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Emois à trois

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Cet histoire s’adresse à toi Christelle, mon amour secret…
Toi et moi nous étions arrangés pour organiser un weekend sous prétexte d’escalade. Tu avais présenté le projet de sortie à Christian en lui expliquant que j’adorais la warap, et que ce serait sympa de monter une sortie commune lors de votre prochain weekend en lien avec les activités de grimpe dans le Vercors. D’abord pas très emballé, il avait fini par identifier l’absence de risque sur ce coup, et avait accepté. Il faut dire que depuis 10 ans que je t’ai embauchée dans ma boîte, notre complicité initiale n’a pas tardé à se transformer en désir mutuel puis en amour fusionnel depuis 5 ans. Je ne cesse de bénir ce jour où tu m’as cédé, tout en haïssant ma vie désormais suspendue à nos trop rares escapades amoureuses en marge de ta vie. Je fais contre mauvaise fortune bon cœur, J’ai compris que je ne lutterais pas contre la préservation du bonheur de tes enfants. Mais Christian n’est pas tombé de la dernière pluie, et tes promotions successives chez moi ont attisé sa jalousie.
Le samedi s’était déroulé sous une chaleur étouffante. Christian et moi avions finalement sympathisé en arpentant la paroi rocheuse, les vieilles rancœurs passées furent vite mises de côté au profit des bonnes anecdotes et défis mutuels à flanc de falaise. Quant à toi, tu avais décidé de passer la journée en ville avec l’espoir secret de me faire fumer ce soir-là, pour satisfaire à ta promesse de m’y faire goûter un jour faite il y a de cela plusieurs années.En fin d’après-midi, Christian et moi nous étions retrouvés pour l’apéro après une douche rafraichissante, profitant du soleil du soir en maillot de bain. Tu n’étais pas encore rentrée de ta journée shopping et nous ne pûmes nous retenir de remplir les premiers verres : vin du sud pour Christian, et Champagne pour moi.C’est ainsi qu’on commença à refaire le monde assis tous les deux côte à côte dans nos fauteuils, dégringolant gaillardement nos breuvages respectifs.— « Faut qu’elle arrive vite, autrement on va se beurrer, et elle ne va pas apprécier.. » me dit Christian.— « Pas de risque, on est sage, on ne roule pas, et surtout… j’ai tout un carton de champagne !... alors elle ne va pas bouder longtemps !! » lui répondit-je
Environ une demi-heure plus tard, tu arrivais, vêtue d’une petite robe d’été à fine bretelles boutonnée devant qui te moule si parfaitement que ça me laissait deviner ton absence de culotte. Du coin de l’œil, je sentais ton regard espiègle dont la particularité est de me fait virer au rouge vif au quart de tour.— « J’ai trouvé ce que je cherchais : on va faire fumer Jacques, on va rire ! » nous dis-tu.— « J’espère que tu en as assez pour tous les trois » renchéris Christian, qui entendait bien profiter de ses expériences passées pour me montrer sa supériorité.Profitant que tu passais à côté de son fauteuil, Christian passa une main sous ta robe et je vis son regard s’embraser. Bingo, j’étais sûr que tu n’avais pas de culotte. Tu l’embrassas au passage, et j’enrageai de ne pas être lui. Il te servi une coupe et tu t’installas face à nous. Les discussions virevoltèrent de la politique au boulot en passant par nos exploits du jour. D’abord critiques, nous devinrent hilares à mesure que les verres se vidaient et que la soirée avançait. Le jour déclinant, Christian alluma le feu de bois pour préparer le barbecue ce qui me laissa tout à mon aise pour te manger du regard. Je ne cessais de plonger entre ton corsage et ton entrejambe que tu me dévoilais délibérément et de plus en plus librement… je hais et j’adore ce jeu qui me brûle, fait exploser mon émoi et entraîne mon cœur dans un tam-tam insoutenable.Nous nous mirent à table, grillant des brochettes arrosées d’une huile épicée qui déclenche la soif. Bien entendu, pour l’étancher, Christian avait prévu un petit rosé bien frais, si bien qu’en fin de repas nous étions tous déjà calcinés quand tu allumas le chichon qui passa de mains en mains. La fumée eut un effet rapide après la chaleur du jour et l’alcool. Chacun d’entre nous regardait moqueusement les manières de l’autre, sans voir son propre état de déchéance. Une heure passa et la pleine lune éclairait maintenant la campagne, tandis que les flammes du feu faisaient danser nos ombres. Nous étions tranquillement assis, rompant le silence ambiant de nos railleries et des pitreries de Christian. Tu te levas en direction des WC, mais ingénue ou droguée ( ?), tu perdis l’équilibre en passant devant Christian et me tomba littéralement dessus ; Sans aucun reflexe de protection, je t’accueilli dans mes bras et j’en profitai pour te caresser peu discrètement les seins pendant les quelques secondes qui m’étaient offertes pour te redresser.Christian n’avait pas perdu une miette de la scène et fut d’abord interloqué, puis éclata de rire : — « Et ben ! Après çà on dira que c’est moi qui suis bourré, un vrai sac à viande, elle tomberait dans les bras de n’importe qui à l’heure-ci ?! Ne tombe pas dans la cuvette des chiottes !! »Je ne relevai pas, un peu gêné de m’être vendu. Tu te redressas en riant à ton tour en poursuivant vers le bungalow, puis revint avec la dernière bouteille de champagne :— « Vous foutez pas de moi, on verra comment vous serez quand vous allez lever votre cul du fauteuil, et puis toute façon y’a pas de témoins, et je nierai tout en bloc… »Tu avais le visage gai, mais surtout tes yeux brillaient comme des étoiles dans la nuit. Complètement Pompette ! … ça te rendait désirable, irrésistible, et Christian n’en pensait manifestement pas moins... nous n’étions plus nous-mêmes et c’est ce qui me sauva du coup de poing que Christian m’aurait asséné en situation normale. Désormais, ses blagues s’enchaînaient alternées par ses singeries et je ne manquais pas une occasion d’en rire à pleine gorge. J’étais moi aussi méconnaissable à rire si fort. Régulièrement je croisais ton regard, et tu en jouais pour m’exciter ce qui faisait monter mon désir. Quant à Christian, il faisait le pitre quand soudain il se leva, et nous faisant dos il sorti sa queue et t’appela : — « Regarde bébé, … Moi, je ne tombe pas …! Je me tiens droit, et en plus je peux même t’écrire mon amour… Ça t’en bouche un coin là ?! Hein ? » : Impudique, il tentait de dessiner un cœur en pissant sur le sol sablonneux.
Tu te levas et t’approchas au-dessus de son épaule scrutant l’œuvre qui se dessinait au sol. C’est alors que tu lui saisis la queue à pleine main et renchéris :— « Attends, tu t’y prends mal, … voiiiiilà, maintenant, c’est signé !! » s’exclamas-tu triomphante, face au gribouillis que tu venais de lui faire faire… Je ne te reconnaissais plus ! En te retournant pour revenir à ton fauteuil, tu titubais. Prise de vertige, tu te laissas à nouveau tomber sur mes genoux. Fort de l’ambiance que tu venais d’introduire, je te pris affectueusement par la taille avant que mes mains ne descendent calmement pour caresser tes cuisses. Ça eut pour effet de remonter ta robe sans que pour autant tu ne réagisses, tandis que Christian fixait ton sexe dévoilé face à lui :— « Regarde-la ! Elle est calcinée » s’écria-t-il avec un regard lubrique ; Il retomba sur son fauteuil en se grattant le maillot qui lui faisait mal alors qu’il commençait à bander.L’un et l’autre nous étions surpris de l’absence bénie de jalousie de Christian, qui restait complètement détendu. Du coup tu restas assise sur moi profitant de ma tendresse. Mes mains remontèrent et te caressèrent les seins avec ton apparente et inespérée approbation. J’étais abasourdi mais en même temps très excité du scénario qui s’avançait. Dans mon état, je n’éprouvais plus ni peurs, ni jalousie, ni limites !Christian quant à lui ne nous quittait pas des yeux, son regard était plein de convoitise. Il se caressait doucement la queue restée entravée dans le maillot tandis qu’il m’observait massant les seins de sa femme …Voyant que tu ne t’offusquais pas de la situation, il rapprocha son fauteuil et fini par poser une main sur ton genou :— « Bébé, tu ne serais pas mieux sur mes genoux ? » et il t’invita d’un geste à s’assoir sur lui.Tu te levas et t’installas sur ses genoux. Aussitôt, ses mains caressèrent ta poitrine, puis descendirent sous ta robe dévoilant complètement tes cuisses brillantes et ton sexe épilé. Tu tentas d’abord mollement de te réajuster mais à l’appel du plaisir au second passage de ses caresses, tes réticences s’étaient volatilisées et tu laissas finalement apparaître toute ta beauté. Tu te trouvais pour la première fois étreinte simultanément par les deux hommes auxquels tu donnes ton amour. Cette situation paraissait aussi excitante que suffisamment rassurante pour te faire basculer dans le laisser-faire total.Christian, tout en te palpant le sexe, me regardait quand tu resserras brusquement les cuisses : — « Mais ça va pas non ?? Vous n’avez pas fini tous les deux ?! Et puis si quelqu’un arrivait ?? »Christian te bloqua sur lui et te souffla : — « T’inquiète bébé, laisse-toi faire, tu me rends dingue là à me chauffer avec ta robe sans rien dessous… je sais que tu as envie de moi… »Tu te calmas, et relaissas tomber ta tête sur son épaule en me regardant les yeux entrouverts. Je devinais la main de Christian qui s’immisçait à nouveau très haut entre tes cuisses, surement en train de te fouiller le sexe que j’imaginais humide de désir. Dans le silence qui s’installait subitement, nous n’entendions plus que ton souffle. A la lueur de la lune, je voyais ta poitrine battre la chamade au rythme de ton pouls et de ta respiration rapide. Approchant mon fauteuil, j’entrepris de te caresser le visage. Parvenant à ta bouche, je glissai un doigt entre tes lèvres, et tu l’enserras en réponse aux provocations sensuelles des doigts de Christian. Puis je descendis vers ton décolleté dans lequel ma main plongea pour te caresser les seins. Soudain tu bondis du fauteuil et crias :-« Non mais vous êtes fous, non ! Et tu disparus dans le bungalow.Nous t’emboitâmes le pas sans attendre. Dans la lueur de la pleine lune qui baignait la petite chambre, tu venais de t’effondrer sur le lit et gisais inerte sur le dos, une jambe pliée qui remontait ta robe, aussi belle qu’une œuvre de Modigliani. Christian se posa sur le lit, tandis que prudent, je restai au bord, assis en retrait pour observer l’expression de mon amoureuse harcelée par son homme.Les mains de Christian s’égarèrent bien vite sur tes jolies courbes de hanches sans qu’il ne prête plus attention à moi. J’observais cette scène dont je n’aurais jamais imaginé la vivre. J’étais à la fois jaloux de Christian qui s’apprêtait à faire l’amour à la femme que j’aime, et excité par l’érotisme primaire de la situation.
Christian déboutonna ta robe de haut en bas et l’ouvrit en grand, révélant ton corps resté parfait à 44 ans. Il commença à triturer tes seins qui durcissaient en réaction au martyr imposé. Puis il t’embrassa en de multiples petits baisers que tu lui rendis, l’enlaçant dans tes bras et te trémoussant sans retenue contre lui comme si je n’existais plus.Sentant ton excitation au zénith, je m’installai plus près, et commençai à caresser tes jambes. Plus mes mains remontaient, plus ta peau était douce et m’invitait ; mes mains glissaient en va et viens jusqu’à ton sexe qui m’hypnotisait. Mes doigts s’y infiltrèrent et s’y perdirent aisément tant tu étais trempée par l’excitation. J’entrepris de masser ton clitoris ce qui te fit tortiller de plaisir, provoquant la curiosité de Christian. Il se retourna pour me mater branlant ton sexe. Malgré la faible lumière, je voyais son regard lubrique. Il bondit du lit et se débarrassa de son maillot de bains :-« J’étais sûre que t’attendais que ça ! Tu aimes çà hein ? Tu voulais baiser avec lui ?? Si ça se trouve tu l’as déjà fait ?! … Hein ? Avoue… t’as déjà baisé avec ? C’est bien, … tu vas l’avoir et moi avec, on va te baiser jusqu’à te faire dégueuler de foutre… » Puis me regardant « Tu la veux ?! Vas-y, baises-la ! Elle n’attend que ça ! Fourre là je te dis ! Je veux te voir en elle ».Je fus un instant déstabilisé par sa crise et perturbé par ses mots. Mais dans la seconde qui suivi, ils raisonnèrent comme des appels à la luxure et à la dépravation ne faisant que renforcer mon désir. Je me penchai sur toi, et embrassai frénétiquement l’intérieur de tes cuisses que tu écartais ostensiblement en réponse, manifestement aussi excitée que chacun de nous par la situation. Mes baisers remontèrent jusqu’à ton sexe ruisselant de cyprine. Je l’écartai, et m’appliquai à le nettoyer méthodiquement, introduisant ma langue dans chaque sillon de tes lèvres, et l’introduisant dans ton vagin tandis que mon pouce excitait sans vergogne ton clitoris. Pendant que je te dévorais, Christian s’installa à califourchon sur tes seins, puis d’un mouvement pénétra ta bouche. — « Suce-moi »Tu l’accueillis docilement. J’imaginais ta langue tournant autour de son gland, comme une esclave sexuelle ; Tu étais en transe, totalement dépossédée de ton identité, mue en une putain accroc à jouir de son corps.Une formidable bosse déformait mon maillot et je mouillais comme un fou. Je m’en débarrassai à mon tour, puis me glissait en travers du lit sous tes cuisses, pour présenter mon gland devant ta chatte. Pendant quelques instants, je frottai ta fente de ma queue dure comme le bois, mais te sentant te cambrer pour que je m’introduise, je m’enfilai de suite en toi. Je sentais la chaleur douce de ton sexe m’accueillir, tes lèvres s’écarter, épousant mon pieu qui continua à disparaître au plus profond de toi. Je me sentais divinement bien, ta chaleur m’envahissait, ton sexe infiniment doux me serrait parfaitement. Tu manifestas ton plaisir par de petits mouvements de bassins qui me procuraient des sensations indescriptibles, m’appelant à aller et venir sans délai.
Christian se retourna et me regarda longuement te posséder. Son regard exprimait la convoitise, son instinct primaire de reproducteur avait pris le pas sur celui du conjoint policé. Tes lèvres peinaient à s’affairer sur sa queue, perturbée par les explosions en chaînes qui commençaient à enflammer tout ton bas ventre. Le plaisir martelait tes entrailles sans répit, ton cœur battait à tout rompre, ton visage s’empourprait grimaçant sous les coups de boutoir de ma queue qui te fouillait à présent sans vergogne.Christian fit glisser ses doigts sur ton clitoris qu’il martyrisa pendant que je te baisais ce qui te fit subitement basculer. Tu lui labouras les hanches, tes cuisses se serrèrent sur moi et m’emprisonnèrent avec ton premier orgasme qui venait d’exploser. Je restai sans bouger quelques instants, accueillant tes spasmes et tes contractions avec bonheur avant de me retirer face à la convoitise de Christian. Il attrapa aussitôt tes fesses et sans ménagement, il te retourna en levrette et s’introduisit en toi : — « viens ! allez ! ».En t’enfourchant ainsi, tes seins se mirent à ballotter au rythme de ses grands coups de boutoirs. Les claques pleuvaient sur tes fesses sous ses mots crus, ses couilles claquaient contre ta vulve ruisselante de mouille. Le spectacle m’excitait comme un fou malgré ma préférence habituelle pour la sensualité. Je me réjouissais de te voir baisée sous mes yeux. Que l’amour le plus précieux de ma vie soit transformée en objet sexuel habité par la luxure me mettait en transe.-« tu en veux hein, je vais t’en donner, je vais te remplir … » Christian te bourrinait comme un animal, et tu étais docilement collée à lui, tes yeux plantés dans le vide, sentant progressivement tes sens t’échapper face au plaisir qui recommençait à consumer ton ventre. Je palpais tes seins, les pinçant subtilement, les faisant rouler entre mes doigts tandis que tes gémissements couvraient la respiration haletante de Christian qui allait comme un marteau en toi.Soudain, ton corps se crispa à nouveau, ta tête tomba sur le lit le temps d’accueilli ce nouvel orgasme qui explosait tes sens.   Dans un soupir, tu murmuras :-« j’en peux plus… J’en peux plus... Mon dieu c’est bon, je tremble !!»
  Ému par ton état, je te regardais passionné et amoureux et je te susurrai : -« Merci pour ce cadeau, jamais j’aurais imaginé, profites, fais-toi plaisir… je t’aime aussi ainsi… »Christian lâcha tes fesses rougies par les claques, et te laissa t’effondrer sur le lit.-« Alors, c’est bon hein ? T’en veux plus ? J’ai pas fini ! Tournes toi ».Christian n’avait pas encore explosé et comptait bien éjaculer en toi. Il se coucha sur toi en missionnaire t’écartant largement les jambes et te pénétra à nouveau presque brutalement. Maintenant, tu fermais les yeux oubliant ma présence, tes jambes étaient inertes, seuls tes bras se refermèrent sur ce mâle qui te pilonnait. J’étais ébloui par ta beauté, baisée, livrée au plaisir, sans plus aucune tristesse de devoir partager ton amour. Une, deux, trois minute interminables passèrent pendant lesquelles j’étais le témoin des pouls qui s’affolent, des respirations haletantes… Tu râlais profondément puis à nouveau tes doigts se crispèrent, griffèrent son dos, des spasmes te traversèrent à nouveau quand éclata votre jouissanceVos corps étaient luisants de transpiration, Christian s’effondra à côté de toi, te laissant offerte les jambes écartées.J’étais assis à côté. Je caressais ton visage, laissant un répit à ce corps vertigineusement envoûtant qui m’excite et me donne tant de plaisir depuis des années. J’approchai mes lèvres des tiennes, t’embrassai en de cours baisers, puis nos langues se trouvèrent pour un fougueux baiser de ceux que tu ne livres qu’à moi. Ma main descendit jusqu’à ta vulve trempée. Te savoir pleine de sperme me rendait complètement fou ; mes doigts te fouillèrent à nouveau, provoquant un flot mélange de mouille et de sperme. La situation me fascinait. J’enfonçai un second, trois, puis quatre doigts qui pénétrèrent sans efforts ni douleur dans ce sexe écartelé par les coïts successifs. Je me remis à branler ton clitoris de mon pouce tandis que ma main toute entière caressait le vagin de gestes doux. Entre les bruits de succion de ta chatte remplie de foutre, je perçu à nouveau tes gémissements. Tu jouissais presque sans interruption, en t’offrant cambrée en appel au viol. J’avais envie de toi. Je me couchai tendrement sur toi et t’enlaçai en saisissant tes épaules pour m’enfoncer profondément et ressentir chaque centimètre de ta peau et de ton sexe. Épuisée par les coïts, tu ne répondais plus. Tu enlaças tes jambes et tes bras autour de mon corps comme une liane, immobile, offerte et soumise ; nous ne faisions plus qu’un, ton sexe me flattait mon gland de sa douceur et de sa chaleur, et j’entamai de profonds allers et retours, tandis que Christian restait couché en chien de fusil en nous observant baiser.Ma queue disparaissait en toi sans aucune douleur ni réticence et tu m’accueillais en entier dans ce mélange de sperme et de mouille qui inondait ta robe et le lit. Je dessinais mes va-et-viens en grands mouvements ainsi que tu aimes, pour que la jouissance te frappe à nouveau. Je sentis peu à peu ton corps se crisper sur moi, tes ongles mordre mon dos et ton bassin se coordonner avec mes mouvements, activant ma transe et m’arrachant ma jouissance. Je me vidai en saccades au plus profond de toi avant de t’étreindre amoureusement dans mes bras. Nous somnolâmes ainsi une partie de la nuit blottis l’un en l’autre, assommés des excès en tout. Au matin, tu te levas la première, et nous ne tardâmes pas à te suivre, nos vessies au bord de l’explosion. Nous prîmes une douche salvatrice avant de nous retrouver devant un grand bol de café. Nos regards se croisèrent, tu répondis à ma gratitude silencieuse par un large sourire, puis Christian te prit la main. Tu demeurais sienne, c’était entendu.
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