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employé au service

Chapitre 1

Trash
Bonjour, je suis Jean Racé, célibataire, 28 ans et employé au service courrier d’une grande entreprise française depuis environ 5 ans.J’ai obtenu un BTS de tourisme en rêvant de voyages et découvertes, finalement je croupis ici en rêvant d’avancement et de promotions. J’ai eu ce poste par hasard, au début un cdd en remplacement de congés maternité. Puis ils m’ont gardé, je me débrouille pas si mal.
Au début je timbrais, tamponnais, photocopiais, maintenant je me balade, de service en service. Je connais toutes les secrétaires, et il y en a ! L’entreprise occupe un immeuble de 10 étages. Tous les métiers du tertiaire y sont représentés, gestion, comptabilité, finance, commerce, recouvrement, assurance. J’imagine même pas combien d’argent se balade ici, de bureaux en bureaux.
Et puis il y a des coins, des étages entiers où je ne sais vraiment pas ce qu’on y fabrique. Et d’autres bureaux encore où je ne vais jamais. Apparemment ils ont leur propre service courrier, pas besoin de moi. Bref, plus d’un millier de personnes brasse ici chaque jour. C’est mon petit monde à moi, je m’y sens bien et je n’ai aucune envie ni besoin d’aller voir ailleurs ce qu’il s’y passe.
C’était une jolie journée aujourd’hui, ça commençait bien. L’hôtesse d’accueil, d’habitude si sèche et froide m’avait sourit . M’aurait-elle confondu avec un autre ?Je travaille au sous-sol, moi. Quand les autres employés font la queue aux ascenseurs, moi je descends l’escalier juste après. Tout le monde se croise au rez de chaussé.
Avant l’hôtesse d’accueil c’est le portique et les agents de sécurité, au début juste pour les clients et visiteurs maintenant c’est pour tout le monde.
Les agents de sécurité sont cools. Ils me connaissent bien, on se sert la pince, on se raconte une connerie. L’hôtesse d’accueil elle fait toujours la gueule. Tu parles d’un accueil ! À croire qu’elle a été embauchée pour ça. Mais ce matin non, elle a sourit à ma blague, immuable :"
_Vous êtes en beauté ce matin Mademoiselle Lizette !"
Tu parles, ce laideron ! Quoiqu’en descendant les escaliers, j’avais son sourire en tête, la vieille et sèche Lizette me paraissait bien moins laideron que d’habitude ! Enfin bon !
Heureusement je ne traîne jamais trop au sous-sol. Le temps de préparer mon chariot, une petite demi-heure et je pars à l’assaut des étages pour ma première distribution de la journée.
Mon aide de camps, tout le monde l’appelle Akaï, je ne sais pas pourquoi, est un débile léger. Mais il est relativement efficace sur une tache simple. Ce jour là je le laisse avec un tas de copies à faire, tamponner, plier et ranger sous enveloppe. J’ai la paix au moins 2 heures durant, voir un peu plus si besoin, pour une tournée qui devrait me prendre moins d’une heure, si je fais vite...
Mais je ne vais pas faire vite.

Au 8ième je bois le café avec Lou, à l’autre bout du 8ième, je me pose 10 mn avec Suzie... J’en ai des histoires à entendre. On est lundi matin, tout un week-end à rattraper...
Quand je suis de retour, 1 heure et demi a passé. Comme j’ai encore un peu de temps, j’appelle Lucie, au 5ième :"
_Mademoiselle Lucie, j’ai un gros paquet à livrer, je peux vous le monter ?"
Lucie est la secrétaire d’un directeur commercial qui est sans cesse en "rendez-vous" extérieur ou en déplacement. Lucie est une femme d’une cinquantaine d’année, elle a un punch d’enfer, pas très jolie mais elle prend soin d’elle et s’habille... heu... bien.
Elle pousse un petit cri. Normal, après un week-end et une fin de semaine chargée, on ne s’est pas vu depuis bien plus longtemps qu’elle ne peut le supporter. Je monte, un carton vide sous le bras, je me présente au bureau (vide) de la secrétaire et frappe à la porte du directeur :"
_ C’est pourquoi ?_ J’ai un gros paquet pour Mademoiselle Lucie._ Entrez s’il vous plaît."
Le bureau est dans la pénombre, je referme la porte derrière moi et m’avance dans cet immense pièce presque vide. Bien sûr le fauteuil est retourné, je sais qu’elle est dedans, qu’elle m’attend :"
_ Déposez votre paquet et allez-vous en !_ Mademoiselle, si je peux me permettre !"
Je suis le seul à appeler Lucie Mademoiselle. Bien sûr elle est mariée, mère de 2 enfants presqu’adultes maintenant. Pour tout le monde c’est Madame Barrière, pour moi Mademoiselle Lucie :"
_ Que voulez-vous de plus ?_ J’ai besoin d’une signature."
Elle fait pivoter le fauteuil. Elle est là, presque nue, plus que nue. Comment elle fait ça, je ne sais pas. Je l’ai prévenu il y a 5 minutes. Les jambes croisées, en bas couleur chair, porte-jarretelle noir, culotte et soutien gorge noirs presque transparents et escarpins noires. Une paire de lunettes sur les yeux et semblant s’affairer sur un dossier qu’elle a dans une main et un crayon dans l’autre. Moi j’ai ouvert les boutons de mon pantalon. Sans me regarder elle me commande :"
_ Approchez ! Cela ne cessera-t-il donc jamais ? Tout ce travail et personne pour m’aider ! Que dois-je signer ?_ Ce n’est pas vous qui signez Mademoiselle !"
Et là je lui ôte dossier, crayon et lunettes que je balance, je la lève de force et la couche à plat ventre sur le bureau. Elle se débat (légèrement) pour la forme, m’empêche (à peine) de passer une main dans sa culotte. Je découvre en descendant la raie qu’elle a un plug dans l’anus. Ça c’est nouveau ! Je baisse un peu la culotte, retire l’intrus, tout est lubrifié au mieux. Lucie sait ce qu’elle veut. Je lui glisse le zob en caoutchouc noir dans la bouche pour qu’elle se taise enfin, et prend sa place avec mon pénis à moi sans plus de ménagement. Je ne me retire que lorsque je n’ai plus rien à ajouter. Son cul fait un petit bruit en laissant sortir un peu de mon sperme que j’observe couler le long de ses jambes pendant que je referme mon pantalon. Je repars simplement et sans me retourner avec un simple :"
_ Merci Mademoiselle."
Elle a tout le temps de nettoyer, se rhabiller, ranger le bureau du directeur tandis que moi j’ai simplet qui doit commencer à tourner en rond. Et puis j’aime bien la traiter comme une truie Madame Barrière, je crois qu’elle aime ça.
J’arrive à mon (espèce) de bureau pour découvrir un message de la direction des ressources humaines. Une convocation même ! Avec Madame Garnier, directrice du service, pour mon évaluation annuelle !
Je sens que c’est des conneries parce qu’en 5 ans c’est ma première évaluation annuelle, et aucun de mes collègues ne m’a jamais parlé de ça.
M’enfin, c’est avec Madame Garnier ! S’il y a un véritable canon dans l’entreprise c’est elle ! En même temps je flippe un peu parce que ça doit pas être bien bon pour moi. Claude, sa secrétaire m’a souvent dit qu’elle était peau de vache la Garnier. C’est comme ça que tout le monde appelle Sophie Garnier : la Garnier !
Je la croise des fois, au rez de chaussé. Elle est toujours impeccable, en tailleur sur ses talons pas très hauts. Vu qu’elle mesure plus du mètre soixante dix, elle a pas besoin de se grandir beaucoup plus. Elle est plus que canon la Garnier. On rêve tous d’elle mais on sait que c’est peine perdue. C’est pas avec notre à peine plus que le smic qu’on peut espérer intéresser une femme pareille ! Elle passe au milieu de nous sans même nous voir, nous, ses employés. Elle est pas spécialement sévère, elle ne nous regarde pas de haut. Elle ne sourit pas mais ne fait pas la gueule non plus. Elle navigue dans de hautes sphères et nous, ben pas !
Bon mais c’est à 14h cette convocation ! Putain, j’ai même pas le temps de préparer quelque chose ! Et puis il faut que je rentre me changer, me raser de prés, me parfumer. Faudra que je pense à mener mon enquête, savoir si elle est mariée la Garnier, ou si c’est son nom de jeune fille.
Il est 14h. Je suis beau, tout beau, tout propre et je sens bon et Claude, sa secrétaire se fiche de moi en me demandant de m’asseoir :"
_Elle est en rendez-vous, elle te reçoit tout de suite après."
J’attends patiemment, Claude est occupée, elle ne peut me faire la causette. La porte fini par s’ouvrir. Je crois reconnaître un cadre de l’entreprise mais je ne me souviens plus ni qui il est ni où il bosse. Est-il entrain de refermer sa braguette ? Du coup je ne suis même pas sûr de ce que j’ai vu. J’ai sûrement l’esprit mal tourné. Il laisse la porte entre-ouverte et j’aperçois, au fond de son immense bureau, Sophie Garnier à demi de dos entrain de se refaire une petite beauté à l’aide d’un miroir portatif. Elle sort enfin du champs. 2 minutes plus tard, Claude répond à un appel, raccroche et me dit :"
_Tu peux y aller elle t’attend."
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