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Encagé à son insu

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Chapitre 2

Je me sentis tout à coup dans un état second. Mais ce n’est pas possible ! Comment une gamine de 20 ans pouvait-elle se mettre à diriger ma vie ainsi ? En plus, j’aimais sincèrement ma compagne et me voilà contraint de la quitter à mon corps défendant ! Non, cela ne pouvait pas se passer comme ça ; j’allais me battre. C’était décidé : demain j’irais voir ma belle-fille afin qu’elle me libère de cette cage.
Le lendemain, la journée galère commença avec ma toilette intime. Il me fallut utiliser un coton-tige afin de nettoyer mon gland, aussi bien que possible, à travers les barreaux de la gangue de métal. Par la suite, en m’habillant, j’eus les pires difficultés pour cacher cette protubérance sous mon jeans, car la cage avait tendance à mettre le sexe et les couilles en avant, même si je ne suis pas très bien pourvu par la nature de ce côté-là. La journée se passa tant bien que mal, à ceci près que maintenant j’étais contraint de m’essuyer le sexe après avoir uriné, comme une fille, assis sur les toilettes. Dès que je sortis du boulot, je me rendis directement chez Sarah pour lui demander des comptes. Sa mère rentrant le lendemain, il me restait peu de temps pour l’obliger à m’ôter ce poids mort accroché à mon sexe.
18 heures : j’arrivai devant la porte du nouvel appart de ma belle-fille. Et dire qu’elle croit que je vais payer le loyer pour elle… pauvre folle ! Sa voiture est garée devant : parfait, je vais pouvoir régler le problème rapidement. Je sonne à la porte…J’entends bouger derrière la porte et je perçois le verrou qui se désengage. Sarah, pas du tout surprise, ouvre la porte et m’invite à entrer par un geste de la main.– Je t’attendais, petite bite ! me lança-t-elle d’emblée.– Mais dis-donc, petite pute, comment tu me parles ?J’avais à peine fini ma tirade que je reçus une gifle mémorable de sa part. Interloqué, je restais comme deux ronds de flan !– À partir de maintenant, pour toi, ce sera Maîtresse Sarah ou votre majesté.Ayant repris mes esprits et fou de rage, je me ruai sur elle, lui prenant les poignets dans mes mains et la poussant contre le mur de l’entrée.– Moussa, MOUSSA ! gueula-t-elle.
C’est alors qu’un énorme Black hyper baraqué fit son entrée dans la pièce et me ceintura vivement. Je relâchai mon étreinte sur Sarah et me retrouvai bien vite propulsé à travers la pièce jusque dans le salon. Je n’eus pas le temps de me relever que le susnommé Moussa me jeta sur le canapé et se mit à califourchon sur mon torse afin de m’immobiliser. J’étais incapable de bouger et vaincu, tel le chien mâle d’un groupe qui se soumet piteusement au chef de meute, le mâle alpha. – Tu croyais quoi, pauvre con ? me lança furieuse ma belle-fille.Le grand Black n’avait pas ouvert la bouche une seule fois, mais son autorité naturelle me terrifiait et me faisait me tenir à carreau, impuissant.– Je savais que tu viendrais m’emmerder, sale con ! Je te présente Moussa : c’est un pote à moi qui est videur dans la boîte où j’aime aller tous les week-ends.Je vis Moussa hausser les sourcils et me sourire.– Alors, tu ne réponds rien, pédé ?– Euh… Ecoute, Sarah : je m’excuse pour tout à l’heure, mais je ne peux plus supporter cette cage, cela m’a rendu fou. Peux-tu me l’enlever, s’il te plaît ?Je reçus alors une autre baffe de la part de cette fille qui devenait une étrangère pour moi.– Qu’est-ce que je t’ai dit ? Tu dois m’appeler majesté ou Maîtresse, dorénavant.– Oui, Maîtresse. Votre majesté Sarah, pourriez-vous m’ôter cette ridicule cage ? Je vous en supplie…Sarah partit alors d’un rire tonitruant.– Mais mon petit chéri, à quoi bon l’enlever vu que ton sexe ne servira plus à baiser à l’avenir, mais uniquement à pisser ? De plus, je rends service à la gent féminine, car qui voudrait d’une bite aussi ridicule que la tienne ? Au fait, tu l’as jamais vue, Moussa ?
Sans répondre, le mastodonte se retira de mon torse et m’arracha vivement le jeans que je portais en le déboutant à peine. Je me retrouvai en moins de deux avec le jeans sur les chevilles et en slip. Je vis Moussa sortir un cran d’arrêt, qu’il enclencha : une longue lame effilée sortit de son emplacement. J’avais des sueurs froides… Ce n’est pas vrai, il n’allait quand même pas me faire du mal ? Moussa approcha sa lame de mon slip, fit passer le tranchant sur ma cage à travers le tissu et, d’un coup sec, coupa le côté du slip qui, ne tenant plus sur mes hanches, glissa. Moussa l’arracha en entier et regarda mon sexe encagé. Pour la première fois, j’entendis sa voix caverneuse s’exprimer.– Je ne pensais même pas qu’une bite pouvait être aussi petite ! Hahahaha !!– Tu vois, Moussa. Pourquoi devrais-je lui enlever sa cage, à ce minable ? À part pisser, qu’est ce qu’il peut bien pouvoir faire avec un tel engin ? De toute façon, j’ai d’autres projets pour lui.– Quoi ? m’écriai-je. Que comptes-tu faire de moi exactement ? J’avais du mal à parler, et je tremblais de peur.– Tu vas devenir ma petite bonniche à domicile : dès que tu rentreras du boulot, tu feras le ménage, le repassage, la lessive. Tout ça, quoi. Tu vas commencer par signer ce document de procuration sur ton compte à mon intention, afin que je puisse prélever le loyer sur ton salaire ainsi que les charges et quelques cadeaux que je me ferai.
Elle me lança alors un clin d’œil coquin.– Mais il n’en est pas question ! répondis-je sans réfléchir.– Moussa !
Cette fois-ci, ce fut Moussa qui me gifla avec force : je vis des étoiles et ne sentis plus ma joue engourdie pendant quelques secondes.Le videur me prit par le col et me releva du canapé. J’étais à moitié à poil, les pieds entravés par mon jeans. Il me tira jusqu’à la table et me tendit un stylo, en me montrant le formulaire administratif de ma banque. Elle avait bien manœuvré, la salope ! Elle savait que je viendrais, et elle avait retiré les imprimés pré-remplis en les demandant à mon banquier, de ma part. J’étais piégé ! Je signai le document, résigné. C’est alors que je sentis mes épaules tomber d’abattement ; je me sentais comme une loque.
– OK. Allez, dégage, sale con ! Et n’oublie pas : demain, ma mère rentre de son voyage. Donc je compte sur toi pour aller la voir et lui dire que tu la quittes. Tu as jusqu’à mercredi ; ensuite, on s’organisera tous les deux. Tu rendras ton appartement pour venir faire la bonniche ici à plein temps.– Mais, il n’y a qu’une chambre, Sar… euh, Maîtresse Sarah : je ne pourrai pas dormir ici avec vous !– Mais qui te dit que tu dormiras dans un lit, sale chien ?
Moussa et Sarah partirent alors d’un rire inquiétant, qui n’augurait rien de bon pour mon avenir...
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