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Encagé à son insu

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Je vais vous narrer maintenant le calvaire que je suis en train de vivre depuis trois semaines.Tout a commencé un samedi ; j’avais donné mon accord à ma belle-fille, Sarah, afin de l’aider à déménager de son ancien appart. Mademoiselle Sainte Nitouche avait trouvé un logement plus grand et avait tanné sa mère jusqu’à ce qu’elle accepte l’idée que sa fille change de lieu de vie. Un caprice de plus pour la donzelle, qui n’en était pas à son coup d’essai.
Cependant, à cette date-là, ma copine – sa mère – avait un déplacement prévu de longue date et ne pouvait pas le différer ; c’est à ce moment là que j’intervins. Pour calmer les esprits, je me proposai d’aider Sarah ainsi que ses amis à faire ce déménagement. En fait, la journée s’est très bien passée : même ma belle-fille, qui d’ordinaire a tendance à me faire la gueule, était radieuse, toute à sa joie de changer d’appartement et se sentant obligée de me faire des sourires, vu que j’avais loué un fourgon et que je mettais la main à la pâte pour transbahuter tous ses meubles.
Le soir venu, pour fêter la fin du déménagement, je fus convié à un petit apéro crémaillère dans le nouvel appartement de la miss. Un peu fourbu, j’acceptai quand même pour marquer le coup ; de plus, avec ma copine absente, cela m’évitait de me retrouver seul chez moi devant la TV un samedi soir. Au milieu de tous ces jeunes, je dépareillais un peu mais, l’alcool aidant, je participai malgré tout aux conversations de ces jeunes adultes dans la fleur de l’âge, tous ayant entre 20 et 30 ans. La fête battait son plein ; vers 1 heure du matin, alors que je m’apprêtais à partir, Sarah vint vers moi et me tendit un verre, « un dernier pour la route, beau-papa, et encore merci pour m’avoir aidée aujourd’hui ! » Ne pouvant refuser, j’enquillai le verre cul-sec.
C’est à compter de ce moment que ce fut le blackout total ! J’ai perdu toute notion du temps ; plus aucun souvenir. Et c’est très étonné que je me suis réveillé le dimanche après-midi, chez moi, dans mon salon, allongé sur le canapé. La tête lourde, j’ai ouvert un œil : par la baie vitrée, je pouvais constater qu’un grand soleil inondait la pièce et me faisait mal aux yeux. Un rapide coup d’œil à la pendule murale m’indiqua qu’il était 16 heures passées. Mais que m’était-il arrivé ? Et surtout, comment étais-je arrivé chez moi, sans aucune idée de la manière dont cela s’était produit ? Je portais encore mes habits de la veille au soir, mes membres étaient tout endoloris, je me sentais courbaturé et j’avais la langue pâteuse. C’est alors que je ressentis une gêne dans le bas-ventre ; quelle sensation étrange ! Outre le fait que j’avais une énorme envie d’uriner, je sentais un contact froid et lourd sur mon sexe ; et qu’était cette bosse qui apparaissait à l’entrejambe de mon pantalon ? Je défis alors rapidement ma ceinture et mes boutons pressions afin d’enlever mon jeans et de baisser mon slip ; mes gestes étaient brusques, et je sentais la fébrilité me gagner…
Mon Dieu… Mais qu’est-ce que c’est que ça ? Je découvris alors une espèce de cage à barreaux en acier qui enserrait mon pénis ! Cette cage était reliée à un anneau, en métal lui aussi, fixé à la base de mon sexe contre mon pubis, et dans lequel étaient passées mes couilles. Putain ! Mais c’est quoi, ça ?
La fébrilité a laissé la place à une panique évidente ; je sentais une sueur froide couler le long de ma moelle épinière. J’essayai tant bien que mal d’arracher cette gangue de métal de ma bite, mais impossible ! Je me rendis compte que l’ensemble était fermement maintenu en place par un petit cadenas, mais avec une solide boucle en acier trempé qui empêchait toute ouverture.
Ne pouvant plus tenir, je me précipitai aux WC et, comme à mon habitude, je me mis debout devant la cuvette pour pisser. Malheur ! Avec cette foutue cage, le jet se dédoublait et je commençai à inonder le sol de la salle d’eau. La cage étant incurvée vers le bas, impossible de diriger correctement mon jet d’urine : me voilà contraint de m’assoir sur la lunette des toilettes, comme une fille, pour pouvoir terminer ma besogne. Quelle humiliation ! Comble de la situation, je fus obligé d’essuyer la cage avec du papier toilette comme une femme le ferait en essuyant sa chatte après avoir uriné.
Je passai le reste de la soirée à essayer par tous les moyens d’ouvrir ce foutu cadenas, mais impossible : une pince coupante n’avait pas de prise, et une scie à métaux risquait de m’entamer la peau du pubis. De plus, avec ce type d’acier, j’en aurais pour des heures et des heures. Heureusement, ma copine ne devait rentrer que le lendemain, alors que d’habitude nous avions notre séance de baise dominicale hebdomadaire ; sinon, comment lui aurais-je caché ça ? Après mûres réflexions, je ne vis qu’un moyen : revenir à la source. Hier, à 1 heure du matin, je ne portais pas cette protubérance ; alors, qu’est ce qui s’était passé depuis ? Cela n’avait pu se réaliser que chez Sarah ; le seul moyen de le savoir était d’appeler ma belle-fille. Mais comment aborder le sujet ? Après moult atermoiements, j’attrapai mon portable pour appeler le mobile de Sarah…
La messagerie ! Je réessayai plusieurs fois, mais je tombais inlassablement sur sa boîte vocale. À 20 heures, j’arrêtai les frais et me préparai à passer ma première nuit dans cette cage grotesque, ayant à l’idée que je ne pourrais pas bander, mon sexe contraint par ces barreaux rigides. Qu’allait il m’arriver demain matin, moi qui me lève régulièrement avec des érections ?
Un bip me sortit alors de ma rêverie. Tiens, je venais de recevoir un SMS : c’était Sarah, justement. Elle avait dû voir que je l’avais appelée. C’est avec consternation que je lus son message : « Salut, mon papounet. Alors, ça fait quoi d’être encagé, espèce de sous-bite ? Hier, quand je t’ai fixé la cage, j’ai pu voir à quel point tu as une petite bite : je plains ma pauvre maman, qui ne doit pas s’amuser tous les jours avec toi, pédé ! À partir de maintenant, tu m’appartiens ; tu seras mon soumis. Tu vas commencer par quitter ma mère qui, de toute façon, ne pourra plus baiser avec un mec en cage de chasteté. Tu as une semaine pour lui annoncer la nouvelle. En plus, c’est toi qui vas payer mon loyer dorénavant : si j’ai pris plus grand, c’est aussi plus cher. Tu vas raquer, mon salaud ! Je vais te faire payer d’avoir provoqué la séparation de mes parents, petit enculé. Bientôt, tu auras d’autres instructions par SMS de ma part. Bonne nuit :-) »
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