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employé au service

Chapitre 2

Trash
Au fond je suis un grand sentimental. En attendant qu’elle me reçoive, je rêvais de Sophie Garnier. Je m’imaginais avec elle, bras dessus, bras dessous, nous promenant amoureusement dans une ville jolie. Je m’imaginais lui faire des enfants, et vivre dans une belle maison avec un grand jardin.
Je voulais me souvenir de cette rencontre. Cette femme à la fois belle et puissante m’en imposait depuis si longtemps.
J’étais assez nerveux mais je me levai lentement, ajustai ma tenue, et me composai une allure aussi décontractée que possible. C’est en souriant que je poussai la porte entre-ouverte. Elle m’attendait debout derrière son bureau. Je ne distinguais pas son visage. Le bureau n’était pas brillamment éclairé, et la baie vitrée derrière elle jouait à me cacher son expression. Je m’avançai lentement, tout en m’apercevant qu’elle paraissait mal à son aise, nerveuse. Pourtant elle me parlait depuis mon entrée :
— Monsieur Racé je suis enchantée de vous rencontrer enfin.
Ce qui m’étonnait. Nous ne nous sommes jamais présenté mais enfin, croisé à de multiples reprises, ça oui. Étonnant qu’elle ne sache pas qui j’étais.
— Il était temps que nous nous entretenions de votre collaboration dans notre entreprise. Je n’ai que de bonnes appréciations, autant de votre hiérarchie que des nombreux collaborateurs que vous côtoyez au quotidien.
Elle me tendait la main mais ne me regardait pas dans les yeux. Elle me proposa de m’asseoir, s’assit elle même. Elle me regardait brièvement, mais semblait se perdre à remuer des papiers posés sur son bureau. J’ouvris enfin la bouche pour la remercier mais surtout pour lui demander qui était le monsieur qui sortait à peine de son bureau.
— Je l’ai croisé plusieurs fois mais je n’arrive pas à me souvenir de son nom ni de son poste dans l’entreprise.
Elle me jeta un regard et me répondit que ce monsieur ne faisait pas partie du personnel de l’entreprise. Elle continua à me poser des questions sur mon poste, mes collègues, le simplet dont je m’occupais. Je répondais mais je sentais aussi qu’elle se fichait de mes réponses. Je faisais comme si je ne le remarquais pas et étalais mes réponses. Je lui racontais des anecdotes et lui livrais mes (sympathiques) évaluations sur les collègues que j’appréciais...
— Monsieur Racé, nous sommes, au sein de l’équipe de direction, largement au fait que vous êtes sur-qualifié pour l’emploi que vous occupez. Vous avez été capable en moins de 2 ans de réorganiser votre service qui est passé de 5 à 2 personnes pour la même, sinon plus d’efficacité. Vous ne semblez pas débordé de travail pour autant, et vous nous avez même permis de remonter notre quota de travailleurs handicapés.
Elle me lâche ça comme ça ! Je me demandais d’où viendrait le coup fourré mais là elle m’avait mouché. J’attendais la suite avec impatience.
— On pourrait dire autrement que nous vous employons en dessous de vos capacités !
Elle se tait et me regarde. Je me tais aussi un moment. Puis :

— Vous avez quelque chose à me proposer ?— Oui.
Bon, à ce moment là je commence à me dire que je vais probablement commencer à gagner ma vie un peu mieux. Un poste de cadre, combien de personnes sous ma responsabilité ? Je m’apprête à négocier mon augmentation. Surtout ne rien accepter de suite. Me laisser le temps de la réflexion.
— Monsieur Racé, vous êtes doué pour l’organisation, vous savez vous adapter, vous savez vous faire apprécier et inspirez confiance. Vos 5 années à un poste subalterne, sans jamais vous plaindre ni exiger quoi que ce soit démontre une fidélité certaine à l’entreprise.
Si elle dit tout qu’est-ce que je vais bien pouvoir ajouter moi ?
— De plus j’ai appris quelques uns de vos talents cachés mais vous savez rester discret, et ce que je vais vous proposez exige la plus grande discrétion.
Là elle parle de mes talents cachés que normalement ils sont cachés justement. De quoi parle-t-elle au juste ? Faut-il que je lui pose la question ? Ou alors je fais comme si de rien n’était et j’attends qu’elle en vienne au fait ? Je ne souris plus. Je ne suis même plus sous le charme, j’ai l’impression de tomber dans une autre dimension. C’est Sophie Garnier qui me parle comme ça ? Elle doit bien voir qu’elle me trouble au plus haut point, elle me demande :
— Qu’en pensez-vous ?— Ce que je pense de quoi ? Vous ne m’avez rien proposé encore.— J’aimerais m’assurer que je ne me trompe pas.— Dans l’ensemble je ne crois pas non.— Mais...— Mes talents cachés...— Vous avez des talents dont quelques unes de nos collaboratrices profitent. Voulez-vous que je développe ?— Je ne crois pas. Quand à ma fidélité supposée à l’entreprise...— Je vous en prie...— Disons que je me sens bien ici...— Sans plus...— ...— Et honnête avec ça ! Le rêve pour une directrice du personnel !
Je rêve ! Non seulement elle sait que je nique la moitié des secrétaires, mais elle semble heureuse que je le lui confirme. Je commence à me dire sérieusement que je vais niquer Sophie Garnier le soir, le matin, à midi, pour le goûter et avant le déjeuner, dans tous les coins possibles, toutes les positions, tous les t...
— Nous avons un sérieux problème Monsieur Racé !
Le coup fourré !
— Nous avons besoin d’aide mais ceci doit rester entre nous. J’ai été directement mandaté par le président pour trouver une solution au sein de l’entreprise. Vous conservez votre poste mais nous allons vous confier des missions. Bien sûr des appointements en conséquence vous serons accordés.— De quoi s’agit-il ?
Je commençais vraiment à me méfier. Ça semblait très sérieux.
— Pas encore Monsieur Racé, j’ai besoin de m’assurer de votre plus grande discrétion. Vous allez continuer à tenir votre poste. Les missions que nous allons vous confier seront à assurer hors de l’entreprise. Vous serez officiellement en vacances, en arrêt maladie ou en stage pour 1 ou 2 semaines selon les besoins. Vous toucherez une rémunération en liquide pour chaque mission plus une prime en fonction des résultats. Êtes-vous d’accord pour le principe ?— Ça dépend de ce que vous allez me demander de faire.— Que savez-vous du service recouvrement ?— Je ne sais pas grand chose. Il n’y a jamais grand monde dans les bureaux.— En effet, nos agents travaillent pour la plupart en déplacement. Ils sont habilités à recouvrir des dettes en notre faveur, mais il s’agit aussi d’un service que nous proposons à nos plus importants clients.— Je parle assez peu de travail avec mes collègues.— Je n’en doute pas. Nous soupçonnons quelques uns de nos agents de détournement. Les résultats du services sont chaque année moins bons mais la crise n’explique pas tout. Nous suspectons des connivences entre nos débiteurs et certains de nos agents. Vous allez nous aider à le prouver.— Pourquoi ne faites-vous pas appel à un détective privé ?— Le président préfère une solution en interne. L’entreprise n’a pas besoin de la publicité d’une telle affaire si elle était démontrée.— Pourquoi pensez-vous que je suis la bonne personne ?— Monsieur Racé, faut-il que je reprenne depuis le début ?— ...— Alors ?— Alors je ne sais pas, qu’est-ce que je dois faire ?— Vous vous formerez au métier de détective privé. Lundi prochain vous ne venez pas travailler. Vous irez chez notre loueur de véhicules y prendre possession d’une voiture. Dans le coffre de cette voiture vous trouverez toute une panoplie de matériel dont vous pourrez avoir besoin. Vous allez vous familiariser avec ce matériel. Vous disposerez de toute la documentation utile. Si vous avez besoin de matériel supplémentaire vous en ferez la demande. Dans le coffre vous trouverez également le dossier d’un de nos collaborateurs suspecté, ses dossiers, ses résultats, chiffres, adresses... Ainsi qu’une confortable enveloppe de cash pour vous et vos frais. Vous avez une semaine pour tout savoir des déplacements, contacts et emploi du temps de ce collaborateur. Vous serez convoqué ailleurs que dans ces locaux pour nous les exposer. Je ne doute pas que vous ayez tout saisi de ce que je vous ai raconté. Avez-vous des questions ?— Si je refuse ?— C’est trop tard, Jean, vous y êtes maintenant, mais ne vous inquiétez pas, vous ne le regretterez pas !— Je peux prendre ma journée Sophie ?
Je ne sais pas trop dans quel état j’étais. Abasourdis, dans les vappes. Comment on dit ? Perdu ? Sûr que je ne m’attendais pas à une proposition pareille. J’allais jouer le détective privé pour ma boite. Piéger des pauvres gars. Bah, peut-être qu’ils le méritaient ?
Je rentrais chez moi à pied. 20 mn de marche tranquille. En route je reçois un sms de Jeanette, une autre de mes protégées, au 4ième, comptabilité. Je lui avais promis qu’on se verrait de 15h30 à 16h.
Son kiff c’était de se faire prendre à la cantine. A cette heure là il n’y avait plus personne et ça sentait bon. Elle adorait se faire bourrer la chatte au milieu de cette grande salle. Elle hurlait son bonheur de se faire prendre comme en public. Un de ses fantasmes probablement. Heureusement (pour moi) le réfectoire était assez isolé du reste du bâtiment. Le silence de cette pièce immense était encore accentué par le ronronnement des frigos ou autres machines qui ne s’arrêtaient jamais.
Elle m’avait exprimé plusieurs fois le souhait de se faire prendre par plusieurs types en même temps, mais je n’avais encore pas trouvé d’acolyte, pas sûr non-plus d’en avoir envie. J’étais en retard, elle m’attendait.
Je lui répondit par sms de m’attendre nue, complètement nue couchée sur une table au milieu de la pièce, avec un légume dans la chatte et un bandeau devant les yeux, et surtout, en silence. Au pire en se ramonant doucement. Je lui dit que je terminais un paquet urgent et arrivais sous peu.
Jeannette était comptable. Une experte. Elle s’ennuyait ferme dans cette boite mais elle n’osait pas chercher ailleurs. Séparée, une quarantaine d’années, 3 garçons adolescents à plein temps avec elle, elle avait du mal à s’en sortir financièrement. Un comble pour une comptable. Et c’était une pointure, mais elle était seule à ne pas le savoir. Son chef lui interdisait de prendre des vacances plus que 15 jours de suite.
Elle était jolie aussi, une brune discrète mais avec un superbe et franc sourire. Toujours habillée simplement mais avec goût.
J’envoyais aussi un message à mon Simplet en lui disant qu’une surprise l’attendait au réfectoire, qu’il pouvait en faire ce qu’il voulait, mais surtout, en silence, et aussi de ne pas traîner à retourner au bureau une fois qu’il aurait terminé. J’espérais juste que mon peu avenant, crasseux et puant Akaï sache faire fonctionner son appareil génital, sinon ma douce Jeannette me le ferai payer.
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