Quelques jours se sont écoulés quand Mère Clotilde pénètre dans la cellule de Sœur Emmanuelle qui est désormais seule pour éviter toute récidive. « Sœur Emmanuelle, Monseigneur de COURTRAY vient de me téléphoner. Il voudrait vous voir à nouveau pour les suites de l’affaire vous concernant. Vous savez, il est très sévère et je pense que vos jours sont comptés dans notre couvent ! » « Très bien Mère Clotilde, je vais me faire conduire par Sœur Germaine ! » « Ne faites pas attendre Monseigneur surtout, et tâchez d’être à la hauteur ! » Elle ne croyait pas si bien dire la Mère Supérieure. Cela faisait déjà deux jours qu’elle se branlait comme une folle en pensant à des grosses queues. Elle se prépare donc en conséquence. Elle se douche, se nettoie la chatte bien à fond, puis se fait tant bien que mal un lavement anal au cas ou. Dans la crainte d’une sodomie à sec, toujours très douloureuse, elle s’enfonce l’index dans son œillet après l’avoir préalablement enduit de crème NIVEA en guise de vaseline. Cela facilitera toujours la pénétration anale si elle doit avoir lieu. Ensuite elle s’épile la chatte et son minou ressemble à celui d’une petite fille. Pour corser le tout elle enfile le porte-jarretelles rouge, puis le string assorti et enfin un soutien-gorge coordonné à balconnet duquel ses seins débordent largement de toutes parts. Se regardant dans la glace avec sa coiffe sur la tête, elle se trouve extrêmement bandante. Une fois son austère robe de bure enfilée par-dessus, bien malin serait celui qui devinerait qu’elle est vêtue comme une putain. Elle arrive à l’évêché et va voir directement sœur Léonce la secrétaire personnelle de Monseigneur de COURTRAY. « Bonjour ma Sœur, j’ai rendez-vous avec Monseigneur de COURTRAY! » Léonce la regarde d’un petit air entendu. « Je suis au courant ! Il m’a demandé si vous aviez bien fait tout ce qu’il vous avait demandé ! » « Rassurez-vous, tout est en ordre ma Sœur ! » « Bien ! Il vous attend dans le grand salon de réception, suivez moi je vous prie ! » Elle pénètre dans le grand salon et découvre Monseigneur de COURTRAY en soutane d’apparat violette, sa mitre sur la tête. A ses côtés deux autres cardinaux : dont un noir d’une cinquantaine d’années. « Entrez Sœur Emmanuelle ! »
Elle pénètre dans le salon et se place face aux trois cardinaux. « Je vous présente Sœur Emmanuelle qui est en phase de guérison après avoir subi les assauts du malin dans ses parties intimes ! » Emmanuelle a un peu honte d’être détaillée des pieds à la tête par les deux invités de l’Evêque de MEAUX. « Sœur Emmanuelle, je vous présente Monseigneur VICIOSWKI évêque de CRACOVIE en POLOGNE et Monseigneur BONGO Evêque de LIBREVILLE au GABON. Tous les deux en visite parmi nous, sont très intéressés par notre expérience d’exorcisme sur votre personne et je leur ai proposé d’assister à la deuxième séance d’exorcisme vous concernant. » « Je suis à votre disposition Monseigneur ! » La bougresse a parfaitement compris, mais elle est tout de même un peu inquiète car elle ne s’est jamais fait baiser par un Noir, mais elle connaît de réputation les dimensions gigantesques de leurs sexes. « Vous voyez Mes Seigneurs cette jeune personne a reçu la visite du Malin dans ses parties les plus intimes. Les punitions et le fouet n’ont pas eu raison de ces perversions. J’ai donc commencé un traitement par voie d’exorcisme qui semble prometteur. Cela consiste à faire sortir le démon de ses parties sexuelles en le noyant de Sainte Semence. » « C’est une expérience très intéressante en effet ! » « Aussi chers confrères je vous propose de participer tous les deux avec moi à la deuxième séance ! » « Ce sera avec grand plaisir que nous vous rendrons ce service Monseigneur de COURTRAY ! » « Sœur Emmanuelle ôtez votre robe de bure ! » Elle la fait passer par-dessus la tête et apparaît devant les trois Cardinaux en tenue de dentelle rouge avec ses bas noirs. L’effet est immédiat sur les deux invités qui commencent à ressentir une forte érection sous leur soutane. L’Africain transpire déjà, lui qui n’a pas l’habitude de voir de belles filles blondes à la peau laiteuse comme Emmanuelle. « Qu’en pensez-vous ? » « Elle est fort bien faite et je comprends que le Malin ait élu domicile dans ses parties sexuelles ! » « Retirez votre slip s’il vous-plait ! » Sans la moindre honte, Emmanuelle enlève son string et offre son pubis impeccablement rasé au regard des trois hommes. «Sœur Emmanuelle allez mettre nos deux invités en forme pour qu’ils puissent vous exorciser correctement ! Je crois me souvenir que vous avez une bouche qui est très efficace ! » « Je suis à vos ordres et à ceux de vos invités Monseigneur ! » Les deux Cardinaux sont assis côte à côte dans des fauteuils assez bas. Sœur Emmanuelle se place à genoux entre les deux et remonte les soutanes des deux cardinaux puis baisse et retire leur slip. Ils ont tous les deux la queue en l’air malgré leurs cinquante ans passés. Mais elle est frappée et horrifiée par la taille du membre du cardinal africain. De sa vie elle n’a jamais vu un pareil engin. Du coup elle attrape la queue de chacun des deux Cardinaux dans une main et commence à avaler la queue du polonais. Elle se gonfle encore davantage tandis qu’elle branle doucement la queue du noir. Au bout d’un moment il faut qu’elle alterne et elle se fourre la matraque noire entre les lèvres. Cela lui déforme la bouche, écartant au maximum les commissures de ses lèvres. Elle en a plein la bouche et a du mal à respirer. Néanmoins elle commence à la pomper et y prend un réel plaisir et elle fait cela goulûment et avec un grand art. Puis elle change à nouveau, allant même jusqu’à lécher les deux glands en même temps. Elle tente bien de s’introduire les deux verges à la fois mais décidément celle de Monseigneur BONGO est trop grosse et trop longue. La vue donnée à l’Evêque est des plus bandantes. En effet on aperçoit sa fente sans poils entre ses cuisses et son petit œillet plissé pendant qu’elle est à genoux. A ce rythme les deux Ecclésiastiques sont au bord de la jouissance et elle cesse de les pomper d’autant qu’elle entend Monseigneur de COURTRAY se rappeler à son bon souvenir. « Sœur Emmanuelle mettez-vous à la disposition de Monseigneur VICIOSWKI qui est notre doyen, afin qu’il vous exorcise dans la position qui lui conviendra le mieux ! » « Monseigneur j’aimerai beaucoup que cette jeune personne vienne s’empaler sur mon instrument sacerdotal ! » « Qu’à cela ne tienne, Sœur Emmanuelle est à votre disposition ! » Monseigneur VICIOSWKI s’allonge sur le tapis, la soutane toujours relevée à la taille, le sexe fièrement dressé. « Venez ma Sœur que je vous guérisse du malin ! » Aussitôt elle enjambe Le Cardinal et se mettant à califourchon au-dessus de lui et s’empare de son sexe d’une main, puis frotte le gland contre sa chatte déjà bien humide d’excitation. Il ne lui reste plus qu’à s’enfoncer le gland de un ou deux centimètres puis elle se laisse carrément tomber sur la queue qui l’empale sans coup férir. Le Cardinal est aux anges, cela fait plus de dix ans qu’il n’a pas pénétré de sexe féminin. Face au visage de la Sœur qui a conservé sa coiffe, ses mains s’égarent dans son soutien-gorge pour palper les deux gros lolos. « Voulez-vous que je lui dégrafe son soutien-gorge Monseigneur VICIOSWKI pour que vous puissiez mieux profiter de sa poitrine ? » « Bien volontiers Monseigneur ! » Monseigneur de COUTRAY vient se placer derrière Sœur Emmanuelle qui cesse de monter et descendre le long du chibre épiscopal et il défait l’agrafe du soutien-gorge rouge, libérant les deux gros lolos avec ses larges aréoles brunâtres qui viennent taper dans le visage de Monseigneur VISIOSKI. Au passage l’Evêque les lui palpe par-dessous avant de laisser Monseigneur VICIOSWKI s’en emparer. Il est comme fou d’avoir ses lolos sous les yeux et sous la bouche pendant que cette salope d’Emmanuelle s’agite frénétiquement sur son dard. Ce dernier lui palpe les nibards en suçant les tétons tout excités par la succion, puis il les mordille. Il est au bord de la jouissance et Emmanuelle le sentant, ralentit le rythme. Brusquement alors qu’elle est toujours empalée, elle sent une présence derrière elle et deux mains s’accrochent à ses reins. Mais le pire c’est qu’elle sent un sexe dur qui tente de se frayer un passage entre ses fesses. Elle se retourne et voit que le Cardinal BONGO tente bel et bien de la sodomiser. « Non cela je ne veux pas ! » « Comment cela vous ne voulez pas ma Sœur ? » « Je ne veux pas me faire sodomiser pendant que je suis déjà empalée sur un sexe ! » « Vous n’avez pas à vouloir ou pas Sœur Emmanuelle ! Je vous rappelle que vos parties intimes sont possédées par le Démon et que vous devez vous en débarrasser coûte que coûte, même au prix d’une certaine douleur ! » Le cardinal BONGO surenchérit. « Il faut noyer le Démon et si on ne bouche pas l’orifice anal, il risque de sortir du vagin pour s’évader par l’anus, pour revenir ensuite quand bon lui semblera ! Il faut donc obstruer impérativement et simultanément les deux issues ! » « Vous avez parfaitement raison Cardinal BONGO ! » « Oui mais Monseigneur vous avez vu la taille de son sexe, il va littéralement m’exploser le rectum, sans compter que je suis déjà prise par-devant ! » « Suffit maintenant, vous faites ce que l’on vous dit un point c’est tout ! Si je vous entends encore vous plaindre je vous fais donner le fouet ! » « Par pitié Monseigneur, pas un tel sexe dans mon anus ! Je crois avoir été suffisamment coopérative ! » « Une dernière fois, obéissez où je prends le « chat à neuf queues », c’est le fouet le plus terrible ! » « Oui Monseigneur je vous obéis, mais qu’il me défonce l’anus doucement ! » « C’est le Cardinal BONGO qui décidera ! » Le Noir est comme fou à l’idée d’enculer une femme blanche et blonde de surcroît, cela rend sa queue démesurée. « Penchez-vous bien avant, la poitrine sur celle de Monseigneur VICIOSWKI puis ne bougez plus ! » Elle fait ce qu’on lui demande et elle sent qu’il lui écarte au maximum la pastille anale avec les doigts. Elle se félicite de s’être un peu lubrifié le rectum avant de venir. Le gland est juste devant l’œillet plissé. Le Noir pousse en tenant sa queue pour ne pas que cela glisse. Il rentre enfin un morceau dans son cul. La pauvre Emmanuelle croit défaillir tant cela lui écarte les parois anales. Mais le plus long et le plus gros restent à passer. Monseigneur BONGO pousse alors sons sexe jusqu’aux couilles. Emmanuelle ne peut retenir un cri. Il lui semble que son rectum va éclater tant est grosse la queue qui la perfore. Heureusement la crème NIVEA a fait merveille et a facilité grandement la sodomie. Elle est maintenant prise des deux côtés à la fois et les deux Cardinaux la liment à tour de rôle, un dans sa chatte, l’autre dans son cul. Monseigneur de COURTRAY qui est resté derrière se paluche le sexe en regardant les deux queues proches l’une de l’autre remplir les deux orifices naturels de Sœur Emmanuelle. Cette dernière est malgré tout, très excitée. Elle a toujours rêvé d’une queue de black. Là elle est servie mais pour une première expérience elle eût préféré qu’il la lui mette plutôt dans la chatte. Malgré tout elle commence à gémir de plaisir. « J’y pense tout à coup ! Le Démon pourrait s’évader par son troisième orifice naturel ; je veux parler de sa bouche ! Ne bougez plus Mes Seigneurs le temps que je la lui obstrue ! » « Vous avez parfaitement raison Monseigneur de COURTRAY ! Nous n’y avions pas pensé. Fermez-lui la bouche et noyez le Démon également par cette ouverture ! » Dit Monseigneur VICIOSWKI qui n’a pas cessé de malaxer et sucer les nibards d’Emmanuelle. L’Evêque vient se placer sur le côté et présente sa queue bandée à Emmanuelle qui passe un coup de langue sur le gland avant de l’avaler jusqu’aux couilles, faisant gorge profonde. Elle pompe et aspire comme une folle. Trois queues en même temps pour elle toute seule, c’est le pied ! L’Evêque lui baise littéralement la bouche. « Mes Seigneurs je vous propose que nous lâchions notre sainte semence tous les trois en même temps de façon à éradiquer et à noyer définitivement le malin ! » Les deux autres sont tout à fait d’accord et comme ils n’en peuvent plus ils sont ravis de pouvoir lâcher leur foutre. Quasi instantanément Sœur Emmanuelle reçoit une giclée de jus de couilles dans sa chatte et une autre au fond de son cul. Cela déclenche chez elle un orgasme violent au moment où Monseigneur de COURTRAY à son tour lui balance sa purée au fond de la gorge. Après cette période de transes, elle retrouve un peu son calme tandis que Monseigneur de COURTRAY libère sa bouche de sa queue. « Sœur Emmanuelle je vous demanderai d’avaler cette semence jusqu’à la dernière goutte. La réalisation de l’opération en dépend ! » Emmanuelle adore le sperme, aussi c’est sans problème qu’elle avale tout d’une seule traite sans déglutir, puis s’essuie la bouche d’un revers de la main car elle a laissé échapper quelques gouttes de sperme qui ont coulé sur son menton. Ensuite le Noir se retire à son tour. Son anus reste ouvert laissant apparaître un véritable gouffre béant où on peut voir baigner un liquide blanchâtre prêt à sortir. Il faut dite que Monseigneur BONGO lui en a lâché une sacrée rasade. Enfin elle se désempale elle-même du sexe de Monseigneur VICIOWSKI se mettant la main entre les cuisses pour tenter d’éviter que le sperme ne dégouline tout le long de ses cuisses. « Mes Seigneurs, je pense que nous pouvons être satisfaits de nous ! Le Démon doit être vaincu et a très certainement disparu, noyé, du corps de cette pauvre pécheresse ! » « Sœur Emmanuelle vous allez pouvoir regagner votre couvent mais je serai certainement amené à vous rappeler de temps à autre pour effectuer une visite de contrôle afin de m’assurer que le Démon n’est pas revenu dans vos parties intimes! » « Avec grand plaisir Monseigneur ! » « Sœur Léonce ! Sœur Léonce ! » Sœur Léonce qui fait office de secrétaire, accourt immédiatement et entre dans le grand salon alors que les trois Cardinaux, imperturbables ont laissé retomber leurs soutanes et sont assis confortablement comme s’il ne s’était rien passé. Par contre Emmanuelle est toujours là, à demi-nue avec ses bas et son porte-jarretelles, sa culotte et son soutif dans une main et l’autre main entre ses cuisses. « Sœur Léonce, occupez-vous de sœur Emmanuelle. Il faut la laver de fond en comble ! Vous voyez ce que je veux dire ! » « Bien sûr Monseigneur, j’ai parfaitement compris et votre volonté sera exaucée ! » Sœur Léonce prend Sœur Emmanuelle par la main et l’entraîne dans une pièce toute proche où se trouve une salle de bain. Monseigneur de COURTRAY dit à ses deux invités. « Sœur Léonce m’est très dévouée mais elle ne s’intéresse absolument pas au sexe masculin ! J’ai bien essayé mais elle ne veut rien entendre, par contre elle est parfaitement au courant de mes pratiques exorcistes et m’apporte toute l’aide nécessaire mais sans jamais participer. Je le regrette car elle est plutôt bandante ! » Pendant ce temps Sœur Léonce fait entrer Sœur Emmanuelle dans la salle de bains. « Retirez votre harnachement de prostituée s’il vous plait Sœur Emmanuelle ! » Emmanuelle défait les jarretelles de ses bas noirs puis les roule et les retire avant de dégrafer son porte-jarretelles. « Avant que je vous lave comme l’a exigé Monseigneur, mettez-vous sur le banc à genoux, les fesses bien cambrées. Je vais vous faire un lavement vaginal, puis un autre anal afin de vous débarrasser de toute trace de sperme ! Il ne s’agirait pas qu’on s’aperçoive que vous avez été sodomisée par Monseigneur l’évêque. » Un peu à contre cœur elle s’exécute. D’habitude elle préfère se laver ses parties intimes elle-même, mais là elle n’a pas le choix et docilement elle prend la position demandée. Sœur Léonce place alors deux tuyaux dans ses orifices, alimentés par le même réservoir. L’un remplit son conduit rectal, l’autre son vagin. Au bout de deux remplissages du réservoir, Sœur Léonce retire les deux embouts. « Allez poussez maintenant, il faut vider vos deux orifices Sœur Emmanuelle ! » La honte s’abat sur Sœur Emmanuelle qui se met à contracter ses muscles pour rejeter tout le liquide. Cela provoque des bruits incongrus qui font rougir la pauvre Emmanuelle. Des jets d’eau mêlés de sperme sont expulsés de sa chatte tandis que des jets d’eau brunâtres et mêlés de sperme et d’excréments sont expulsés de son anus, malgré le sommaire lavement anal qu’elle s’était fait avant de venir. Bientôt tout semble propre. Sœur Léonce lui enlève sa coiffe et défait ses longs cheveux blonds. « Passez sous la douche s’il vous plait que je vous lave comme il faut car le sperme a coulé sur vos jambes et votre corps est couvert de transpiration! Vous sentez mauvais Sœur Emmanuelle ! » Elle entreprend de lui passer la pomme de douche sur tout le corps. Ensuite elle la savonne, insistant lourdement sur ses seins et surtout sur son entrecuisse puis frotte vigoureusement ses lèvres sexuelles allant même jusqu’à glisser son index dans sa cramouille. « Il faut que je m’assure que votre vagin est bien propre ! » Dit-elle pour justifier l’enfoncement de son index jusqu’au fond de sa chatte. Elle le retire et se le met sous les yeux pour constater qu’il est propre. Sans autre forme de procès elle en fait autant dans sa pastille anale qui s’est déjà un peu resserrée. « Voyons détendez-vous Sœur Emmanuelle ! Je ne peux pas vous laisser repartir avant que vous soyez tout à fait propre ! Monseigneur ne manquera sûrement de s’en assurer lui-même avant votre départ !» Contre son gré elle se laisse fouiller l’anus par Sœur Léonce et au bout de quelques secondes elle y prend un certain plaisir, car cette dernière fait cela avec beaucoup de douceur. Elle met fin à la séance en faisant asseoir Sœur Emmanuelle sur la table face à elle, les jambes pendantes et écartées. Elle se met alors à la sécher avec une serviette très douce. Après avoir essuyé sa grosse poitrine elle passe doucement la serviette entre ses cuisses et sèche son pubis et ses lèvres. Sœur Léonce n’a jamais eu la moindre aventure sexuelle avec un homme, ni une femme mais a toujours été attirée par les filles. Brusquement elle se jette à genoux devant la table, écarte vigoureusement les cuisses de Sœur Emmanuelle et se met tout à coup à lui brouter le minou à grands coups de langue. Emmanuelle n’en revient pas, mais se laisse faire car on sait qu’elle n’est pas lesbienne mais ne déteste pas, tant s’en faut, se livrer à ces parties de broute-minou. Léonce se régale à lécher le sexe épilé d’Emmanuelle, elle insinue sa langue entre les lèvres et mordille le clitoris d’Emmanuelle qui commence à geindre de plaisir. « Sœur Emmanuelle j’ai envie qu’à votre tour vous me léchiez le sexe, j’en ai trop besoin ! Cela ne m’est encore jamais arrivé !» « Bien volontiers ma Sœur, voulez-vous que nous fassions un soixante neuf ! » « Vous savez j’ignore tout des choses du sexe, je vous fais confiance Sœur Emmanuelle ! » « Je vais m’allonger sur le dos sur la table et vous viendrez au-dessus de moi, mais tête bêche de façon à placer votre sexe à hauteur de ma langue et le mien à hauteur de votre bouche ! » Aussitôt dit, aussitôt fait, les deux jeunes femmes se placent en position du célèbre « soixante neuf » et Emmanuelle relève la robe de bure sur les reins de Léonce de façon à accéder plus facilement à son sexe. Puis elle écarte le bord droit de sa culotte de coton et découvre une jolie chatte mais recouverte d’une forte pilosité noire. Après s’être frayé un passage aux travers des longs poils, elle commence à passer sa langue sur les lèvres fines du minou de Sœur Léonce. Elle n’en revient pas à tel point elle mouille, sa chatte ruisselle de mouille abondante, au goût acre dont Sœur Emmanuelle se régale. La mouille s’étale et se répand tout autour de la bouche d’Emmanuelle tandis qu’elle aspire son clito qui est tout érigé de plaisir. « Hum…hum… c’est bon…oui encore, continue c’est trop bon ta langue sur mon bouton ! C’est la première fois que je me fais lécher, j’aime trop cela ! » Sœur Léonce ne reste pas inactive et lèche la cramouille baveuse de Sœur Emmanuelle. Elle va même jusqu’à y glisser son index pour le ressortir plein de mouille et le plonger dans l’œillet frémissant de notre sœur dévergondée car en la lavant tout à l’heure elle avait senti que la fille n’était pas insensible à cette caresse anale. Brusquement la porte s’ouvre et Monseigneur de COUTRAY pénètre dans la pièce après avoir raccompagné les deux cardinaux étrangers. C’est avec stupeur qu’il découvre les deux filles en train de se bouffer la chatte réciproquement. « Sœur Léonce ! Je n’en crois pas mes yeux vous qui avez toujours refusé toute bénédiction sexuelle de ma part ! » Les deux jeunes femmes se séparent et Sœur Léonce laisse retomber sa robe de bure pour dissimuler son intimité. « Essuyez vous la bouche toutes les deux, elles sont dégoulinantes de mouille ! C’est parfaitement inconvenant ! » D’un revers de la main, chacune des deux femmes, rouges de honte s’essuie sommairement la bouche. « Et vous Sœur Emmanuelle, je croyais vous avoir interdit de vous livrer aux plaisirs saphiques sans mon autorisation ! Vous serez corrigée pour avoir désobéi ! » « Je suis confuse Monseigneur ! » Sœur Léonce prend alors la parole. « Monseigneur, épargnez là, elle n’y est pour rien ! C’est moi qui en nettoyant le sexe et l’anus de Sœur Emmanuelle aie eu une pulsion et je lui ai léché le sexe ! Si une d’entre-nous doit être punie cela doit être moi Monseigneur ! » « Je vais réunir le conseil de Discipline pour décider des punitions à vous infliger Sœur Léonce ! Quant à Sœur Emmanuelle nous aviserons si elle doit être punie elle aussi à cette occasion ! » « Que votre volonté soit faite Monseigneur ! » « Vous m’avez beaucoup déçu Sœur Léonce, moi qui vous accordais toute ma confiance ! » « Je ferai tout pour me racheter Monseigneur et vous faire oublier mon moment d’égarement ! » « Passez toutes les deux dans mon bureau, le temps que je convoque les Pères Barnabé et Raoul. Quant à vous Sœur Emmanuelle, replacez votre coiffe sur vos cheveux. Vous resterez déshabillée jusqu’à la sentence! » Les deux nonnes attendent dans le bureau très inquiètes, surtout sœur Léonce. Au bout de cinq minutes les trois hommes pénètrent dans la pièce, toujours vêtus de leurs soutanes d’apparat. Ils s’assoient face aux deux jeunes femmes. « Nos règles exigent que l’acte d’accusation soit lu devant la fautive qui doit être nue à l’exception de sa coiffe, symbole du dévouement à Jésus notre seigneur ! Sœur Emmanuelle, retirez-la robe de sœur Léonce! » « Oui Monseigneur, tout de suite ! » Elle fait passer la robe par-dessus la coiffe de Sœur Léonce. Cette dernière se retrouve devant les trois hommes en slip et soutien-gorge de coton blanc, conformément à l’uniforme des carmélites. Léonce a environ quarante ans. C’est une belle brune aux cheveux courts. « Retirez-lui aussi ses sous-vêtements, nous tenons à ce qu’elle soit parfaitement humiliée ! » Sœur Emmanuelle dégrafe son soutien-gorge, libérant deux jolis petits seins bien ronds en forme de poire avec de petites aréoles mais de gros tétons. Puis c’est la culotte qui est retirée par Sœur Emmanuelle et le pubis de Sœur Léonce, tout recouvert d’une forte pilosité brune est exposé aux regards des trois ecclésiastiques. Instinctivement Léonce place ses mains devant son sexe pour masquer son pubis. « Enlevez immédiatement vos mains de devant votre sexe Sœur Léonce et placez les derrière votre nuque ! Sœur Emmanuelle portez nous la culotte de Sœur Léonce que nous l’examinions !» Emmanuelle apporte la culotte et les trois ecclésiastiques se la passent à tour de rôle humant le fond du slip qui sent la mouille qui a coulé de la chatte de Léonce sous l’effet de la jouissance provoquée par les coups de langue d’Emmanuelle. Pour la première fois de sa vie, Léonce est exposée nue aux regards lubriques de ces trois hommes d’église qui n’en sont pas moins des « hommes » et qui la reluquent avec lubricité. « Sentez Père Raoul, cette culotte est pleine de mouille, ce qui prouve que cette damnée a pris du plaisir à se faire grignoter sa fente poilue ! » « Je confirme tout à fait votre diagnostic Monseigneur ! Et c’est extrêmement grave pour une nonne de se livrer au plaisir des sens ! » « Sœur Léonce, Sœur Emmanuelle, mettez-vous à genoux devant nous, les mains sur la tête pendant que nous lisons l’acte d’accusation et que nous délibérons! » Les deux nonnes s’exécutent et attendent. Rapidement le Père Raoul lit l’acte d’accusation. « Sœur Léonce, vous êtes au service de Monseigneur de COURTRAY depuis près de dix ans. Jusqu’alors votre conduite a été irréprochable et vous avez toujours servi Dieu et Monseigneur l’Evêque avec fidélité et obéissance. Or aujourd’hui alors que Monseigneur qui avait placé toute sa confiance en vous, vous a demandé d’aller nettoyer Sœur Emmanuelle. Quelle nen fut pas la surprise de Monseigneur lorsque pénétrant dans la salle de bains, il vous a découverte allongée sur le corps nu de Sœur Emmanuelle, dans la position dite du « soixante neuf », votre robe relevée sur vos hanches en train de sucer le sexe de Sœur Emmanuelle et de vous faire lécher le vôtre par l’échancrure de votre culotte ! Quant à vous Sœur Emmanuelle, vous avez déjà été sévèrement punie pour vous être livrée aux mêmes pratiques en compagnie de votre compagne de cellule ! Dans sa grande bonté, Monseigneur vous a accordé son pardon après vous avoir exorcisée et il vous a pris à son service en échange de menues prestations dont vous vous êtes il est vrai acquittée tout à l’heure avec brio ! Néanmoins Monseigneur vous avait interdit formellement de vous livrer à des plaisirs saphiques sans son accord express. Or il vous a surpris en train de vous faire lécher le sexe cet après-midi. Bien que Sœur Léonce ait avoué que l’initiative lui revenait, il n’en demeure pas moins que c’est un acte inqualifiable au sens de l’Evêché ! L’exposé des faits étant fait, nous écoutons votre défense si vous souhaitez le faire !» Sœur Léonce prend la parole. « Monseigneur je vous ai toujours été fidèle et je crois vous avoir toujours servi avec loyauté. Alors que je n’ai jamais été attirée par les hommes, cet après-midi j’ai eu une pulsion sexuelle face au sexe épilé de sœur Léonce et j’ai craqué, tombant à genoux pour le lécher. Ne punissez pas Sœur Emmanuelle qui n’y est pour rien, par contre je plaide coupable et punissez-moi avec sévérité car ma faute est impardonnable ! » Les trois hommes conversent à voix basse durant quelques minutes devant les deux jeunes femmes toujours nues et à genoux. Puis Monseigneur prend la parole. « Après discussion avec le Père Raoul et la Père Barnabé nous allons rendre notre sentence. Tout d’abord Sœur Emmanuelle : mettez-vous debout les mains sur la tête pour écouter la lecture de ma sentence ! » Plutôt inquiète, Sœur Emmanuelle se relève et met ses mains sur la tête ce qui a pour effet de rehausser sa belle poitrine et de la rendre plus arrogante encore. « Sœur Emmanuelle le Conseil de Discipline a estimé que vous aviez fauté en vous laissant lécher le sexe par Sœur Léonce. Si nous pouvons admettre que vous avez été surprise par cet acte dont vous n’aviez pas l’initiative, nous ne pouvons admettre en aucune façon que vous lui ayez rendu la pareille compte-tenu de la position sans équivoque dans laquelle je vous ai découverte ! De plus, je vous avais scrupuleusement mis en garde sur l’interdiction de vous livrer à des pratiques lesbiennes. Nous vous condamnons donc à dix coups de fouet. La punition est légère car nous avons tenu compte de votre bonne prestation lors de la séance d’exorcisme avec Monseigneur VICIOSWKI et Monseigneur BONGO ! Quant à vous Sœur Léonce dans notre grande bonté nous allons vous laisser le choix de votre punition ! » « Merci Monseigneur ! » « Vous avez le choix entre quinze coups de cravache sur le sexe, suivis d’une intromission vaginale par un de nous trois, puis d’une sodomie ! » « Non pas de sexe d’homme j’ai horreur de cela, je vous en prie Monseigneur ! » « Si non vous aurez droit à cinquante coups de fouet et de cravache répartis sur tout votre corps. Ensuite personnellement j’exorciserai votre sexe en y plantant dix aiguilles dans les lèvres et dans le clitoris avant de purifier votre peau en y répandant de la cire chaude à l’aide d’un gros cierge ! Vous avez trente secondes pour vous décider Sœur Léonce ! » Le choix est cornélien pour l’infortunée Léonce. Mais l’idée d’avoir le sexe martyrisé et transpercé par des aiguilles avant d’être recouverte de cire chaude la pousse à opter pour la sodomie. « Monseigneur je crois que je préfère quand même la première punition ! » « A la bonne heure ma sœur ! Vous ne le regretterez pas ! J’ose espérer que vous n’êtes plus pucelle ! » « Si Monseigneur ! Même avant d’entrer les ordres j’ai toujours refusé de me faire déflorer par un sexe d’homme ! » « Parfait ce sera donc un sexe d’ecclésiastique qui procèdera à votre dépucelage ! Mais avant nous allons vous cravacher ce sexe que vous vous êtes fait lécher car vous méritez un châtiment exemplaire ! » « Oui Monseigneur je reconnais que j’ai pêché, mais de grâce ne frappez pas trop fort ! » « C’est moi qui décide ! Sachez que je ne vous épargnerai aucunement, je veux que votre sexe garde les traces de votre mauvaise conduite durant plusieurs jours ! » Les deux Diacres qui sont toujours présents, se régalent rien qu’à l’idée de savoir que Sœur Léonce va se faire cravacher la chatte. « Sœur Léonce, allongez-vous sur la table, les fesses au ras du bord et écartez vos cuisses au maximum, le temps que je place les étriers ! » Une fois les étriers placés il lui fait mettre les jambes dedans et ainsi elle a les fesses au bord de la table et les cuisses largement ouvertes dévoilant son sexe velu au milieu duquel on distingue nettement les lèvres encore légèrement ouvertes et luisantes de mouille. Le spectacle est bandant au possible. « Père Raoul, attachez-lui les jambes pour qu’elle ne bouge pas quand je vais la cravacher ! » « Avec plaisir Monseigneur ! » Le Père Raoul lui immobilise les mollets dans les étriers au moyen des lanières de cuir prévues à cet effet qui sont placées de part et d’autre de la table. « Je ne peux pas la cravacher avec la touffe de poils qu’elle a sur le pubis, nous ne verrons jamais les marques sur sa peau ! Sœur Emmanuelle, prenez le rasoir et la mousse dans l’armoire derrière vous et rasez rapidement son pubis et sa vulve ! Je veux que cela soit nickel et fait très rapidement ! » « Je m’en occupe Monseigneur ! » Toujours nue, Sœur Emmanuelle court à l’armoire et revient avec un « kit » complet de rasage : mousse à raser, rasoir, ciseaux et serviette. Au passage elle prend un peu d’eau et s’installe face à Sœur Léonce. Elle prend la paire de ciseaux et commence à débroussailler ses poils à grands coups de ciseaux. Puis elle commence à badigeonner largement le sexe de mousse à raser et avec le rasoir elle enlève rapidement mais avec précaution tous les poils jusqu’à ce que la peau soit parfaitement lisse et douce comme une peau de bébé. Elle en fait autant sur ses lèvres puis la rince avant de l’essuyer avec la serviette. En cinq minutes le travail est achevé et la vue est encore plus bandante que précédemment. Une fois que c’est fait, l’Evêque s’approche et avec sa main droite écarte ses lèvres de façon à ce que l’on voie l’intérieur tout rose et dégage son clitoris encore tout durci après les coups de langue qu’il a reçu. Puis il lui place un crucifix dans les mains qu’il lui demande de tenir à bout de bras tendu vers le seigneur présent sur une grande croix au fond du salon. « Voilà c’est parfait, la correction va pouvoir commencer et vous allez pouvoir expier vos péchés ! » Il lève sa main droite, armée de la terrible cravache de cuir noir puis l’abat rapidement à plat sur les lèvres de Léonce. Son corps s’arc-boute et elle serre les dents retenant ses cris. Puis le deuxième coup part beaucoup plus fort, on entend le cinglement du cuir sur la peau fragile de la chatte de Léonce. Cette fois-ci le clitoris est atteint et la douleur insupportable. Léonce hurle de douleur sous le regard compatissant d’Emmanuelle présente, toujours nue, à ses côtés. « Arrêtez Monseigneur, cela me fait trop mal ! Je vous en prie, je demande pardon, je vous promets que je ne recommencerai plus jamais ! » « Ces regrets sont bien tardifs ma Sœur, il fallait y penser avant de forniquer entre les cuisses de Sœur Emmanuelle! » Sans attendre il continue à asséner les coups de cravache sur le pubis et les lèvres de Léonce. Imperturbablement le Père Raoul compte les coups à haute voix. « Cinq … six …sept… ! » La chatte de Léonce est maintenant rouge écarlate avec des zébrures plus foncées encore sous l’afflux du sang. Léonce n’a presque plus la force de crier mais pleure à chaudes larmes qui ruissellent le long de ses joues. L’Evêque semble très expert dans l’art du maniement de la cravache et il ajuste la vigueur de ses coups en fonction de l’état des chairs rougies du sexe de Léonce. Il dose les coups de façon à ce qu’elles soient meurtries mais qu’elles ne saignent pas. « Quinze ! » Le calvaire de la pauvre nonne prend fin mais la séance est loin d’être achevée. « Sœur Emmanuelle, essuyez les larmes de Sœur Léonce et passez-lui un adoucissant sur le sexe avant que nous procédions à son dépucelage ! » « Je m’en occupe immédiatement Monseigneur ! » « Cessez de pleurnicher et de renifler Sœur Léonce car c’est insupportable ! Si vous continuez je vous redonne du fouet ! » Emmanuelle prend du coton et un lait adoucissant. D’abord elle essuie les larmes qui ont coulé sur le beau visage de Léonce puis avec le coton enduit de lait adoucissant elle entreprend de badigeonner le pubis et la vulve de la malheureuse. Evidemment cela n’enlève pas les marques de zébrures mais au moins cela apaise les brûlures de la malheureuse. Emmanuelle en profite en cachette pour faire pénétrer un peu de lait dans sa chatte et aussi deux gouttes dans sa pastille anale en vue des deux dépucelages. « Cela suffit sœur Emmanuelle, n’en faites pas de trop, cette perverse ne mérite aucun égard ! Nous allons tirer au sort pour savoir si c’est le Père Barnabé ou le Père Raoul qui va la dépuceler ! » « Monseigneur cet honneur vous échoit ! » Dit le Père Barnabé. « Non Père Barnabé, vous savez que je préfère l’exorciser par les voies anales ! Je vous laisse donc le soin à l’un ou à l’autre de procéder au dépucelage vaginal de sœur Léonce ! » Le Père Raoul prend alors la parole. « Vous avez vu Monseigneur qu’à mon âge j’ai quelques difficultés à faire durcir mon sexe. Ce serait dommage de louper la défloraison de Sœur Léonce. Par contre, je lui sucerai volontiers son sexe pour la nettoyer après son dépucelage tout en me faisant fellationner par Sœur Emmanuelle qui fait cela très bien ! » « Accordé Père Raoul ! Père Barnabé c’est donc à vous que revient l’honneur de déflorer cette pécheresse. Surtout ne la ménagez pas ! Je veux un dépucelage vigoureux. Ne vous laissez surtout pas influencer par ses pleurs ou ses cris ! » « Comptez sur moi Monseigneur, j’aurai grand plaisir à faire souffrir cette sœur qui m’a toujours toisé avec dédain ! » Il soulève sa soutane qu’il coince derrière le cordon qui lui sert de ceinture et s’approche de Léonce lui malaxant les seins à pleines mains. Elle est toujours attachée et la position est idéale pour une intromission vaginale. Rien que le fait de la peloter, le fait bander instantanément. « Voulez-vous que Sœur Emmanuelle vous manipule ou vous fellationne Père Barnabé ? » « Non j’aurais trop peur de tout lâcher dans sa main ou dans sa bouche avant le dépucelage ! » « C’est vous qui voyez Père Barnabé ! » « Par contre je veux bien qu’elle me guide le sexe par-dessous pour que je perfore Sœur Léonce d’un seul coup d’un seul ! » « Vous avez entendu Sœur Emmanuelle ? » « Oui Monseigneur je m’en occupe ! » Pendant que le diacre continue à palper allégrement les petits nichons de Sœur Léonce, Emmanuelle attrape la queue déjà très dure et bien bandée du Père Raoul et la place juste devant la fente rasée de Léonce. Elle fait juste rentrer le gland sur un centimètre et retire sa main du sexe de Père Raoul. Ce dernier prend Léonce par les hanches et la tire vers lui, tandis que simultanément il pousse sa queue d’un seul coup dans la chatte de Léonce. Un grand cri strident se fait entendre. Ca y est, Léonce est dépucelée à la hussarde et son hymen s’est brisé d’un seul coup. La douleur a été vive et intolérable, elle a l’impression que ses chairs intimes sont déchirées et les parois de son vagin la brûlent atrocement. La pauvre se remet à pleurer. « Ce n’est pas croyable à quarante ans passés, pleurer parce qu’elle s’est fait enfiler un sexe dans son vagin pour la première fois! » Dit Monseigneur de COUTRAY très énervé. « Agitez-vous dans son vagin sans la moindre retenue Père Barnabé. Lâchez-lui votre foutre dedans si cela vous fait plaisir ! » Le Père va et vient dans sa cramouille. Il a lâché ses hanches pour remettre ses mains sur la poitrine de la jeune femme, toujours attachée par les chevilles. Mais au bout de deux minutes, le plaisir est si fort qu’il vide ses couilles au fond du conin de l’infortunée Léonce. Le Père Barnabé retire son sexe tout poisseux de sperme et d’un peu de sang provoqué par le dépucelage de Léonce. Il s’essuie avec la serviette pour le rasage et dit. « Père Raoul si vous le souhaitez vous pouvez maintenant lui lécher le sexe ! » Le vieux Diacre ne se le fait pas dire deux fois et tombe à genoux devant la table, sa barbe juste à hauteur du sexe rasé de Léonce qui laisse toujours s’écouler du sperme. « Sœur Emmanuelle, essuyez-lui le sexe que le Père Raoul puisse la sucer dans de bonnes conditions ! » Aussitôt dit, aussitôt fait. Emmanuelle passe la serviette sur son sexe et même en glisse un coin à l’intérieur pour recueillir le maximum de sperme qui reste dans son vagin. Le Père Raoul sort alors sa langue et dévore avec un plaisir non dissimulé le sexe de Léonce lui frottant les lèvres de sa barbe mal taillée. Il insinue sa langue à l’intérieur puis aspire son clito tout meurtri. Il bandoche mais ne durcit pas vraiment. Sœur Emmanuelle sur un geste de Monseigneur s’allonge sous la table et sur le dos pour gober la queue du Père qui lui est à genoux. C’est vraiment la reine de la turlute! La bougresse a toujours raffolé pendre le sexe des hommes en bouche pour les faire jouir. Elle lui attrape les couilles et très vite il ne peut résister et vide ses couilles dans la bouche de Sœur Emmanuelle qui continue à lui lécher le gland et à lui caresser les couilles jusqu’à l’éjaculation de la dernière goutte de sperme. Alors seulement elle sort la queue de sa bouche et cherche la cuvette des yeux pour tout cracher dedans. « Avalez tout Sœur Emmanuelle, cela vous fera le plus grand bien ! » Lui ordonne Monseigneur de COURTRAY. Elle s’exécute et prend un certain plaisir à avaler ce jus de couilles dont elle avait perdu le goût depuis le temps. C’est quand même sa deuxième ration de la journée ! « A moi maintenant de vous exorciser chère Léonce ! Père Barnabé détachez là s’il vous plait et faites la mettre debout contre la table, les seins posés dessus ! » La pauvre Sœur fait ce qu’on lui dit et attend la suite avec inquiétude. « Ecartez-lui les cuisses au maximum et attachez lui les chevilles aux pieds de la table ! Et vous Sœur Léonce récitez à haute voix quatre actes de contrition pendant que je vais officier.» Monseigneur relève à son tour sa soutane et garde sa mitre sur la tête. Il arbore déjà une queue fièrement tendue quand il s’approche des fesses de Sœur Léonce. « Sœur Emmanuelle, venez lui écarter sa pastille anale pour que je puisse faire pénétrer mon sexe ! » Toujours dévouée, Sœur Emmanuelle accoure et écarte les plis de la rosette au maximum pour faciliter le passage du gland tout décalotté et visqueux de mouille de l’Evêque. Après une ou deux tentatives infructueuses, le gland pénètre de deux centimètres sous les cris et les pleurs de Léonce. Emmanuelle s’écarte laissant Monseigneur l’enculer à fond. Il lui taraude le cul avec une rare violence. A chaque coup de reins ses couilles velues viennent battre contre les lèvres sexuelles. « Arrêtez je vous en prie, la sodomie est interdite par la Bible ! C’est inhumain et contre nature et puis cela fait horriblement souffrir ! » « Ce n’est pas vous qui allez m’apprendre la lecture de la Sainte-Bible Sœur Léonce, la Bible prévoit un dur châtiment pour les lesbiennes de votre espèce et la sodomie en est un, tout comme le fouet ou le perçage des parties intimes ! Je vous rappelle que vous avez opté pour la sodomie ! Si vous changez d’avis et préférez maintenant le fouet et les aiguilles dites-le de suite! » « Non-Monseigneur, continuez à m’enculer alors ! » « Je ne veux plus vous entendre, sauf pour réciter votre acte de contrition, je ne vous ai guère entendue jusqu’à présent ! » « Mon Dieu je regrette de m’être livrée à des pratiques saphiques et je promets de ne plus recommencer … » Imperturbable Monseigneur continue à la besogner, il adore enculer les filles et surtout les violenter. Bientôt il sent qu’il n’en peut plus et décide de ne pas se retirer mais de cracher tout son foutre au fond du trou du cul de Sœur Léonce. Ses couilles n’en finissent plus de se vider. Quand il enlève sa queue, cela provoque un bruit très incongru et le sperme s’écoule lentement le long de ses cuisses en coulées brunâtres provoquées par des restes d’excréments dans son conduit anal. « Regardez-moi cela, en plus elle ne se nettoie pas l’anus correctement ! Elle mériterait le fouet en plus ! » Il ne résiste pas et prend un long fouet et assène cinq coups de lanières de cuir sur ses fesses. Cela laisse de belles traces rouges sur son postérieur. « Sœur Emmanuelle détachez là ! » Sœur Emmanuelle la détache et la pauvre fille toujours en pleurs se retourne face à son bourreau. « J’espère vous avoir définitivement exorcisée mais sait-on jamais ! Maintenant rhabillez vous et remettez-vous immédiatement au travail car vous avez pris beaucoup de retard cet après-midi ! » La pauvre fille obéit et file sans demander son reste. « Quant à vous Sœur Emmanuelle je suis content de vous, votre exorcisme se passe pour le mieux, je vous reconvoquerai pour une troisième séance et je vous pardonne pour votre égarement avec Sœur Léonce que je tiens pour seule responsable de cet acte répréhensible. Vous échapperez donc au fouet pour cette fois mais je vous réserve une petite surprise!» « Vous êtes trop bon Monseigneur et je vous en remercie ! »
Dit Sœur Emmanuelle, tombant à genoux devant Monseigneur pour lui baiser la main en signe de soumission et de respect. « Ne me remerciez pas trop tôt sœur Emmanuelle ! » Dit Monseigneur en ricanant. Puis il va vers la commode et ouvre un tiroir duquel il sort une sorte de ceinture où sont fixés deux godemichés de tailles différentes mais avec des aspérités plus ou moins importantes. Le plus gros et le plus long est destiné à la chatte et l’autre plus fin pour l’anus. L’évêque le pose sur un tabouret, les deux godes tendues vers le haut. « Venez-vous empaler vos deux trous sur ce magnifique engin de plaisir ou souffrance, c’est selon ! Nous appelons cela la culotte de pénitence » Emmanuelle toujours obéissante réussit avec peine à s’enfiler les deux godes en même temps en s’assoyant sur le tabouret. « C’est fait Monseigneur mes deux trous sont pleins ! » Il s’approche d’elle et referme la ceinture de chasteté avec la boucle et verrouille le tout avec un cadenas, glissant la clé dans sa poche. « Voila vous garderez cela durant 24 heures, vous allez voir c’est un vrai supplice au bout d’un moment mais cela peut aussi vous conduire à la jouissance ! »
« Et pour uriner je fais comment Monseigneur ? » « Les godemichets sont en inox, vous pouvez pisser ils ne rouilleront pas et vous n’aurez qu’à vous laver au mieux ! » « Parfait Monseigneur je suis votre toute dévouée mais cela me gène déjà ! » « N’oubliez pas que c’est une punition ! » « Après-demain vous reviendrez me voir pour que je vous enlève cette culotte de pénitence très spéciale ! » « Bonsoir Monseigneur ! » Une fois que l’évêque est sorti, elle se rhabille et rejoint Germaine qui la reconduit au couvent.