulé flottant dans les airs.Je me sentais outrageusement ouverte, mon poids reposait sur des menottes et des cordes mordant le latex, mes pensées s’embrouillaient. Plus elle me dominait, plus elle me martyrisait, plus j’aimais ça. Elle le sentait. Elle le sent. Elle le sentira toujours… Rajoutant la barre d’écartement à mes chevilles, je devenais un jouet qu’elle rangeait sévèrement après avoir caressé et léché longuement.J’entendis la porte de la penderie se refermer. Je ne sentais plus rien. Je ne voyais plus rien.Je n’entendais plus que ma respiration saccadée et le bruit de mes membres se débattant lentement et inexorablement. Quand la porte se rouvrit, je compris immédiatement que Frédérique n’était plus seule. Elle parlait de moi. Me montrait. J’étais piégée depuis le début. Mais les autres rentraient en scène au plus terrible moment. Je compris à leurs échanges verbaux qu’ils attendaient depuis un moment au bar de l’hôtel. Il y avait une femme et au moins deux hommes. Elle ne voulait pas se contenter d’une simple vision. Elle désirait plus. « Si tu la veux, prends-la » déclara Frédérique très calmement et très froidement. Je fus détachée par l’un des spectateurs puis menée à quatre pattes vers la femme dont j’avais entendu le souhait. Relevée par un homme et Frédérique, puis maintenue par ces mêmes bourreaux, je fus la proie d’une cinglante séance de martinet en latex sur ma vulve dévoilée et même arrogante selon les propres termes d’un homme présent.Pour finir, je fus plongée dans un bain d’eau glacée : j’avais l’étrange sensation de froid sans les pics que provoque normalement ce genre d’exercice : le latex me protégeait en partie mais quand l’eau atteignit ma poitrine, là, j’ai gémi comme une truie que l’on égorge. Je faisais rire mon public. Fred les reconduit en me laissant seule dans le noir de ma cagoule : je pus entendre distinctement la femme fouetteuse lui déclarer qu’elle pouvait m’amener en week end à la fin du mois.Quand Frédérique me libéra de ma cagoule, j’étais pétrifiée. Lorsque le baillon fut ôté, j’eus le plus grand mal à rendre son baiser à mon amante. La suite fut plus tendre que la séance que je venais de subir pour la grande satisfaction de ma maîtresse. « Je suis fière de toi » me dit-elle en m’avouant se caresser de plus en plus souvent en pensant à ce qu’elle pourrait me faire faire.En effet, je lui suis dévouée corps et âme. Si bien que lorsqu’elle m’envoya travailler quelques jours plus tard la taille et la chatte serrée par le corset et sa parure, je ne sus pas lui refuser. Et j’ai souffert toute la journée sous une robe longue en jean sans que personne ne puisse soupçonner l’insolente vérité. Le soir, j’avais la taille mordue et l’entrecuisse humide comme elle l’aime.
Pendant tout ce temps, elle ne me dit mot sur les personnes qui l’avaient rejointe dans la chambre d’hôtel où elle m’avait fait subir l’une des plus intenses et des plus dures de nos séances. Quand le week end en question arriva, je fus simplement priée d’être impeccable : épilée, rasée, parfumée… « Tout ce que doit être une bonne soumise » dixit Frédérique qui me paraît dès le début le matin de ce corset qu’elle affectionnait tout particulièrement. Emprisonnée par le latex après avoir accueilli un plug en latex soigneusement lubrifiée « parce que tu vas le garder de longues heures », chaussée de souliers hauts de treize centimètres, rouges comme le corset, elle me fit simplement revêtir un très long pull en coton maillé pour rejoindre à ses côtés la place du marché saint honoré où nous étions attendus par un homme dans la force de l’âge que je ne connaissais pas.Ascenseur niveau –4, parking souterrain : une grosse berline française nous attendait sur une place non loin de l’accès piéton. Il m’enleva mon pull sans même prendre peine de demander à Fred. Elle semblait déjà informée. Je me retrouvais nue entre la voiture et le mur crasseux.Il posa une sorte de carcan recouvert de latex sur ma gorge, une cheminée semi-rigide qui gardait mon menton légèrement surélevé qu’il laça consciencieusement. Frédérique me protégeait bien mal d’un éventuel regard extérieur. A vrai dire, elle s’en moquait ou même l’espérait. Mais il n’arriva pas.Tandis que l’homme finissait d’officier sur ma gorge, ma maîtresse (y-t-il un autre mot ?) apposa sur mes poignets des bracelets qui ressemblaient fortement à la minerve en latex. Elle serra les lacets si fort qu’il m’était impossible de les enlever sans défaire le laçage… qui prenait fin sur les cadenas qui maintiennent en place la « culotte » en latex rivée au corset. C’est un piège d’autant plus frustrant que vous ne le sentez pas inviolable mais tout simplement inaccessible. Mes mains distantes l’une de l’autre ne pouvaient s’aider et devenir en mesure de défaire le lien inamovible autrement.« Te voilà équipée, maintenant en voiture » me glissa l’homme. Je me dirigeais vers la portière arrière c’est le coffre qu’il ouvrit. J’ai regardé Frédérique avec interrogation. « Grimpe chienne » dit-il en m’invitant de la main à enjamber avec difficulté l’arrière du véhicule. Les bras immobilisés, je me suis retrouvée sur le dos allongée sur la moquette. Frédérique attacha une laisse en cuir rouge à ce qui me servait de collier, lui l’enroula autour d’un renfoncement du coffre. « Sois sage » me dit ma compagne refermant le coffre dans lequel je fus chahutée pendant deux bonnes heures. Le plus troublant était sans aucun doute de voir défiler le paysage à travers la vitre arrière : je voyais les immeubles parisiens, les camions, les arbres… Je pouvais sans doute être aperçue. Je me sentais à la fois plus forte et plus fragile que les autres.Arrivés à destination, je fus laissée seule dans le coffre de la voiture pendant de longues minutes. Quand je ressentis l’air frais sur moi, la femme que je supposais être celle dont j’avais entendue la voix et qui m’avait fouetté le sexe la semaine précédente se tenait au premier plan. Elle semblait ronde, sérieuse, hautaine. Cette supériorité, elle la concrétisa bien vite dès que j’eus franchi le seuil de sa ferme perdue en pleine campagne. J’étais habituée à toute sorte de baillon mais je n’avais pas encore goûté à la sensation particulière du mord, un baillon harnaché comme pour les cheveux mais adapté à ma tête. Le harnais bien serré, mes dents mordaient le latex sans m’autoriser à parler distinctement. « Mes amis n’arrivent qu’en début de soirée, nous allons faire en sorte de la conserver à la bonne température » dit la dame répondant au prénom de Sylvia.
Je fus emmenée, ou plutôt tirée, jusqu’à un vieux pigeonnier situé derrière la ferme et dissimulé derrière une rangée de sapins impressionnants par leur hauteur. “Je l’ai aménagé pour nos soirées au fil des ans” expliquait notre hôte à ses invités tandis qu’elle me tirait à l’intérieur. Dès que mes yeux se furent habitués à la pénombre, je me suis mis à distinguer les chaises branlantes réparties contre les parois percées. Quelques filets de lueur convergeaient vers le centre où je fus menée.Quand l’homme réapparut, il portait une lourde barre d’écartement qui se retrouva rapidement fixée à mes chevilles. Elle pesait au moins dix kilos et mesurait bien plus d’un mètre si bien que j’étais écartée et rivée au sol. Comme si cela ne suffisait pas, une chaine passait dans les anneaux plantés dans le sol en terre et s’enroulait autour de la barre afin que je ne puisse pas pivoter sur moi-même.En manoeuvrant un système de poulies et de cordes, l’homme amena à ma verticale une sorte de croix en bois munies de plusieurs crochets, anneaux, cordes et liens divers.Sylvia fixa à l’aide d’un mousqueton une fine corde en coton à la poutre dans l’axe nord-sud au dessus de ma tête. La corde descendait derrière moi, Sylvia la glissa entre mes cuisses, sur mon sexe, la plaça entre mes lèvres sur lesquelles elle ne prit même pas le soin de s’attarder avant de remonter sur mon ventre pour glisser la corde dans l’anneau qui vivotait à la base du harnais, juste sous mon menton mais que je n’avais ni senti, ni vu. En tirant sur la corde, elle m’arracha un gémissement, le coton s’insinuant un peu plus profond en moi. Le lien noué, la dame s’éloigna pour contempler un instant son œuvre avant d’interpeller son complice masculin : celui-ci lui confia ce qu’elle attendait. Quelques secondes plus tard, mon mamelon droit immédiatement suivi du gauche rencontrèrent la pression d’une pince dentelée doucement pénétrante : “juste ce qu’il faut pour qu’elles ne puissent pas partir sans que je décide de te libérer” commenta Sylvia qui jouait avec le petit poids en plomb et recouvert de cuir qui pendait au bout de chaque pince. Elle y adjoint une courte chaînette qui se balançait doucement entre mes seins jusqu’à ce qu’elle attache ce qui allait faire le piment de son piège mammaire : un vibromasseur que l’homme avait modifié de manière à ce que la base où l’on introduit les piles soit munie d’un crochet qui se refermait sur la chaînette, pile en son milieu.Ce n’est pas le poids peu significatif du vibro qui rendait la chose odieuse : c’est les mouvements incessants et les vibrations qui remontaient sur les maillons et les pinces.“Tu vas vivre de très longues minutes” : j’étais prévenue tout d’abord par Sylvia avant que Frédérique n’ajoute que je supplierais pour qu’on m’en débarrasse.Alors que je commençais à imaginer le supplice, je constatai que ce n’était pas tout : sur l’ordre de la dame, l’homme agit de manière
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